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Notes sur l'accentuation lituanienne : uma ciência em construçãoSchneider, Vitor Jochims January 2016 (has links)
Le but du présent travail, c’est de produire une lecture analytique du manuscrit Notes sur l’accentuation lituanienne de Ferdinand de Saussure afin d’identifier les procédures épistémologiques employés par le linguiste pendant la construction d’une nouvelle manière de faire de la science. Telle entreprise est basée sur l’établissement d’une alliance théorique entre l’historiographie de la linguistique et les études saussuriennes. Dans la première partie de la thèse, on présente le champ de recherche de l’historiographie de la linguistique comme un croisement des perspectives historique et épistémologique. Par l’articulation de ces deux axes, on expose les différentes façons comment le nom de Ferdinand de Saussure peut être situé dans une progression de développement de la linguistique en tant que science. Deuxièmement, on présente la manière dont la linguistique générale saussurienne a été identifiée avec une matrice épistémologique d’ordre aristotélicien, c’est-à-dire une production de connaissance dérivée de la manipulation de concepts ordonnés en axiomes indémontrables. Dans la seconde partie de la thèse, le croisement entre histoire et épistémologie a été reproduit sur l’objet de cette étude-ci : le manuscrit Notes sur l’accentuation lituanienne. On présente donc, d’abord, un examen du contexte historique et scientifique dans lequel les études de Ferdinand de Saussure sur la langue lituanienne ont été réalisées. Après la localisation de ce matériel, c’est réalisée une lecture descriptive et analytique de quelques fragments du texte manuscrit. Finalement, on élabore une synthèse interprétative du matériel présenté. On conclue que les procédures épistémologiques dans ce manuscrit ne configurent pas d’épistémologie aristotélicienne dans d’autres parts du corpus saussurien. Ce manuscrit, spécifiquement, montre que la linguistique générale de Saussure dérive de pratiques analytiques spécifiques qui imposent la nécessité d’élaborer une science dont l’objet a des conditions d’existence distinctes de celles vérifiées dans d’autres sciences modernes. / O objetivo desta tese é produzir uma leitura analítica do manuscrito Notes sur l’accentuation lituanienne de Ferdinand de Saussure a fim de identificar os procedimentos epistemológicos empregados pelo linguista durante a construção de um novo modo de fazer ciência. Tal empreitada é realizada com base no estabelecimento de uma aliança teórica entre a historiografia da linguística e os estudos saussurianos. Na primeira parte da tese, apresenta-se o campo de pesquisas da historiografia da linguística enquanto um cruzamento de perspectivas histórica e epistemológica. Com base na articulação desses dois eixos, são expostos os diversos modos pelos quais o nome de Ferdinand de Saussure pode ser situado numa marcha de desenvolvimento da linguística enquanto ciência. Num segundo momento, apresenta-se como a linguística geral saussuriana foi identificada a uma matriz epistemológica de ordem aristotélica, ou seja, uma produção de conhecimento derivada da manipulação de conceitos ordenados em axiomas indemonstráveis. Na segunda parte da tese, o cruzamento entre história e epistemológica foi reproduzido sobre o objeto deste estudo: manuscrito Notes sur l’accentuation lituanienne. Portanto, apresenta-se inicialmente um exame do contexto histórico e científico no qual os estudos de Ferdinand de Saussure sobre a língua lituana foram realizados. Após a localização de tal material, é realizada uma leitura descritiva e analítica de alguns fragmentos do texto manuscrito. Por fim, elabora-se uma síntese interpretativa do material apresentado. Conclui-se que os procedimentos epistemológicos neste manuscrito não configuram uma epistemologia aristotélica, tal como a identificada em outras porções do corpus saussuriano. Este manuscrito em específico apresenta que a linguística geral de Saussure deriva de práticas analíticas específicas que impunham a necessidade de elaborar uma ciência cujo objeto tem condições de existência distintas das verificadas nas outras ciências modernas.
