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Évaluation des systèmes de gestion de règles et de flux de travail pour la Chaire de logiciel libre - Finance sociale et solidaireMaarref, Jihed Amine 11 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire introduit les systèmes de gestion de règles et de flux de travail. En faisant la synthèse de critères d'évaluation établis dans la littérature pour ces deux types de produits et en dégageant des critères spécifiques aux besoins des organismes de finance sociale et solidaire, le mémoire établit une grille d'évaluation pour les systèmes de gestion de règles et une seconde pour les systèmes de gestion de flux de travail. Les logiciels JBoss Drools, CLIPS et OpenRules sont évalués selon la première grille. Les logiciels JBoss jBPM, Bonita Open Solution et Enhydra Shark sont évalués selon la seconde. À la lumière des résultats obtenus, JBoss Drools et Bonita Open Solution sont recommandés comme étant les solutions libres les plus adaptées pour gérer respectivement les règles et les processus d'affaires des organismes de finance sociale et solidaire.
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Workflows conceptuelsCerezo, Nadia 20 December 2013 (has links) (PDF)
Les workflows sont de plus en plus souvent adoptés pour la modélisation de simulations scientifiques de grande échelle, aussi bien en matière de données que de calculs. Ils profitent de l'abondance de sources de données et infrastructures de calcul distribuées. Néanmoins, la plupart des formalismes de workflows scientifiques restent difficiles à exploiter pour des utilisateurs n'ayant pas une grande expertise de l'algorithmique distribuée, car ces formalismes mélangent les processus scientifiques qu'ils modélisent avec les implémentations. Ainsi, ils ne permettent pas de distinguer entre les objectifs et les méthodes, ni de repérer les particularités d'une implémentation ou de l'infrastructure sous-jacente. Le but de ce travail est d'améliorer l'accessibilité aux workflows scientifiques et de faciliter leur création et leur réutilisation. Pour ce faire, nous proposons d'élever le niveau d'abstraction, de mettre en valeur l'expérience scientifique plutôt que les aspects techniques, de séparer les considérations fonctionnelles et non-fonctionnelles et de tirer profit des connaissances et du savoir-faire du domaine.Les principales contributions de ce travail sont : (i) un modèle de workflows scientifiques à structure flexible, sémantique et multi-niveaux appelé "Conceptual Workflow Model", qui permet aux utilisateurs de construire des simulations indépendamment de leur implémentation afin de se concentrer sur les objectifs et les méthodes scientifiques; et (ii) un processus de transformation assisté par ordinateur pour aider les utilisateurs à convertir leurs modèles de simulation de haut niveau en workflows qui peuvent être délégués à des systèmes externes pour exécution.
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Interoperabilité des applications d'entreprise dans le domaine techniqueFigay, Nicolas, Figay, Nicolas 27 November 2009 (has links) (PDF)
Dans le contexte économique actuel, les entreprises font face à de nouveaux problèmes en termes d'interopérabilité, du fait de besoins croissants de collaboration eBusiness dans les écosystèmes numériques auxquels elles appartiennent. Elles ont également besoins de pouvoir rentabiliser et faire évoluer les applications internes existantes. De plus, l'établissement rapide d'une collaboration numérique avec un membre de leur écosystème, limitée dans le temps, ne devrait pas nécessiter de modification de leurs infrastructures de communications et de leurs applications pour pouvoir échanger information et connaissance. D'un côté, les solutions actuelles sont de moins en moins adaptées pour faire face ni aux besoins croissants d'interopérabilité dans des environnements de plus en plus complexes. D'un autre côté, il n'est pas envisageable de remplacer les standards et les cadres d'interopérabilité actuellement utilisés en proposant des innovations de rupture. Les travaux de recherches réalisés dans le cadre de la thèse " Interopérabilité des applications techniques d'entreprise " concernent le développement d'une approche innovante pour construire un cadre d'interopérabilité des applications d'entreprise basé sur l'utilisation simultanée et cohérente des standards d'interopérabilité d'un écosystème et des technologies associées. L'objectif est l'interopérabilité " pragmatique ". L'approche innovante propose s'appuie sur les apports conjugués de l'ingénierie par les modèles, de la modélisation d'entreprise, des ontologies et des architectures orientées services. Elle promeut l'utilisation des commodités du WEB, basées sur des standards ouverts et gouvernés. Ce faisant, la préservation sémantique entre les standards de l'écosystème considéré, les artefacts d'ingénierie des applications et les infrastructures de communication est cruciale. Aussi l'approche innovante proposée inclut-elle le concept "d'hyper modèle étendu", qui a été développée dans le cadre de cette thèse, et dont l'usage est illustré dans le cadre particulier des applications de gestion du cycle de vie des produits industriels, au sein de l'entreprise étendue.
