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Les sources du droit et du pouvoir politique au travers des anciens textes thaïlandais /

Nipithakul, Thapanan, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Droit--Toulouse 1, 2004.
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Oaths and ordeals in Dharmaśāstra /

Pendse, Sudhakar Narhari, January 1985 (has links)
Texte remanié de: Diss. Ph. D.--Baroda--Maharaja Sayajirao university of Baroda, 1975. / Contient des passages en sanscrit. Notes bibliogr.
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Smr̥tikālīna ācāra vyavasthā : samāja ke sandarbha meṃ /

Aruṇimā. January 2002 (has links)
Diss. Ph. D.--Banasthalī Vidyāpīṭha. / Bibliogr. p. 306-314.
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The gods of the directions in Ancient India : origin and early development in art and literature, until c. 1000 A.D. /

Wessels-Mevissen, Corinna. January 2001 (has links)
Texte remanié de: Ph.D.. Titre de soutenance : The formation and early development of the brahmanical group of directional guardian deities in Indian art, until c. 1000 A.D. / Bibliogr. p. 117-127. Index.
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Etude des cultes populaires en Birmanie dans l'art et les textes birmans

Raymond, Catherine, January 1989 (has links)
Th. 3e cycle--Etud. indiennes--Paris 3, 1987.
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A Past for the Present : the Role of the Śrī Maṭh and the Jagadgurū in the Evolution of the Rāmānandī Sampradāya / Le Passé pour le Présent : le Rôle du Śrī Maṭh et du Jagadgurū dans l’évolution de la Sampradāya des Rāmānandī

Bevilacqua, Daniela 29 April 2015 (has links)
Cette thèse vise à décrire comment un ordre religieux subit des processus d'évolution et de transformation qui permettent d'interpréter et de satisfaire les besoins religieux de la société. L'hypothèse à la base de ce travail est que les ordres religieux et les gourous sont des éléments centraux qui caractérisent et influencent la société indienne dans le passé et dans le présent.Je focalise mon attention sur le sampradāya des Rāmānandī –groupe religieux datant de Rāmānanda- qui eut un rôle primordial dans la diffusion de la bhakti de Ram (dévotion envers Ram) dans le nord de l’Inde vers la fin du XVème siècle. Mon but est de montrer comment la figure de Rāmānanda et l’organisation de l’ordre religieux ont évolué au cours des siècles, pour être capables ensuite d’interpréter les principaux changements survenus au XXème siècle.A cause de ces différences internes, les Rāmānandīs n’ont jamais eu de représentant dans un centre officiel qui puisse fonctionner comme pôle directeur pour l’ordre. Donc, l’utilisation du titre de Jagadgurū Rāmānandācārya et la construction du Śrī Math au XXème siècle représentent un changement significatif dans l’histoire de l’ordre. C’est pour cela que j’ai formulé mes principales questions, base de ma recherche, sur ce thème :1) pourquoi au XXème siècle, un sampradāya caractérisé par diverses disciplines religieuses (sādhanā-s) et diffusé dans différents centres indépendants a senti la nécessité de créer la fonction de Jagadgurū Rāmānandācārya comme leader principal ?2) le Śrī Math fait-il partie de la reconstruction du charisme du Rāmānanda et est-il un instrument pour aider à la fonction de Jagadgurū Rāmānandācārya ?Pour retracer l’évolution de la tradition des Rāmānandī de leur origine à nos jours j’ai utilisé une approche multidisciplinaire, dans laquelle méthodologies anthropologique et historique coopèrent. / In this dissertation, I focus my attention on the Rāmānandī sampradāya - a religious group supposedly formed by the religious teacher Rāmānanda – that had a primary role in spreading Rām bhakti (devotion toward Rām) throughout northern India, possibly from the end of the 15th century. My purpose here is to reconstruct how the representation of Rāmānanda and the organization of the sampradāya evolved over the centuries in order to interpret the two main changes that have occurred in the 20th century: the establishment of the office of Jagadgurū Rāmānandācārya as the leader of the sampradāya, and the construction of the Śrī Maṭh, a monastery on the place where, according to the Rāmānandī tradition, Rāmānanda used to preach. Because of these internal distinctions, the Rāmānandī-s have never had a single representative leader installed in a particular place that could work as directive pole for the sampradāya. Therefore, the bestowing of the title of Jagadgurū Rāmānandācārya and the construction of the Śrī Maṭh in the 20th century represent a significant change in the history of the order. For this reason, I formulated the main questions at the base of my research as follows: 1 Why has a sampradāya characterized by several religious disciplines (sādhanā-s) and spread across several independent religious centers established the office of a Jagadgurū Rāmānandācārya as central leader in the 20th century? 2 Which role does the Śrī Maṭh play in the reconstruction of Rāmānanda’s charisma and in support of the office of Jagadgurū Rāmānandācārya? To accomplish my analysis I employ a multidisciplinary approach – described in Chapter 1 – in which anthropological and historical methodologies cooperate to reconstruct the evolution of the Rāmānandī tradition from its origin until the present.
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Dynamiques familiales de la communauté hindoue de Montréal : contrer la violence intrafamiliale

