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Le festival comme événement reconfigurateur de stéréotypes. Cine Las Americas et les Latinos (Austin, Texas, 1998-2017) / The festival as a stereotype-reconfiguring event. Cine Las Americas and Latinos (Austin, Texas, 1998-2017)

Cheyroux, Emilie 23 September 2017 (has links)
Depuis ses débuts, l’industrie hollywoodienne utilise des stéréotypes dépréciatifs des Latinos pour construire une série de personnages menaçants qui cristallisent les peurs de la société américaine. Cette recherche se concentre sur le festival de cinéma latino Cine Las Americas (Austin, Texas) et questionne les stratégies explicites et sous-jacentes mises en œuvre pour déconstruire ces stéréotypes. Dans un premier temps, il s’agit de faire émerger les phases qui ont permis à Cine Las Americas de s’institutionnaliser entre 1998 et 2017. En se concentrant sur une année type (2012), la recherche met également en lumière la synergie avec Austin, ville créative « excentrique » (weird) de façon à montrer en quoi elle est un terrain fertile pour le festival. Elle place également Cine las Americas dans le contexte historique des festivals de films latinos pour en comprendre l’émergence au tournant du millénaire et les spécificités. Dans un deuxième temps, après avoir fait un état des lieux des stéréotypes latinos véhiculés par Hollywood et des stratégies cognitives utilisées pour les construire, le contenu des films des quinze premiers festivals (1998-2012) est analysé dans le but de mettre en évidence les contre-stéréotypes correspondants, notamment à travers l’image du migrant, figure centrale d’un groupe de films sur la frontière. L’analyse fait émerger les thèmes fédérateurs, les contre-récits et questionne l’héritage Chicano de Cine Las Americas. Dans un dernier temps, la thèse s’intéresse à la place de Cine Las Americas dans les réseaux transnationaux et locaux de ses débuts à 2017. Il s’agit de déterminer comment les films « des Amériques » sont utilisés pour articuler la mission anti-stéréotype et faire émerger la figure collective des Indigènes, démontrant ainsi comment Cine Las Americas est devenu un « événement configurateur de champ » (Field-Configuring Event). Cette stratégie confirme le rôle moteur d’Austin et permet de voir les organisateurs comme des diplomates culturels. / From the beginning, Hollywood has used disparaging stereotypes about Latinos to create a series of threatening characters that give shape to the fears of the American society. This research focuses on the Latino film festival Cine Las Americas (Austin, Texas) and questions the explicit and underlying strategies used to deconstruct such stereotypes. First, the study analyzes the different phases that have allowed Cine Las Americas to become an institution between 1998 and 2017. The research also highlights the synergy with the city of Austin, « weird » Creative City, to show how it represents a fertile ground for the festival. It also situates Cine Las Americas in the historical context of Latino film festivals in order to understand their emergence at the turn of the millenium and their specificities.Second, after going over the Hollywood stereotypes about Latinos, the content of the movies from the first fifteen festivals (1998-2012) is analyzed to shed light on the corresponding counter-stereotypes, especially through the image of the migrant, the central figure of the movies about the border. The analysis sheds light on the unifying themes and the counter-narratives and questions Cine Las Americas’s Chicano heritage. Last, the research seeks to consider Cine Las Americas’s position in international and local networks from the beginning to 2017. It seeks to determine how the movies from « the Americas » are used to implement the anti-stereotype mission and to bring forth the collective figure of the Indigenous people, thus demonstrating how Cine Las Americas has become a Field-Configuring Event (FCE). This strategy confirms Austin’s driving force and portrays the organizors as cultural diplomats.
