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D'une voix l'autre : plaisirs féminins dans la littérature française de la Renaissance

Gilles-Chikhaoui, Audrey 24 January 2014 (has links)
Étudier les plaisirs féminins dans la littérature française de la Renaissance, c’est d’abord faire le constat d’une pluralité de représentations qui se regroupent autour d’un même enjeu, celui de l’honnêteté. En raison d’une forte tradition misogyne, il est en effet difficile pour une femme de concilier cet impératif social avec le plaisir. Les textes que nous étudions (récit, poésie, littérature d’idées) sont toutefois portés par une dynamique entre voix féminines et voix masculines, qui contribue à faire émerger un discours nouveau sur le plaisir féminin que nous nous proposons d’étudier. La première partie étudie les plaisirs dans l’espace conjugal. Celui-ci fait de la volupté féminine, dans la relation entre époux et dans l’adultère, à la fois une nécessité et une déviance. La deuxième partie s’attache à l’espace social et interroge les plaisirs de cour : les échanges amoureux influencés par l’amour courtois, le néo-platonisme et le pétrarquisme, et les divertissements collectifs, de la danse à la conversation. La troisième partie, consacrée à l’espace de soi, se dégage de la morale sociale dont les deux premières parties sont tributaires pour proposer une réflexion sur le plaisir comme accomplissement de soi dans la maternité, le savoir, la spiritualité et l’écriture.
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D'une voix l'autre : plaisirs féminins dans la littérature française de la Renaissance

Gilles-Chikhaoui, Audrey January 2014 (has links)
Étudier les plaisirs féminins dans la littérature française de la Renaissance, c’est d’abord faire le constat d’une pluralité de représentations qui se regroupent autour d’un même enjeu, celui de l’honnêteté. En raison d’une forte tradition misogyne, il est en effet difficile pour une femme de concilier cet impératif social avec le plaisir. Les textes que nous étudions (récit, poésie, littérature d’idées) sont toutefois portés par une dynamique entre voix féminines et voix masculines, qui contribue à faire émerger un discours nouveau sur le plaisir féminin que nous nous proposons d’étudier. La première partie étudie les plaisirs dans l’espace conjugal. Celui-ci fait de la volupté féminine, dans la relation entre époux et dans l’adultère, à la fois une nécessité et une déviance. La deuxième partie s’attache à l’espace social et interroge les plaisirs de cour : les échanges amoureux influencés par l’amour courtois, le néo-platonisme et le pétrarquisme, et les divertissements collectifs, de la danse à la conversation. La troisième partie, consacrée à l’espace de soi, se dégage de la morale sociale dont les deux premières parties sont tributaires pour proposer une réflexion sur le plaisir comme accomplissement de soi dans la maternité, le savoir, la spiritualité et l’écriture.
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D'une voix l'autre : plaisirs féminins dans la littérature française de la Renaissance / From one voice to another : feminine pleasures in French Renaissance literature

Gilles-Chikhaoui, Audrey 30 November 2013 (has links)
Étudier les plaisirs féminins dans la littérature française de la Renaissance, c’est d’abord faire le constat d’une pluralité de représentations qui se regroupent autour d’un même enjeu, celui de l’honnêteté. En raison d’une forte tradition misogyne, il est en effet difficile pour une femme de concilier cet impératif social avec le plaisir. Les textes que nous étudions (récit, poésie, littérature d’idées) sont toutefois portés par une dynamique entre voix féminines et voix masculines, qui contribue à faire émerger un discours nouveau sur le plaisir féminin que nous nous proposons d’étudier. La première partie étudie les plaisirs dans l’espace conjugal. Celui-ci fait de la volupté féminine, dans la relation entre époux et dans l’adultère, à la fois une nécessité et une déviance. La deuxième partie s’attache à l’espace social et interroge les plaisirs de cour : les échanges amoureux influencés par l’amour courtois, le néo-platonisme et le pétrarquisme, et les divertissements collectifs, de la danse à la conversation. La troisième partie, consacrée à l’espace de soi, se dégage de la morale sociale dont les deux premières parties sont tributaires pour proposer une réflexion sur le plaisir comme accomplissement de soi dans la maternité, le savoir, la spiritualité et l’écriture. / The study of feminine pleasures in the sixteenth-century French literature leads to a multiplicity of representations. All of them coincide with the idea of honesty. Because of a strong misogynist ideology, women could hardly reconcile these social and moral requirements with the notion of pleasure. Nevertheless, the texts studied in this thesis (narratives, poems, essays and treatises) show a dynamic between feminine and masculine voices that gives way to new discourses on pleasure. The first part focuses on pleasure within marriage. Be it within their relationship with their spouses or in adultery, feminine sensual pleasure was considered both an honest need and a déviance. The second part deals with social pleasures: public amusements (from dance to conversations) as well as encounters between lovers, which were influenced by amour courtois, neoplatonism, and, petrarquism. The third part, dedicated to the self, breaks away from the social morals attached to the first two parts in order to study pleasure as self-accomplishment through motherhood, knowledge, spirituality and writing.
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Voix et échos des romancières aux XVIe et XVIIe siècles

