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Les cycles de l’écriture dans l’œuvre poétique d’Alfred Tennyson : répétitions et différences / The Cyclical Dimension of Alfred Tennyson’s Poetical Work : repetitions and Differences

Theoden, Haude 28 November 2009 (has links)
L’œuvre poétique d’Alfred Tennyson est cyclique. La répétition des mots, des thèmes et des personnages lui confère une dimension autoréférentielle. Le retour des refrains crée un effet de ressassement formel. Cette œuvre se concentre sur elle-même au point de s’affranchir des formes et des genres poétiques existants, à la recherche d’un langage qui lui est propre. L’écriture se prend elle-même pour objet et pour fin. La mélancolie au cœur de bien des poèmes devient un prétexte à écrire toujours plus car la dynamique de la sublimation mélancolique s’apparente au fonctionnement même du langage poétique, déploiement de signes autour d’un centre absent. Derrière la magie de la griserie du verbe, point pourtant le regard critique du poète qui se pose sur la société de son temps et se cristallise autour de la figure de la femme. Le texte poétique se redéfinit finalement comme un espace de différence où se donne à voir et à entendre la capacité (pro)créatrice d’une écriture « au féminin ». / Alfred Tennyson’s poetical work is cyclical. The recurrence of words, themes and characters confers a self-referential dimension on it. The return of refrains creates a sense of formal repetitiousness. As they concentrate on their own working, the texts free themselves from existing poetical forms and genres, looking for a language of their own. The recurring theme of melancholy becomes a pretext to keep writing: the sublimation of the impossible work of mourning reveals something of the essence of poetical language as the proliferation of signs around a void. The poet’s critical vision of his society nevertheless appears behind his delight in the resources of language as he focuses on feminine characters. The poetical text is finally redefined as a space of difference where the feminine (pro)creative power of Tennyson’s poetical language can be heard and seen.
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Les figures féminines dans l'oeuvre fictionnelle de Jean-Paul Sartre / The female figures in Jean-Paul Sartre’s fictional work

Oh, Eun Ha 01 December 2010 (has links)
Les figures féminines dans l’oeuvre fictionnelle de Jean-Paul Sartre nous semblent se situer au croisement de toutes les ambivalences sartriennes, et pouvoir éclairer ses prises de position dans le contexte socio-historique. Ses figures féminines lui permettent fréquemment de condamner l’inauthenticité des marginaux, en illustrant les formes de l’aliénation ‘féminine’, dont les constituants représentatifs sont 'se séquestrer', 'se faire l’objet du regard', et 'jouer la comédie maniérée'. Mais ce mode d’exister de la ‘féminité’ est mobilisé moins pour la différence sexuelle que pour la hiérarchie sociale. En dépit de la transgression provocatrice de la limite entre les deux sexes, l’idée liée à la féminité et à la masculinité demeure intacte : il s’agirait d’une stratégie, d'une collusion avec ses lecteurs. Néanmoins, sur un plan symbolique, des expressions métaphoriques liées au ‘visqueux’ unissent le féminin à la nature proliférante, rejoignant ainsi le dualisme traditionnel. Face à ce ‘féminin’ qui offre l’occasion de se confronter à l’altérité, l’horreur et la fascination sont toujours liées : la tentation de fuir l'altérité cache d’autre part le rêve d’une symbiose avec elle. Cette symbiose prend la forme de la ‘fraternité incestueuse’ ; face à son échec, naît une intense exigence portée aux femmes, comme celle à l’égard de la mère ; enfin, l’auteur en vient à édifier la femme en tant que 'ni l’un ni l’autre'. Face à l’Autre-femme, l’homme sartrien fuit, mais se refuse à l'exclure tout à fait de son chemin : ce glissement incessant caractérise la représentation des figures féminines sartriennes. / The female figures in Jean-Paul Sartre’s fictional work can be seen as standing at a crossroads where all the forms of ambivalence in his work intersect, and thus illuminate his viewpoints in the context of social history. Sartre often uses his female figures to condemn the inauthenticity of marginal persons by showing the forms of ‘feminine’ alienation, represented by such expressions as ‘be sequestered,’ ‘become the object of the gaze’ and ‘play affected comedy.’ However, this mode of existence of femininity is summoned for social hierarchy rather than sexual difference. In spite of the provocative transgression of the border between the two sexes, the idea related to femininity and masculinity remains intact: it seems to be a strategy in collusion with his readers. Nevertheless, at a symbolic level, the metaphorical expressions related to ‘viscosity’ link the feminine to proliferating nature, thus connecting with traditional dualism. In front of the ‘feminine’ that offers an opportunity to confront otherness, fear and fascination always intertwine: in the desire to escape otherness is hidden a dream of symbiosis with it. This symbiosis takes the form of ‘incestuous fraternity’; its failure gives birth to an intense craving for women - like that for a mother. In the end, for the author, the woman becomes ‘neither one nor the other.’ Faced with ‘the Other-woman,’ the Sartrian man runs away, but also refuse to completely rule her out of his life: this constant shift is characteristic of the representation of female figures in Sartre’s work.
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Les voix multiples d’Amelia Rosselli (1930-1996) : figures et variations d'un sujet poétique en lutte / The multiplicitous voices of Amelia Rosselli (1930-1996) : figures and variations of the struggles of a poetic subject

