This dissertation examines the uses, functions, and meaningfulness of traditional personal names and naming practices in Niitsitapi (Blackfoot Indian) culture. The current study indicates that Niitsitapi personal names appear to play a major role in capturing and conveying various aspects of traditional Niitsitapi sociocultural knowledge. Niitsitapi personal names thus appear to form an integral part of Niitsitapi oral tradition, and also seem to play a powerful role in establishing and maintaining Niitsitapi conceptualisations of individual, as well as social and cultural, identity. This dissertation supports the position that, in addition to their nominative function, names contain and communicate sociocultural meaning, based on their associations with a wide range of non-linguistic factors which form part of the sociocultural environment within which they are used. The methodological approach stresses the importance of studying personal names in cultural context and strongly emphasises the use of indigenous knowledge as a means of explaining personal naming phenomena from a native cultural perspective. / Linguistics / M. A. (Sociolinguistics)

Thesis (M. A. (Sociology)) -- University of Limpopo, 2017 / Climate change has become one of the most daunting challenges facing humanity in the 21st century. It has direct and profound effects on the environment, economy, health and safety. Since most developing countries have agro-based economies, they are more vulnerable to climate change impacts as compared to the developed world. The aim of this study was to explore Mutoko rural community members’ understanding of climate change and the indigenous measures they use to adapt to its impacts. The study was empirical and data were collected using in-depth interviews. The findings show that Mutoko community members have knowledge of changes in climatic conditions which manifest as increased temperature and erratic rainfall patterns. The impact of increased temperature and erratic rainfall were observed. Furthermore, community members mentioned the type of clouds, mountains and the direction from which the rains comes as indications of climate change. It has also been discovered that numerous cultural activities such as ‘mafuwe’ (rain making ceremony) have changed due to climate change. As a result various adaptation measures such as changing crop types are employed by community members to sustain their livelihood. The study concludes that even though community members in Mutoko are aware of climate change and its indicators, they still struggle to adapt regardless of them having a few adaptation strategies they have developed and use to lessen the negative impacts of changing climatic conditions on their livelihood. Key words: Climate change, Climate hazards, Indigenous practices, Knowledge, Mutoko community,

The thesis is a culmination of my research which drew on tyangi wedi tjan Rak Mak Mak Marranunggu and Marrithiel knowledge systems. These awa mirr spiritual knowledge systems have guided our Pilu for millennium and have powerful spiritual affiliation to the land and our continued presences. The understandings of the spiritual connectedness and our practices of relatedness have drawn on Pulitj, our deep awa mirr spiritual philosophy that nourishes us on our country. This philosophy gave us our voice and our presence to act in our own ways of knowing and being on the landscapes created by the Western bureaucratic systems of higher education in Australia to bring forth our Tyikim knowledge systems to serve our own educational interests. From this spiritual ‘Puliyana kunun’ philosophical position the thesis examines colonising constructions of Tyikim peoples, Tyikim knowledge systems in education, Tyikim research and access to higher education for Tyikim students. From the research, it is argued that the paradigm, within which the enclave-derived approach to Indigenous higher education is located, is compatible with the normalising imperialistic ideology of higher education. The analysis of the Mirrwana/Wurrkama participatory action research project, central to the research, supported an argument for the Mirrwana/Wurrkama model of Indigenous higher education. Further analysis identified five key pedagogical principles embedded within this new model as metaphorically equivalent to wilan~bu of the pelangu. The thesis identifies the elements of the spirituality of the narrative exposed in the research-in-action through the “Marri kubin mi thit wa!”. This is a new paradigm for Tyikim participation in higher education within which the Mirrwana/Wurrkama model is located. Finally, the thesis identifies the scope for Tyikim knowledge use in the construction of contemporary ‘bureaucratic and institutionalised’ higher education ngun nimbil thit thit teaching and learning experiences of Tyikim for the advancement of Tyikim interests. Here the tyangi yigin tjan spiritual concepts of narrative and landscape are drawn upon both awa mirr metaphorically and in marri kubin mi thit wa Tyikim pedagogical practice.

L'objectif de cette recherche est de circonscrire les perceptions qu'ont de l'environnement et de la santé les Innus de Sheshatshiu, au Labrador, en vue de l'élaboration éventuelle d'indicateurs de santé environnementale adaptés. Il s'agit d'une étude exploratoire, qui met l'accent sur les diverses composantes de la santé et de l'environnement, en intégrant certains aspects psychosociaux associés aux problèmes que vivent actuellement les Innus de cette communauté. Une attention particulière est apportée à la nécessité de travailler avec les Innus, dans le contexte d'une approche participative. Les postulats de recherche sont que les perceptions des Innus en ce qui concerne la santé et l'environnement ne sont pas homogènes d'un sous-groupe social à un autre et que l'interprétation de ces perceptions est utile pour l'élaboration d'indicateurs appropriés. Pour recueillir les données, nous avons organisé quatre séances de discussion avec quatre sous-groupes (aînés, hommes, femmes, jeunes); nous avons en outre mené trois entrevues semi-dirigées individuelles avec des travailleurs des services à la communauté. Les verbatims ont été soumis à une analyse de contenu à quatre facettes: distribution de fréquence des termes employés en ordre décroissant, pertinence des termes dans le contexte, méthode de saturation et méthode de concordance des termes. Des ressemblances et des divergences ont émergé de l'analyse quant aux perceptions des divers sous-groupes. Des nuances fines d'un groupe à un autre quant à ce qui, au premier abord, paraît être des ressemblances ont également été relevées. À ce stade, des lignes directrices relatives aux concepts explicites et implicites qui devraient être considérés au moment de l'élaboration d'indicateurs de santé environnementale adaptés aux Innus peuvent être proposées. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Innu, Santé environnementale, Approche participative, Indicateurs, Nourriture traditionnelle, Labrador, Savoir traditionnel.

