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La transition de la fécondité en Syrie / Fertility transition in Syria

Youssef, Rana 14 April 2015 (has links)
En 2009, selon les résultats de la dernière enquête sociodémographique représentative au niveau national, le taux de fécondité totale de la Syrie était de 3.5 enfants par femme. Il dépasse d’environ 1.5 enfant le seuil de remplacement des générations, estimé à 2.1 enfants par femme. L’évolution de la fécondité syrienne a connu plusieurs phases ; la première, où la fécondité atteignait des « records mondiaux » et résistait à tout changement, puis la phase d’une baisse rapide amorcée au milieu des années 1980, suivie par une phase d’une lente baisse ou d’une quasi-stagnation de la fécondité dès le début des années 2000 et jusqu’à nos jours. Si la baisse rapide de la fécondité a été déclenchée sous la contrainte économique liée à la crise multifacettes des années 1980, sa stagnation récente est, au moins en partie, liée aux préceptes religieux et à des facteurs culturels qui constituent des obstacles à la baisse de fécondité au-dessous d’un certain niveau. Le « modèle géographique » de la fécondité qui persiste dans le temps en est témoin : les populations des gouvernorats du Nord-Est du pays, Deir-ez-zor, Al-Hassakeh et Al-Rakka, et des deux gouvernorats des frontières sud, Al-Quneitra et Dar’a, enregistrent la fécondité la plus élevée ; tandis que les populations des gouvernorats côtiers, Lattaquié et Tartous, du gouvernorat d’Al-Sweida et de la capitale ont la fécondité la plus basse. / According to the results of the last demographic survey representative at the national level, the total fertility rate of Syria was 3.5 children per woman in 2009. It exceeds about 1.5 children the replacement level, estimated at 2.1 children per woman. The evolution of the Syrian fertility has experienced several phases; the first was when fertility reached "world records" and resisted any change, then a phase of rapid decline in the mid-1980s, followed by a phase of slow decrease or a phase of quasi-stagnation of fertility in the early 2000s until today. If rapid fertility decline was triggered by economic difficulties related to the crisis of the 1980s, its recent stagnation is, at least in part, related to religious precepts and cultural factors that are barriers to fertility decline below a certain level. This is confirmed by the "geographic pattern" of fertility which persists over time, the populations of North East governorates, Deir ez-Zor, Al-Hassakeh and Al-Rakka and the two governorates of southern borders Al-Quneitra and Dar'a, record the highest fertility; while populations of coastal governorates, Latakia and Tartous Governorate of Al-Sweida and the capital have the lowest fertility.
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Transition urbaine et structures familiales au Pakistan, le cas de Faisalabad / Urban Transition and Family structure in Pakistan, a case study of Faisalabad

Mahmood, Kashif 27 November 2014 (has links)
Selon les Nations Unies, la moitié de la population du Pakistan résidera dans une ville à l’horizon 2030, un taux à comparer à celui de 40% qui est attendu pour l’Inde. Notre thèse décrit les changements des structures familiales qui surviennent dans le cadre de cette transition urbaine au Pakistan. La famille peut jouer un rôle important dans la réussite des processus de transition urbaine et démographique et la maîtrise de la fécondité. Nous avons mené trois enquêtes de terrain à Faisalabad entre Décembre 2011 et Février 2012 et analysé les résultats au moyen de tabulations croisées, d’une analyse factorielle exploratoire et de modèles logistiques binomiaux. Le niveau de vie, les conditions de vie et de logement, la taille des ménages et les structures familiales sont les quatre déterminants sous-jacents associés aux structures familiales et à la transition urbaine. On observe un consensus qui fait la louange de la famille nucléaire. Les migrations contribuent également à l’expansion du système de la famille nucléaire. L’occidentalisation des familles et la promotion du rôle des femmes au sein de la famille et dans la société sont des changements observables à Faisalabad en raison de la transition urbaine. . Les femmes sont beaucoup plus nombreuses que les hommes à vivre au sein d’une famille nucléaire. De même, les classes supérieures sont aussi sont beaucoup plus nombreuses à former des familles nucléaires que les classes populaires. Une personne éduquée a beaucoup plus de chances de vivre dans une famille nucléaire qu’un illettré. Les non-migrants son légèrement moins nombreux à former des familles nucléaires que les migrants. Il y a une plus forte probabilité de rencontrer une famille nucléaire dans une zone urbaine que dans une zone rurale. Cependant, le lieu de résidence n’est pas un facteur déterminant dans les types familiaux lorsqu’il est croisé avec les facteurs sociaux. Ces derniers sont déterminants pour expliquer le contraste observé entre les familles rurales et les familles urbaines. / According to estimates of UNO, by 2030, cities are likely to house about 50 % of Pakistan’s population as compared to 40% for India. Our thesis shows a fascinating picture of changing Pakistani family structure with urban transition in Pakistan. Family can play an important role in successful completion of urban, demographic and fertility transition. We conducted three surveys from December, 2011 to February, 2012 in Faisalabad and analyzed data by cross tabulation, exploratory factor analysis and binomial logistic regression. Standard of living, Urban-Rural divide in housing conditions, household size and family structure are four latent factors which operate in relation to family structure and urban transition. There is a consensus praising the nuclear family system and preference for nuclear family system. Migrations contribute also the expanding nuclear family system. Westernization of family, women empowerment in family and society are three major latent changes in Faisalabad owing to urban transition. Females are much more than males likely to live in a nuclear family system. Upper economic class is also much more likely to live in a nuclear family system than lower economic class. There is much more chance to live in a nuclear family system as education level increases from illiterate to literate. Non-migrants are slightly less likely than migrants to live in a nuclear family system. There is a higher probability to meet nuclear families in urban areas than in rural areas. However, the place of residence has no significance on the family type in relation with social factors. Social factors are determinant in explaining the contrast between urban and rural families.

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