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Notes sur l'accentuation lituanienne : uma ciência em construçãoSchneider, Vitor Jochims January 2016 (has links)
Le but du présent travail, c’est de produire une lecture analytique du manuscrit Notes sur l’accentuation lituanienne de Ferdinand de Saussure afin d’identifier les procédures épistémologiques employés par le linguiste pendant la construction d’une nouvelle manière de faire de la science. Telle entreprise est basée sur l’établissement d’une alliance théorique entre l’historiographie de la linguistique et les études saussuriennes. Dans la première partie de la thèse, on présente le champ de recherche de l’historiographie de la linguistique comme un croisement des perspectives historique et épistémologique. Par l’articulation de ces deux axes, on expose les différentes façons comment le nom de Ferdinand de Saussure peut être situé dans une progression de développement de la linguistique en tant que science. Deuxièmement, on présente la manière dont la linguistique générale saussurienne a été identifiée avec une matrice épistémologique d’ordre aristotélicien, c’est-à-dire une production de connaissance dérivée de la manipulation de concepts ordonnés en axiomes indémontrables. Dans la seconde partie de la thèse, le croisement entre histoire et épistémologie a été reproduit sur l’objet de cette étude-ci : le manuscrit Notes sur l’accentuation lituanienne. On présente donc, d’abord, un examen du contexte historique et scientifique dans lequel les études de Ferdinand de Saussure sur la langue lituanienne ont été réalisées. Après la localisation de ce matériel, c’est réalisée une lecture descriptive et analytique de quelques fragments du texte manuscrit. Finalement, on élabore une synthèse interprétative du matériel présenté. On conclue que les procédures épistémologiques dans ce manuscrit ne configurent pas d’épistémologie aristotélicienne dans d’autres parts du corpus saussurien. Ce manuscrit, spécifiquement, montre que la linguistique générale de Saussure dérive de pratiques analytiques spécifiques qui imposent la nécessité d’élaborer une science dont l’objet a des conditions d’existence distinctes de celles vérifiées dans d’autres sciences modernes. / O objetivo desta tese é produzir uma leitura analítica do manuscrito Notes sur l’accentuation lituanienne de Ferdinand de Saussure a fim de identificar os procedimentos epistemológicos empregados pelo linguista durante a construção de um novo modo de fazer ciência. Tal empreitada é realizada com base no estabelecimento de uma aliança teórica entre a historiografia da linguística e os estudos saussurianos. Na primeira parte da tese, apresenta-se o campo de pesquisas da historiografia da linguística enquanto um cruzamento de perspectivas histórica e epistemológica. Com base na articulação desses dois eixos, são expostos os diversos modos pelos quais o nome de Ferdinand de Saussure pode ser situado numa marcha de desenvolvimento da linguística enquanto ciência. Num segundo momento, apresenta-se como a linguística geral saussuriana foi identificada a uma matriz epistemológica de ordem aristotélica, ou seja, uma produção de conhecimento derivada da manipulação de conceitos ordenados em axiomas indemonstráveis. Na segunda parte da tese, o cruzamento entre história e epistemológica foi reproduzido sobre o objeto deste estudo: manuscrito Notes sur l’accentuation lituanienne. Portanto, apresenta-se inicialmente um exame do contexto histórico e científico no qual os estudos de Ferdinand de Saussure sobre a língua lituana foram realizados. Após a localização de tal material, é realizada uma leitura descritiva e analítica de alguns fragmentos do texto manuscrito. Por fim, elabora-se uma síntese interpretativa do material apresentado. Conclui-se que os procedimentos epistemológicos neste manuscrito não configuram uma epistemologia aristotélica, tal como a identificada em outras porções do corpus saussuriano. Este manuscrito em específico apresenta que a linguística geral de Saussure deriva de práticas analíticas específicas que impunham a necessidade de elaborar uma ciência cujo objeto tem condições de existência distintas das verificadas nas outras ciências modernas.
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Notes sur l'accentuation lituanienne : uma ciência em construçãoSchneider, Vitor Jochims January 2016 (has links)
Le but du présent travail, c’est de produire une lecture analytique du manuscrit Notes sur l’accentuation lituanienne de Ferdinand de Saussure afin d’identifier les procédures épistémologiques employés par le linguiste pendant la construction d’une nouvelle manière de faire de la science. Telle entreprise est basée sur l’établissement d’une alliance théorique entre l’historiographie de la linguistique et les études saussuriennes. Dans la première partie de la thèse, on présente le champ de recherche de l’historiographie de la linguistique comme un croisement des perspectives historique et épistémologique. Par l’articulation de ces deux axes, on expose les différentes façons comment le nom de Ferdinand de Saussure peut être situé dans une progression de développement de la linguistique en tant que science. Deuxièmement, on présente la manière dont la linguistique générale saussurienne a été identifiée avec une matrice épistémologique d’ordre aristotélicien, c’est-à-dire une production de connaissance dérivée de la manipulation de concepts ordonnés en axiomes indémontrables. Dans la seconde partie de la thèse, le croisement entre histoire et épistémologie a été reproduit sur l’objet de cette étude-ci : le manuscrit Notes sur l’accentuation lituanienne. On présente donc, d’abord, un examen du contexte historique et scientifique dans lequel les études de Ferdinand de Saussure sur la langue lituanienne ont été réalisées. Après la localisation de ce matériel, c’est réalisée une lecture descriptive et analytique de quelques fragments du texte manuscrit. Finalement, on élabore une synthèse interprétative du matériel présenté. On conclue que les procédures épistémologiques