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Interoperabilité des applications d'entreprise dans le domaine technique / Interoperability of technical enterprise applicationsFigay, Nicolas 27 November 2009 (has links)
Dans le contexte économique actuel, les entreprises font face à de nouveaux problèmes en termes d’interopérabilité, du fait de besoins croissants de collaboration eBusiness dans les écosystèmes numériques auxquels elles appartiennent. Elles ont également besoins de pouvoir rentabiliser et faire évoluer les applications internes existantes. De plus, l’établissement rapide d’une collaboration numérique avec un membre de leur écosystème, limitée dans le temps, ne devrait pas nécessiter de modification de leurs infrastructures de communications et de leurs applications pour pouvoir échanger information et connaissance. D’un côté, les solutions actuelles sont de moins en moins adaptées pour faire face ni aux besoins croissants d’interopérabilité dans des environnements de plus en plus complexes. D’un autre côté, il n’est pas envisageable de remplacer les standards et les cadres d’interopérabilité actuellement utilisés en proposant des innovations de rupture. Les travaux de recherches réalisés dans le cadre de la thèse « Interopérabilité des applications techniques d’entreprise » concernent le développement d’une approche innovante pour construire un cadre d’interopérabilité des applications d’entreprise basé sur l’utilisation simultanée et cohérente des standards d’interopérabilité d’un écosystème et des technologies associées. L’objectif est l’interopérabilité « pragmatique ». L’approche innovante propose s’appuie sur les apports conjugués de l’ingénierie par les modèles, de la modélisation d’entreprise, des ontologies et des architectures orientées services. Elle promeut l’utilisation des commodités du WEB, basées sur des standards ouverts et gouvernés. Ce faisant, la préservation sémantique entre les standards de l’écosystème considéré, les artefacts d’ingénierie des applications et les infrastructures de communication est cruciale. Aussi l’approche innovante proposée inclut-elle le concept “d’hyper modèle étendu”, qui a été développée dans le cadre de cette thèse, et dont l’usage est illustré dans le cadre particulier des applications de gestion du cycle de vie des produits industriels, au sein de l’entreprise étendue. / Within the current economic context, enterprises are facing new interoperability issues due to increasing needs of eBusiness Collaboration within the emerging digital ecosystems they belong to. They also need to be able to keep in pace with their heterogeneous internal legacy systems. In addition, they should not have to modify their infrastructure or applications for fast and short collaboration implying information and knowledge interchange with new partners of their ecosystem. In one hand, current solutions are less and less adapted to face increasing needs and complexity in term of interoperability. In the other hand, legacy interoperability standards and frameworks can’t be replaced as it can be imagined to propose new disruptive approach and technologies. The research work undertaken for the thesis “Interoperability of Technical Enterprise Interoperability” consists in proposing an innovative approach allowing a given and mature ecosystem to build an enterprise application interoperability framework based on simultaneous and coherent usage of eBusiness standards used by a given ecosystem, combining usage of the different relevant frameworks supporting these standards. The goal is achievement of "pragmatic" interoperability. Proposed innovative approach takes advantage of simultaneous usage of Model Driven Engineering, Enterprise Modeling, Ontology and Service Oriented Architecture. It promotes systematic usage of commodities on the WEB based on open and governed standards. Doing so, semantic preservation between ecosystem’s standards, application engineering artifacts and communication infrastructures is crucial. To support semantic preservation within the context of the innovative proposed approach, the concept of “extended hypermodel” is developed and demonstrated within the context of Product Lifecycle Management within networked organizations.
