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Modélisation mathématique de la transmission locale du virus de la fièvre aphteuse

Kaboré, Henri January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Simulations d'épizooties de fièvre aphteuse et aide à la décision : approches épidémiologique et économique.

Rautureau, Séverine 18 January 2012 (has links) (PDF)
L'épizootie de fièvre aphteuse de 2001 telle qu'elle s'est déroulée en Grande-Bretagne a montré les limites de certains des systèmes de surveillance, d'intervention, d'anticipation et d'aide à la décision actuellement en place. Parallèlement, l'assouplissement des modalités d'utilisation de la vaccination a enrichi la palette des outils utilisables par le gestionnaire de risque. Une réévaluation pour la France a semblé ainsi opportune. Pour cela, le projet de recherche s'est proposé tout d'abord d'étudier l'organisation des différentes filières d'animaux de rente en France. L'analyse du réseau d'élevages français par la méthode d'analyse des réseaux sociaux a permis de caractériser les relations entre établissements et d'estimer une vulnérabilité structurale constante face à la diffusion de maladies apportées essentiellement par le réseau d'échanges bovins.Dans une deuxième partie, la diffusion de la maladie dans ce réseau d'élevages a été étudiée en s'appuyant sur des simulations générées par un modèle spécifiquement construit. L'efficacité et les coûts de différentes stratégies de lutte envisageables (combinaisons d'abattage sanitaire, abattage préventif et vaccination) ont été ensuite comparés. Les résultats obtenus ont montré l'absence d'une stratégie unique optimale à la fois sur le plan épidémiologique et économique et la nécessité de s'adapter au contexte local. En effet, la nature de la stratégie optimale varie selon la région concernée et l'acteur considéré. Ces travaux ont permis de créer un outil de réflexion pour aider à la décision, mais également un outil d'entraînement et de formation collective pour se préparer à une telle gestion de crise.
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Risk assessment of foot and mouth disease in the border between Brazil and Paraguay : a geographical approach

Basso Amaral, Thaís 19 April 2018 (has links)
La fièvre aphteuse (FA) est l'une des maladies infectieuses les plus importantes qui affectent les animaux biongulés. Le Brésil est libre avec vaccination depuis 2001, mais en 2005, une épidémie est survenue à la frontière entre le Brésil et le Paraguay. Identifier les exploitations agricoles ou des espaces géographiques qui sont le plus à risque de fièvre aphteuse en particulier dans les régions frontalières est l'un des principaux objectifs du service vétérinaire officiel du Brésil et aussi d'autres pays d'Amérique du Sud. Les indicateurs utilisés par le gouvernement brésilien pour indentifier les zones à risque de fièvre aphteuse prennent en considération essentiellement des informations au niveau du troupeau (structure du troupeau, la présence de jeunes animaux, rapport vache / veau, etc.). Dans ce contexte, l'objectif principal de notre recherche est d'élaborer un cadre pour l'évaluation des risques de fièvre aphteuse à la frontière entre le Brésil et le Paraguay prenant en compte les aspects géographiques liés aux systèmes de production. Afin d'atteindre cet objectif, l'étude a été divisée en trois articles. Le premier article dresse un aperçu concernant les pratiques d'hygiène et de contrôle de la FA dans cette zone particulière. Quatre-vingt-sept agriculteurs ont été interrogés sur cinq thèmes principaux: la caractérisation des agriculteurs, les indicateurs sanitaires, la vaccination de la fièvre aphteuse, la circulation des personnes et des animaux ainsi que l'opinion des agriculteurs sur les risques d'introduction de la FA. Les résultats montrent que les agriculteurs sont conscients de leur rôle dans le combat contre la fièvre aphteuse. Il montre également que les agriculteurs, surtout les petits, ont besoin d'être mieux soutenus. Ils n'ont toujours pas de contrôle sanitaire formel. Ils ont besoin de formation et d’un constant soutien. Même si cette région a le même statut sanitaire que le reste du Mato Grosso do Sul, qui est libre de fièvre aphteuse avec vaccination, le contrôle et les différentes mesures sanitaires doivent se poursuivre. Le deuxième article explore la possibilité d'utiliser la télédétection pour cartographier et pour surveiller les zones de pâturage afin d’établir des modèles localisés de prédiction de densité de bétail. Un modèle statistique afin de prédire le nombre de bovins en fonction de la superficie de pâturage déclarée par les agriculteurs, a été réalisé sur la base de données officielle concernant l'élevage de la zone d‘étude. Finalement, ce modèle a été appliqué aux zones de pâturage détectées par classification orientée objet pour prédire la densité bovine. Les résultats indiquent que la méthodologie utilisée pour estimer