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Bandes de confiance par vraisemblance empirique : δ-méthode fonctionnelle et applications aux processus des événements récurrents / Building confidence bands using empirical likelihood methods : functional delta-method and recurrent event processes

Flesch, Alexis 12 July 2012 (has links)
Disposant d’un jeu de données sur des infections nosocomiales, nous utilisons des techniques de vraisemblance empirique pour construire des bandes de confiance pour certaines quantité d’intérêt. Cette étude nous amène à renforcer les outils déjà existants afin qu’ils s’adaptent à notre cadre. Nous présentons dans une première partie les outils mathématiques issus de la littérature que nous utilisons dans ce travail de thèse. Nous les appliquons ensuite à diverses situations et donnons de nouvelles démonstrations lorsque cela est nécessaire. Nous conduisons aussi des simulations et obtenons des résultats concrets concernant notre jeu de données. Enfin, nous détaillons les algorithmes utilisés. / The starting point of this thesis is a data set of nosocomial infectionsin an intensive care unit of a French hostipal. We focused our attention onbuilding confidence bands for some parameters of interest using empiricallikelihood techniques. In order to do so, we had to adapt and develop somealready existing methods so that they fit our setup.We begin by giving a state of the art of the different theories we use.We then apply them to different setups and demonstrate new results whenneeded. Finally, we conduct simulations and describe our algorithms.
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Le rôle des désignants d'événements historico-médiatiques dans la construction de l'histoire immédiate: une analyse du discours de la pensée écrite

Calabrese, Laura 26 February 2010 (has links)
Ce travail est divisé en deux grandes parties. La première explore la notion d’événement dans une perspective multidisciplinaire, à partir de l’histoire, la sociologie, l’ethnologie, la philosophie, la communication et la linguistique. Le but de ce parcours notionnel est double :tout d’abord, illustrer comment les sciences humaines évoluent (depuis les années 1950) vers une approche langagière de l’événement, et en deuxième lieu, nous doter des outils conceptuels nécessaires pour montrer que l’événement médiatique est une construction sociale dans laquelle le langage joue un rôle central. Cette construction est régulée par des routines de rédaction journalistiques, des contraintes matérielles (i. e. l’espace disponible pour rédiger des titres), des représentations et des habitus de lecture. En amont de la nomination par le média, des protocoles sociaux implicites règlent ainsi la mise en mots de l’événement. Cela explique l’énorme consensus dans la nomination d’événements à l’intérieur d’un même espace historico-géographique. <p>La réflexion théorique sur l’événement a également permis d’observer le fonctionnement singulier du discours d’information, notamment en regard du discours historique, tout spécialement à partir de leur saisie particulière du temps, à savoir, les temps courts des médias et les temps long ou mi-longs de l’histoire. Cette forme d’appréhender le temps n’est pas sans conséquences sur les modes de nomination des médias, car ils ont besoin de nommer toute occurrence jugée événementielle, souvent sans le recul nécessaire pour les intégrer dans un récit global. La pratique conduit en effet le discours de l’information à produire une grande quantité de désignants qui pourront être mémorisés par les lecteurs sans pour autant produire de véritables connaissances. Malgré cette hypertrophie, l’événement médiatique constitue un repère collectif primordial pour organiser le vécu public. En ce sens, il est à distinguer du fait divers, qui n’organise pas le temps social mais produit, au contraire, des discours répétitifs, ancrés sur des archétypes et non sur l’actualité. Dans sa fonction cathartique, le fait divers présente une mise en récit du dysfonctionnement de la société et, dans sa répétitivité, n’a pas besoin d’être mémorisé par le discours social. Comme corollaire, il produit moins de dénominations et plus de séquences narrativisées. Ainsi, un fait divers peut accéder au statut d’événement en fonction de la place que le discours d’information −et la société− lui accorde, à la fois dans l’espace public et dans la matérialité du support écrit. <p>En tant que construction sociale, l’événement médiatique n’est pas un objet discret. Non seulement il n’est pas disponible tel quel avant l’acte de nomination, mais il n’est pas immédiatement disponible et perceptible. Comme d’autres réalités sociales ou institutionnelles, les événements ont une « ontologie