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La "guerre préventive" et l'évolution du droit international public / "Préventive war" and the evolution of public international law

Dubuy, Mélanie 30 October 2008 (has links)
Sous l’empire du droit international classique, la guerre préventive était, dans les relations internationales, un phénomène naturel. Les Etats déclaraient librement la guerre pour se protéger contre des menaces d’attaque imminentes ou lointaines. La guerre préventive s’effectuait offensivement et défensivement. Le passage du droit international classique au droit international moderne résulte d’une entreprise de limitation progressive du recours à la guerre puis à la force avec la Charte des Nations Unies. Cette phase de mise de la guerre hors la loi a engendré un glissement de la guerre préventive au recours préventif à la force. Sous l’empire du droit international positif, particulièrement après les attentats du 11 septembre 2001, la guerre préventive tente de revenir sous la forme d’une doctrine politique devenue stratégie sécuritaire. Elle investit la guerre préventive de nouveaux objectifs. Dans le nouveau contexte des relations internationales, postérieur à la guerre froide, le recours préventif à la force, de caractère ou de dimension préventive, peut s’effectuer de manière centralisée avec le système de sécurité collective et pourrait se faire préemptivement avec le droit de légitime défense. La question de la formation de nouvelles exceptions à l’interdiction du recours à la force se pose également. Les tentatives de résurgence de cette guerre poussent le droit international, interpellé par ces nouvelles menaces à la paix (terrorisme, prolifération des armes de destruction massive, violation massive des droits de l’homme, renversement de régimes démocratiques), à l’évolution. Mais la révolution normative revendiquée par l’hyperpuissance n’aura pas eu lieu. / Under the reign of classical international law, preventive war was, in international relations, a natural phenomenon. States used to declare war freely to protect themselves against threats of attack that were either imminent or remote. Preventive war was waged in an offensive or defensive way. The change from classical international law to modern international law stems from a movement of gradual reduction of recourse to war, then to force with the United Nations Charter. This period of outlawry of war has triggered a shift from preventive war to preventive recourse to force. Under the reign of positive international law, particularly after the attacks of September 11th, 2001, preventive war tries to come back under the form of a political doctrine that became a security strategy. Preventive war, under this modern guise, invests itself with new objectives. In the new context of post Cold war international relations, preventive recourse to force, of preventive dimension or nature, may be made in a centralized way with the system of collective security and may be made pre-emptively with the right of self defence. The question regarding the creation of new exceptions to the principle of non-recourse to force also comes up. The attempted resurgence of that type of war is driving international law, questioned by those new threats to peace (terrorism, proliferation of weapons of mass destruction, massive violations of human rights, the overthrow of democratic regimes) to evolve. However, the normative revolution claimed by the hyperpower will not have occurred.
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La guerre préventive dans la théorie de la guerre juste

De Cockborne, Diane 05 1900 (has links) (PDF)
Les tactiques préventives ont été de nombreuses fois utilisées dans un contexte de guerre. Cependant, peu d'exemples historiques nous permettent d'affirmer que la guerre préventive est une stratégie valable, qui devrait avoir une place au sein des théories de la guerre. En fait, elle fut interdite par l'Organisation des Nations Unies, due à une lacune importante, celle d'une définition précise, qui clarifierait son statut au niveau moral et international : est-il possible de la considérer comme un acte de légitime défense? En 2001, la réponse du gouvernement américain aux attaques qu'il venait de subir a été de mener une guerre préventive contre le terrorisme mondial. La légitimité de ces actions reste à démontrer; cependant, c'est à partir des débats qu'elles ont engendrés que nous avons articulé notre problématique. Ce contexte de menaces terroristes, dans lequel est plongé notre monde, a poussé les États à considérer l'autodéfense préventive comme une option légitime au combat mené. Dans ce travail, nous souhaitons aborder ce problème de la manière suivante : dans un premier temps, nous nous pencherons sur la place que détiennent la guerre préventive et la légitime défense dans les relations internationales. Ensuite, il s'agira, en prenant appui sur deux cas précis, d'appliquer des critères afin d'encadrer du mieux possible une action préventive. Si les États décidaient effectivement d'adopter une telle stratégie à un niveau mondial, ils devraient alors agir selon un guide, des critères qui permettraient de différencier les bonnes actions, des mauvaises; et surtout de pouvoir sanctionner celles qui ne sont pas justifiées. Et c'est précisément le fil argumentaire que nous suivons dans ce travail : l'évaluation des éléments qui pourraient constituer une guerre préventive légitime. Avec la crainte d'actes terroristes, on a pu assister à un retour de la question préventive qui tend à conserver le principe de légitime défense, sans pour autant aller à l'encontre du droit international. Si la légalisation d'un tel concept ne se produit jamais, il est tout de même important d'éclaircir les définitions des concepts de prévention et préemption puisque ceux-ci demeurent très incomplets et enclins à l'amalgame. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : guerre juste, guerre préventive, jus ad bellum.
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Guerres justes et guerres préventives / Just Wars and Preventive Wars