la densité du bétail peut être utilisée dans des régions où l'information sur l'emplacement et la densité de ferme d'élevage est inexistante. Dans le troisième article, nous avons testé l'approche à majorité floue d’analyse multicritère de décision basée sur un système d’information geographique (SIG - AMC) afin de déterminer les zones à risque d'introduction de la FA. Deux scénarios ont été comparés, le premier basé sur la ferme (où l'information officielle est disponible) et le second basé sur la télédétection (où seulement l'information géographique est disponible). Les cartes obtenues mettent en évidence la forte hétérogénéité spatiale du risque d'introduction de la FA. Une corrélation positive a été observée entre les scénarios basés sur la ferme et les scénarios basés sur la télédétection. Cette étude fournit un cadre alternatif pour détecter les zones à risque de FA et de cette manière pour renforcer les mesures sanitaires brésiliennes. Il a également un grand potentiel pour être extrapolé à d'autres régions ayant des caractéristiques similaires mais où des informations au niveau du troupeau sont rares, ou inexistantes, comme d'autres régions reculées du Brésil ou d'autres pays d'Amérique du Sud Mots-clés : régions frontalières, analyse multicritère à la décision, télédétection, analyse de risques de fièvre aphteuse / Foot and mouth disease (FMD) is one of the most important infectious diseases that can affect cloven hoofed animals. Brazil is free with vaccination since 2001, but in 2005 an outbreak occurred in the border between Brazil and Paraguay. Identifying farms or geographic spaces that are more at risk of FMD, especially in border regions, is one of the main goals of official veterinary service from Brazil and other South American countries. Indicators used by the Brazilian government to indentify FMD risk areas takes into consideration basic information at herd level. For these reasons, the principal objective of this research was to elaborate a framework for FMD risk assessment in the frontier between Brazil and Paraguay that takes in account geographic aspects associated with production systems information. In order to accomplish this objective, the study was divided in three articles. The first article draws an overview regarding sanitary practices and FMD control in this particular zone. Eighty seven farmers were interviewed regarding five main subjects: farmers’ characterization, sanitary indicators, FMD disease vaccination, people and animal movements and farmer’s opinions about FMD risks of introduction. The results show that farmers are conscious of their roles in FMD control. It also shows that among small farmers there is a need to be better assisted. Such farmers lack formal sanitary controls and they need constant training and support. Even if this region has the same sanitary status as the rest of Mato Grosso do Sul State (which is FMD free with vaccination), differentiated sanitary measures and control should continue. The second article explores the potential use of remote sensing to map and monitor pasture areas and to establish models for predicting cattle density and location. A statistical model to predict numbers of cattle in function of declared pasture area by the farmers was produced on the basis of Brazilian official livestock databases for the studied area. Finally, this model was applied to the pasture areas detected by oriented based classification to predict cattle density. The results indicate that the methodology used for estimating cattle density has the potential to be applied in regions where no information about farm location and cattle density exists. In the third article the fuzzy majority approach for GIS based multicriteria decision analysis (GIS – MCDA) was tested to determine risk areas of FMD introduction. Two main scenarios were compared: a farm-based one (where official information is available) and a remote sensing-based one (where only geographic information is available). Resulting maps highlighted a strong spatial heterogeneity in the risk of FMD introduction. A positive correlation was observed between farm-based scenarios and remote sensing-based scenarios. This study provides an alternative framework to detect areas of higher risk of FMD and by this way reinforce Brazilian sanitary measures. It also has great potential to be extrapolated for other regions with similar characteristics but where information at herd level are sparse or inexistent such as remote regions of Brazil and other South American countries. Key-words: border regions, multicriteria decision analysis, remote sensing, FMD risk assessment.
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Participatory methods in surveillance and control of foot-and-mouth disease : how to better involve the farmers at local scale ? / Méthodes participatives dans la surveillance et la lutte de la fièvre aphteuse : comment mieux impliquer les éleveurs a l’échelle locale ?

