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Consommation de médicaments pendant la grossesse les femmes enceintes ont-elles recours à l'automédication ? Enquête dans une maternité du Val de Marne /

Pouchain, Aurélie. Le Roux, Gérard January 2009 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Paris 12 : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 49-51.
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Attitudes et comportements à l'égard de l'alimentation et du poids en fin de grossesse : une approche comparative entre les personnes enceintes avec ou sans antécédent de chirurgie bariatrique

Caredda, Chloé 27 November 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 24 novembre 2023) / La chirurgie bariatrique est aujourd'hui considérée comme le traitement le plus efficace pour traiter l'obésité sévère. En effet, elle présente des effets positifs sur les plans physiques et métaboliques. Parmi les personnes ayant recours à la chirurgie bariatrique, une majorité sont des femmes en âge de procréer et donc, susceptibles d'entamer une grossesse après cette opération. Or, les femmes enceintes avec antécédent de chirurgie bariatrique sont sujettes à d'importantes fluctuations de poids et débutent leur grossesse avec des antécédents physiques et psychologiques particuliers. Cependant, bien que les comportements alimentaires et attitudes à l'égard de la prise de poids soient d'importants facteurs à considérer lors d'une grossesse post-chirurgie bariatrique, à ce jour, à notre connaissance, aucune étude ne s'y est intéressée, et les professionnels de la santé sont peu outillés pour les considérer lors des suivis auprès de cette population. De ce fait, l'objectif du présent mémoire est de comparer, entre les personnes enceintes avec et sans antécédent de chirurgie bariatrique, les comportements alimentaires et les attitudes à l'égard de l'alimentation et du poids en fin de grossesse. Les principaux résultats obtenus suggèrent que, en fin de grossesse, les personnes enceintes avec antécédent de chirurgie bariatrique présentent des comportements alimentaires (restriction flexible et désinhibition situationnelle) et des paramètres liés à l'alimentation intuitive (confiance envers leurs signaux de faim et de satiété et autorisation inconditionnelle de manger) différents de ceux des personnes enceintes sans antécédent de chirurgie bariatrique. Ces résultats, d'une part, contribuent à enrichir la littérature relative aux comportements alimentaires et attitudes à l'égard de la prise de poids lors de grossesses suivant une chirurgie bariatrique et, d'autre part, mettent en évidence l'importance de les considérer au cours des suivis nutritionnels afin d'aider ces femmes à adopter des habitudes alimentaires optimales et des attitudes positives vis-à-vis la prise de poids. / Bariatric surgery is now considered the most effective treatment for severe obesity. Indeed, it has long-term positive effects on physical and metabolic aspects. Among the individuals undergoing bariatric surgery, a majority are women of childbearing age and therefore, likely to become pregnant after this procedure. However, pregnant women with a history of bariatric surgery experience significant fluctuations in weight and begin their pregnancies with specific physical and psychological backgrounds. Nevertheless, while eating behaviors and attitudes towards weight gain are important factors to consider during a post-bariatric surgery pregnancy, to date, no studies have addressed this issue, leaving healthcare professionals are ill-prepared to provide adequate care for this population. Therefore, the objective of this thesis is to compare the eating behaviors and attitudes towards food and weight at the end of pregnancy between pregnant individuals with and without a history of bariatric surgery. The main results suggest that pregnant individuals with a history of bariatric surgery exhibit certain eating behaviors and parameters related to intuitive eating that are different at the end of pregnancy compared to pregnant individuals without a history of bariatric surgery. These findings contribute, on the one hand, to enriching the literature on eating behaviors and attitudes towards weight gain during post-bariatric surgery pregnancies and, on the other hand, highlight the importance of offering more personalized care to encourage these women to adopt optimal eating habits and positive attitudes towards weight gain.
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Mettre au monde : sages-femmes et accouchées en Corrèze au XIXe siècle /

