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Adieu Yalta ? La France, la détente et les origines de la Conférence sur la Sécurité et la Coopération en Europe, 1965 – 1975 / Goodbye Yalta ? France, Detente, and the Origins of the Conference on Security and Cooperation in Europe, 1965-1975

Badalassi, Nicolas 03 December 2011 (has links)
A partir de 1965, l’URSS cherche à profiter de la politique de « détente, entente, coopération » lancée par le général de Gaulle auprès des pays du pacte de Varsovie pour obtenir, via une conférence sur la sécurité européenne, le gel de l’ensemble des frontières du continent et la reconnaissance de la mainmise soviétique sur l’Europe de l’Est. Sauf que la France, partisane au contraire d’une détente censée aboutir au dépassement de l’ordre bipolaire issu de la guerre froide, n’entend pas entériner le statu quo politique et territorial européen. Dès 1969, la France décide peu à peu de se servir du projet de conférence pour promouvoir sa vision de l’Europe : la Conférence sur la Sécurité et la Coopération en Europe doit d’une part favoriser le rapprochement entre tous les peuples du continent et d’autre part encourager chaque nation à s’exprimer en son nom propre, en dehors des alliances militaires.Lorsque trente-trois Etats européens, les Etats-Unis et le Canada se réunissent, de 1972 à 1975, pour négocier le contenu du futur Acte final de la CSCE, les Français tentent, avec leurs partenaires de la Communauté européenne, de faire de la conférence le prolongement multilatéral de la politique gaullienne de détente. Dans cette optique, ils veillent d’abord à ce que les frontières puissent être modifiées de façon pacifique : il s’agit de permettre à l’Allemagne d’être un jour réunifiée. Ils œuvrent également pour que la conférence facilite la coopération culturelle et la circulation des personnes entre l’Est et l’Ouest, le but étant, selon le président Pompidou, de transmettre aux pays communistes le « virus de la liberté » et d’enfoncer un coin dans le système des blocs. / From 1965, the USSR sought to take advantage of the French policy of détente launched by General de Gaulle towards the Warsaw Pact’s countries to set the borders in Europe and to obtain Western acknowledgment of the Soviet control over Eastern Europe. But France was in favour of a détente which would lead to overcome bipolarity created by the Cold War ; it did want to confirm the European political and territorial status quo. From 1969, France gradually decided to use the conference project to point out its vision of Europe: the Conference on Security and Cooperation in Europe had to promote the coming together of peoples of the whole continent and to encourage each nation to speak with its own particular voice, outside military alliances.When thirty-three European countries, the United States and Canada met, from 1972 to 1975, in order to negociate the Final Act’s content, the French and their European Community partners tried to make the conference a multilateral continuation of the Gaullist policy of détente.From this perspective, they first made sure that borders could be changed by peaceful means: it was crucial to reserve the German people’s right to be reunified. They also acted to make the CSCE facilitate cultural cooperation and movement of persons between East and West. According to President Georges Pompidou, the main goals were to transmit the « freedom virus » to the communist countries and to drive a wedge into the bipolar system.
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Les États-Unis et le Vatican : analyse d'un rapprochement (1981-1989) / The United States and the Vatican : Analyzing a Rapprochement (1981-1989)