Truong, Dinh bao 30 June 2017 (has links)
Cette thèse porte sur l’analyse des apports des approches participatives épidémiologiques (PE) dans l’amélioration de la surveillance de la fièvre aphteuse (FA), en particulier dans l’implication des éleveurs à l’échelle locale. Le premier objectif était d’évaluer l’efficacité de la surveillance et de la vaccination contre la FA à l’échelle locale en utilisant PE. Le deuxième objectif était d’évaluer la faisabilité d’application des outils de PE pour améliorer l’implication des éleveurs dans la surveillance de la FA au Vietnam. Les méthodes de PE ont compris des entretiens informelles (en groupes ou individuels), des outils de notation (classement par paires, empilement proportionnel, matrice de notation), des outils de visualisation (cartographie, lignes de temps, diagramme d’écoulement) et d’outil sociologique appelée méthode Q. 122 entretiens en groupe, 467 entretiens individuels, 339 questionnaires ont été effectuées en 2014 et 2015. 409 sérums et 152 fluides d’oesophagiens ont été prélevées. Les enquêtes par questionnaire, les tests d’ELISA et de rtRT-PCR et la modélisation de Bayésienne ont été utilisées pour valider la performance de PE dans la surveillance de la FA. La maladie a été considérée comme la problème la plus importante dans la production animale. La FA était la maladie la plus importante pour la production laitière, suivie par la septicémie hémorragique. Pour la production de bovin de viande, elle a été enregistrée dans l'ordre inverse. La maladie la plus importante pour la production porcine était le syndrome reproducteur et respiratoire porcin tandis que la FA était classé en quatrième. Les agriculteurs ont des capacités de diagnostic différentiel des maladies en fonction des symptômes cliniques. La prévalence sérique de la FA a été estimée à 23% pour la population 1 (proche la frontière du Cambodge) et 31% pour la population 2 (loin de la frontière du Cambodge), respectivement. La sensibilité et la spécificité de PE a été estimée à 59% et 81%, respectivement. La valeur prédictive positive et négative a été estimée à 48% et 86% pour la population 1 et 58% et 81% pour la population 2, respectivement. La présence du sérotype A, de la lignée A/Asia/Sea-97 et du sérotype O, lignées O/ME-SA/PanAsia et O/SEA/Mya-98 a soutenu la circulation du virus par des mouvements transfrontalières des animaux. Les fermes laitières ont appliquées la quarantaine, la désinfection et la vaccination comme méthodes de prévention. Les fermes de bovin de viande ont préférées la propreté et les bonnes pratiques de gestion de l'élevage. Les fermes porcines ont considérées que toutes les méthodes de prévention avaient la même importance. Trois discours «Croire», «Confiance», «Défi», représentés les perceptions communes des éleveurs et représentés 57,3% de la variance, ont été identifiés en utilisant méthode Q. Les éleveurs ont pris eux-mêmes les décisions de vaccination et se sont sentis plus en sécurité après la vaccination contre la FA. Cependant, une partie de la population étudiée n'a pas considérée la vaccination comme le premier choix de prévention. L'analyse de sensibilité de rapport de bénéfice-coût de la vaccination de la FA a montré que la vaccination était rentable pour tous les types de production, même si l'augmentation du coût de la vaccination et la diminution du prix de lait et de viande. 18 nouveaux villages sentinelles ont été identifiés comme potentiellement infectés par la FA. 77 animaux soupçonnés ont été confirmés positives avec la FA. La sensibilité et la spécificité de PE a été estimée à 0,75 et 0,65 respectivement. L'efficacité de PE pour détecter une épidémie de FA au Vietnam ont été démontrée. La vaccination a était montré la méthode la plus économique et la plus efficace pour prévenir la FA. Grâce à l'application des outils simples et adaptables qui facilitent la participation directe et active des éleveurs, PE permet d'obtenir une meilleure acceptabilité de la surveillance et des informations qualifiées. / This PhD thesis aimed at evaluating the contribution of participatory epidemiology (PE) to improve the foot-and-mouth disease (FMD) surveillance and control activities, especially the involvement of farmers at local level. The first objective aimed at assessing the effectiveness of the FMD surveillance and vaccination strategy at local level by using PE approach. The second objective aimed at assessing the feasibility of applying PE tools to improve the involvement of farmers in the FMD surveillance in Vietnam. PE methods performed in our study included informal interviews (focus group and individual), scoring tools (pairwise ranking, proportional pilling, disease impact matrix scoring and disease signs matrix scoring), visualization tools (mapping, timeline, flow chart) and sociological tools called Q methodology. 