Castignani, Hugo 12 December 2009 (has links)
Notre travail a pour objectif principal de circonscrire avec netteté le concept de guerre préventive: l’histoire de sa constitution comme discours spécifique ; les différentes tentatives d’en offrir une définition précise et effective ; et ses effets sur l’ensemble de la théorie de la guerre juste et du droit international. Nous tenterons d’en donner une vue synthétique, tout en rapprochant éventuellement des éléments appartenant à des domaines non purement philosophiques. Il en résultera une histoire des concepts, des pratiques et des institutions liées à la guerre préventive.Avec la pensée de Thucydide comme point de départ historique et méthodologique, notre recherche vise à repérer des principes permanents régissant la pratique de la guerre préventive. D’un côté, nous relèverons les occurrences de ce concept dans le corpus de la philosophie politique, ce qui justifie le choix des auteurs et des textes ici retenus, de Thucydide et Cicéron à Fichte, Clausewitz, Hegel, ou Thomas Schelling, en passant par saint Augustin, saint Thomas, Vitoria, Bodin, Gentili, Grotius, Pufendorf ou Vattel. Nous montrerons en particulier pourquoi ce concept est inséparable des querelles du machiavélisme et de l’antimachiavélisme, en consacrant un chapitre à des auteurs tels que Machiavel, Francis Bacon, Gentillet, Frédéric II, Richelieu, Naudé et Botero.D’un autre côté, nous analyserons l’histoire des guerres préventives à la recherche d’une logique interne identifiable dans la plupart des conflagrations majeures de l’histoire. Ce fil directeur de la logique préventive nous amènera alors à réexaminer la théorie de la guerre juste, et des notions telles que l’impérialisme ou l’agression. / This thesis intends to analyze the concept of preventive war from the standpoint of political philosophy: the history of its constitution as a specific discourse; the attempts to find a precise and effective definition of it; its effects on the tradition of the just war theory. This research employs a synthetic methodology, analyzing as well texts and historical artefacts that are non-philosophical. The result will be a history of the concepts, practices and institutions related to preventive war.With the work of Thucydides as methodological and historical point of departure, our research tries to determine the permanent principles ruling the justification of preventive war. First, we will determine the occurrences of this concept in the corpus of political philosophy, a method that explains the array of authors this thesis surveys, from Thucydides and Cicero to Fichte, Clausewitz, Hegel, or Thomas Schelling, including Saint Augustine, Saint Thomas, Vitoria and the School of Salamanca, Bodin, Gentili, Grotius, Pufendorf and Vattel. We will focus particularly on the way this concept is inseparable of the dialectic between Machiavellism and Antimachiavellism, analyzing authors such as Machiavelli, Francis Bacon, Gentillet, Frederick II of Prussia, Richelieu, Naudé and Botero.Besides, we will analyze the history of preventive war searching for an internal logic at work in the majority of the great conflagrations of the past. The existence of such a preventive logic will lead us to re-evaluate traditional just war theory, imperialism and aggression.
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La relation franco-américaine autour de la question irakienne : la contestation d'un mode occidental alternatif / The French-American relationship under the test of the War in Iraq : the challenge of an alternative Western model

Benmakhlouf, Julie 04 October 2014 (has links)
Le différend entre la France et les Etats-Unis sur le règlement de la question irakienne a provoqué une crise diplomatique majeure entre les deux pays, jugée par certains comme la plus sérieuse dans l’histoire des relations bilatérales. Le dossier irakien a cristallisé les positions diplomatiques des deux alliés et mis en lumière deux lectures d’une grande question internationale. Pour la France, il a été l’occasion de défendre des principes, de faire entendre sa voix et de partager sa vision d’un monde multipolaire fondé sur la quête d’un règlement pacifique des différends. Pour les Etats-Unis, cette question relevait d’un enjeu de sécurité nationale, dans une Amérique profondément traumatisée par les attentats de septembre 2001. La rupture franco-américaine a résulté de facteurs structurels anciens : la concurrence entre deux modèles politiques et diplomatiques qui se veulent universels et le déséquilibre entre une puissance française, déclinante, qui aspire à préserver ses sphères d’influence sur la scène internationale, et une puissance américaine, ascendante, devenue, depuis l’effondrement du bloc soviétique, l’unique superpuissance à la tête d’un monde unipolaire. L’affrontement bilatéral du printemps 2003 a ainsi révélé les caractères intrinsèques qui opposent la diplomatie française et la diplomatie américaine et dévoilé leur conception très éloignée qu’elles se faisaient du nouvel ordre mondial et de la place qu’elles aspirent à occuper sur l’échiquier international / The disagreement between France and the US over the Iraqi issue led to a serious diplomatic crisis between the two countries, considered by many analysts as the most serious one in the history of bilateral relations. The Iraqi case crystallized the diplomatic positions of both allies and revealed two different reads of this major international issue. For France, this case was the opportunity to defend its principles, to get itself heard by the rest of the world and to share its vision of a multipolar world, where disputes would be peacefully settled through international organizations. For the US, that issue fell under a matter of national security, in a country deeply traumatized by ‘9/11’. The split between thetwo countries resulted from historical structural causes : (i) the competition between two political and diplomatic models that present themselves as universal, and (ii) the imbalance between France’s declining power aspiring to preserve its spheres of influence over the world and America’s ascending power that has become, since the end of the Cold War, the only superpower. The bilateral confrontation of 2003 revealed the distinctive patterns of both French and American foreign policies and exposed their different views and models of the new world order, as well as their ambitions on the international scene

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