Loiselle, Marguerite January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Pour un monde chargé de sens : l’univers sensoriel de la pūjā hindoue

Blanchard, Marie-Josée 05 December 2011 (has links)
La culture indienne a longtemps été identifiée à une philosophie où le monde n’est qu’illusion, où les sens s’avèrent trompeurs, et où, donc, il est nécessaire de se détacher du corps afin d’atteindre une réalité suprême, en dehors de ce monde. Pourtant, une courte immersion dans la réalité quotidienne de l’hindouisme, en particulier par rapport à sa forme dévotionnelle (bhakti) et au rituel de la pūjā s’y rattachant, laisse entendre tout le contraire. Le monde dévotionnel hindou s’avère en fait plongé dans un univers hautement incorporé et sensoriel. La présente thèse se donne pour objectif de réaliser la profondeur de cette nature incorporée et hautement sensorielle de la bhakti hindoue. C’est en envisageant l’utilisation des sens non seulement comme le résultat d’un apprentissage culturel, mais également comme le locus de la connaissance du monde, que la méthodologie proposée par l’anthropologie sensorielle nous permettra de réaliser l’ampleur du rôle joué par le sensorium dans la compréhension, l’acquisition et la communication avec le divin. Nous concentrerons cette étude sur la pūjā hebdomadaire effectuée par la communauté hindoue d’Ottawa au temple Vishva Shakti Durgā. Cette analyse révélera que c’est en utilisant ses sens que le dévot réussit à entrer en contact avec le divin et que c’est également en exploitant divers stimuli sensoriels que le divin réussit à se manifester et à s’incorporer au profit de ses dévots. Le sens de la vision se dévoilera l’un des plus importants dans cette interaction avec les divinités, particulièrement à travers le darśan, mais les autres sens s’avéreront eux aussi essentiels dans cette transaction avec le divin, notamment à travers la musique, les mantras, la prasād, ainsi que les diverses formes de toucher direct ou indirect avec la divinité. Somme toute, cette étude démontrera que la rencontre avec le divin nécessite en soi l’utilisation d’un sensorium sacré. Les diverses perceptions sensorielles engagées dans cette interaction parlent à la fois à la nature humaine et divine de l’être, et permettent dès lors à la vraie nature de l’humain d’entrer en contact avec la vraie et suprême réalité du divin (bhagwān/brahman).
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Pour un monde chargé de sens : l’univers sensoriel de la pūjā hindoue