122 focus groups, 467 individual interviews, 339 questionnaire surveys were performed during two field studies in 2014 and 2015. 409 sera and 152 probang samples were taken. Conventional questionnaire surveys, Bayesian modelling and laboratory test (ELISA and rtRT-PCR) was used to validate the performance of PE in FMD surveillance. Disease was considered as the most important issues in animal production. FMD was the most important disease for dairy cattle production, followed by haemorrhagic septicaemia. For beef cattle production, it was recorded in reverse order. The most important disease for pig production was porcine reproductive and respiratory syndrome while FMD was ranked fourth. Farmers showed their abilities in differential diagnostic of important diseases based on its clinical symptoms. Sero-prevalence of FMD were estimated at 23% for population 1 (bordering with Cambodia) and 31% for population 2 (locating far from the border), respectively. Sensitivity and Specificity of PE were found to be 59% and 81%, respectively. The positive and negative predictive value were found to be 48% and 86% for population 1 and 58% and 81% for population 2, respectively. The presence of serotype A, lineage A/Asia/Sea-97 and serotype O with two separate lineages, O/ME-SA/PanAsia and O/SEA/Mya-98 supported virus circulation through trans-boundary animal movement activities. Dairy farms frequently applied quarantine, disinfection and vaccination as prevention methods. Beef farms preferred cleanliness and good husbandry management practices. Pig farms considered that all prevention methods had the same importance. Three distinct discourses “Believe”, “Confidence”, “Challenge”, representing common perceptions among farmers and accounting for 57.3 % of the variance, were identified based on Q methodology. Farmers take vaccination decisions themselves without being influenced by other stakeholders and feel more secure after FMD vaccination campaigns. However, part of the studied population did not consider vaccination to be the first choice of prevention strategy. The benefitcost ratio of FMD vaccination for dairy cow production in large-scale and in small-scale and meat cattle production were 37.2, 30.0 and 7.3, respectively. The sensibility analysis showed that FMD vaccination was profitable for all of production types even through the increase of vaccine cost and decrease of market price of milk and slaughter cattle. From the focus groups organized at sentinel villages, 18 new villages were identified as potentially infected by FMD. 77 suspected animals were confirmed positive for FMD, with viral serotypes O and A. Sensitivity and specificity of participatory surveillance were recorded at 0.75 and 0.65, respectively. The effectiveness of PE in FMD surveillance system to detect outbreak in Vietnam was demonstrated. It was demonstrated that vaccination was the most effective and economic method to prevent FMD. Through the application of simple, adaptive tools which facilitate direct and active participation of farmers, PE allowed to reach a better acceptability of surveillance and to obtain qualified information.
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Vaccin dérivé de l’adénovirus canin type 2 : application à la fièvre aphteuse / Vaccine derived from adenovirus canine type 2 : application to foot-and-mouth disease

Zhou, Xiaocui 14 January 2013 (has links)
La fièvre aphteuse (FMD pour Foot-and-mouth disease en anglais) est une maladie très contagieuse touchant les animaux biongulés. Elle provoque des dégâts économiques considérables sur toute la surface du globe. La fièvre aphteuse est provoquée par un virus, le FMDV. Il s'agit d'un virus à ARN simple brin, de polarité positive appartenant au genre Aphtovirus dans la famille Picornaviridae. Ce virus se réplique et se propage dans l'hôte très rapidement. Dans les zones infectées, les deux principales stratégies de contrôle utilisées sont l'abattage systématique des animaux infectés et la vaccination. A l'inverse, les vaccins ne sont pas utilisés dans les zones sans FMDV, mais l'apparition d'une épidémie nécessite des stratégies pour arrêter ou au moins limiter la diffusion du virus. Actuellement, les vaccins inactivés sont les vaccins les plus utilisés pour prévenir la maladie. Cependant, ils