Gayte, Marie 02 June 2010 (has links)
Le 10 janvier 1984, les Etats-Unis et le Saint-Siège annoncent l’établissement de relations diplomatiques. Cette décision s’inscrit dans un contexte de tensions accrues entre les Etats-Unis et l’Union soviétique après la détente qui avait caractérisé les années 1970. L’accord idéologique semble parfait entre Ronald Reagan et Jean-Paul II, tous les deux connus pour leur anticommunisme farouche. Le rapprochement constaté dans les années 1980 a conduit certains à évoquer l’existence d’une alliance entre Rome et Washington ayant visé à précipiter la chute des régimes marxistes. Pourtant, une analyse plus poussée de leurs relations pendant cette période tend à infirmer cette lecture. Le Vatican ne va pas toujours approuver les politiques de déstabilisation des régimes marxistes menées par l’Administration Reagan, contrairement aux attentes de cette dernière. Washington, pris au dépourvu, va consentir des efforts importants pour convaincre Rome du bien fondé de sa politique étrangère. Négociations de désarmement, Initiative de défense stratégique, Amérique centrale et Pologne seront autant de sujets abordés pour essayer d’emporter l’adhésion du Saint-Siège, ou tout du moins pour éviter une condamnation, ne serait-ce qu’implicite, de sa politique. Parfois, le Saint-Siège va agir dans un sens favorable aux intérêts américains, mais quelle que soit l’effet de ses prises de position sur Washington, ces dernières s’expliquent par le fait que le Saint-Siège a agi selon des intérêts qui ne sont pas tous liés à la lutte contre le communisme. / On January 10, 1984, the United States and the Holy See announced the establishment of diplomatic relations. The decision was made in a context of revived tensions between the United States and the Soviet Union after the détente of the 1970s. At first sight there seems to have been a perfect ideological convergence between President Ronald Reagan and Pope John Paul II, as both were famous for their vocal anticommunism. The rapprochement witnessed in the 1980s has led some to posit the existence of an alliance between Rome and Washington, the aim of which was to hasten the collapse of Marxist regimes. Yet, a closer analysis of Vatican-American relations during that period contradicts such an interpretation, as the Vatican did not by any means endorse all of Reagan’s Cold War-related policies. This led to efforts on the part of Washington to convince the Holy See of the legitimacy of its foreign policy options. Arms reduction, Strategic Def! ense Initiative, Central America, and Poland were some of the topics brought up by Washington in order to secure Vatican approval, or at the very least to prevent a condemnation, even an implicit one, of US policies. Sometimes, the Holy See did act in a manner construed as favorable to US interests. However, this was always in keeping with its own interests, which were not solely Cold War-related, and which the Vatican always pursued, whether they tallied with those of the United States or not.
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Définir l'"Afrique" entre Panafricanisme et Nationalisme en Afrique de l'Ouest. Analyses à travers les transformations sociales au Sénégal, au Ghana et en Haute-Volta au temps de la décolonisation (1945-1962) / Defining "Africa", between Pan-Africanism and Nationalism in West Africa : social Transformations in Senegal, Ghana and the Upper-Volta during Decolonisation (1945-1962)

Nakao, Sakiko 11 December 2017 (has links)
La période suivant la fin de la Seconde Guerre Mondiale connut à la fois le démantèlement des Empires coloniaux et la montée de la guerre froide. La place de l’Afrique constitua un enjeu crucial dans ce contexte de reconfiguration de l’ordre mondial. Après avoir déterminé les protagonistes politiques et culturels des processus de décolonisation, nous nous proposons d’étudier ses enjeux tels qu’ils s’incarnaient dans les différentes définitions que chaque acteur donnait à sa société, toujours associée à l’« Afrique ». En suivant ainsi l’évolution de la référence « africaine », cette étude veut mettre en lumière la transformation des valeurs dans les sociétés coloniales et postcoloniales de l’Afrique de l’Ouest, afin d’y trouver la genèse des nationalismes. Tout en puisant les exemples dans trois pays ouest-africains, il s’agit de s’intéresser à l’aspect constitutif de chaque entité. Celle-ci fut pensée en interaction avec d’autres entités coloniales, régionales et impériales, souvent au-delà des frontières. À travers l’analyse de l’ensemble du processus de la décolonisation, cette thèse permet de comprendre l’articulation qui s’est opérée entre les deux dynamiques qui le composent : le panafricanisme et le nationalisme. / The post-Second World War period saw both the dismantlement of the colonial empires and the beginnings of the Cold War. The place of Africa became a key issue in the configuration of the new world order. This thesis examines the processes of decolonisation through the examples of certain political and cultural protagonists, and the different ways in which they tried to shape their respective societies in relation to their visions of “Africa”. By following the evolution of the notion of “Africa”, this study aims to shed light on the changing values of the colonial and postcolonial societies of West Africa, linking these to the emergence of their nationalist movements. While drawing its examples from three West African countries, this work also seeks to highlight the constitutive aspects of each of these entities, which were conceived through interactions with other colonial, regional and imperial units, often across borders. By examining the process of decolonisation as a whole, this thesis offers an understanding of the complex dynamics between its two constituent forces: pan-Africanism and nationalism.
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La diplomatie énergétique de la Fédération de Russie: forces et limites/ The energy diplomacy of the Russian Federation: strenghts and limits