Maffioli, Francesca 16 January 2017 (has links)
L'œuvre d’Amelia Rosselli entend se dessiner, au sein de la poésie lyrique italienne, comme expérience de subversion du processus de sublimation et de stylisation du corps féminin. A travers la traduction et l’analyse de poèmes choisis contenus dans les recueil Cantilena (1953), La Libellula (1958) et Variazioni belliche (1964), nous avons conduit une tentative d’exégèse critique des textes. L’analyse des poèmes se poursuit à travers une pratique dialogique avec le texte poétique, à partir d'un positionnement critique à l’intérieur du comparatisme féministe.En partant de l'idée pétrarquiste d'élimination et de suppression du corps des femmes nous avons démontré comment la tentative d’apaiser la portée potentiellement dangereuse de l’affection amoureuse a donné lieu au déni de la sensualité. Le langage de la douleur transfigurée se traduit dans une poétique du « dispositif sursensuel », un processus semblable à celui que Gilles Deleuze avait repéré dans la personnalité littéraire de Sacher-Masoch. Le processus de subversion qu’on vient d’évoquer est accompagné du bouleversement des rôles traditionnels au sein du canon poétique européen. Ces déconstructions conduiraient à un rejet du corps organique et au même temps à la révélation d’une subjectivité excentrique. La révision des modèles littéraires du canon passe également par le réécriture d'un ensemble de figures féminines du répertoire mythique et littéraire au sein de l’antiquité gréco-romaine, lesquelles, prélevées de l’imaginaire patriarcal, sont réinterprétées et à nouveau poétisées au sein d'un Sujet poétique qui cherche à faire parler la voix d’une poète femme. / Amelia Rosselli’s work took shape, within Italian lyric poetry, as an experience of subversion of the process of sublimation and of stylisation of the female body. Through the translation and the analysis of the content of poems chosen from the collections Cantilena (1953), La Libellula (1958) and Variazioni belliche (1964), I conducted a critical exegesis of the texts. I performed an analysis according to suggestions of a dialogical practice with the poetical text and with a female subjectivity often hidden, anchored to my critical investment inside feminist comparatism. From petrarchist idea of deletion and “suppression” of women’s body – deletion, of which Pasolini talked already in relation to the genesis of Italian poetry and its characterisation of the lyrical canon – I analysed how the attempt to ease the impact potentially dangerous of love affection has caused the denial of sensuality. The language of camouflaged sorrow is then established as a deliberated choice included in some poetics where it is not the statement that reveals, but the poetical word, which in its cryptic canonical measure, is able to make resonate beyond declarations. We can observe the deployment of a “sursensual device”, similar process to what Gilles Deleuze perceived in Sacher-Masoch's literary personality. The process of subversion does not seem a reconstitution of identity roles, but rather a deconstruction of the traditional model. The starting point for the analysis of those deconstructions is based on the hypothesis that the non-functionality of the desiring organisms (desiring subject and desired object) will lead to a reject of the organic and at the same time to a revelation of an eccentric subjectivity. The revision of the literary model of the canon lies in the hypothesis that a set of female figures of the mythical and literary repertoire in Greco-Roman antiquity are placed in the imaginary practice of Amelia Rosselli's poetical writing, with a view to incorporate the nature of the characters born and conceived inside and by the patriarchal imaginary and to form the body of a subject that aims at making them speak through the voice of a female poet.
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Poétique au féminin dans les épopées flaviennes : évolution esthétique et idéologique d’un genre / Feminine poetics in Flavian epics : aesthetic evolutions and ideology of a genre

Roux, Magalie 16 December 2013 (has links)
La figure de l’épouse fait partie intégrante du genre épique, dont les œuvres homériques ont élaboré le modèle pour la littérature gréco-romaine. L’importance accordée à l’eros féminin, et particulièrement conjugal, est l’un des aspects sur lesquels repose l’évolution de la généricité épique, d’œuvre en œuvre. À l’époque flavienne, Valérius Flaccus et Stace confèrent un rôle déterminant à deux figures féminines, celle de Médée dans les Argonautiques et celle d’Argie dans la Thébaïde, et présentent, tous deux, d’autres facettes de l’eros conjugal dans leur épisode lemnien, dont Hypsipyle est l’héroïne centrale. Cette présence accentuée du féminin peut être rapprochée de la réflexion contemporaine sur l’éthique conjugale menée dans le domaine philosophique, notamment par Musonius Rufus. Sur le plan littéraire, dans le contexte de la latinité d’argent, elle manifeste un questionnement des normes du genre, qui se traduit par une représentation de l’épouse selon des modèles autres qu’épiques : celui du genre tragique et de l’élégie romaine, particulièrement des Héroïdes d’Ovide. À la confluence de trois traditions littéraires, épique, tragique et élégiaque, le rôle des figures féminines témoigne d’un renouvellement de l’épopée, dont l’élaboration de critères d’analyse portant sur les notions de genre, de généricité et d’intergénéricité permet de donner l’entière mesure. / The character of the wife is a central feature of the epic genre, for which Homer's poems stand as a model in Greek and Latin literature. The major role the feminine eros, especially towards a husband, plays in those works is one of the aspects on which the evolution of epic genericity relies, evolving from one poem to another. During the Flavian Age, Valerius Flaccus and Statius gave two feminine characters a major part in their poems : one is Medea in The Argonautics, the other Argia in Statius' Thebaid. Besides, both poets also illustrate other aspects of husband and wife eros in the Lemnian episode, which stages Hypsipyle as its heroine. From a philosophical point of view, we can see how this emphasized presence of feminine characters matches contemporary philosophers' theories on ethics within marriage, such as Musonius Rufus' thoughts. From the point de view of literature however, considering its setting in the Age of Silver latinity, we can consider this presence as a questioning of epic generic codes, which shows in the way wives are represented, according to the patterns of tragedy and of the Roman elegy, particularly of Ovid's Heroids. Therefore in the wake of three literary traditions - epic, tragedy, elegy -, the role of feminine characters shows the renewal of the epic, which we can fully study by creating criteria of analysis bearing on the notions of genre, genericity and intergenericity.

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