subjective » mais sont perçus comme objectifs. Dans ce cadre, l’instance de médiatisation est fondamentale pour donner corps à l’événement et l’ériger en objet d’intérêt public. La question qui se pose est celle de la mise en forme de l’événement en consensus avec le corps social. Si nous considérons les événements comme des faits institutionnels, il devient évident que leur mode de donation est médiatisé par le biais d’une instance socialement légitimée à laquelle on accorde cette mission :les médias. Le mécanisme de médiation qui intervient ici est la déférence :nous déférons aux journalistes la tâche d’identifier, de décrire et de nommer les événements publics. <p>L’analyse des désignants d’événements dans une perspective linguistique (sémantique et syntaxique) s’avère ainsi fondamentale pour interroger les représentations mobilisées par le média. En effet, ces séquences linguistiques, largement partagées par le corps social, sont des prêts-à-dire capables de condenser une énorme quantité d’information sur l’événement, de ses données les plus objectives (où, quand, quoi) aux plus subjectives (images, représentations) mais partagées intersubjectivement. La deuxième partie de cette thèse aborde la description de ces séquences linguistiques, dans une démarche qui va de la sémantique lexicale à la sémantique discursive. Les désignants d’événements sont envisagés sous leur forme expansée, c’est-à-dire comme des expressions définies formées à partir d’un nom événementiel, nom qui dénote un événement en langue (attentat, catastrophe, crise, etc.). Cette base lexicale sert à catégoriser l’événement −en fonction de cadres cognitifs communs−, orientant le sens et affectant les représentations des lecteurs. <p>Parmi les différentes formes, nous distinguons des expressions définies complètes (la guerre en Irak, le massacre de la place Tiananmen, les attentats du 11 septembre, l’affaire du voile) et incomplètes (la crise, la canicule, le tsunami). Ces dernières se caractérisent par la présence d’un opérateur indexical qui fait référence au moment de l’énonciation et ont donc une capacité plus faible à stocker la mémoire de l’événement. Une fois le moment discursif passé, ces expressions ont tendance à être complétées par un complément (i. e. la canicule de 2003). Les expressions définies complètes présentent, elles, une tendance à la condensation. Elles produisent ainsi des mots-événements :des toponymes et des dates en fonction événementielle (que nous appelons héméronymes), ainsi que des désignants occasionnels (Tiananmen, le 11 septembre, le voile, respectivement). Malgré l’effacement du nom événementiel présent dans la dénomination originelle (massacre, attentat, affaire), celui-ci est pour ainsi dire enregistré par l’expression restante, et sert par là à orienter le sens de l’expression. La preuve qu’un sens notionnel a été enregistré par ces expressions est qu’elles peuvent être réutilisées dans des emplois métaphoriques, pour des événements de même nature (le 11 septembre de l’Europe, un Tiananmen à l’iranienne, tsunami financier). L’approche discursive permet également de distinguer des dénominations et des désignations, moins figées et à plus forte valeur axiologique, mais qui contribuent également à la construction de l’événement. Si Mai 68 peut être catégorisé comme une révolte, une révolution ou un mouvement par la presse et par les principaux acteurs sociaux, il peut également être qualifié de coup d’épée dans l’eau ou de rupture culturelle. Les premières constituent des séquences largement partagées dont le but est de catégoriser, mémoriser et retracer l’événement, tandis que les secondes expriment surtout le point de vue d’un énonciateur ou groupe, et ont par là un contenu axiologique plus évident. <p>Nous essayons de montrer que la description linguistique est une condition nécessaire pour décrire la capacité mémorielle de ces désignants, qui ont des degrés de stabilité et de figement différents. L’établissement des différentes catégories (expressions définies complètes et incomplètes, xénismes, mots-événements accidentels, toponymes événementiels et héméronymes) permet d’étudier leur capacité mémorielle en fonction de leur morphologie. En effet, moins le désignant a de contenu lexical, plus il a de facilité à circuler dans des contextes qui ne sont pas celui d’origine. Ainsi, les toponymes et les héméronymes ont une plus grande capacité d’évocation, en raison de leur proximité avec le nom propre. Dans le discours d’information, ils fonctionnent comme des outils cognitifs qui servent à mémoriser des événements, des images et des discours sur les événements.<p><p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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