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Structure spatiale et dispersion des communautés d’arbres en forêt tropicale humide du Gabon : rôle des facteurs édaphiques et du gradient de chablis

Obame Engone, Jean-Paul 23 April 2018 (has links)
La découverte des facteurs qui contrôlent la structure spatiale des communautés d’arbres peut permettre d’expliquer la coexistence de nombreuses espèces en forêt tropicale. Notre thèse vise à déterminer la structure spatiale des arbres et à identifier certains facteurs à l’origine de ces structures en forêt tropicale d’Ipassa au Gabon. Nous avons étudié dans des dispositifs différents, la structure spatiale des communautés d’arbres et leur dispersion, l’influence des phases de développement de la forêt, des facteurs édaphiques et topographiques sur la répartition spatiale des arbres. L’effet des chablis sur la régénération a aussi été évalué. Dans le chapitre 1, l’étude de la structure spatiale et de la dispersion des espèces a été réalisée dans 3 parcelles d’un hectare choisies au hasard. Le test de Freeman-Tuckey démontre une différence significative dans la répartition des phases de développement. Les calculs de l’indice INDVAL ont identifié 30 espèces indicatrices de ces phases de développement. L’analyse de la structure spatiale au moyen du corrélogramme de Mantel révèle l’existence de corrélations spatiales significatives dans les données. Les calculs de l’indice de Morisita montrent que 88 espèces (48%) présentent une hyperdispersion alors que 75 espèces (41%) ont une structure spatiale agrégée. La répartition spatiale des arbres ne relève pas du hasard dans cette forêt. Dans le chapitre 2, l’analyse des correspondances multiples démontre que 30 espèces sont associées aux facteurs édaphiques et topographiques le long d’un transect de 5 km. L’étude du régime de perturbations sur 38 ha, au chapitre 3, établit que la forêt d’Ipassa est affectée par un gradient de chablis partiels, de chablis élémentaires, de chablis multiples et complexes. Le taux de renouvellement de la forêt avoisine 73 ans. L’analyse des correspondances multiples montre qu’environ 35 espèces d’arbres sciaphiles se régénèrent dans les chablis partiels et chablis élémentaires, 12 espèces héliophiles colonisent les chablis multiples. Plusieurs espèces ne semblent cependant pas associées aux variables d’habitat. Ainsi, les facteurs étudiés agiraient de manière contextuelle. Par l’hypothèse contextuelle, nous admettons que plusieurs facteurs déterminent la structure spatiale des arbres en forêt tropicale, l’effet ou l’absence d’effet de chaque facteur dépend du contexte écologique local. Ce faisant, les théories écologiques en forêt tropicale sur la structure spatiale des arbres et les facteurs qui les génèrent devraient intégrer le fait que le contexte écologique de chaque localité joue un rôle déterminant.
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Dynamique des forêts tropicales de l'île de La Réunion : processus d'invasions et de régénération sur les coulées volcaniques

Strasberg, Dominique 18 November 1994 (has links) (PDF)
Depuis son émersion, il y a environ 2,5 millions d'années, l'île de la Réunion, située à 800 km à l'est de Madagascar, subit des perturbations naturelles importantes: volcanisme, cyclones, glissements de terrain. En trois siècles seulement, les activités humaines ont accéléré la perte de diversité biologique, causée principalement par la destruction d'une grande partie des forêts tropicales indigènes et par l'introduction d'organismes exogènes. Au moins soixante espèces de plantes introduites envahissent actuellement les écosystèmes forestiers encore intacts. Les principaux vestiges de la forêt tropicale humide de basse altitude subsistent au sud-est de la Réunion, dans un paysage fragmenté naturellement par les coulées volcaniques. La diversité en espèces d'arbres et la structure de ces forêts tropicales sont analysées à l'échelle d'un hectare, sur une coulée ancienne de plus de quatre siècles. La dynamique de recolonisation de ces communautés végétales après les perturbations volcaniques a été étudiée à plusieurs échelles spatiales, sur des coulées récentes d'âges différents. Le maintien à long terme de ces habitats est remis en cause par les problèmes de fragmentation, combinés aux invasions par les plantes introduites qui modifient considérablement le cours des successions primaires. Ceci est en partie expliqué par une capacité de dissémination plus faible chez les espèces végétales indigènes que chez les espèces introduites.
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Ecologie de Pericopsis elata (Harms) Van Meeuwen (Fabaceae), arbre de forêt tropicale africaine à répartition agrégée / Ecology of Pericopsis elata (Harms) Van Meeuwen, tree of an african tropical forest with clumped distribution

Boyemba Bosela, Faustin 24 August 2011 (has links)
Pericopsis elata is an African forestry species commercialized under the vernacular names afrormosia or assamela. It is one of the principal species commonly exploited for timber in the Democratic Republic of Congo (DRC) and in a lesser extent in Cameroon and Congo. In view of its sustainable resource exploitation, the species is in centre of numerous polemics notably in the European Union. It is one of the rare commercialized species that produce wood, since 1992, as listed in the CITES (Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora) annex II specifying that “the exploitation of afrormosia necessitate the deliverance and a prior presentation of exploitation permit”. The most important reserves of afrormosia are found in DRC. This doctoral thesis presents the ecology of this particular tree and its behaviour regarding forestry exploitation. It allows to inform the international organisms such as CITES as well as the national policy-makers on the vulnerability of afrormosia and to propose appropriate measures that can avoid future unsustainable/unregulated exploitation activities/Pericopsis elata est une espèce forestière africaine commercialisée sous les noms d’afrormosia ou d’assamela. Elle est une des principales espèces exploitées pour le bois d’œuvre en République Démocratique du Congo (RDC) et dans une moindre mesure au Cameroun et au Congo. Elle est au centre de nombreuses polémiques, notamment dans l’Union européenne, en ce qui concerne la durabilité de son exploitation. C’est une des rares espèces commerciales productrice de bois d’œuvre listée, depuis 1992, dans l’Annexe II de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces en danger d’extinction) qui spécifie que « L'exportation d'un spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe II nécessite la délivrance et la présentation préalables d'un permis d'exportation ». Les plus grandes réserves d’afrormosia se trouvent en RDC. Cette thèse de doctorat porte sur l’écologie de cet arbre et sur son comportement vis-à-vis de l’exploitation forestière. Elle permet d’informer les organismes internationaux comme la CITES et les décideurs nationaux sur la vulnérabilité de l’afrormosia et de proposer des mesures à prendre pour que l’espèce ne soit pas menacée par une exploitation mal conduite et non régulée / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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