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Quelles compétences les femmes enceintes attendent-elles du praticien qui suit leur grossesse ? enquête dans une maternité du Val-de-Marne auprès de 241 patientes /

Delrieux, Anne-Emmanuelle. Leroux, Gérard January 2006 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Paris 12 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 59-60.
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Consommation de médicaments pendant la grossesse les femmes enceintes ont-elles recours à l'automédication ? Enquête dans une maternité du Val de Marne /

Pouchain, Aurélie. Le Roux, Gérard January 2009 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Paris 12 : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 49-51.
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Attitudes et comportements à l'égard de l'alimentation et du poids en fin de grossesse : une approche comparative entre les personnes enceintes avec ou sans antécédent de chirurgie bariatrique

Caredda, Chloé 27 November 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 24 novembre 2023) / La chirurgie bariatrique est aujourd'hui considérée comme le traitement le plus efficace pour traiter l'obésité sévère. En effet, elle présente des effets positifs sur les plans physiques et métaboliques. Parmi les personnes ayant recours à la chirurgie bariatrique, une majorité sont des femmes en âge de procréer et donc, susceptibles d'entamer une grossesse après cette opération. Or, les femmes enceintes avec antécédent de chirurgie bariatrique sont sujettes à d'importantes fluctuations de poids et débutent leur grossesse avec des antécédents physiques et psychologiques particuliers. Cependant, bien que les comportements alimentaires et attitudes à l'égard de la prise de poids soient d'importants facteurs à considérer lors d'une grossesse post-chirurgie bariatrique, à ce jour, à notre connaissance, aucune étude ne s'y est intéressée, et les professionnels de la santé sont peu outillés pour les considérer lors des suivis auprès de cette population. De ce fait, l'objectif du présent mémoire est de comparer, entre les personnes enceintes avec et sans antécédent de chirurgie bariatrique, les comportements alimentaires et les attitudes à l'égard de l'alimentation et du poids en fin de grossesse. Les principaux résultats obtenus suggèrent que, en fin de grossesse, les personnes enceintes avec antécédent de chirurgie bariatrique présentent des comportements alimentaires (restriction flexible et désinhibition situationnelle) et des paramètres liés à l'alimentation intuitive (confiance envers leurs signaux de faim et de satiété et autorisation inconditionnelle de manger) différents de ceux des personnes enceintes sans antécédent de chirurgie bariatrique. Ces résultats, d'une part, contribuent à enrichir la littérature relative aux comportements alimentaires et attitudes à l'égard de la prise de poids lors de grossesses suivant une chirurgie bariatrique et, d'autre part, mettent en évidence l'importance de les considérer au cours des suivis nutritionnels afin d'aider ces femmes à adopter des habitudes alimentaires optimales et des attitudes positives vis-à-vis la prise de poids. / Bariatric surgery is now considered the most effective treatment for severe obesity. Indeed, it has long-term positive effects on physical and metabolic aspects. Among the individuals undergoing bariatric surgery, a majority are women of childbearing age and therefore, likely to become pregnant after this procedure. However, pregnant women with a history of bariatric surgery experience significant fluctuations in weight and begin their pregnancies with specific physical and psychological backgrounds. Nevertheless, while eating behaviors and attitudes towards weight gain are important factors to consider during a post-bariatric surgery pregnancy, to date, no studies have addressed this issue, leaving healthcare professionals are ill-prepared to provide adequate care for this population. Therefore, the objective of this thesis is to compare the eating behaviors and attitudes towards food and weight at the end of pregnancy between pregnant individuals with and without a history of bariatric surgery. The main results suggest that pregnant individuals with a history of bariatric surgery exhibit certain eating behaviors and parameters related to intuitive eating that are different at the end of pregnancy compared to pregnant individuals without a history of bariatric surgery. These findings contribute, on the one hand, to enriching the literature on eating behaviors and attitudes towards weight gain during post-bariatric surgery pregnancies and, on the other hand, highlight the importance of offering more personalized care to encourage these women to adopt optimal eating habits and positive attitudes towards weight gain.
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Mettre au monde : sages-femmes et accouchées en Corrèze au XIXe siècle /

Sage-Pranchère, Nathalie, January 2007 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire--Paris--École nationale des Chartres, 2006. / Bibliogr. 753-767. Index.
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Le dossier de suivi de grossesse au sein d'un réseau Ville-Hôpital /

