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Le chanoine limousin Étienne Maleu († 1322), historien de son église / The canon from Limousin Étienne Maleu († 1322), historian of his church

Bouchaud, Pauline 08 December 2018 (has links)
Étienne Maleu († 1322), chanoine de Saint-Junien (Haute-Vienne), a rédigé une chronique en latin. Il y raconte l’histoire de son église de l’an 500 jusqu’en 1316, date à laquelle il pose sa plume. L’auteur prend soin de consigner dans son « livre de mémoire », les biens et les droits de son chapitre à une époque où celui-ci voit ses horizons s’élargir considérablement à la suite de la nomination comme prévôt d’un membre de la curie pontificale avignonnaise. Étienne Maleu se distingue, parmi les historiens du début du XIVe siècle, par son profil singulier de chanoine de collégiale séculière ainsi que par la vaste érudition qu’il a mise au service d’une œuvre au caractère très local. Comme son contemporain Bernard Gui, auquel il emprunte sa matière et sa méthode historiques, il est un digne représentant de cette histoire « technicienne », selon le terme de Bernard Guenée, qui s’épanouit dans le royaume de France à la fin du Moyen Âge. En effet, le chanoine de Saint-Junien, qui a exploité des sources de natures très diverses (archéologiques notamment, qu’il a la particularité d’étudier dans une perspective liturgique), offre à son lecteur un récit construit et « documenté », y insérant, outre des analyses, la copie de vingt-sept chartes et bulles ainsi que de documents épigraphiques. La présente étude, qui vise à replacer Étienne Maleu dans la communauté des historiens médiévaux, s’accompagne d’une édition critique de sa chronique, réalisée à partir des différentes copies prises par des érudits des XVIIe et XVIIIe siècles, accompagnée de sa traduction commentée. / Étienne Maleu († 1322), canon of Saint-Junien (Haute-Vienne), wrote a Latin chronicle. He related the story of his church from 500 to 1316. Indeed, he completed his work in 1316. The author carefully recorded the possessions and rights of his church. At this time, indeed, the pope appointed to the function of provost a member of his familia : it deeply changed the chapter’s composition and organization. Étienne Maleu was quite different from the other historians of the beginning of the fourteenth century. Indeed, he was a secular canon who belonged to a collegiate church. Furthermore, he demonstrated a vast erudition in the writing of a very local chronicle and wrote a scholarly history, as his contemporary Bernard Gui from whom he borrowed his historical knowledge and method. Indeed, the canon of Saint-Junien used a very large range of sources, that is to say chronicles, vitae sanctorum, necrologies, deeds, epigraphic and monumental sources, oral sources and his own memory. He offered a well-structured story. He transcribed twenty-seven deeds in his work and also inserted in his text the summaries of about thirty other deeds. This study aims to place Étienne Maleu in the community of medieval historians. It also offers a critical edition of his chronicle – which publishes the text of copies made from the original manuscript (which was probably burnt during the French Revolution in 1793) during the seventeenth and eighteenth centuries – and a translation with annotations.
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Évêques, pouvoir et société à Byzance (début du VIIIe siècle-milieu du XIe siècle). Territoires, communautés et individus dans la société provinciale de l'Empire byzantin / Bishops, Power and Society in Byzantium (early VIIIth-middle XIth century). Territories, Communities and Individuals in the Provincial Society of the Byzantine Empire