Ce mémoire s'intéresse aux différentes conceptions des «savoirs traditionnels» dans le champ des théories du développement, et cherche à déceler le potentiel alternatif de ces savoirs pour le champ du développement (théorique et pratique), un champ marqué par l'actuelle «crise du développement». Les écoles classiques constituant le paradigme dominant y sont d'abord présentées, soit l'école de la modernisation et l'école de la dépendance, avec leur conception du monde et du développement basée avant tout sur la croissance, leurs fondements et a priori quant aux sociétés du Sud et aux savoirs traditionnels. La critique du paradigme dominant, considérée comme une «nébuleuse critique» est aussi présentée avec ses principaux thèmes. L'auteure en vient finalement à montrer l'insuffisance du paradigme développementiste pour aborder les savoirs traditionnels comme une ressource éventuelle pour le développement, en raison de son ethnocentrisme et de ses postulats. Ensuite, une revue de la littérature de quatre courants critiques est effectuée, de façon à trouver une nouvelle interprétation du lien entre les variables «savoirs traditionnels» et «développement». L'écoféminisme, le capitalisme cognitif, l'ethnodéveloppement et le post-développement sont ici considérés comme des courants qui remettent en cause les a priori développementistes entourant les savoirs, la science, la tradition, la modernisation, la culture. Particulièrement, le post-développement constitue le principal apport subversif quant au développement, déconstruisant les mythes entourant ce concept et le présentant comme un projet idéologique ethnocentrique. Il représente aussi en quelque sorte l'aboutissement des trois autres courants, reprenant les mêmes thèmes mais en prônant une sortie de l'ère développementiste. Enfin, de façon à vérifier et nuancer certains concepts et certaines pistes d'analyse issus de la littérature critique, l'auteure effectue quatre entretiens avec des représentant d'initiatives locales québécoises qui vont dans le sens d'un post-développement (Nicole Fafard de l'écovillage TerraVie, Michel Gaudreault de SEL BECS, Gabriel Riel-Salvatore de Slow Food Montréal, et Serge Mongeau de la simplicité volontaire et du mouvement pour la décroissance). Les savoirs traditionneIs, d'abord considérés par certains courants théoriques en tant que pratiques écologiques efficaces et utiles pour le développement autocentré des communautés du Sud, en viennent à être considérés en tant que référence idéologique dans une remise en question du mode de développement des sociétés du Nord, en tant qu'ensemble de valeurs et attitudes qui inspirent la recherche post-développementiste pour des «alternatives au développement», des «alternatives à la modernité», ou une société de «décroissance conviviale». ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Savoirs traditionnels, Théories critiques du développement, Écoféminisme, Capitalisme cognitif, Ethnodéveloppement, Post-développement, Alternatives, Décroissance, Simplicité volontaire, Écovillages, Systèmes d'échange local (SEL), Slow Food.

Our world is experiencing a crisis of unsustainability with ecological, socioeconomic, and existential dimensions. Thus, planning for the transition to sustainability is a challenge requiring transformation of the dorrunant cultural paradigm. I address this problem of planning between cultural paradigms by examining the discourse between First Nations Traditional Ecological Knowledge (TEK) and Western Science, and identify lessons that contribute to a sounder epistemological basis for planning theory and practice. To link planning theory, sustainability and TEK, I combined literature reviews, interviews and lessons from my experience with First Nations. I derived a cross-cultural analytical framework based on epistemology, cosmology and ontology (ECO), and applied it to planning theory, case studies of the Scientific Panel for Sustainable Forest Practices in Clayoquot Sound and my own professional work. Planning for sustainability must address multiple dimensions. My approach includes biophysical, social and cultural capital, postulating that greater social and cultural capital could decrease consumption of biophysical capital. In this framework "ECO" addresses cultural capital. My analysis of TEK reveals more than just "knowledge," rather a way of life which generates knowledge. I coined the term TEK-Systems (TEKS) to refer to the social and cultural capital, and methodological features of these lotowledge-generating systems. Applying ECO reveals philosophical elements of TEK, that are neglected in the literature. TEKS combine empirical knowledge with other ways of knowing offering alternative models of reality to the cultural mainstream. The Scientific Panel recognized all significant features of TEKS and ECO in my framework, and employed Nuu-Chah-Nulth TEK protocol in their planning model. Various forms of knowledge from wholly different philosophical origins informed complex planning and decision- making process with consensus outcomes. Similarly, the most significant lessons from my professional application was that respect, cultural framing, and community involvement are key professional tools. Planning between cultural paradigms requires recognizing different knowledge systems; including different ways of knowing strengthens planning for sustainability. This approach establishes new terrain for planning theory. It requires inclusive planning and decision- making processes which foster caring, respect and commitment. Enhancing social and cultural capital provides community and spiritual resources for sustainability. Planners need specialized framing to work in these areas.

Thesis (M.Ed. (Education)) - Rhodes University, 2009. / Submitted in partial fulfillment of the requirements for the degree of Master of Education.

Thesis (Ph. D.)--Science and Mathematics Education Centre, Curtin University of Technology, 2001. / Title from PDF title screen (viewed Oct. 7, 2004).

Thesis (M.Inst.Agrar.(Entomology ))--University of Pretoria, 2003. / Includes abstract in English. Includes bibliographical references.

Thesis (M.A.)--University of Waterloo, 1993. / Includes bibliographical references (p. 191-211).