Durand-Lepoivre, Carole Philippe, Henri Jean. January 2004 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Université de Nantes : 2004. / Bibliogr. f. 101-103 [35 réf.].
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L'entretien du 4ème mois de grossesse une amélioration pour la prise en charge des femmes enceintes ? /

Veschambre, Caroline. Platel, Laurence. January 2007 (has links)
Mémoire de Sage-femme : Médecine : Nantes : 2007. / Bibliogr.
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Exposition au mercure via la chaîne alimentaire au Nunavik : tendances géographiques et temporelles chez les femmes enceintes

De Moraes Pontual, Mariana 27 January 2024 (has links)
En Arctique, les populations autochtones vivent de la consommation de mammifères marins et de poissons et peuvent être exposées à des doses élevées de méthylmercure (MeHg). Par ailleurs, puisque la disponibilité des espèces concernées varie au fil des mois, tout porte à croire que l’exposition au MeHg change aussi d’un mois à l’autre. Il existe encore d’importantes lacunes dans les connaissances quant aux variations géographiques et temporelles de l’exposition au MeHg et quant aux aliments responsables de celles-ci, surtout pour ce qui est de l’exposition chronique et à de plus faibles doses chez les femmes enceintes au Nunavik. Plusieurs résultats de l’Étude sur le développement de l’enfant au Nunavik (EDEN) montrent que la vie fœtale est un moment crucial pour prévenir l’exposition au MeHg afin d’éviter plusieurs effets neurologiques qui se répercutent jusque tard dans l’enfance. En conséquence, en 2011, la Régie régionale de la santé et des services sociaux du Nunavik (RRSSSN) a publié et diffusé un message recommandant aux femmes enceintes et en âge de procréer de réduire leur consommation de viande de béluga. L’objectif de la présente étude était de caractériser les variations géographiques et temporelles de l’exposition au MeHg chez les femmes Inuit durant la grossesse et mieux identifier les aliments traditionnels responsables de ces variations. Cette étude transversale réalisée d’octobre 2016 à mars 2017 visait les femmes enceintes âgées de 16 ans et plus au Nunavik. Les femmes ont été recrutées sur une base volontaire et des échantillons sanguins et de cheveux ont été collectés. Un questionnaire administré lors d’un entretien a été utilisé pour recueillir des informations sur la grossesse, la fréquence de consommation des aliments traditionnels par saison et la sensibilisation aux messages de santé publique. Le Hg total dans le sang a été mesuré par spectrométrie de masse avec plasma à couplage inductif (ICP-MS). Dans les cheveux, le Hg total a été analysé par spectrométrie d’absorption atomique à vapeur froide (CV-AAS), ceci par centimètre (cm) pour évaluer l’exposition mensuelle et rétrospective au mercure (Hg). Des analyses de régressions multiples ont été effectuées afin d’évaluer la variation saisonnière et régionale des niveaux de Hg. Une analyse de classes latentes a été réalisée afin d’identifier les femmes enceintes présentant des trajectoires mensuelles similaires des variations de niveaux de Hg dans les cheveux au fil du temps. Basé sur les concentrations de MeHg dans les aliments traditionnels et la fréquence de consommation de ces aliments, l’apport moyen en MeHg par saison a été estimé. Au final, 97 femmes enceintes de 13 des 14 communautés du Nunavik ont été recrutées. Plus de 23% des participants avaient des concentrations sanguines de Hg supérieures à la recommandation de Santé Canada (≥ 8 µg/L) au moment du recrutement (automne 2016 - hiver 2017). Alors qu’aucune différence régionale des concentrations de Hg dans le sang et dans les cheveux n’a été constatée pendant cette période, les analyses séquentielles de Hg dans les cheveux ont révélé d’importantes variations mensuelles de l’exposition au Hg : les concentrations de Hg étaient plus élevées durant les mois d’été (p < 0.05) et plus basses durant ceux de l’hiver (p < 0.001). Trois classes latentes (groupes) de femmes enceintes avec des trajectoires similaires de variations mensuelles de Hg dans les cheveux ont été identifiées : variation élevée (n = 20; 22%), variation modérée (n = 38; 41%) et faible variation au fil des mois (n = 35; 38%). La viande de béluga était l’aliment traditionnel contribuant globalement à la plus grande proportion de l’apport quotidien en MeHg au sein de chaque groupe de femmes enceintes et durant chaque saison, mais principalement en été. La consommation de viande de béluga était également le seul aliment traditionnel associé au risque d’être classifié dans les groupes de variations mensuelles de Hg modérées et élevées (OR = 1,19 [1,01-1,39] d’être dans le groupe modéré par rapport au faible; OR = 1,25 [1,04 -1,50] d’être dans le groupe élevé par rapport au faible). Un peu plus du tiers (35%) des femmes enceintes avait déjà entendu le message de santé publique recommandant de réduire leur consommation de viande de béluga durant leur grossesse. Notre étude montre une exposition élevée au MeHg chez les femmes enceintes du Nunavik, particulièrement en été, et que la consommation de viande de béluga est la principale source d’exposition au MeHg