Moulet, Benjamin 29 November 2008 (has links)
Co-tutelle de thèse Université Paris I Panthéon-Sorbonne / Université Libre de Bruxelles, sous la direction conjointe de Michel KAPLAN (Université Paris I Panthéon-Sorbonne) et de Jean-Marie SANSTERRE (Université Libre de Bruxelles) L’épiscopat constitue un fondement essentiel mais méconnu de l’Église mésobyzantine. Malgré la relative rareté des sources, il est possible d’en retracer l’histoire et les grandes évolutions : une part importante de l’hagiographie de l’iconoclasme et post-iconoclaste concerne en effet métropolites et évêques, témoignant du lien fort existant entre ceux-ci et le peuple des cités dont ils ont la charge, particulièrement quand ils sont considérés saints par la population. De nombreuses sources épistolaires, ecclésiastiques et sigillographiques, émanant des évêques eux-mêmes, permettent d’approcher les réalités du corps épiscopal et celles de la société provinciale qu’il représente auprès des autorités centrales. L’évêque apparaît également comme le relais des volontés impériale et patriarcale dans les provinces de l’Empire. Dans un contexte de compétition de pouvoir avec les autorités locales, l’évêque tente ainsi d’imposer le sien propre, dans ses aspects spatiaux, sociaux, religieux et symboliques. L’approche collective et les approches individuelles de l’épiscopat doivent permettre de comprendre les réalités sociales d’un Empire de plus en plus centré sur sa capitale et dont sont progressivement détachées, du moins dans les sources, les périphéries. Une histoire décentrée de l’Empire byzantin passe dès lors par des études régionales mais aussi par des études consacrées à des groupes sociaux enracinés dans tout l’Empire, surtout lorsque, comme les évêques, ils revendiquent la spécificité de leur région et leur attachement à une société provinciale qui constitue le socle de l’Empire. / The episcopate is an essential structure of the middle-Byzantine Church ; however, it remains little known. Although sources are limited, its history and evolution can still be reconstructed, as a large portion of the iconoclastic and post-iconoclastic hagiography deals with metropolitans and bishops. The sources reveal the strong connection between bishops and the inhabitants of the cities under their responsibility, especially when the population considers them as saints. Numerous epistolary, ecclesiastic and sigillographic documents issued by bishops themselves partially unveil the realities of the episcopal group and the provincial society that bishops represent to the central authorities. The bishop also serves as relay of both imperial and patriarchal wills to the provinces of the Empire. Competing with local authorities, the bishop thus tries to impose his own influence in its spatial, social, religious and symbolic dimensions. Both collective and individual approaches of the episcopate make the social realities of the Empire more understandable, as it becomes more and more focused on its capital city while its peripheries gradually move away, which documentation seems to imply. Regional studies, but also studies focused on social groups established across the whole Empire, are the fundamentals of a decentred history of the Byzantine Empire. This is especially true since social groups such as bishops claim the specificity of their regions and their link to a provincial society that represents the cornerstone of the Empire.
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Caritas et familiaritas à l'ombre du Seigneur : les relations des mulieres religiosae des Pays-Bas méridionaux du 13ème siècle avec leur entourage

Méril-Bellini Delle Stelle, Anne-Laure 21 September 2012 (has links) (PDF)
Au XIIIe siècle, les premières mulieres religiosae fondent un phénomène spirituel dont l'ambigüité préoccupe autant les contemporains qu'il interroge les historiens des béguines et plus largement de l'Église médiévale et des femmes. À travers un corpus de Vitae et d'exempla provenant ou traitant des Pays-Bas méridionaux, cette thèse souhaite renouveler la question du rôle de ces dévotes atypiques dans une démarche comparative fondée sur l'analyse d'hommes et de femmes pieux, menant une vie religieuse, dans ou en dehors d'une communauté, permettant ainsi de convoquer les acquis de l'histoire du genre pour éclairer cette réflexion. La première partie de l'étude s'attache à déconstruire les topoi de la sainteté mystique pour mettre au jour les rebuffades dont les mulieres religiosae ont été les victimes jusqu'à l'exclusion sociale. Néanmoins, cette mise à l'écart est contredite par les hagiographes eux-mêmes qui brossent dans le même temps le portrait de femmes œuvrant dans le siècle. La première partie de ce travail ouvre l'analyse sur les modalités d'insertion sociale développée par et autour des mulieres religiosae. Économiquement, politiquement et surtout spirituellement, en raison de leur sainteté, elles participent activement au monde et s'insèrent dans différents réseaux, dont un bilan sériel permet d'appréhender la richesse. Ces éléments permettent d'étendre la recherche au fonctionnement de ces sociabilités. En prenant appui sur une analyse sémantique, il s'agit de saisir leurs principes de mise en œuvre, articulée autour de la caritas, ainsi que leurs limites qui sont de plus en plus visibles après la deuxième moitié du XIIIe siècle.
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L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques des pays d'Olt et de Dordogne (Xe-XIe siècles)

Fray, Sébastien 26 November 2011 (has links) (PDF)
La présente étude s'inscrit dans le débat à propos d'une éventuelle " mutation féodale " autour de l'an mil. Il s'agit d'étudier l'aristocratie laïque durant les Xe et XIe siècles, en prêtant une égale attention aux ressorts matériels et idéologiques de sa domination sociale. La signification des transformations que connaît alors l'écriture diplomatique étant au cœur de la controverse, le choix a été fait de partir des sources hagiographiques originaires des abbayes d'Aurillac, Conques et Figeac. Mais le discours hagiographique présente ses propres biais. Afin de s'en prémunir au mieux, on a confronté autant que possible les affirmations des sources hagiographiques aux informations disponibles grâce à d'autres types de documents. La démonstration procède en deux étapes. En recourant aux méthodes de l'hagiologie, la première partie permet de contextualiser la production hagiographique et de s'interroger sur les conditions de sa réception : on s'aperçoit que si les textes latins sont d'abord destinés à être lus par des clercs, de multiples canaux de diffusion orale permettaient aux hagiographes de s'adresser également aux laïcs, en particulier à l'aristocratie. La seconde partie étudie l'évolution de la domination aristocratique à travers ce que permet d'en percevoir l'hagiographie. Elle montre qu'un certain nombre de transformations ont eu lieu dès le début du Xe siècle et permettent de parler d'une " mutation de l'an 900 " : l'émergence de la chevalerie, la mise en place de la féodalité, la montée en puissance des sires, l'importance des châteaux et des milites sont autant de phénomènes qui datent de cette époque. Toutefois, l'an mil connaît deux ajustements non négligeables : le redéploiement de l'identité aristocratique autour des châteaux et le passage d'une conception cognatique de la parenté noble à une autre d'avantage agnatique.
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Aspects du mysticisme marocain au VIIe-VIIIe/XIIIe-XIVe siècle à travers l'analyse critique de l'ouvrage Al-Minhāǧ al-wāḍiḥ fī taḥqīq karāmāt Abū [i.e. Abī] Muḥammad Ṣāliḥ /