Côté, Julie 25 January 2012 (has links)
Hélisenne de Crenne, Marie de Gournay et Madeleine de Scudéry : trois voix de femmes qui, en prenant la plume, ont transgressé les règles établies par des sociétés patriarcales, pour qui l’idéal féminin doit être gouverné par la modestie, la pudeur et la discrétion. Notre thèse examine l’instrumentalisation du genre romanesque qui est effectué par ces auteures pour faire entendre un discours revendicateur, réclamant un accès à l’éducation et à la culture, ainsi que le droit au bonheur et à l’amour dans les questions d’ordre matrimonial. En étudiant Les angoysses douloureuses qui procèdent d’amours, le Promenoir de Monsieur de Montaigne et Mathilde, cette thèse fait état de la continuité et de l’écho d’un discours propre à une posture féminine, porteur à la fois de la doxa défavorable aux dames et de propositions visant à faire advenir le « féminin », qui prend en compte l’aspiration au bonheur.
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Voix et échos des romancières aux XVIe et XVIIe siècles

Côté, Julie 25 January 2012 (has links)
Hélisenne de Crenne, Marie de Gournay et Madeleine de Scudéry : trois voix de femmes qui, en prenant la plume, ont transgressé les règles établies par des sociétés patriarcales, pour qui l’idéal féminin doit être gouverné par la modestie, la pudeur et la discrétion. Notre thèse examine l’instrumentalisation du genre romanesque qui est effectué par ces auteures pour faire entendre un discours revendicateur, réclamant un accès à l’éducation et à la culture, ainsi que le droit au bonheur et à l’amour dans les questions d’ordre matrimonial. En étudiant Les angoysses douloureuses qui procèdent d’amours, le Promenoir de Monsieur de Montaigne et Mathilde, cette thèse fait état de la continuité et de l’écho d’un discours propre à une posture féminine, porteur à la fois de la doxa défavorable aux dames et de propositions visant à faire advenir le « féminin », qui prend en compte l’aspiration au bonheur.
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Voix et échos des romancières aux XVIe et XVIIe siècles

Côté, Julie 25 January 2012 (has links)
Hélisenne de Crenne, Marie de Gournay et Madeleine de Scudéry : trois voix de femmes qui, en prenant la plume, ont transgressé les règles établies par des sociétés patriarcales, pour qui l’idéal féminin doit être gouverné par la modestie, la pudeur et la discrétion. Notre thèse examine l’instrumentalisation du genre romanesque qui est effectué par ces auteures pour faire entendre un discours revendicateur, réclamant un accès à l’éducation et à la culture, ainsi que le droit au bonheur et à l’amour dans les questions d’ordre matrimonial. En étudiant Les angoysses douloureuses qui procèdent d’amours, le Promenoir de Monsieur de Montaigne et Mathilde, cette thèse fait état de la continuité et de l’écho d’un discours propre à une posture féminine, porteur à la fois de la doxa défavorable aux dames et de propositions visant à faire advenir le « féminin », qui prend en compte l’aspiration au bonheur.
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Voix et échos des romancières aux XVIe et XVIIe siècles

Côté, Julie January 2012 (has links)
Hélisenne de Crenne, Marie de Gournay et Madeleine de Scudéry : trois voix de femmes qui, en prenant la plume, ont transgressé les règles établies par des sociétés patriarcales, pour qui l’idéal féminin doit être gouverné par la modestie, la pudeur et la discrétion. Notre thèse examine l’instrumentalisation du genre romanesque qui est effectué par ces auteures pour faire entendre un discours revendicateur, réclamant un accès à l’éducation et à la culture, ainsi que le droit au bonheur et à l’amour dans les questions d’ordre matrimonial. En étudiant Les angoysses douloureuses qui procèdent d’amours, le Promenoir de Monsieur de Montaigne et Mathilde, cette thèse fait état de la continuité et de l’écho d’un discours propre à une posture féminine, porteur à la fois de la doxa défavorable aux dames et de propositions visant à faire advenir le « féminin », qui prend en compte l’aspiration au bonheur.

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