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Effets de stratégies d'exploration professionnelle auprès des jeunes en cheminements particuliers sur la connaissance que ces derniers ont de leurs intérêts et de leurs aptitudesFiore, Francesca. January 1998 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 1998. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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L'estime de soi et la motivation de jeunes adolescents inscrits dans un programme d'enrichissement /Pilote, Chantal. January 1997 (has links)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 1997. / Bibliogr.: f. 134-140. Publié aussi en version électronique.
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Indices d'asocialité et niveau d'estime de soi d'étudiants entre 12 et 18 ans faisant partie d'un programme sports-études en soccer, d'un programme musique-études ou d'un programme régulier /Émond, Donald, January 2006 (has links) (PDF)
Mémoire (M.Sc.) - Université du Québec à Trois-Rivières, 2006. / Comprend des réf. bibliogr.: f. 55-57. Également disponible en format microfiche et PDF.
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L'influence de la maturation pubertaire, des caractéristiques typées au genre, de l'image corporelle et de l'estime de soi sur les symptômes de dépression à l'adolescencePapillon, Myra 03 March 2021 (has links)
Les changements développementaux propres à la période adolescente affectent l'expression de symptômes dépressifs chez les adolescents (Puig-Antich, 1982). L'application de l'approche développementale de la psychopathologie à l'étude de la dépression chez les adolescents permet de comprendre les effets des caractéristiques du développement sur l'émergence de troubles qui surviennent à l'adolescence, telle que la dépression (Rutter, 1986). La présente étude s'intéresse à la différence entre les garçons et les filles à l'adolescence quant à la variation de leurs symptômes dépressifs en fonction de leur maturation pubertaire, de l'adoption de caractéristiques typées à leur genre (instrumentalité et expressivité), de leur image corporelle et de leur estime de soi. Les 374 participants (188 filles, 186 garçons) de cette étude sont âgés entre 11 et 16 ans (M = 13,3 ans) et se distribuent entre la 6e année et le secondaire IV. Es ont complété l'Inventaire de la dépression de Beck, l'échelle de développement pubertaire, l'inventaire des rôles sexuels de Bern, le Questionnaire de l'image de soi de Offer et le Questionnaire de Rosenberg sur l'estime de soi. Les résultats révèlent que les garçons et les filles sont significativement différents sur chacune des variables dépendantes. Les filles sont plus déprimées que les garçons. Elles ont une image corporelle et une estime de soi plus faibles que les garçons. Chaque genre adopte davantage les caractéristiques typées à son genre, soit l'expressivité pour les filles et l'instrumentalité pour les garçons. Une relation significative positive est retrouvée entre la puberté et la dépression chez les filles seulement. Un effet indirect de la puberté sur la relation entre les variables du développement (groupe d'âge et scolarité) et les variables dépendantes selon le genre ressort de l'analyse de covariance. Les résultats sont discutés dans la perspective de l'impact différentiel selon le genre des changements développementaux sur l'émergence de la dépression à l'adolescence.
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Négation de soi, hostilité, estime de soi et violence dans les fréquentations amoureuses chez les adolescentesBureau, Isabelle 21 February 2021 (has links)
L'étude de certaines caractéristiques associées aux filles victimes de violence dans le cadre de relations amoureuses peut contribuer à la prévention de la problématique. À ce titre, ce mémoire vérifie l'estime de soi, la négation de soi et l'hostilité chez 599 filles de quatrième et de cinquième secondaire, dont l'âge moyen est de 16 ans et qui ont vécu une relation amoureuse au cours des 12 derniers mois. La négation de soi et l'hostilité sont étudiées pour la première fois chez une population d'adolescentes en regard à la violence dans les fréquentations amoureuses. Les différents types de violence sont vérifiés à l'aide d 'un questionnaire de 40 items. Des corrélations, des tests t ainsi qu'une analyse de régression multiple sont utilisés dans l'analyse statistique des données. Les résultats indiquent que les adolescentes victimes de violence démontrent une plus grande hostilité, ont une plus grande propension à la négation de soi et affichent une estime de soi plus faible que les autres adolescentes. Ces données montrent de nouvelles avenues quant aux actions préventives, notamment au niveau des croyances des jeunes.
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Victimisation par les pairs et idées suicidaires chez les adolescents : rôle médiateur de la dépression et de l'estime de soiPitre-Joyal, Gabrielle 17 April 2018 (has links)
La victimisation par les pairs à l'école est courante et entraîne de nombreuses conséquences néfastes. La présente étude vise à établir la relation entre ce phénomène et les idées suicidaires, tout en évaluant un possible effet médiateur de la dépression et de l'estime de soi. Quatre-cent-soixante-deux élèves de première année du secondaire et II provenant d'écoles de la région du Bas-St-Laurent ont participé à l'étude et répondu aux questionnaires suivants: Scale for Suicide Ideation, Questionnaire sur la victimisation par les pairs, Échelle d'estime de soi, ainsi que VInventaire de Dépression de Beck. Les résultats montrent que 77,7% des élèves se disent victimises par leurs pairs. La fréquence de cette violence ne diffère pas significativement selon l'âge et le sexe des élèves. Quant aux idées suicidaires, elles sont vécues par 38,7% des jeunes et sont significativement plus présentes chez les adolescentes. La combinaison des deux variables indique que la victimisation par les pairs explique 20,9% de la variance des idées suicidaires des jeunes. Par ailleurs, selon la méthode de Baron et Kenny (1986), le lien unissant directement ces deux variables perd sa signification lors de l'inclusion de la dépression comme variable médiatrice dans le modèle. En ce qui concerne la variable estime de soi, elle ne s'avère que partiellement médiatrice. En conclusion, une grande proportion de jeunes sont victimises par leurs pairs et présentent des idées suicidaires. Ceux qui subissent cette violence par leurs pairs tendent à éprouver aussi des idées suicidaires, mais uniquement s'ils sont déprimés.
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