Rais, Mohamed. Prémare, Alfred-Louis de, January 2007 (has links)
Thèse de doctorat--Lettres arabes--Aix-Marseille 1, 1996. / Edition scientifique du texte arabe p. 1-428. Bibliogr. p. 194-208.
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La Légende Dorée conservée à la Bibliothèque Municipale de Rennes approche pluridisciplinaire et comparée du manuscrit 266, un exemplaire enluminé de la fin du 14ème siècle, dans la version française de Jean de Vignay /

Guérinel-Rau, Marie Muratova, Xénia. Büttner, Frank January 2007 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Histoire de l'art : Rennes 2 : 2007. Reproduction de : Thèse de doctorat : Histoire de l'art : Ludwig-Maximilians Universität München : 2007. / Thèse soutenue en co-tutelle. Bibliogr. f. 265-290. Annexes.
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Die Gesellschaft der Räume laikale und bürgerliche Handlungsräume in der italienischen Malerei und Literatur um 1300

Traska, Georg January 2004 (has links)
Zugl.: Trier, Univ., Diss., 2004
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L'hagiographie pataphysique : enjeux de l'ethos dans les Vies de Saints du Calendrier

Bonenfant, Charles 02 1900 (has links)
RÉSUMÉ Forme littéraire développée dès les débuts du IVe siècle, l’hagiographie, plus tard sanctionnée par l’Église catholique romaine, se déploie avec tout le rituel et le décorum requis par le genre institué, dévoilant les modalités du savoir et du croire qui la distingue. Cette forme fixe fut réactivée, contre toute attente, dans une somme étoffée durant la seconde moitié du XXe siècle par le Collège de ‘Pataphysique, aréopage de philosophes, littérateurs et plasticiens, qui n’est pas un conclave d’excentriques, pas davantage qu’un nouvel « isme », mais une institution qui résolument emblématise la Science. Ce réemploi générique de l’hagiographie est caractérisé par une hétérogénéité bien peu canonique s’inscrivant dans une continuité problématique par rapport au sous-texte. Une première traversée du Calendrier inviterait à croire à une entreprise parodique et iconoclaste. La parodie, qui est aussi une imitation, pose un problème de visée. Le second degré de Gérard Genette implique deux grands régimes discursifs : le sérieux (le sérieux proprement dit et le satirique) et le ludique. Ces régimes nous ont été utiles pour arrimer la question de l’humour. Il y a là en somme deux possibilités, soit la parodie sérieuse conduisant à ridiculiser l’hagiographie et le Calendrier des Saints qui seraient sérieusement visés, néantisés, tournés en dérision; soit la parodie ludique, à portée nulle, simple jeu, farce farfelue, « pour rire ». Or, nous avons tenté de démontrer dans ce mémoire que, même s’il y a lieu d’avancer des arguments en faveur de l’un et de l’autre type de parodie, le partage ne fonctionne pas, précisément peut-être parce qu’il est possible de montrer à la fois que c’est sérieux et pas sérieux. Dans un troisième temps, on peut aussi faire la démonstration que le pas-sérieux est sérieux. Les jeux de mots, d’homophonie n’engagent-ils pas le Verbe? L’imitation impossible ne réfléchit-elle pas les imitabile de la Sainte Église? La situation énonciatrice tributaire de l’hagiographie pataphysique est non différentiable d’un souci de didactisme qui place la composante moralisatrice au centre des enjeux discursifs. Elle induit de ce fait des attentes en matière d’ethos consistant à mettre au même diapason une représentation sociale de l’énonciateur et une représentation intradiscursive au ton didactique. Elle adjoint un autre ton, savant celui-là, érudit, qui vient défaire la belle convergence et fait disjoncter la rhétorique du genre. Cette rhétoricité problématique de l’hagiographie pataphysique a été abordée sous l’angle de l’ethos. L’ethos est l’instance de validation par laquelle nous renvoyons non pas au caractère de l’orateur, mais, suivant en cela Dominique Maingueneau, au type de parole engendrée par le discours et qui, en retour, rend ce discours crédible. Que devient cette instance lorsque la visée persuasive du discours est remise en question, que l’ethos se démultiplie de façon hétérogène sans véritablement assurer la cohésion du propos ni garantir sa portée? La parodie posant incidemment un problème de visée, est-ce du côté d’un ethos parodique que se trouve la réponse? Il nous a convenu de mesurer, d’articuler, de déplacer cette postulation. Nous nous sommes saisi, pour les besoins de notre argumentation, d’une discipline historiquement lourde d’investissement théorique, soit la rhétorique. Celle-ci constitue à la fois une méthode de composition d’un discours reposant sur des lieux susceptibles de susciter l’adhésion et l’émulation de l’énonciataire et une méthode d’analyse. Guidé par une définition étendue du texte, traversant les littératures non narrative