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Musique, propriétés expressives et émotions / Music, expressive properties and emotions

Darsel, Sandrine 05 October 2007 (has links)
What is the relation between music and emotions (including expressive properties and auditor's emotions) ? It is the principal question of this study. This problem is inside a long tradition of dispute and discussion which had fed scientifical disciplines like philosophy, sociology, psychology, musicology, cognitive sciences, etc., as well as experiences of musical doers (musicians, audience, compositors, musical critics, dancers...). So it was very important to give a way in this issue and a specific contribution to it. The first part is about musical ontology, through a detailed study on the numerous kinds of musical works (classical, traditional, jazz, popular, etc.). The second part is about musical expression of emotions : what does it mean to ascribe expressive properties to music ? Finally, the third part is about musical understanding, with the opposition between cognitivism and emotivism. What is developped here counters traditional views. It is generally admitted that aesthetic statements which ascribe expressive properties to musical works do not have ontological involvments nor truth conditions. At the opposite, I argue for the extrinsic reality of expressive properties (there are not mind projections, figures of speech, or intrinsic physical properties). Therefore, this study supports aesthetic realism and takes the risk to combine it with a fostering immanentist ontology and a rational emotivism. / Quel est le rapport entre la musique et les émotions sous ses deux aspects (les propriétés expressives et les émotions de l'auditeur) ? Telle est la question centrale de cette étude. Ce problème s'inscrit dans une longue tradition de débats et de réflexions qui ont nourri les disciplines scientifiques telles que la philosophie, la sociologie, la psychologie, la musicologie, les sciences cognitives, etc., tout autant que les expériences des acteurs du domaine musical (musiciens, auditeurs, compositeurs, critiques musicaux, danseurs...). Il était donc important de proposer une réflexion ouvrant un accès à ce débat, tout en lui apportant une contribution spécifique. Cette étude s'interroge tout d'abord au sujet du mode d'existence des oeuvres musicales, à travers une réflexion approfondie sur la musique sous ses différents formes (classique, traditionnelle, jazz, rock, de variété, etc.). Une deuxième artie est consacrée à l'expression musicale des émotions : que signifie l'attribution de propriétés expressives aux oeuvres musicales ? Enfin, une troisième partie examine la question de la compréhension d'une oeuvre musicale, avec la querelle opposant les tenants du cognitivisme et ceux de l'émotivisme. La thèse défendue ici va à l'encontre des conceptions habituelles. Le plus souvent, il est admis que les énoncés esthétiques attribuant des propriétés expressives à la musique n'ont pas d'implications ontologiques et ne peuvent prétendre à la vérité. A l'inverse, il s'agit de défendre l'idée selon laquelle les propriétés expressives, loin d'être des projections de l'esprit, des manières de parler ou encore des propriétés réductibles aux propriétés physiques de base, sont réelles et extrinsèques. En ce sens, cette thèse s'inscrit dans le courant du réalisme esthétique qui prend le risque d'y articuler une ontologie immanentiste d'accueil et un émotivisme rationnel.
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Au coeur de The rules of attraction de Bret Easton Ellis : pragmatique de la communication et "descente dans le chaos"

Gauthier, Joëlle 12 1900 (has links) (PDF)
Le projet d'écriture de Bret Easton Ellis constitue un point aveugle dans l'horizon critique actuel. Pour pallier ce manque, nous nous penchons dans ce mémoire sur l'esthétique pragmatique particulièrement complexe (ou « scrappy », selon la définition de Barbara Herrnstein Smith; 1988) du personnage et de la communication chez Ellis afin de définir son projet d'écriture comme expérience de « descente dans le chaos », expression développée par Maria L. Assad (1991) à partir des réflexions de Thomas M. Kavanagh (1986) sur Les cinq sens de Michel Serres (1985). Pour ce faire, nous proposons une micro-lecture attentive du deuxième roman d'Ellis, The Rules of Attraction (1987), suivie d'un bref retour sur les cinq autres romans de l'auteur. Afin d'effectuer notre micro-lecture, nous avons mis sur pied une grille de lecture construite à l'aide des théories de la pragmatique de la communication et de l'identité empruntées aux sciences sociales, en nous concentrant essentiellement sur les pratiques narratives de l'identité et les états problématiques de la communication. Cette grille a été appliquée au roman grâce au logiciel d'analyse de discours NVivo 8 (approche de codification vivante). Les résultats obtenus ont été interprétés à partir d'une approche libre inspirée des études littéraires et largement informée par les théories des chaoticiens. Cela nous permet de montrer comment il est possible de faire appel à la pragmatique des personnages pour saisir leurs textures différenciées. Il apparaît alors que la pragmatique du personnage ellisien participe d'une esthétique disjonctive de la communication qui se répercute sur l'esthétique générale du texte comme « descente dans le chaos ». L'étude des autres aspects du roman d'Ellis (métadiscours, incipit et excipit, exergue, titre) vient confirmer l'influence des « chaotiques » (Hayles, 1991) sur le projet d'écriture ellisien, point de départ pour repenser The Rules of Attraction comme un jalon important dans le développement d'une écriture et d'une œuvre qui exploitent les possibilités narratives et culturelles du chaos. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Ellis Bret Easton, The Rules of Attraction, Pragmatique, Théorie du personnage, Chaos
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Le tournant épistémologique de l'esthétique analytique en France