Sage-Pranchère, Nathalie, January 2007 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire--Paris--École nationale des Chartres, 2006. / Bibliogr. 753-767. Index.
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Le dossier de suivi de grossesse au sein d'un réseau Ville-Hôpital /

Durand-Lepoivre, Carole Philippe, Henri Jean. January 2004 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Université de Nantes : 2004. / Bibliogr. f. 101-103 [35 réf.].
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L'entretien du 4ème mois de grossesse une amélioration pour la prise en charge des femmes enceintes ? /

Veschambre, Caroline. Platel, Laurence. January 2007 (has links)
Mémoire de Sage-femme : Médecine : Nantes : 2007. / Bibliogr.
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Les effets de l'horaire de nuit chez la femme enceinte

Dionne-Proulx, Jacqueline. 20 February 2024 (has links)
« Thèse présentée à l'École des gradués de l'Université Laval pour l'obtention du grade de maître ès arts (M.A.) » / « Aussi surprenant que cela puisse paraître, la littérature est relativement discrète sur l'impact du travail de nuit chez la travailleuse, particulièrement chez la travailleuse enceinte. Les recherches disponibles permettent cependant d'appréhender, chez cette dernière, des difficultés sérieuses, eu égard surtout à un accroissement de ses besoins physiologiques et socio-émotifs, aux changements profonds et aux adaptations qu'ils commandent. Le dépouillement des manuels d'hygiène prénatale et des différents rapports pertinents a permis de retenir quatre dimensions fondamentales quant aux effets possibles du travail de nuit sur la femme enceinte. Il s'agit du bien-être de la mère, de la prévention des complications pour la mère, de la prévention des complications pour le bébé et de la préparation à l'accouchement. Les dimensions de la variable dépendante ont été mises en relation avec la variable indépendante, le travail de nuit, en tenant compte de l'effet de plusieurs variables médiatrices. Les instruments de mesure ont été construits à partir des divers indicateurs répertoriés et ont servi à recueillir les données auprès des 102 infirmières ayant participé à cette étude (51 dans le groupe exposé et 51 dans le groupe témoin équivalent). Il s'agit donc d'une population essentiellement homogène. Huit variables ont servi de variables intermédiaires soit l'âge, le poids et la taille, le nombre de grossesses, la date de l'accouchement, les grossesses à risque élevé, le tabagisme, le nombre d'enfants à charge, le nombre de jours de travail. Le taux de réponse a été de près de 100%. Les répondantes proviennent des centres hospitaliers de courte durée du Québec Métropolitain. Trois sources d'information ont été utilisées: le questionnaire, le dossier gynéco-obstétrical et l'entrevue. Le traitement des données visait essentiellement à comparer, sur chacun des indicateurs de la variable dépendante, les deux groupes à l'étude, compte tenu des variables intermédiaires. Toutes les comparaisons effectuées à l'aide des tests statistiques n'ont fait apparaître des différences que sur deux des quatre dimensions retenues: celle qui concerne le bien-être de la mère et la prévention des complications pour le bébé. Les autres résultats ne présentent pas de différences significatives. Ce sont les problèmes reliés au sommeil, à la fatigue et à l'alimentation ainsi que la consommation de boissons alcoolisées et de médicaments qui atteignent le seuil de signification. En ce sens, ces résultats confirment les problèmes vécus par tous les travailleurs de nuit largement décrits dans la littérature. Cependant en dépit de ces contraintes, la santé du bébé et de la mère ainsi que sa préparation à l'accouchement ne semblent pas affectées dans le cas de cette population cible. L'interprétation insiste surtout sur le fait que la population cible, soit des infirmières, était probablement plus sensibilisée que l'ensemble de la population aux problèmes éventuels du travail de nuit pour la femme enceinte et aux différentes façons d'y faire face. La généralisation à toute population féminine travaillant de nuit ne semble pas possible, à l'aide de la présente recherche. Le texte identifie clairement quelles autres recherches pourraient être entreprises. »--Pages i-iii
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Prise de poids gestationnelle optimale pour les femmes obèses