chez ces femmes. Nos résultats soulignent également l’importance de documenter les variations saisonnières de la consommation d’aliments traditionnels avant de mener des études de biosurveillance pour évaluer de manière plus adéquate l’exposition au MeHg sur une base annuelle. Compte tenu de la prévalence élevée d’insécurité alimentaire au Nunavik et du rôle central que jouent les aliments traditionnels dans la culture et pour le statut nutritionnel des Inuit, une approche plus consolidée avec les professionnels de la santé locaux et des conseils alimentaires ciblés à l’approche de l’été et dans les villages où la viande de béluga est souvent consommée peuvent être des avenues prometteuses pour prévenir l’exposition au MeHg tout en faisant la promotion des aliments traditionnels pour des grossesses et des enfants en santé au Nunavik. / In the Arctic, indigenous populations living off marine mammals and fish consumption may be exposed to high doses of methylmercury (MeHg). Furthermore, since their availability varies over months, there is every reason to believe that exposure to MeHg also varies from month to month. There are still significant knowledge gaps with respect to geographic and temporal variations in MeHg exposure and about country foods responsible for MeHg exposure, particularly for pregnant women in Nunavik. Several findings from the Nunavik Child Development Study highlight that fetal life is a critical moment to prevent MeHg exposure in order to avoid neurodevelopmental outcomes later in childhood. Accordingly, in 2011, the Nunavik Regional Board of Health and Social Services (NRBHSS) released and disseminated a dietary recommendation for pregnant and childbearing age women to reduce their consumption of beluga meat. The aim of the present study was to characterize the geographic and temporal variations in MeHg exposure among Inuit women during pregnancy and to better identify country foods responsible for these variations. This cross-sectional study was carried out with pregnant women aged 16 and over in Nunavik between October 2016 and March 2017. Pregnant women were recruited on a voluntary basis and blood and hair samples were collected. An interview-administered questionnaire was used to gather information on pregnancy, country food frequencies of consumption by season and awareness of public health messages. Blood total Hg was measured using Inductively coupled plasma mass spectrometry (ICP-MS). Hair total Hg was measured by centimeter as a surrogate for monthly exposure using Cold vapor atomic absorption spectrometry (CV-AAS). Multiple regressions analyses were done to assess the seasonal variation and the regional difference of mercury (Hg) levels. A latent class growth analysis was conducted to identify pregnant women with similar monthly trajectories in hair Hg levels over time. Based on the MeHg concentrations in country foods and consumption frequencies, their seasonal daily intake of MeHg was estimated. In total, 97 pregnant women from the 13 of the 14 Nunavik communities were recruited. Up to 23% of participants had blood Hg levels above the Health Canada guideline (≥ 8 µg/L) at the recruitment time (Oct 2016 – March 2017). While no regional difference in hair and blood Hg were observed in this period, sequential Hg hair analyses show important monthly variations in Hg exposure over the past year as Hg hair concentrations were significantly higher in summer (< 0.05) and lower in winter (p < 0.001) Three latent classes (groups) of pregnant women with similar trajectories of Hg hair monthly variations were identified: high variation (n=20, 22%), moderate variation (n=38, 41%) and low variation over time (n=35, 38%). Beluga meat was the country food generally contributing to most of daily MeHg intake within each group of pregnant women for all seasons, but primarily in the summer. Beluga meat intake was also the only country food associated to the odd of being classified into moderate and high hair Hg monthly variations groups (OR = 1.19 [1.01-1.39] for moderate versus low; OR = 1.25 [1.04 -1.50] for high versus low). Only one-third (35%) of pregnant women were aware of the public health message recommending to reduce their consumption of beluga meat. Our study shows a high MeHg exposure among Nunavik pregnant women, particularly in the summer, and that beluga meat consumption was the primary source of exposure to MeHg among these women. This study also highlight the importance of documenting the seasonality in country foods consumption before conducting biomonitoring studies in order to more adequately assess MeHg exposure on an annual basis. Given the high prevalence of food insecurity in Nunavik and the central role that country foods play in the culture and nutritional status of Inuit, a more consolidated approach together with local health professionals and targeted dietary counselling as summer is coming and in villages where beluga meat is often consumed may be promising avenues for preventing MeHg exposure while promoting traditional foods for healthy pregnancies and children in Nunavik.
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Les effets de l'horaire de nuit chez la femme enceinte

