1 |
Optimizing Genetically Encoded Calcium Indicators to Measure Presynaptic Calcium TransientsGilyan, Andrew 27 September 2012 (has links)
Neurotransmitter release is modulated by multiple regulatory mechanisms that control several stages of synaptic vesicle (SV) exocytosis. At the final stage, SV fusion with the presynaptic membrane requires calcium influx through voltage-gated calcium channels, and regulatory mechanisms that alter the surface expression or conductance of calcium channels have large effects on neurotransmitter release. To determine how these mechanisms contribute to synapse-specific modulations of neurotransmitter release and synaptic strength, we require a means to monitor presynaptic calcium transients at individual synapses. Genetically encoded calcium indicators (GECIs), engineered proteins that change their fluorescence emission properties upon calcium binding, generally lack the sensitivity to measure such transients in response to isolated stimuli. Therefore, we modified the GECI, GCaMP3, by altering its sensitivity for calcium. Our results suggest the modified GCaMP-based presynaptically targeted GECIs are excellent tools to quantify presynaptic calcium transients at individual synapses in response to isolated action potentials.
|
2 |
Caractérisation fonctionnelle de la protéine GABARAPL1 par identification de nouveaux partenaires protéiques et étude de l'expression de gabarapll dans les cancers du sein / The functional characterization of the GABARAPL1 protein by identification ofnew protein partners and the study of gabarap/1 expression in breast cancersSeguin-Py, Stéphanie 13 July 2011 (has links)
La protéine GABARAPL1 (GABARAP like 1) ou GEC1 (Glandular Epithelial Cell 1), présente de forts pourcentages d'identité avec les protéines GABARAP (GABAA Receptor-Associated Protein), GATE-16 (Golgi-Associated ATPase Enhancer of 16 kDa) et Atg8 (Autophagy-related 8) ainsi qu'une identité moindre avec les protéines de la sous-famille LC3 (Light Chain 3). GABARAPL1 est exprimée dans tous les tissus, préférentiellement dans le système nerveux central, et intervient dans le transport intracellulaire des récepteurs GABAA (Gamma-AminoButyric Acid type A receptor) et KOR (K Opioid Receptor). De plus, une faible expression du gène gabarap1 est observée dans diverses lignées cancéreuses, suggérant son implication dans la genèse et/ou la progression tumorale. La recherche de partenaires protéiques a abouti à l'identification de différentes protéines. L'interaction entre GABARAPL1 et la protéine HSP90 (Heat Shock Protein 90) nouvellement identifiée a été étudiée dans le cerveau de rat et dans les cellules MCF-7. Ainsi, nous avons montré que HSP90 protège GABARAPL1 de la dégradation par le protéasome. Par ailleurs, il a été établi qu'au cours de !'autophagie, GABARAPL1 est clivée, maturée puis conjuguée à des phospholipides. Elle co-Iocalise alors partiellement au niveau de lysosomes et d'autophagosomes. Nous avons également démontré que gabarap1 est faiblement exprimé dans les tissus tumoraux de sein et que la surexpression de la protéine FLAG-GABARAPL1-6HIS dans les cellules MCF-7 diminue considérablement leur croissance. De plus, une forte expression de gabarapl 1 est corrélée à une augmentation de la survie de patientes atteintes de cancer du sein avec envahissement ganglionnaire. / The GABARAPL1 (GABARAP like 1) protein, also named GECl (Glandular Epithelial Cell 1), displays a high percentage of identity with the GABARAP (GABAA Receptor-Associated Protein), GATE-16 (Golgi-Associated A TPase Enhancer of 16 kDa) and Atg8 (Autophagy-related 8) proteins, and a lesser identity with LC3 (Light Chain 3) family of proteins. The GABARAPL1 protein is expressed in ail tissues, predominantly in the central nervous system and is involved in intracellular transport of GABAA receptors (Gamma-AminoButyric Acid type A receptor) and KOR (K Opioid Receptor). In addition, a Iow expression of the gabarap1 gene was shown in various cancer cell lines, suggesting its involvement in the genesis and/or progression oftumors. The search for GABARAPL 1 prote in partners has Ied to the identification of different proteins. The interaction between GABARAPL1 and the protein partner: HSP90 (Heat Shock Protein 90) was studied in rat brain and MCF-7 cells, in which we showed that HSP90 protects GABARAPL1 from degradation by the proteasome. Additionally, it was established that during autophagy, GABARAPL1 is cleaved to its mature form and conjugated to phospholipids. lt then co-localizes partially with lysosomes and autophagosomes. We also demonstrated that gabarap!J is weakly expressed in breast tumor tissues and that overexpression of the FLAGGABARAPL1-6HIS recombinant protein in MCF-7 cells significantly reduces their growth. Finally, a strong expression of gabarap1 is correlated with increased survival of patients with lymph node-positive breast cancer.