Bujold, Laurence 01 September 2023 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles. / En 2013, la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC) a révisé les recommandations de prise de poids gestationnel. Cependant, un nombre croissant d'évidences suggère que ces recommandations devraient être mises à jour pour les femmes obèses (IMC ≥ 30 kg/m²) afin de minimiser leurs risques de complications périnatales associées à l'obésité. Objectifs : 1. Évaluer l'association entre les recommandations de la SOGC et les risques de complications périnatales et maternelles; et 2. Estimer l'intervalle optimal de prise de poids chez les femmes obèses. Méthode : Deux analyses secondaires de l'essai randomisé QUARISMA incluant les femmes obèses ayant accouché de singleton à terme en présentation céphalique au Québec de 2008 à 2011. Le critère de jugement primaire était un risque composite de morbidité néonatale majeure. Les critères de jugement secondaires comprenaient des risques néonatals , maternels et obstétricaux. Le gain de poids recommandé par la SOGC (groupe de référence) a été comparé à des catégories de prise de poids préétablies en utilisant la régression logistique. Résultats : Parmi les 16 808 femmes obèses éligibles, 19% ont pris moins de poids que recommandé, 26% ont pris du poids tel que recommandé (5-9.09 kg) et 55% en ont pris plus. Les résultats ont montré une réduction significative des risques de morbidité néonatale majeure (RCa=0.69, IC95%=0.51-0.94) parmi les femmes ayant pris moins de poids que recommandé lorsque comparées au groupe de référence. Dans un second temps, il a été établi que l'intervalle de prise de poids optimal était de -1 à 4 kg, avec une réduction significative du risque de morbidité néonatale majeure (RCa=0.49, 95%CI=0.33-0.73, P<0.001). Conclusion : Les résultats suggèrent que les lignes directrices actuelles devraient être révisées pour les femmes obèses, et qu'une prise de poids réduite pourrait leur être recommandée. / In 2013, the Society of Obstetricians and Gynaecologists of Canada (SOGC) revised gestational weight gain guidelines. However, a growing body of evidence suggests that these recommendations should be updated for obese women (BMI ≥ 30 kg/m²) in order to minimize perinatal risks associated with obesity. Objectives: 1. To assess the impact of SOGC recommendations on neonatal and maternal outcomes; and 2. To determine the optimal gestational weight gain interval in order to minimize these risks for obese women. Method: Two secondary analysis of the QUARISMA trial including women with obesity who delivered a full-term singleton in cephalic presentation from 2008 to 2011 in Quebec. The primary outcome was major neonatal morbidity. Secondary outcomes included neonatal, maternal and obstetrical adverse events. SOGC-recommended weight gain (reference group) was compared to other pre-established weight gain categories using logistic regression. Results: Among 6,808 eligible obese women, 19% gained less weight than recommended, 26% gained weight as recommended (5-9.09 kg), and 55% gained more. The results showed a significant reduction in risk of major neonatal morbidity (aOR=0.69, 95% CI=0.51-0.94) among women who gained 0 to 4.9 kg compared to the reference group. Secondly, it was established that the optimal weight gain interval was -1 to 4 kg, with a significant reduction in the risk of major neonatal morbidity (aOR=0.49, 95%CI=0.33-0.73, P <0.001). Conclusion: The results suggest that the current guidelines should be revised for obese women, and that a weight gain around 0 kg could be recommended.
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Validation du questionnaire " Pregnancy physical activity questionnaire (PPAQ) " en comparaison avec l'accélérométrie : dans le cadre du programme de recherche " Évaluation de l'activité physique chez la femme obèse enceinte "