Dionne-Proulx, Jacqueline. 20 February 2024 (has links)
« Thèse présentée à l'École des gradués de l'Université Laval pour l'obtention du grade de maître ès arts (M.A.) » / « Aussi surprenant que cela puisse paraître, la littérature est relativement discrète sur l'impact du travail de nuit chez la travailleuse, particulièrement chez la travailleuse enceinte. Les recherches disponibles permettent cependant d'appréhender, chez cette dernière, des difficultés sérieuses, eu égard surtout à un accroissement de ses besoins physiologiques et socio-émotifs, aux changements profonds et aux adaptations qu'ils commandent. Le dépouillement des manuels d'hygiène prénatale et des différents rapports pertinents a permis de retenir quatre dimensions fondamentales quant aux effets possibles du travail de nuit sur la femme enceinte. Il s'agit du bien-être de la mère, de la prévention des complications pour la mère, de la prévention des complications pour le bébé et de la préparation à l'accouchement. Les dimensions de la variable dépendante ont été mises en relation avec la variable indépendante, le travail de nuit, en tenant compte de l'effet de plusieurs variables médiatrices. Les instruments de mesure ont été construits à partir des divers indicateurs répertoriés et ont servi à recueillir les données auprès des 102 infirmières ayant participé à cette étude (51 dans le groupe exposé et 51 dans le groupe témoin équivalent). Il s'agit donc d'une population essentiellement homogène. Huit variables ont servi de variables intermédiaires soit l'âge, le poids et la taille, le nombre de grossesses, la date de l'accouchement, les grossesses à risque élevé, le tabagisme, le nombre d'enfants à charge, le nombre de jours de travail. Le taux de réponse a été de près de 100%. Les répondantes proviennent des centres hospitaliers de courte durée du Québec Métropolitain. Trois sources d'information ont été utilisées: le questionnaire, le dossier gynéco-obstétrical et l'entrevue. Le traitement des données visait essentiellement à comparer, sur chacun des indicateurs de la variable dépendante, les deux groupes à l'étude, compte tenu des variables intermédiaires. Toutes les comparaisons effectuées à l'aide des tests statistiques n'ont fait apparaître des différences que sur deux des quatre dimensions retenues: celle qui concerne le bien-être de la mère et la prévention des complications pour le bébé. Les autres résultats ne présentent pas de différences significatives. Ce sont les problèmes reliés au sommeil, à la fatigue et à l'alimentation ainsi que la consommation de boissons alcoolisées et de médicaments qui atteignent le seuil de signification. En ce sens, ces résultats confirment les problèmes vécus par tous les travailleurs de nuit largement décrits dans la littérature. Cependant en dépit de ces contraintes, la santé du bébé et de la mère ainsi que sa préparation à l'accouchement ne semblent pas affectées dans le cas de cette population cible. L'interprétation insiste surtout sur le fait que la population cible, soit des infirmières, était probablement plus sensibilisée que l'ensemble de la population aux problèmes éventuels du travail de nuit pour la femme enceinte et aux différentes façons d'y faire face. La généralisation à toute population féminine travaillant de nuit ne semble pas possible, à l'aide de la présente recherche. Le texte identifie clairement quelles autres recherches pourraient être entreprises. »--Pages i-iii
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Validation du questionnaire " Pregnancy physical activity questionnaire (PPAQ) " en comparaison avec l'accélérométrie : dans le cadre du programme de recherche " Évaluation de l'activité physique chez la femme obèse enceinte "