requièrent une production à grande échelle du virus, et malgré les mesures mises en place (laboratoire sécurisé, etc), des épidémies ont été provoquées par le passé du fait de la fuite de virus FMDV. De plus, il est difficile de distinguer les animaux infectés des vaccinés (DIVA). Il est donc nécessaire de développer de nouveaux vaccins. Au cours de l'infection, la polyprotéine du virus est clivée par des protéases virales en précurseurs structural (P1) et non structuraux (P2 et P3). La protéase 3C est responsable de la majorité des clivages ; ainsi, le précurseur P1 est clivé par la 3C en trois protéines structurales, VP1, VP3 et VP0, formant le protomère de FMDV, l'unité de base de la capside virale. La protéine VP1 joue des rôles importants dans l'attachement, la protection et le sérotypage. Du fait de la présence d'un site antigénique linéaire suffisant à la protection par production d'anticorps neutralisants, VP1 est considérée comme la protéine la plus immunogénique du virus. Dans cette étude, nous avons développé un nouveau vaccin contre la FMD, basé sur l'adénovirus canin de type 2 (Cav2). L'évaluation du transfert de gène médié par Cav2 chez le porc et le bétail in vitro montre des résultats prometteurs pour le développement de vaccins pour ces espèces, notamment l'expression des antigènes de FMDV par les candidats vaccins Cav2-FMDV. L'immunogénicité de ces candidats vaccins a été montrée chez les modèles murins et cobayes. De plus, des résultats encourageants ont été observés chez le cobaye, suggérant que la réponse immunitaire élicitée par les vecteurs recombinants pouvait conduire à une protection partielle des animaux après épreuve. Cependant, une optimisation de l'immunisation doit être faite dans le but de confirmer ces résultats. Ce type de vaccin peut de plus être utilisé comme vaccin marqueur, car il ne contient aucune protéine non structurale. / Foot-and-mouth disease (FMD) is a highly contagious and economically devastating disease affecting cloven-hoofed livestock worldwide. Foot-and-mouth disease virus (FMDV) is the causative agent of FMD and one of the most infectious known animal viruses. FMDV is a positive-sense, single-stranded RNA virus belonging to the Aphthovirus genus in the Picornaviridae family. FMDV replicates and spreads in the host extremely rapidly. Slaughter and vaccination are the two major strategies used to control FMD in infected countries. In FMDV-free countries, vaccines are not used, and once the disease breaks out in these areas, strategies are required to stop or at least slow the spread of the virus. Currently, inactivated vaccines are by far the most commonly used vaccines to prevent FMD. Such vaccines, however, require large-scale production of virus, and despite the use of bio-safety facilities, vaccine production has led to inadvertent virus release and FMDV outbreak. Another limitation of inactivated vaccines is the difficulty in distinguishing between infected and vaccinated animals (DIVA). Therefore, improved vaccines need to be developed.During infection, the FMDV polyprotein is cleaved into structural (P1) and non-structural (P2 and P3) precursors by a viral protease. The non-structural 3C protein is the protease that is responsible for most of the maturation events. The P1 precursor is processed by 3C protease into three structural proteins, VP1, VP3 and VP0, forming the FMDV protomer. The VP1 protein plays important roles in attachment, protective immunity and serotype specificity. VP1 is considered to be the major immunogenic protein, as it contains a linear antigenic site that is able to induce neutralizing antibodies that suffice to protect animals against the disease.In this project, we developed a novel vaccine against FMD, based on canine adenovirus type 2 (Cav2). In vitro evaluation of Cav2 mediated gene transfer in pigs and cattle showed that the Cav2 vector holds promise for the development of vaccines for pigs and cattle. Study of these recombinant viruses indicated that Cav2-FMDV supported expression of FMDV capsid proteins in vitro. The immunogenicity of these recombinant viruses was evidenced in mouse and guinea pig models, and encouraging results in guinea pigs suggested that the immune response elicited against FMD by recombinant virus could afford partial protection against FMDV challenge. In the future, immunization with Cav2-derived vector should be optimized to confirm these preliminary results. This type of vaccine, when designed to express capsid but not non-structural proteins of FMDV, can serve as a marker vaccine against FMD.