Haghsheno-Sabet, Aseman January 2009 (has links) (PDF)
L'esthétique analytique telle qu'elle s'est développée en France au courant des années 1990 est certes en rupture avec les principes généraux de la philosophie continentale, mais elle se différencie également de la tradition anglo-saxonne par des renouvellements théoriques qui permettent de penser les termes d'un tournant épistémologique. Notre recherche vise à repérer et analyser les paramètres thématiques et méthodologiques qui participent de ce tournant épistémologique et contribuent à caractériser l'esthétique analytique française. Notre hypothèse implique le réinvestissement des thématiques de l'ontologie de l'oeuvre d'art et du plaisir esthétique, et cible des applications méthodologiques spécifiques, suivant les principes de la reconduction conceptuelle et de l'interdisciplinarité. La mise en contexte théorique, qui dégage les enjeux épistémologiques et stylistiques de la philosophie analytique, permet d'observer les implications du décloisonnement de la discipline sur l'esthétique analytique française. Une des ouvertures méthodologiques générées par ce décloisonnement est l'approche de la reconstruction rationnelle entendue comme une démarche à la fois historique et analytique. Celle-ci sera déterminante pour établir les motivations critique et méta-esthétique prévalant aux engagements théoriques de notre corpus, composé des textes de Gérard Genette, Roger Pouivet, Jean-Marie Schaeffer et Rainer Rochlitz. La question de l'ontologie de l'oeuvre d'art, qui constitue notre première étude de cas, est abordée à partir des contributions de Gérard Genette et de Roger Pouivet. Nous y distinguons d'une part les filiations conceptuelles entre ces auteurs et les esthéticiens anglo-saxons et, d'autre part, la manière dont leurs approches ontologiques modérées contribuent à leur spécificité théorique. Notre seconde étude de cas cible la problématique du plaisir esthétique et sa portée conflictuelle dans l'esthétique française de type analytique. L'analyse des positions respectives de Jean-Marie Schaeffer et de Rainer Rochlitz met en évidence une rupture de paradigme soutenue par des approches interdisciplinaires différenciées. Dans l'ensemble, notre corpus participe de la démarche argumentative, autoréflexive et critique de l'esthétique analytique tout en innovant certains de ses paramètres épistémologiques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Esthétique, Philosophie analytique, Épistémologie, Ontologie de l'oeuvre, Plaisir esthétique.
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Les voies de la singularité : pour une généalogie des oeuvres d'art / The roots of singularity : for a genealogy of artworks

Liucci-Goutnikov, Nicolas 18 November 2015 (has links)
S’il n’existe pas d’« objet esthétique », comme l’ont soutenu Genette et Schaeffer, mais simplement des « relations esthétiques », comment définir ce que sont ou ce que font les œuvres d’art ? Un concept élémentaire, présent de façon diffuse dans de nombreux écrits sur l’art, se révèle opératoire : le concept de singularité. La singularité peut expliquer nombre des qualités attribuées aux œuvres d’art, notamment leur capacité maintes fois relevée à arrêter l’attention. Comme l’ont souligné de nombreux penseurs, de Kant à Goodman, l’œuvre d’art tient l’esprit en éveil : dans la relation aux œuvres d’art, écrit ce dernier, « le moteur est la curiosité et le but est d’obtenir des lumières » [Nelson Goodman, Langages de l’art (1968), trad. J. Morizot]. Exigeant que l’attention se porte sur l’objet en tant qu’individu, la singularité met à mal les généralités formulées sur les œuvres d’art, tout en inscrivant chacune d’entre elles dans l’histoire. Pour percevoir et comprendre une singularité, il est nécessaire de connaître le « monde de l’art » contre lequel elle s’affirme : l’établissement d’une généalogie se révèle indispensable. Renversant la logique de l’origine, l’identification de la parenté immédiate d’une œuvre d’art permet de saisir des relations d’identité entrelacées, croisées, mais aussi et surtout ces différences déterminantes grâce auxquelles l’œuvre peut affirmer sa propre singularité… et peut-être de susciter à son tour une descendance. Plusieurs études de cas s’attachent à le montrer - textes sur l’art de Greenberg, Rosenberg ou Judd, et œuvres d’art de Warhol, Levine ou Sehgal –, cherchant à tracer ainsi, de façon généalogique, les voies de la singularité. / If there is no such object as an “aesthetic object”, as Genette and Schaeffer have argued, but only “aesthetic relations”, how to define what an artwork is or does? An elementary concept, present in a pervasive manner in many writings about art, appears to be operative: the concept of singularity. Singularity can explain a lot of the qualities, which are usually assigned to artworks, in particular their ability to draw attention on them. As many authors have emphasized, from Kant to Goodman, an artwork keeps the mind active: in our relation to artworks, writes the latter, “the drive is curiosity and the aim enlightenment”.Given that this sort of attention requires to focus on the object as an individual, singularity jeopardizes the generalities, which are usually stated about artworks, though inscribing each of them in history. In order to perceive and to understand a singularity, it is necessary to know against which “artworld” this singularity asserts itself: an indispensable step seems the establishment of a genealogy. Through reversing the logic of origin, the identification of the immediate relationship of an artwork allows to embrace intertwined identity links, but also, and above all, these decisive differences, which allow the artwork to assert its singularity… and maybe to arouse some descendants. Different case studies make every effort to show it – texts about art written by Greenberg, Rosenberg or Judd, artworks from Warhol, Levine or Sehgal –, trying to trace, along a genealogical path, the roots of singularity.

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