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Benjamini-Schramm convergence of locally symmetric spaces / Convergence de Benjamini-Schramm des espaces localement symétriques

Frączyk, Mikołaj 31 August 2017 (has links)
Le sujet principal de ce mémoire est le comportement asymptotique de la géométrie et topologie des variétés localement symétriques Gamma\ X quand le volume tend vers l’infini. Notre premier résultat porte sur la convergence Benjamini-Schramm des 2 ou 3-variétés hyperboliques arithmétiques. Une suite d'espaces localement symétriques (Gamma_n\ X) converge Benjamini-Schramm vers l'espace symétrique X si pour chaque R>0 la limite de \Vol((\Gamma\X)_{<R})/Vol(\Gamma\bs X). On montre qu'il existe une constante réelle C=C_R satisfaisant la propriété suivante: pour chaque réseau arithmétique de congruence Gamma de \PGL(2,R) ou PGL(2,C) sans torsion on a Vol ((Gamma\ X)_{<R})<= C_R \ Vol (Gamma\ X)^0.986. Il n'y a qu'un nombre fini de réseaux arithmétiques de covolume borné par une constante donc ce résultat implique la convergence Benjamini-Schramm pour des variétés arithmétiques de congruence. On donne aussi une version de (\ref{AbsFr1}) un peu plus faible qui reste vraie pour des réseaux arithmétiques qui ne sont pas de congruence. Les majorations de volume de la partie $R$-mince sont déduites d'une version forte de la propriété de la multiplicité limite satisfaite par les réseaux arithmétiques de PGL(2,R) et PGL(2,C). En utilisant nos résultats on confirme la conjecture de Gelander pour des 3-variétés arithmétiques hyperboliques: pour chaque telle variété M on construit un complexe simplicial N homotope à M dont le nombre des simplexes est O(Vol(M)) et le degré des nœuds est uniformément borné par une constante absolue. Dans la deuxième partie on s'intéresse aux espaces localement symétriques Gamma\X où X est de rang supérieur ou égal à 2. Notre résultat principal affirme que la dimension du premier groupe d'homologie à coefficients dans F_2 (corps avec 2 éléments) est sous-linéaire en le volume. Ce résultat est à comparer avec des travaux de Calegari et Emerton sur la cohomologie mod-p dans les tours p-adiques des 3-variétés et les résultats d'Abert, Gelander et Nikolov sur le rang des sous-groupes d'un réseau de rang supérieur à angles droits. Le point fort de notre approche est qu'il n'y a pas besoin de travailler dans une seule classe de commensurabilité. La troisième partie est indépendante des deux premières. Elle porte sur une extension du théorème de Kesten. Le théorème de Kesten affirme que si Gamma est un groupe engendré par un ensemble fini symétrique S, N est un sous-groupe normal de Gamma alors N est moyennable si et seulement si les rayons spectraux du graphe de Cayley Cay(Gamma,S) et du graphe de Scheier Sch(Gamma/N,S) coïncident. En utilisant les techniques de Abert, Glasner et Virag on généralise le theorème de Kesten aux N-uniformément récurrents. / The main theme of this work is the study of geometry and topology of locally symmetric spaces Gamma\ X as ther volume Vol(\Gamma\ X) tends to infinity. Our first main result concerns the Benjamini-Schramm convergence for arithmetic hyperbolic 2 or 3-manifolds. A sequence of locally symmetric spaces (Gamma_n\ X) converges Benjamini-Schramm to X if and only if for every radius R>0 the limit Vol((Gamma\ X)_{<R}/Vol (Gamma\ X) as n goes to infinity is 0, where (\Gamma\X)_{<R} stands for the R-thin part of Gamma\ X. We prove that there exists a positive constant C=C_R with the following property: for every torsion free, uniform, congruence arithmetic lattice Gamma in PGL(2,R) or PGL(2,C) Vol ((Gamma\ X)_{<R})<= C Vol (Gamma\X))^0.986. There is only finitely many arithmetic lattices of covolume bounded by a constant so the result above implies the Benjamini-Schramm convergence for any sequence of congruence arithmetic hyperbolic 3-manifolds. We also prove a similar but slightly weaker inequality for non-congruence subgroups. Our results are deduced form a strong form of the limit multiplicity property that holds for arithmetic lattices in PGL(2,R) of PGL(2,C). As an application of our bounds we confirm Gelander's conjecture on the triangulations of arithmetic hyperbolic 3-manifolds: we show that every arithmetic hyperbolic 3-manifold M admits a triangulation with O(Vol(M)) simplices and degrees of vertices bounded uniformly by an absolute constant. Next, we move to the setting of higher rank locally symmetric spaces. Let M_n=Gamma_n\ X be a sequence of pairwise distinct locally symmetric spaces modeled after a higher rank symmetric space X. We show that the dimension of the first homology group with coefficients in F_2 is sublinear in volume. This can be compared with the results of Calegari and Emerton on mod-p homology growth in p-adic analytic towers of 3-manifolds as well as the results of Abert, Gelander and Nikolov on the rank gradient of right-angled lattices in higher rank Lie groups.The main strength of our theorem is that we do not need to assume that the manifolds in question are commensurable. Our third result is independent of the first two. Kesten theorem asserts that if Gamma is group generated by a finite symmetric set S and N is a normal subgroup of Gamma then N is amenable if and only if the spectral radii of the Cayley graphs Cay(Gamma, S) and the Schreier graph Sch(Gamma/N,S) are equal. Building on the work of Abert, Glasner and Virag we extend Kesten's theorem to uniformly recurrent subgroups.
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(Co)homologies et K-théorie de groupes de Bianchi par des modèles géométriques calculatoires