|
3 |
L'étude du rôle et de l'expression de la protéine autophagique GABARAPL1 dans le système nerveux central et dans des modèles de cellules neuronales / A study of the role and expression of the autophagic protein GABARAPL1 in the central nervous system and in neuronal cell modelsLe Grand, Jaclyn Nicole 13 June 2013 (has links)
Le gène gec1/gabarapl1 (glandular epithelial cell 1/gabarap like 1), identifié au sein de notre équipe, est un gène apparenté à la famille atg8 (autophagy related gene 8) et la sous-‐famille gabarap (GABAA receptor associated protein) incluant les gènes gabarap, gabarapl1, gabarapl2 et gabarapl3. Les protéines codées par ces gènes présentent de très fortes identités de séquences et des structures similaires. Le gène gabarapl1 est exprimé préférentiellement dans le SNC dans lequel il est le transcrit de la famille atg8 le plus fortement exprimé. Des études fonctionnelles ont démontré que la protéine GABARAPL1 intervient dans le trafic intracellulaire de récepteurs, et plus particulièrement du récepteur GABAA et du récepteur aux κ-‐opioïdes, via son interaction avec les microtubules. Cependant, le rôle de cette protéine ne se limite probablement pas au seul transport de ces récepteurs. Notre équipe a d’ailleurs récemment démontré que GABARAPL1 est impliquée dans le processus d’autophagie, un mécanisme de dégradation cellulaire. Dans le cadre de ma thèse, j’ai eu trois objectifs : (1) l’étude de la spécificité d’anticorps anti-‐GABARAPL1 commerciaux disponibles, (2) la cartographie détaillée de l’expression de GABARAPL1 dans le cerveau murin et (3) l’étude de la surexpression de GABARAPL1 dans un modèle neuronal in vitro en conditions de stress mitochondriaux. Etant donné la forte homologie entre GABARAPL1 et GABARAP, aucun anticorps spécifique commercial n’était disponible lorsque nous avons débuté mon projet de recherche. Nous avons donc, dans un premier temps, étudié la spécificité des différents anticorps commerciaux anti-‐GABARAPL1 disponibles et identifié un anticorps capable de détecter de façon spécifique cette protéine in vitro et in vivo. Grâce à cet anticorps spécifique, nous avons ensuite entrepris l’étude de l’expression in vivo de la protéine GABARAPL1 dans le SNC de souris chez l’adulte et au cours du développement embryonnaire. Nous avons ainsi démontré que GABARAPL1 est exprimée dans les neurones immatures et les fibres neuronales à partir du 11e jour de développement et son expression augmente progressivement jusqu’à un taux maximal observé chez l’adulte. Chez l’adulte, GABARAPL1 est exprimée uniquement dans les neurones et plus particulièrement dans ceux impliqués dans les fonctions motrices et neuroendocrines. De plus, nous avons noté que le marquage ponctiforme de GABARAPL1 co-‐localise partiellement avec p62 dans des cultures neuronales primaires, confirmant son association aux vésicules autophagiques in vivo. Pour caractériser la fonction cellulaire de GABARAPL1, nous avons surexprimé cette protéine dans des cellules neuronales SK-‐N-‐BE(2). L’étude de ce nouveau modèle neuronal a montré que la surexpression de DsRed-‐GABARAPL1 semble potentialiser la réponse autophagique des cellules, ce qui permet une induction plus précoce suite à des traitements induisant l’autophagie. De plus, la surexpression de GABARAPL1 inhibe la mort des cellules soumises à des stress ciblant les mitochondries (CCCP), ce qui suggère que GABARAPL1 pourrait protéger les neurones contre certains stress aggravant la progression des maladies neurodégénératives. L’ensemble