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Using Workflows to Automate Activities in MDE ToolsGamboa, Miguel 09 1900 (has links)
Le génie logiciel a pour but de créer des outils logiciels qui permettent de résoudre des
problèmes particuliers d’une façon facile et efficace. À cet égard, l’ingénierie dirigée
par les modèles (IDM), facilite la création d’outils logiciels, en modélisant et transformant
systématiquement des modèles. À cette fin, l’IDM s’appuie sur des workbenches
de langage : des environnements de développement intégré (IDE) pour modéliser des
langages, concevoir des modèles, les exécuter et les vérifier. Mais l’utilisation des outils
est loin d’être efficace. Les activités de l’IDM typiques, telles que la création d’un
langage de domaine dédié ou créer une transformation de modèles, sont des activités
complexes qui exigent des opérations souvent répétitives. Par conséquent, le temps de
développement augmentate inutilement. Le but de ce mémoire est de proposer une approche
qui augmente la productivité des modélisateurs dans leurs activités quotidiennes
en automatisant le plus possible les tâches à faire dans les outils IDM. Je propose une
solution utilisant l’IDM où l’utilisateur définit un flux de travail qui peut être paramétré
lors de l’exécution. Cette solution est implémentée dans un IDE pour la modélisation
graphique. À l’aide de deux évaluations empiriques, je montre que la productivité des
utilisateurs est augmentée et amééliorée. / Software engineering aims to create software tools that allow people to solve particular
problems in an easy and efficient way. In this regard, Model-driven engineering
(MDE) enables to generate software tools, by systematically modeling and transforming
models. In order to do this, MDE relies on language workbenches: Integrated Development
Environment (IDE) for engineering modeling languages, designing models executing
them and verifying them. However, the usability of these tools is far from efficient.
Common MDE activities, such as creating a domain-specific language or developing
a model transformation, are nontrivial and often require repetitive tasks. This results
in unnecessary risings of development time. The goal of this thesis is to increase the
productivity of modelers in their daily activities by automating the tasks performed in
current MDE tools. I propose an MDE-based solution where the user defines a reusable
workflow that can be parameterized at run-time and executed. This solution is implemented
in an IDE for graphical modeling. I also performed two empirical evaluations in
which the users’ productivity is improved.
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Intégration d'un centre logistique au sein d'un réseau d'entreprises forestières : impact et analyseSarrazin, François 02 December 2024 (has links)
L’industrie forestière compte pour une partie importante de l’activité économique québécoise et de nombreuses communautés en dépendent. Dans les forêts naturelles, la grande diversité d’espèces d’arbres et de qualité des tiges accroit la complexité des opérations de triage et de gestion des flux. De plus, l’éloignement de la ressource forestière entraîne des coûts de transport élevés. Par ailleurs, la littérature scientifique démontre que la mutualisation du transport s’avère profitable (Epstein et al. 2007), mais qu’elle est cependant fort complexe à déployer (Frisk et al. 2010). Finalement, la transition de systèmes de production en flux poussés vers des systèmes en flux tirés et les difficultés récentes de cette industrie (déclin du secteur des pâtes et papiers, crise immobilière de 2008-09, etc.) rendent d’autant plus pertinent d’examiner des façons de mieux tirer profit de la ressource forestière. À cet égard, la création de cours de triage et de consolidation qui soient distinctes des sites en forêt et des usines offre de multiples occasions de maximisation de la valeur et de minimisation des coûts. De tels centres représentent cependant un défi important quant à leur gestion quotidienne et à leur insertion dans le réseau logistique déjà en place. Nous posons donc l’hypothèse que certains facteurs économiques, logistiques et environnementaux, permettraient à un centre logistique forestier comprenant une cour de triage et une coordination du transport de créer des économies de coût, notamment par l’entremise de l’utilisation du transport hors norme (Chan et al. 2008a) et de coûts de triage plus bas (tel que nous pouvons le déduire de Favreau 1995). Nous pensons également que le fait d’effectuer des activités de triage au centre procurerait une valeur économique supplémentaire aux entreprises utilisant ses services, en limitant le taux d’erreur dans la classification des billes tel que relevé dans Sessions (2005). Cette thèse vise donc à