Chandonnet, Nadia 18 April 2018 (has links)
Ce mémoire renferme les résultats concernant la validation de la version française d'un questionnaire d'activité physique, le Pregnancy Physical Activity Questionnaire (PPAQ). Le questionnaire a été validé dans une population de 49 femmes obèses enceintes en le comparant à un critère fréquemment utilisé dans les études de validation, l'accélérométrie. Puisque l'obésité est un facteur de risque de complications lors d'une grossesse et que l'activité physique peut contribuer à diminuer l'obésité ou à limiter le gain de poids excessif, il est important de bien mesurer l'activité physique dans la sous-population des femmes obèses enceintes. Les outils employés dans cette étude de validation pourront être utilisés pour des projets de développement d'intervention, auprès des femmes obèses enceintes, visant à diminuer les complications périnatales et possiblement la charge financière sur le système de santé.
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Prise de poids gestationnelle optimale pour les femmes obèses

Bujold, Laurence 25 March 2024 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles. / En 2013, la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC) a révisé les recommandations de prise de poids gestationnel. Cependant, un nombre croissant d'évidences suggère que ces recommandations devraient être mises à jour pour les femmes obèses (IMC ≥ 30 kg/m²) afin de minimiser leurs risques de complications périnatales associées à l'obésité. Objectifs : 1. Évaluer l'association entre les recommandations de la SOGC et les risques de complications périnatales et maternelles; et 2. Estimer l'intervalle optimal de prise de poids chez les femmes obèses. Méthode : Deux analyses secondaires de l'essai randomisé QUARISMA incluant les femmes obèses ayant accouché de singleton à terme en présentation céphalique au Québec de 2008 à 2011. Le critère de jugement primaire était un risque composite de morbidité néonatale majeure. Les critères de jugement secondaires comprenaient des risques néonatals , maternels et obstétricaux. Le gain de poids recommandé par la SOGC (groupe de référence) a été comparé à des catégories de prise de poids préétablies en utilisant la régression logistique. Résultats : Parmi les 16 808 femmes obèses éligibles, 19% ont pris moins de poids que recommandé, 26% ont pris du poids tel que recommandé (5-9.09 kg) et 55% en ont pris plus. Les résultats ont montré une réduction significative des risques de morbidité néonatale majeure (RCa=0.69, IC95%=0.51-0.94) parmi les femmes ayant pris moins de poids que recommandé lorsque comparées au groupe de référence. Dans un second temps, il a été établi que l'intervalle de prise de poids optimal était de -1 à 4 kg, avec une réduction significative du risque de morbidité néonatale majeure (RCa=0.49, 95%CI=0.33-0.73, P<0.001). Conclusion : Les résultats suggèrent que les lignes directrices actuelles devraient être révisées pour les femmes obèses, et qu'une prise de poids réduite pourrait leur être recommandée. / In 2013, the Society of Obstetricians and Gynaecologists of Canada (SOGC) revised gestational weight gain guidelines. However, a growing body of evidence suggests that these recommendations should be updated for obese women (BMI ≥ 30 kg/m²) in order to minimize perinatal risks associated with obesity. Objectives: 1. To assess the impact of SOGC recommendations on neonatal and maternal outcomes; and 2. To determine the optimal gestational weight gain interval in order to minimize these risks for obese women. Method: Two secondary analysis of the QUARISMA trial including women with obesity who delivered a full-term singleton in cephalic presentation from 2008 to 2011 in Quebec. The primary outcome was major neonatal morbidity. Secondary outcomes included neonatal, maternal and obstetrical adverse events. SOGC-recommended weight gain (reference group) was compared to other pre-established weight gain categories using logistic regression. Results: Among 6,808 eligible obese women, 19% gained less weight than recommended, 26% gained weight as recommended (5-9.09 kg), and 55% gained more. The results showed a significant reduction in risk of major neonatal morbidity (aOR=0.69, 95% CI=0.51-0.94) among women who gained 0 to 4.9 kg compared to the reference group. Secondly, it was established that the optimal weight gain interval was -1 to 4 kg, with a significant reduction in the risk of major neonatal morbidity (aOR=0.49, 95%CI=0.33-0.73, P <0.001). Conclusion: The results suggest that the current guidelines should be revised for obese women, and that a weight gain around 0 kg could be recommended.

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