de ces travaux a permis d’identifier un outil spécifique à l’immunodétection de GABARAPL1, de cartographier son expression dans le SNC murin au cours du développement et chez l’adulte et finalement, de démontrer un rôle protecteur de GABARAPL1 contre la mort neuronale induite par un stress mitochondrial. / The gec1/gabarapl1 gene (glandular epithelial cell 1/gabarap like 1), identified within our team, is a gene related to the atg8 (autophagy related gene 8) family and the gabarap (GABAA receptor-‐associated protein) subfamily of genes including gabarap, gabarapl1, gabarapl2 and gabarapl3. The protein products of these genes present a very strong sequence identity and are structurally similar. The gabarapl1 gene is expressed preferentially in the central nervous system, in which it is the most highly expressed transcript of the atg8 family. Functional studies have shown that the GABARAPL1 protein is involved in intracellular trafficking of receptors, in particular the GABAA receptor and the κ-‐opioid receptor, via its interaction with cytoskeletal elements. The role of this protein, however, is clearly not limited to the transport. Our team has also recently shown that GABARAPL1 is involved in the autophagic process, a cellular degradation mechanism. My thesis objectives were three-‐tiered: (1) the study of the specificity of anti-‐GABARAPL1 antibodies, (2) the detailed mapping of GABARAPL1 expression in the mouse brain and (3) the study of GABARAPL1 overexpression under conditions of mitochondrial stress in an in vitro neuronal model. Given the high homology between GABARAPL1 and GABARAP, no commercially available specific antibody was available when we started my research project. As such, we conducted a study on the specificity of different commercially available anti-‐GABARAPL1 antibodies and identified an antibody that specifically recognized this protein in vitro and in vivo experiments. With this specific antibody, we then undertook a study of the in vivo expression of the GABARAPL1 protein in the adult mouse central nervous system and throughout embryonic development. In this study, we demonstrate that GABARAPL1 is expressed in immature neurons and neural fibers in the embryo from the 11th day of embryonic development and its expression gradually increases to a maximum in adults. In adults, GABARAPL1 is expressed in neurons, in particular, in those involved in motor control and neuroendocrine functions. The punctate labeling of GABARAPL1 partially co-‐localizes with p62 in primary neuronal cultures, confirming its association with autophagic vesicles in vivo. To characterize the cellular function of GABARAPL1, we overexpressed this protein in neuronal SK-‐N-‐BE (2) cells. The study of our neuronal cell model revealed that overexpression of DsRed-‐GABARAPL1 appears to prime cells for autophagy, resulting in an earlier induction of autophagy after treatments that induce this processes. In addition, overexpression of this protein delays cell death in a CCCP-‐induced mitochondrial stress model, suggesting that GABARAPL1 could protect neurons against certain stresses known to contribute to the development of neurodegenerative diseases. Together, this work has identified a specific tool for the immunodetection of GABARAPL1, produced a detailed map of GABARAPL1 expression in the developing and adult murine central nervous system and finally, demonstrated a protective role for GABARAPL1 against neuronal death induced by mitochondrial stress.
|
Page generated in 0.0192 seconds