identifier certains facteurs clés influençant la profitabilité d’un centre logistique forestier régional comportant une cour dédiée au triage et une coordination du transport. Par la suite, nous prenons en comptes ces facteurs lors du développement d’un modèle de maximisation des profits d’un réseau logistique forestier comprenant ou non une cour dédiée au triage ainsi que l’utilisation des retours en charge. Nous avons d’abord appliqué ce modèle à un cas théorique et réaliste et nous avons obtenu des gains potentiels atteignant 0,88$ de profit supplémentaire par m3 disponible à la récolte sur l’ensemble du réseau. Nous avons par la suite utilisé ce modèle pour optimiser un cas d’étude plus complexe et analyser le fonctionnement du réseau y compris en le modifiant. Une analyse de sensibilité révéla que plusieurs facteurs tels que la distance des zones de récolte, le nombre de camions hors norme et le niveau des redevances avaient une influence significative sur la profitabilité du centre projeté. Enfin, dans le cas d’étude, nous avons décelé un effet dynamique entre l’opération d’une cour de triage et l’utilisation des retours en charge. L’ajout d’une cour de triage permet ainsi de réduire la durée moyenne des routes de livraison en scindant en deux les flux de matière entre les forêts et les usines, ce qui facilite le respect des limites de durées de conduite. Surtout, une telle cour fait en sorte qu’un même site peut servir autant comme origine que comme destination, ouvrant la porte à d’importantes réductions du transport à vide. / The forest industry represents an important part of Quebec’s economic activity and many local communities depend on this sector. In natural forests, the great diversity of tree species and quality brings an added complexity for sorting operations and the flow of resources. Furthermore, the remoteness of the resource implies high transportation costs. Scientific literature demonstrates that sharing transportation capacity can result in important cost reductions (Epstein et al. 2007), but is quite complex to put into place (Frisk et al.2010). Finally, the transition from push systems towards pull type supply chains and the recent difficulties for this industry (decline of the pulp and paper sector, housing crisis of 2008-09, etc.) make it all the more relevant to examine how to better use the wood resource. In this regard, the creation of sort yards, distinct from both the harvesting sites and the mills, offers many opportunities for maximizing value and minimizing costs. Such centers however, represent an important challenge in regards to their daily management and their insertion in the pre-existing logistics network. We therefore hypothesize that for certain economic, logistical and environmental factors, a logistics center comprised of a sort yard and transportation coordination, could generate cost savings, especially through the use of oversize trucks (Chan et al. 2008) and lower sorting costs (as can be deduced from Favreau 1995). We also sense that the sorting activities performed in such a center would also procure an added economic value for companies using its services by limiting the error rate in the classification of the logs, as presented in Sessions (2005). The purpose of this thesis is therefore to identify key factors regarding their impact on the profitability of a regional forest logistics center, combining a specific sort yard and the use of backhauling. Following this, we consider these factors in the development of a profit maximization model for a forest logistics network with the option of using such a sort yard and/or backhauling. This model was first applied to a fictitious but realistic case using generated data in order to estimate the magnitude of potential profit improvements which reached up to $ 0.88 per m3 available for harvest. The model was then applied to optimize a real and complex network to analyze its performance as well as slightly modified versions. A sensitivity analysis was also conducted and revealed that many factors such as distances from the harvesting zones, the number of oversize trucks and the level of stumpage fees had a significant influence on the profitability of such a center. In addition, a dynamic effect between the operation of the yard and the use of backhauling was observed for the real case. The addition of a sort yard allows to reduce the average length of delivery routes by breaking in two the flow of material between the harvesting areas and the production mills. This makes it easier to fit delivery routes within the legal driving time limit. Most importantly, such a yard can serve both as an origin and a destination, therefore opening the door to important reductions in deadheading.
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