Bachkatov, Nina M. I. 05 May 2001 (has links)
La diplomatie énergétique russe qui est au cœur de ce travail diffère des politiques industrielles classiques adoptées régulièrement par les Etats afin de développer leur pays, relancer son économie ou certains secteurs industriels. Elle entend en effet utiliser les ressources naturelles de la Russie, et singulièrement son potentiel énergétique (sachant que la Russie est à la fois producteur, consommateur, pays de transit) afin de retrouver son statut de grande puissance. Ce retour de puissance devant permettre à la Russie de sortir de la période de transition pour redevenir un acteur de premier rang dans un monde global redessiné par la fin de la guerre froide. Il s’agit pour elle de faire entendre sa voix, de participer en qualité de partenaire égal aux décisions et à l’élaboration des nouvelles normes rendues nécessaires par le bouleversement engendré par la fin de la guerre froide. La diplomatie énergétique russe s’affirme pendant les années 2003-2004, comme une démarche pragmatique, un moyen opportuniste de rencontrer un projet politique en utilisant un des rares leviers dont dispose ce pays appauvri et affaibli – sa puissance énergétique qu’il s’agit de transformer un outil de puissance politique, raison pour laquelle la politique étrangère russe va être mise au service de ce projet. Le travail fait donc référence aux spécificités internes de la Russie et au contexte international afin d’identifier les faiblesses et les forces de cette diplomatie spécifique. Russian energy diplomacy, with which this work is uniquely concerned, differs from the classic industrial policies adopted by states in order to re-launch their economies or certain industrial sectors. It has consisted of putting Russia’s natural resources and particularly its energy potential (as a producer, a consumer, and a transit country) to the practical purpose of restoring its status as a great power. For Russia, the return to power would permit the country to emerge from its period of transition and become a leading actor in the world reshaped by the ending of the cold war. It is a matter of making its voice heard, as an equal partner in international decisions and the formulation of the new political norms necessitated by post-cold war upheaval. In 2002-2004 Russia developed this energy diplomacy as a pragmatic and opportunistic means of attaining a political objective with one of the few levers at the disposal of an impoverished and enfeebled country – that is to say, its energy potential, which it turned into a political tool. To this effect, Russian foreign policy has been made to serve the same project. Consequently this work deals with internal specificities and the international energy context, in order to probe both the weakness and the strength of this particular form of diplomacy.
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Jacob Talmon et la Guerre froide

Poirier, Julien January 2008 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire, nous traiterons de l'oeuvre de l'historien israélien Jacob TaImon (1916-1980). Plus spécifiquement, nous allons examiner les rapports entre ces deux principaux concepts, démocratie totalitaire et messianisme politique, et le contexte historique de la Guerre froide. Dans la première partie, nous allons définir rigoureusement les deux concepts principaux proposés par Talmon, soit la démocratie totalitaire et le messianisme politique. La démocratie totalitaire (totalitarisme de gauche) est le produit de la philosophie de Rousseau et particulièrement de son concept de volonté générale. Elle est une démocratie excessive et idéologique s'incarnant pour la première fois durant la dictature jacobine et plus de cent années plus tard durant le règne de Staline. Le messianisme politique est une tendance historique continue regroupant des auteurs comme Saint-Simon, Marx, Fourier et Lénine. Pour Talmon, les messies politiques sont avant tout des intellectuels rationalistes, révolutionnaires, responsables de la formation de l'idéologie totalitaire. Ils sont eux aussi les descendants de la philosophie des Lumières françaises. Dans un deuxième temps, nous allons examiner les rapports entre les concepts de Talmon et le contexte historique de la Guerre froide. Pour ce faire, nous allons resituer ceux-ci à l'intérieur des travaux du Congrès pour la liberté de la culture à Paris, une organisation internationale anticommuniste très puissante durant les années 1950 et 1960. Puis, nous allons replacer les deux concepts de Talmon dans leur contexte idéologique respectif. Le concept de démocratie totalitaire sera alors inséré dans les luttes pour la définition du totalitarisme (1947-1956) aux côtés de certains textes de Hannah Arendt et de Karl Joachim Friedrich. Le concept de messianisme politique sera situé dans le cadre du débat de la fin des idéologies (1954-1962) aux côtés de certains écrits de Raymond Aron, Edward Shils et Daniel Bell. Finalement, nous allons proposer un commentaire critique dans la dernière section. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L'AUTEUR: anticommunisme, idéologie, messianisme, révolution française, Rousseau, totalitarisme.
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Le sport comme continuation de la politique : la tournée du Dinamo de Moscou en Grande-Bretagne, 1945