et narrative, il nous a importé enfin de restituer la pratique cymbaliste à partir d’un corpus qui est resté l’apanage du « seul » pataphysicien. Nous nous sommes ainsi situé dans l’horizon plus global de la réceptivité d’un discours qui évacue l’idéologique, qui jamais ne se laisse saisir tout à fait, ni enferrer par le fétiche du sens au profit des potentialités qu’il recèle, et cela à partir d’axiomes arbitraires soumis à l’unique exigence de cohérence interne. / ABSTRACT Hagiography, a literary form dating back to the beginnings of fourth century Christianism, and later sanctioned by the Roman Catholic Church, exhibits itself with all the ritualistic devices and decorum requisite to the genre, displaying the full intricacies of its knowledge and beliefs in the process. It was unexpectedly given new life by an extensive body of work put forth, in the second half of the 20th century, by the Collège de ‘Pataphysique (or ‘Pataphysics), a gathering of philosophical and literary minds. The Collège intended to be an institution dedicated to the emblematization of Science, something other than a conclave of eccentrics or a mere new “ism”. This generic reuse of hagiography exhibits a singular heterogeneity, which, far from being canonical, is part of a continuation, a problematic element vis-à-vis the subtext. Upon reviewing the Calendar of the Saints, one could conclude that this collective work is little more than a parodical and iconoclastic enterprise. But parody, a form of imitation, raises the issue of scope. Gérard Genette’s Second degree refers to two main types of discourse: the serious -what is serious per say and what is satirical-, and the playful. This approach proved useful when tackling the matter of humour. There are, in fact, two alternatives: serious parody, which would deride hagiography and the Calendar of the Saints, or playful parody, a simple game, a farce with no actual scope, “just for fun”. While a valuable argument can be made for either option, we will attempt to demonstrate that a distinction between the two is in fact impossible, precisely because it is possible to prove that it is both serious and not serious. Ultimately, we can also demonstrate that the not-serious is serious. After all, isn’t it true that puns and homophony both involve the Word? And doesn’t the impossible imitation reflect the imitabile of the Holy Church itself? The enunciative situation stemming from pataphysical hagiography is indistinguishable from any didactical endeavour with a moralistic component at its core. It calls for ethos, with a social representation of the enunciator as well as a didactical representation from within the discourse itself. It also takes a more scholarly tone, which disrupts the convergence and has a disjunctive effect on the rhetoric of the genre. We chose to approach the “rhetorical problem” raised by pataphysical hagiography through the notion of ethos. The ethos, as a validation premise, takes us beyond the speaker’s character, in the footsteps of the likes of Dominique Maingueneau, to the type of message stemming from the discourse, making it credible. But what becomes of this premise when the discourse’s persuasive scope is put into question? When the ethos multiplies itself, preserving neither the message’s cohesion nor its scope? If parody incidentally raises the issue of scope, does the answer lie in some form of parodical ethos? We saw fit to measure, articulate and analyse this hypothesis from different angles. For the purposes of our analysis, we took on a disciplined, rhetorical approach. Although cumbersome from a theoretical standpoint, this method for creating discourse is based on elements capable of inciting both adherence from (and emulation of) the enunciator, as well as on a method of analysis. Guided by a broader definition of the text, spanning both narrative and non-narrative literary genres, we sought to restore the cymbalistic approach from a body of work belonging solely to the pataphysician. We thus positioned ourselves in the greater setting of a discourse free of ideological considerations, that is never quite fully understood or stuck within the confines of meaning, and therefore has endless potential ; a discourse based on random axioms bound only by the requirement of internal coherence.
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Der hagiographische Topos : griechische Heiligenviten in mittelbyzantinischer Zeit /

Pratsch, Thomas. January 2005 (has links)
Freie Univ., Habil.-Schr.--Berlin, 2004.
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Textaneignung das Frauenlegendar der Lichtenthaler Schreibmeisterin Schwester Regula

Breith, Astrid January 2006 (has links)
Zugl. leicht überarb. Fassung von: Tübingen, Univ., Diss., 2006

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