Chandonnet, Nadia 18 April 2018 (has links)
Ce mémoire renferme les résultats concernant la validation de la version française d'un questionnaire d'activité physique, le Pregnancy Physical Activity Questionnaire (PPAQ). Le questionnaire a été validé dans une population de 49 femmes obèses enceintes en le comparant à un critère fréquemment utilisé dans les études de validation, l'accélérométrie. Puisque l'obésité est un facteur de risque de complications lors d'une grossesse et que l'activité physique peut contribuer à diminuer l'obésité ou à limiter le gain de poids excessif, il est important de bien mesurer l'activité physique dans la sous-population des femmes obèses enceintes. Les outils employés dans cette étude de validation pourront être utilisés pour des projets de développement d'intervention, auprès des femmes obèses enceintes, visant à diminuer les complications périnatales et possiblement la charge financière sur le système de santé.
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Diabète gestationnel et gain de poids durant la grossesse : importance des facteurs hormonaux et nutritionnels

Morisset, Anne-Sophie 19 April 2018 (has links)
Le diabète gestationnel se caractérise par une intolérance au glucose se manifestant pour la première fois durant la grossesse. Depuis quelques années, sa prévalence s'accroît et reflète de façon proportionnelle l'augmentation de celle du diabète de type 2. Les changements hormonaux spécifiques à la grossesse ainsi que certaines cytokines pourraient être impliqués dans la physiopathologie de la maladie. Certains facteurs de risque traditionnels, tels que l'obésité maternelle et l'âge avancé de la mère augmentent significativement le risque de diabète gestationnel. D'autres facteurs de risque non-traditionnels ont été identifiés plus récemment puisque leurs rôles pourraient être considérables dans le développement du diabète gestationnel. Entres autres, la présence de certains facteurs génétiques ou alimentaires ainsi que le gain de poids gestationnel pourraient contribuer à l'augmentation du risque de développer cette condition. Le diabète gestationnel est associé à plusieurs conséquences négatives pour la mère et pour l'enfant et ce, à court et à long terme. Ainsi, dans le but de mieux comprendre le diabète gestationnel, nous avons, d'une part, caractérisé les profils inflammatoires et hormonaux de femmes avec et sans diabète gestationnel. D'autre part, nous avons examiné l'impact du traitement nutritionnel du diabète gestationnel sur les changements alimentaires et le gain de poids gestationnel.
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Relation entre le stress et le cortisol sanguin chez les mères pendant la grossesse

Langlois-Charest, Sarah 09 May 2024 (has links)
Le stress maternel prénatal est identifié comme un facteur de risque pour des issues défavorables de la grossesse telles que le faible poids à la naissance et la prématurité. On suppose qu'il augmente la concentration de cortisol chez la mère et le fœtus, ce qui pourrait influencer le développement fœtal, bien que cette hypothèse reste à confirmer chez l'humain. Le lien présumé entre le stress et la concentration de cortisol chez les femmes enceintes manque de consensus dans la littérature, en partie en raison de la diversité des mesures de stress. De plus, des caractéristiques de la grossesse, telles que la parité et le sexe fœtal, pourraient modifier les niveaux de cortisol et potentiellement moduler la relation présumée entre le stress et le cortisol chez les femmes enceintes. Notre étude a examiné ces relations en prenant en compte le stress perçu par les mères pendant la grossesse (stress subjectif) ainsi que leur contexte de vie tel qu'évalué par le statut socio-économique (stress objectif). Notre échantillon est composé de 1 281 femmes de l'étude Grossesse en santé, un vaste projet de recherche longitudinal dans la région de Québec. Aucun lien significatif n'a été trouvé entre le stress perçu et le cortisol sanguin chez les mères pendant la grossesse. Cependant, nous avons observé une association modeste entre le statut socio-économique et le cortisol, les niveaux de cortisol étant plus bas chez les mères avec un statut socio-économique plus élevé. Enfin, les analyses n'ont pas révélé d'effets modérateurs de la parité ou du sexe fœtal sur la relation entre le stress (subjectif ou objectif) et le cortisol sanguin chez les mères pendant la grossesse. Ces résultats mettent en lumière les différentes dimensions du stress maternel prénatal et suggèrent une influence potentielle du contexte socio-économique sur la concentration de cortisol.

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