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Contacts et diffusion de pathogènes des ongulés sauvages aux ongulés domestiques Africains / Contacts in the wild and pathogens spillover

Miguel, Eve 14 December 2012 (has links)
L’augmentation depuis une trentaine d’années des maladies infectieuses dites émergentes ou ré-émergentes chez l’homme, causées à plus de 70% par des pathogènes issus d’espèces hôtes animales (i.e. Ebola, SIDA), stimule l’étude de systèmes éco-épidémiologiques à l’interface entres populations humaines et animales (i.e. sauvages et/ou domestiques).Le contact entre hôtes est un phénomène important dans l’étude de ces systèmes car il permet la transmission des pathogènes entre individus et la diffusion de maladie au sein et entre populations. Nous avons choisi la maladie de la fièvre aphteuse comme modèle d’étude de la transmission de pathogènes des populations sauvages vers les populations domestiques. Le buffle africain (Syncerus caffer) étant le réservoir présumé de cette maladie fortement contagieuse, nous nous sommes interrogés sur les conditions de transfert au bétail (Bos taurus et Bos indicus) du virus aphteux aux frontières de trois parcs nationaux africains qui constituent des interfaces entre espaces anthropiques et protégés perméables aux mouvements d’animaux. Dans le cadre de ce doctorat 4 protocoles ont été mis en place entre 2010 et 2011 au Zimbabwe. Premièrement, des colliers GPS (Global Positionning System) ont été déployés sur des bovins sauvages/domestiques pour décrire leurs déplacements dans le paysage et quantifier les contacts interspécifiques. Des colliers furent également posés sur l’une des espèces prédatrices de ces ongulés: le lion (Panthera leo). L’intégration de la guilde des prédateurs nous a permis d’estimer les modifications de l’utilisation de l’espace par les herbivores en réponse à la présence de carnivores et les conséquences en termes de contacts et de transmission interspécifique de pathogènes. Deuxièmement, un suivi longitudinal sérologique sur le bétail a complété le protocole télémétrique avec des prélèvements répétés sur des individus marqués selon le cycle saisonnier. Troisièmement, les contacts au sein des populations de bovins domestiques ont été caractérisés par des enquêtes auprès des éleveurs. Quatrièmement, le rôle potentiel de la diversité des hôtes sur le risque infectieux d’un écosystème a été exploré par l’estimation de densité de macro-parasites dans le paysage selon une variation de la gamme d’hôtes potentiels (i.e. (i) sauvages, (ii) sauvages et domestiques et (iii) uniquement domestiques).Nos résultats montrent que (1) les taux d’interaction interspécifiques, estimés par télémétrie, varient entre sites et présentent une saisonnalité prononcée (i.e. pic saison sèche chaude). (2) La distribution des ressources conditionne la périodicité et la distribution de ces contacts dans les différents compartiments du paysage. (3) La fréquence des incursions du bétail dans un espace protégé ainsi que les taux de contacts avec les buffles influencent positivement la probabilité d’acquisition d’anticorps anti-aphteux chez le bétail. La probabilité de perte d’anticorps est également fonction du niveau d’interaction avec les buffles mais selon une relation négative. (4) La densité du réseau d’interaction intra-spécifique domestique influence positivement l’incidence sérologique de la fièvre aphteuse. (5) La présence de prédateurs supérieurs dans le paysage permettrait de limiter les incursions du bétail dans les espaces protégés et diminuerait la probabilité d’infection par les populations d’hôtes sauvages. (6) Enfin les densités de macro-parasites dans la végétation sont supérieures dans des espaces communaux sans interaction avec les populations sauvages et où la richesse spécifique des hôtes est plus faible. Les résultats de cette étude sur la transmission interspécifique de pathogènes entre populations sauvages et domestiques dans les écosystèmes tropicaux ouvrent des champs de réflexion encore largement inexplorés, notamment sur l’évolution de la virulence et des modes de transmission des pathogènes ayant comme hôtes des populations sympatriques sauvages et domestiques. / Emerging or re-emerging diseases in human populations have increased over the last thirty years. Since 70% of such diseases are caused by pathogens originating from animal hosts (i.e. Ebola, AIDS, and avian influenza), this increase has prompted the study of eco-epidemiological systems that occur at the interface between human and animal populations (i.e. wild and/or domestic). Contacts between hosts are particularly important factors in these systems since they result in pathogen transmission among individuals and, therefore, disease diffusion within and among populations. We used foot-and-mouth disease (FMD) as a model to study pathogen transmission from wild to domestic populations. As the African buffalo (Syncerus caffer) is the presumed reservoir of this highly contagious disease, we examined the conditions in which the virus was transmitted to cattle sensitive to the disease (Bos taurus and Bos indicus) at the borders of African national parks; these areas are interfaces between anthropogenic and protected areas in which animals can move freely.In the context, 4 protocols were implemented between 2010 and 2011 in Zimbabwe. First, GPS (Global Positioning System) collars were placed on cattle and buffalo in order to describe and analyze their movements across the landscape as well as to quantify interspecific contacts. In one of the study sites, collars were attached to one of the predators of these ungulates: the lion (Panthera leo). By integrating the predator guild