Hamelin, Guillaume January 2009 (has links) (PDF)
Longtemps négligée par les historiens, l'histoire du sport, et de son rôle au sein de la société, fait l'objet d'un nouvel intérêt depuis le début des années 1980. Cette attention venait en partie du fait que le sport permet de toucher aussi bien l'aspect économique, politique ou social d'une société. À une époque aussi politisée que le XXe siècle, où s'affrontaient deux systèmes antagonistes, aucun secteur de la société n'était laissé au hasard. Ainsi, en étudiant une nation comme l'URSS, il est intéressant de voir comment un État aussi idéologisé pouvait l'utiliser et surtout à quelles fins. En ce sens, si au XIXe siècle le théoricien militaire Clausewitz soutenait que la « guerre n'est que le prolongement de la politique par d'autres moyens », au XXe siècle, c'est le sport qui se voudra la continuation de la politique, prenant ainsi la place de la guerre. En se concentrant sur un événement précis, à savoir la tournée du Dinamo de Moscou en Grande-Bretagne, effectuée à l'automne 1945, l'utilisation du sport à des fins de propagande démontrera le caractère utilitaire que les dirigeants soviétiques donnaient au sport. Équipe commanditée par les services de sécurité soviétique, le Dinamo était tout désigné pour ce périple, en raison de sa relation avec le pouvoir, car après la guerre, il apparaissait, en compagne des équipes de l'armée, comme les piliers de mouvements sportifs socialistes. Présentés comme des ambassadeurs de bonne volonté, les joueurs du Dinamo arrivaient en Angleterre avec pour objectif de consolider le sentiment d'amitié qui avait permis à ces deux nations de vaincre le nazisme. Cependant, loin d'améliorer leurs relations, ces rencontres vont créer un sentiment d'animosité. Si cette tournée s'est révélée un succès sur le plan sportif, elle n'aura pas permis le rapprochement espéré. Peu de temps après, la Guerre froide divisa le monde en deux blocs et il faudra attendre plusieurs années avant que l'URSS ne ressorte à l'extérieur de ses frontières. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Football, Staline, U.R.S.S., Arsenal F.C., Chelsea F.C., Stanley Rous, F.I.F.A., Football Association, Moscou, XXe siècle, Yakushin, Vsevolod Bobrov, Guerre froide.
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Salainen sisällissota : työnantajien ja porvarien taistelu kommunismia vastaan kylmän sodan Suomessa /

Vesikansa, Jarkko, January 2004 (has links)
Texte remanié de: Väitöskirja--Helsingin yliopisto, 2004. Titre de soutenance : Kommunismi uhkaa maatamme. / Bibliogr. p. 303-362.
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Wissenschaftsaustausch im Kalten Krieg : die ostdeutschen Naturwissenschaftler und der Westen /

Niederhut, Jens. January 2007 (has links)
Dissertation--Philosophische Fakultät--Universität zu Köln, 2006. / Bibliogr. p. 327-369.
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La représentation de l'Amérique latine dans le cinéma hollywoodien de l'ère Reagan (1981-1989)

Rheault, Emmanuelle January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La politique étrangère canadienne à l'égard de la décolonisation de l'Afrique de 1945 à 1960

Girard-Bourgoin, Thessa 19 August 2013 (has links)
Cette thèse porte sur l’évolution de la politique étrangère canadienne à l’égard de la décolonisation de l’Afrique entre 1945 et 1960. Ce sujet est quasi-ignoré dans la littérature savante, mais est tout de même important puisqu’il pose les bases des relations entre le Canada et les pays africains qui émergent de la décolonisation. Au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, les relations diplomatiques entre le Canada et le continent africain sont inexistantes. Ne détenant aucune colonie, le Canada laisse l’entière responsabilité aux empires coloniaux présents sur le territoire. À contre courant, peu à peu au cours des années 1950, le continent oublié devient un acteur important sur la scène internationale que le Canada ne peut plus négliger. En 1960, l’Assemblée générale de l’ONU adopte la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples coloniaux, résolution entérinée par le Canada. D’une absence de politique en 1945 à une adhésion complète au principe de décolonisation en 1960, le Canada se façonne une politique coloniale dans le nouvel ordre mondial. Qu’est ce qui arrive durant ces quinze années d’effervescence en politique étrangère canadienne pour expliquer cet intérêt croissant envers le phénomène de décolonisation africaine? Durant cette période, l’approche canadienne quant à la décolonisation de l’Afrique est influencée par quatre éléments (les États-Unis, le Commonwealth, l’ONU et l’OTAN) qui, d’une manière indirecte, interagissent avec les intérêts du Canada. Finalement, cette thèse permet de démentir le mythe à l’effet que la politique étrangère canadienne, par rapport à l’enjeu colonial, est menée par des valeurs altruistes. Au contraire, nous affirmons que ce sont les circonstances résultant de la guerre froide qui expliquent les raisons pour lesquelles le Canada se dote d’une politique pour répondre à la décolonisation africaine et non pas la conséquence d’une volonté politique d’appliquer le concept d’auto-détermination des peuples.

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