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Les erreurs récurrentes en français, langue seconde (FLS) : un code de correction comme outil de référence peut-il aider les apprenants à les corriger?

Louis-Charles, Jean-Alix 07 1900 (has links) (PDF)
Le présent mémoire vise deux objectifs : mesurer quantitativement l'impact du code de correction sur les habiletés des élèves à corriger des erreurs dans un texte; identifier qualitativement le niveau de cognition des participants. Ainsi, 57 élèves inscrits au programme de français, langue seconde (de base et enrichi) ont été soumis à un test de correction d'erreurs. La distribution du test (avec ou sans le code) a été faite de façon aléatoire auprès de trois groupes-classes expérimentaux. Par contre, les participants composant le groupe témoin ont reçu le même test, sans le code de correction. Au terme de ce test de correction d'erreurs, deux participants de chacun des trois groupes-classes expérimentaux ont été choisis, en tenant compte de leur score obtenu à ce test, afin de participer à une séance de verbalisation avec l'approche Penser à voix haute, suivie d'une entrevue semi-dirigée. Les résultats obtenus semblent montrer que le code de correction n'a pas eu d'impact significatif sur la performance des participants lors de ce test. En effet, le groupe contrôle, bien qu'ayant accusé un score faible de 47.6% au test, devance les trois groupes expérimentaux dont les scores sont ainsi répartis : français de base, avec code (FB_AC), 14.3% ; français de base, sans code (FB_SC), 4.3%; français enrichi, avec code (FE_AC), 38.1% ; français enrichi, sans code, 38.1% (FE_ SC). Mais l'analyse des protocoles obtenus pendant les séances de verbalisation révèle que le niveau de pensée des sujets ayant eu accès au code de correction lors du test se situerait entre les niveaux cognitifs de l'application et de l'analyse, selon la taxonomie des habiletés cognitives de Bloom. Tandis que ceux n'ayant pas eu droit au code lors du test de correction d'erreurs atteindraient un niveau de pensée qui se situerait entre les niveaux cognitifs de la compréhension et de l'application. Cependant, les données qualitatives obtenues au cours de l'entrevue semi-dirigée avec douze des 57 participants montrent que le code de correction pourrait avoir un impact positif sur la performance des apprenants en communication écrite. Mais cela dépendrait de bien des facteurs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Erreurs récurrentes, correction d'erreur, processus rédactionnel, révision du texte, habiletés cognitives.
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Les rétroactions correctives à l'oral : que croient faire les enseignants et qu'en pensent les apprenants?

Fiset-Asselin, Caroline January 2006 (has links) (PDF)
Depuis quelques années, de plus en plus de chercheurs s'intéressent à la négociation de la forme en acquisition d'une langue seconde. La négociation de la forme, qui est caractérisée par quatre types de rétroaction corrective, encourage l'auto-correction en attirant l'attention des apprenants sur leurs énoncés fautifs (Lyster, 1999 p.355). Mais les enseignants disent-ils formuler des rétroactions correctives? Et les apprenants disent-ils remarquer les rétroactions qui leur sont faites ? Le cas échéant, les apprenants apprécient-ils les rétroactions correctives? La présente recherche exploratoire porte sur l'attention que les apprenants prétendent accorder aux différents types de rétroaction lorsque l'enseignant dit tenter de mettre en évidence les formes linguistiques déficientes à l'oral. L'appréciation du recours aux rétroactions correctives dans la classe de langue seconde ou étrangère est également une question importante abordée dans cette étude. Afin de mener à terme cette recherche, donc de vérifier les perceptions des enseignants et des apprenants relativement aux rétroactions correctives et l'appréciation subjective de celles-ci, nous sommes allée dans trois classes d'espagnol langue étrangère d'une université francophone à Montréal pour y faire de l'observation au moyen de la grille COLT (Allen, Frohlich & Spada, 1984; Fröhlich, Spada & Allen, 1987; Spada & Fröhlich, 1995) et pour passer un questiormaire aux apprenants et aux enseignants. Le questionnaire passé aux apprenants a servi à recueillir les données biographiques des participants et a permis de vérifier la perception de l'attention que les participants accordent aux interventions de leur enseignant. Ce questionnaire nous a aussi permis de savoir si les rétroactions correctives sont appréciées des apprenants. Bien entendu, un questionnaire différent a été préparé pour les enseignants afin de savoir si ces derniers ont recours à un ou plusieurs types de rétroaction corrective pour mettre en évidence les formes linguistiques erronées à l'oral. Pour s'assurer que les conclusions de cette étude soient généralisables à des apprenants de différents niveaux de compétence en langue seconde ou étrangère, nous avons fait passer le même questionnaire à des apprenants de niveau débutant, intermédiaire et avancé. À la lumière des résultats obtenus, nous pouvons conclure que la reformulation semble être le type de rétroaction le plus utilisé à l'intérieur des classes ayant participé à l'étude et qu'elle peut être ambiguë pour les apprenants puisque ces derniers ne semblent pas toujours faire la différence entre la reformulation et la répétition non corrective. Nous sommes également arrivée à la conclusion que les apprenants participant à notre étude apprécient les rétroactions correctives et ce, peu importe leur niveau. Cela nous amène donc à penser que les rétroactions peuvent être faites à tous les niveaux en classe de langue. Les résultats de notre étude nous amènent également à croire que les apprenants des trois niveaux précédemment mentionnés préfèrent l'incitation. Le fait que les apprenants disent préférer l'incitation et ce, même au niveau débutant, nous oblige à remettre en question le fait que pour participer à la négociation de la forme, les apprenants doivent déjà avoir atteint un minimum de compétence en langue seconde (Lyster, 1999, p. 376). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Interactionnisme, Négociation de la forme, Rétroaction corrective à l'oral, Attention, Saisie, Appréciation.

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