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Le nom dans les grammaires françaises des XVIIème et XVIIIème siècles : définitions, classements et détermination / Noun in 17th century and 18th century French grammarsDagnet, Sévrine 26 January 2015 (has links)
S’intéresser au nom, objet d’étude interdisciplinaire, peut faire figure de lieu commun, à plus forte raison dans le domaine grammatical. Nous partons néanmoins de l’hypothèse que les travaux des théoriciens des XVIIe et XVIIIe siècles, qui oscillent entre une étude du français calquée sur celle du latin et une volonté d’émancipation, présentent un intérêt certain. Trois problématiques se dégagent du corpus. La première concerne le traitement général des parties d’oraison, héritage gréco-latin auquel les grammairiens ont dû s’accommoder, en se confrontant à des difficultés de recensement et de définitions. Il s’agit de savoir comment est justifiée la subdivision nom substantif / nom adjectif chez la quasi totalité des auteurs et quel lien particulier le premier entretient avec le verbe dans l’énoncé. Le deuxième faisceau de questions, qui porte sur les classements à la fois morphologiques et sémantico-syntaxiques du nom, incite à s’interroger entre autres sur la théorisation des accidents du genre et du nombre. Mais c’est surtout le paradoxe du nom abstrait, nom substantif au référent dénué de « substance », qui concentre l’essentiel des débats. Le dernier volet s’intéresse à la détermination par l’article, occurrence en mal de légitimité, qui regroupe à elle seule trois difficultés théoriques. Il convient de se demander quel est le statut de l’occurrence, au sein des parties d’oraison (classe autonome ? Catégorie de l’adjectif ou du pronom ?). Quel est son rôle vis-à-vis du nom et qu’entend-on par article défini, indéfini et partitif ? Enfin, en quoi le traitement de l’article débouche-t-il au XVIIIe siècle sur une réflexion générale de la détermination ? / Studying the noun, the subject of interdisciplinary study, may seem commonplace, especially in the grammatical sphere. Nevertheless, we will start from the assumption that the work of 17th and 18th-century theorists, who vacillated between a study of French based on that of Latin, and a desire for emancipation, is of definite interest. Three problems stand out in this body of work.The first concerns the general treatment of the parts of speech, a Greco-Roman heritage to which grammarians were forced to adapt, dealing with difficulties of collection and definitions. We seek to understand how the substantive noun / adjective noun subdivision is justified by almost all authors and what particular link the first has with the verb in speech. The second type of question, which addresses both morphological and semantic-syntactic classifications of the noun, leads us to wonder, among other things, about the theorisation of accidents of gender and number. However, it is above all the paradox of the abstract noun, a substantive noun that refers to something without “substance”, which will be the focus of most of our discussion.The last aspect looks at determination by the article, an occurrence lacking legitimacy, which alone raises three theoretical difficulties. We ask ourselves what the occurrence’s status is in the parts of speech (autonomous class? Adjective or pronoun category?). What is its role with respect to the noun and what do we mean by definite, indefinite and partitive article? Last, how did the treatment of the article lead to a general discussion of determination in the 18th century?
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Formální modely distribuovaného výpočtu / Formal Models of Distributed ComputationSoukup, Ondřej January 2017 (has links)
Tato disertační práce představuje derivační stromy několika různých typů gramatik ve zobecněné Kurodově normální formě; jmenovitě obecné a regulárně řízené gramatiky, gramatiky s rozptýleným kontextem a spolupracující distribuované gramatické systémy. Definuje jednoduché stromové rysy založené na kontextových vlastnostech jednotlivých diskutovaných gramatik a dokazuje, že pokud existuje limitující konstanta k taková, že každá věta generovaného jazyka L odpovídá řetězci listových uzlů derivačního stromu, ve kterém je výskyt definovaných stromových rysů omezen konstantou k, jazyk L je ve skutečnosti bezkontextový. Tato práce dále ukazuje, že dosažený výsledek představuje silný nástroj důkazu bezkontextovosti jazyka. Vše je doplněno příklady praktického využití nástroje.
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