Blanchard, Marie-Josée 05 December 2011 (has links)
La culture indienne a longtemps été identifiée à une philosophie où le monde n’est qu’illusion, où les sens s’avèrent trompeurs, et où, donc, il est nécessaire de se détacher du corps afin d’atteindre une réalité suprême, en dehors de ce monde. Pourtant, une courte immersion dans la réalité quotidienne de l’hindouisme, en particulier par rapport à sa forme dévotionnelle (bhakti) et au rituel de la pūjā s’y rattachant, laisse entendre tout le contraire. Le monde dévotionnel hindou s’avère en fait plongé dans un univers hautement incorporé et sensoriel. La présente thèse se donne pour objectif de réaliser la profondeur de cette nature incorporée et hautement sensorielle de la bhakti hindoue. C’est en envisageant l’utilisation des sens non seulement comme le résultat d’un apprentissage culturel, mais également comme le locus de la connaissance du monde, que la méthodologie proposée par l’anthropologie sensorielle nous permettra de réaliser l’ampleur du rôle joué par le sensorium dans la compréhension, l’acquisition et la communication avec le divin. Nous concentrerons cette étude sur la pūjā hebdomadaire effectuée par la communauté hindoue d’Ottawa au temple Vishva Shakti Durgā. Cette analyse révélera que c’est en utilisant ses sens que le dévot réussit à entrer en contact avec le divin et que c’est également en exploitant divers stimuli sensoriels que le divin réussit à se manifester et à s’incorporer au profit de ses dévots. Le sens de la vision se dévoilera l’un des plus importants dans cette interaction avec les divinités, particulièrement à travers le darśan, mais les autres sens s’avéreront eux aussi essentiels dans cette transaction avec le divin, notamment à travers la musique, les mantras, la prasād, ainsi que les diverses formes de toucher direct ou indirect avec la divinité. Somme toute, cette étude démontrera que la rencontre avec le divin nécessite en soi l’utilisation d’un sensorium sacré. Les diverses perceptions sensorielles engagées dans cette interaction parlent à la fois à la nature humaine et divine de l’être, et permettent dès lors à la vraie nature de l’humain d’entrer en contact avec la vraie et suprême réalité du divin (bhagwān/brahman).
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Pour un monde chargé de sens : l’univers sensoriel de la pūjā hindoue

Blanchard, Marie-Josée 05 December 2011 (has links)
La culture indienne a longtemps été identifiée à une philosophie où le monde n’est qu’illusion, où les sens s’avèrent trompeurs, et où, donc, il est nécessaire de se détacher du corps afin d’atteindre une réalité suprême, en dehors de ce monde. Pourtant, une courte immersion dans la réalité quotidienne de l’hindouisme, en particulier par rapport à sa forme dévotionnelle (bhakti) et au rituel de la pūjā s’y rattachant, laisse entendre tout le contraire. Le monde dévotionnel hindou s’avère en fait plongé dans un univers hautement incorporé et sensoriel. La présente thèse se donne pour objectif de réaliser la profondeur de cette nature incorporée et hautement sensorielle de la bhakti hindoue. C’est en envisageant l’utilisation des sens non seulement comme le résultat d’un apprentissage culturel, mais également comme le locus de la connaissance du monde, que la méthodologie proposée par l’anthropologie sensorielle nous permettra de réaliser l’ampleur du rôle joué par le sensorium dans la compréhension, l’acquisition et la communication avec le divin. Nous concentrerons cette étude sur la pūjā hebdomadaire effectuée par la communauté hindoue d’Ottawa au temple Vishva Shakti Durgā. Cette analyse révélera que c’est en utilisant ses sens que le dévot réussit à entrer en contact avec le divin et que c’est également en exploitant divers stimuli sensoriels que le divin réussit à se manifester et à s’incorporer au profit de ses dévots. Le sens de la vision se dévoilera l’un des plus importants dans cette interaction avec les divinités, particulièrement à travers le darśan, mais les autres sens s’avéreront eux aussi essentiels dans cette transaction avec le divin, notamment à travers la musique, les mantras, la prasād, ainsi que les diverses formes de toucher direct ou indirect avec la divinité. Somme toute, cette étude démontrera que la rencontre avec le divin nécessite en soi l’utilisation d’un sensorium sacré. Les diverses perceptions sensorielles engagées dans cette interaction parlent à la fois à la nature humaine et divine de l’être, et permettent dès lors à la vraie nature de l’humain d’entrer en contact avec la vraie et suprême réalité du divin (bhagwān/brahman).

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