into our telemetry protocols, we could examine the potential changes in spatial use by cattle and buffalo in response to predator presence and their consequences for contact dynamics and interspecific pathogen transmission. Second, a longitudinal serological survey was conducted in which tagged individuals were sampled repeatedly over the course of different seasons. Third, to characterize contacts within the domestic host population, interviews were conducted with cattle owners regarding their husbandry practices across seasons. Fourth, to describe the potential role of host diversity in ecosystem infection risks, macroparasite density (i.e. ticks) was estimated for landscape compartments that contrasted in terms of potential hosts present (i.e. (i) wild, (ii) domestic and wild, and (iii) domestic only).Our study primarily shows the following results. (1) Interspecific interaction rates, as estimated by telemetry, vary between sites and have a pronounced seasonality (peak occurs during the hot dry season). (2) Resource distribution (i.e. water and grazing areas) seems to condition the frequency and distribution of these contacts in the different landscape compartments. (3) Cattle incursion frequencies into protected areas and the frequency and intensity of contact with buffalo significantly positively affect the probability of foot-and-mouth antibody acquisition in cattle. The probability of antibody loss in cattle is also a function of diminished rates of interaction with buffalo. (4) Intraspecific interaction densities positively influence FMD serological incidence in cattle. (5) Top predator presence in the landscape could limit cattle incursion into protected areas and reduce the likelihood of their being infected by wild host populations. (6) Finally, the estimated densities of macroparasites in the vegetation were higher in communal spaces where there was no interaction with wild hosts and where host species richness was weak.The results of this study on the interspecific transmission of pathogens between wild and domestic populations in tropical ecosystems encourage the exploration of research topics that are still largely unexplored, including the evolution of virulence transmission modes of pathogens hosted by sympatric wild and domestic populations.
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Simulations d’épizooties de fièvre aphteuse et aide à la décision : approches épidémiologique et économique / Simulations of foot-and-mouth disease and decision-making procees : epidemiological and economical approaches

Rautureau, Séverine 18 January 2012 (has links)
L’épizootie de fièvre aphteuse de 2001 telle qu’elle s’est déroulée en Grande-Bretagne a montré les limites de certains des systèmes de surveillance, d’intervention, d’anticipation et d’aide à la décision actuellement en place. Parallèlement, l’assouplissement des modalités d’utilisation de la vaccination a enrichi la palette des outils utilisables par le gestionnaire de risque. Une réévaluation pour la France a semblé ainsi opportune. Pour cela, le projet de recherche s’est proposé tout d’abord d’étudier l’organisation des différentes filières d’animaux de rente en France. L’analyse du réseau d’élevages français par la méthode d’analyse des réseaux sociaux a permis de caractériser les relations entre établissements et d’estimer une vulnérabilité structurale constante face à la diffusion de maladies apportées essentiellement par le réseau d’échanges bovins.Dans une deuxième partie, la diffusion de la maladie dans ce réseau d’élevages a été étudiée en s’appuyant sur des simulations générées par un modèle spécifiquement construit. L’efficacité et les coûts de différentes stratégies de lutte envisageables (combinaisons d’abattage sanitaire, abattage préventif et vaccination) ont été ensuite comparés. Les résultats obtenus ont montré l’absence d’une stratégie unique optimale à la fois sur le plan épidémiologique et économique et la nécessité de s’adapter au contexte local. En effet, la nature de la stratégie optimale varie selon la région concernée et l’acteur considéré. Ces travaux ont permis de créer un outil de réflexion pour aider à la décision, mais également un outil d’entraînement et de formation collective pour se préparer à une telle gestion de crise. / The 2001 Foot-and-mouth disease epizootic in the United Kingdom has illustrated limits in some established surveillance, control, anticipation and decision-making systems. At the same time, the relaxation of vaccination procedures has enhanced the set of usable tools by risk managers. A reassessment in France seemed needed.For this purpose, the research project firstly proposed to study the organization of the different livestock industries in France. The analysis of French holding network by using the method of social network analysis has led to characterize the relationships between holdings and to determine a constant structural vulnerability to diseases spread especially due to bovine trade network.Secondly, the disease spread in the holding network has been studied with simulations generated by a specifically built model. The cost-effectiveness of different control strategies (combining infected herd depopulation, pre-emptive culling and vaccination) were then compared. Results showed that no single epidemiological and economical optimal strategy existed and local context must be taken into account. Indeed, the cost-effective strategy changed according to the concerned area and the considered players.This research work allowed creating a thinking tool for decision-making but also a training tool for crisis management preparation.

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