Rahm, Alexander 15 October 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse consiste d'une étude de la géométrie d'une certaine classe de groupes arithmétiques, à travers d'une action propre sur un espace contractile. Nous calculons explicitement leur homologie de groupe, et leur K-homologie équivariante. Plus précisément, considérons un corps de nombres quadratique imaginaire et son anneau d'entiers A. Les groupes de Bianchi sont les groupes SL_2(A) et PSL_2(A). Ces groupes agissent d'une manière naturelle sur l'espace hyperbolique à 3 dimensions. Ils constituent une clef pour l'étude d'une classe plus large de groupes, les groupes Kleiniens, étudiés depuis Poincaré. En fait, chaque groupe Kleinien arithmétique non-cocompact est commensurable avec un des groupes de Bianchi. L'auteur a implémenté à l'ordinateur, le calcul d'un domaine fondamental pour ces groupes. En calculant les stabilisateurs et identifications sur ce domaine fondamental, nous obtenons une structure explicite d'orbi-espace. Nous nous en servons pour étudier des aspects différents de la géométrie des groupes de Bianchi. D'abord, nous calculons l'homologie de groupe à coefficients entiers, à l'aide de la suite spectrale équivariante de Leray/Serre. Ensuite, nous calculons l'homologie de Bredon de groupes de Bianchi, de laquelle nous déduisons leur K-homologie équivariante. Par la conjecture de Baum/Connes, qui est vérifiée par nos groupes, nous obtenons la K-théorie des C*-algèbres réduites de nos groupes. Finalement, nous complexifions nos orbi-espaces, en complexifiant l'espace hyperbolique. Ceci nous permet de calculer la cohomologie d'orbi-espace de Chen/Ruan, qui est l'un des deux côtés de la conjecture de la résolution cohomologique crépante de Ruan.
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Cohomologie de GL_2(Z[i,1/2]) à coefficients dans F_2

Weiss, Nicolas 16 October 2007 (has links) (PDF)
Le point de départ de cette thèse est une version instable de la conjecture de Lichtenbaum et Quillen qui dit que la cohomologie modulo 2 du classifiant des groupes linéaires définis sur Z[1/2] serait détectée par la cohomologie du classifiant du sous-groupe des matrices diagonales de ces groupes linéaires. On sait que la conjecture est vraie pour n=1, 2 et 3, mais qu'elle est fausse à partir de n=14. <br /><br />On peut montrer que si la conjecture est vraie pour n=4, alors nécessairement, il existe un certain carré cartésien en cohomologie à coefficients dans F_2 dans lequel apparaît le classifiant du groupe GL_2(Z[i,1/2]). L'espoir initial, motivé par des idées de Henn et Lannes, était que la cohomologie à coefficients dans F_2 de BGL_2(Z[i,1/2]) rendrait ce carré non cartésien, invalidant de ce fait la conjecture de Lichtenbaum et Quillen dès n=4.<br /><br />Nous avons calculé la cohomologie à coefficients dans F_2 de BGL_2(Z[i,1/2]) et montré que le carré cartésien sus-nommé est bien cartésien.<br />La conjecture a ainsi passé un test avec succès et a encore des chances d'être vraie pour n=4. En tout cas, la recherche d'un contre-exemple est plus délicate qu'on aurait pu l'espérer.<br /><br />Les moyens utilisés pour effectuer le calcul de H*(BGL_2(Z[i,1/2]),F_2) ont été la construction d'un certain espace Z sur lequel le groupe PSL_2(Z[i]) agit avec de bonnes propriétés, et le calcul de H*(BPSL_2(Z[i]),F_2) et H*(BGo,F_2) où Go est un certain sous-groupe de PSL_2(Z[i]) tel qu'on ai la décomposition en somme amalgamée PSL_2(Z[i,1/2])=PSL_2(Z[i])*_Go PSL_2(Z[i]). On obtient ensuite H*(BGL_2(Z[i,1/2]),F_2) en étudiant certains morphismes de H*(BPSL_2(Z[i]),F_2) vers H*(BGo,F_2) et plusieurs suites spectrales.
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Déformation des extensions peu ramifiées en P

Blondeau, Julien 17 June 2011 (has links) (PDF)
Déformation des extensions peu ramifiées en P
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Déformation des extensions peu ramifiées en P / Deformation extensions slightly branched P

Blondeau, Julien 17 June 2011 (has links)
Déformation des extensions peu ramifiées en P / Deformation extensions slightly branched P

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