dans ce manuscrit ne configurent pas d’épistémologie aristotélicienne dans d’autres parts du corpus saussurien. Ce manuscrit, spécifiquement, montre que la linguistique générale de Saussure dérive de pratiques analytiques spécifiques qui imposent la nécessité d’élaborer une science dont l’objet a des conditions d’existence distinctes de celles vérifiées dans d’autres sciences modernes. / O objetivo desta tese é produzir uma leitura analítica do manuscrito Notes sur l’accentuation lituanienne de Ferdinand de Saussure a fim de identificar os procedimentos epistemológicos empregados pelo linguista durante a construção de um novo modo de fazer ciência. Tal empreitada é realizada com base no estabelecimento de uma aliança teórica entre a historiografia da linguística e os estudos saussurianos. Na primeira parte da tese, apresenta-se o campo de pesquisas da historiografia da linguística enquanto um cruzamento de perspectivas histórica e epistemológica. Com base na articulação desses dois eixos, são expostos os diversos modos pelos quais o nome de Ferdinand de Saussure pode ser situado numa marcha de desenvolvimento da linguística enquanto ciência. Num segundo momento, apresenta-se como a linguística geral saussuriana foi identificada a uma matriz epistemológica de ordem aristotélica, ou seja, uma produção de conhecimento derivada da manipulação de conceitos ordenados em axiomas indemonstráveis. Na segunda parte da tese, o cruzamento entre história e epistemológica foi reproduzido sobre o objeto deste estudo: manuscrito Notes sur l’accentuation lituanienne. Portanto, apresenta-se inicialmente um exame do contexto histórico e científico no qual os estudos de Ferdinand de Saussure sobre a língua lituana foram realizados. Após a localização de tal material, é realizada uma leitura descritiva e analítica de alguns fragmentos do texto manuscrito. Por fim, elabora-se uma síntese interpretativa do material apresentado. Conclui-se que os procedimentos epistemológicos neste manuscrito não configuram uma epistemologia aristotélica, tal como a identificada em outras porções do corpus saussuriano. Este manuscrito em específico apresenta que a linguística geral de Saussure deriva de práticas analíticas específicas que impunham a necessidade de elaborar uma ciência cujo objeto tem condições de existência distintas das verificadas nas outras ciências modernas.
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La genèse d'une classe de mots : les conjonctions dans la tradition (pré-)grammaticale de l'Antiquité grecqueÉmond, Catherine 12 1900 (has links)
La présente recherche porte sur la théorie des parties du discours dans l’Antiquité grecque et plus particulièrement sur la réflexion entourant les conjonctions. Le premier chapitre se concentre sur la définition de la conjonction trouvée dans la Poétique d’Aristote, de même que sur les autres passages du corpus aristotélicien qui permettent de mieux cerner les contours d’une entité grammaticale encore mal définie. Le second chapitre porte sur la conjonction dans les recherches logico-grammaticales de l’école stoïcienne. La définition stoïcienne de la conjonction, de même que les différentes catégories de conjonctions identifiées par les Stoïciens sont examinées. Le rôle central des conjonctions au sein de la théorie stoïcienne des propositions complexes est souligné et met en lumière l’interrelation étroite entre la logique et la grammaire à ce point du développement de la théorie grammaticale. Le chapitre final porte sur la définition et les catégories de conjonctions trouvées dans la Tekhnè grammatikè, un bref manuel de grammaire attribué au philologue alexandrin Denys le Thrace. L’influence de la théorie stoïcienne des propositions complexes sur cette première tentative de systématisation grammaticale est mise en lumière, de même que l’interférence de préoccupations philologiques. / This research is concerned with the theory of the parts of speech in Greek antiquity and more precisely with the topic of conjunctions. The first chapter examines the definition of the conjunction given in Aristotle’s Poetics, as well as the other texts of the Aristotelian corpus which allow us the get a better grasp on a still ill-defined grammatical entity. The second chapter deals with the conjunction within the logico-grammatical researches of the Stoic school. It examines the Stoic definition of the conjunction, as well as the various categories of conjunctions that were identified by the Stoics. The central role of conjunctions in the Stoic theory of complex assertions is emphasized, thus showing the close interrelation between logic and grammar at this point in the development of grammatical theory. The final chapter is concerned with the definition and the classes of conjunctions given in the Tekhnè grammatikè, a short grammatical treatise ascribed to the Alexandrian philologist Dionysius Thrax. It shows the influence of the Stoic theory of complex assertions on this first attempt at grammatical systematization, as well as the interference of philological concerns.
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Structure de la proposition et construction verbale : régime, complément et transitivité, dans les grammaires françaises, 1651-1863Bouard, Bérengère 14 December 2007 (has links) (PDF)
La Grammaire Générale et Raisonnée de Port-Royal (1660) adopte une représentation logique de la proposition : sujet-est-attribut. Le verbe être, à la troisième personne et à l'indicatif, est appelé verbe substantif, il préexiste à tous les autres verbes, appelés adjectifs, ainsi Pierre vit est équivalent à Pierre est vivant. Ce modèle propositionnel engendre deux contraintes considérables dans la description des constructions verbales. Premièrement, la définition du verbe substantif évacue toute théorie de la transitivité. Deuxièmement, la réécriture logique de tout verbe en est suivi du participe présent, bloque la reconnaissance d'un syntagme nominal dépendant du verbe. Les grammairiens du français, tiraillés entre l'acceptation de cette structure comme implication du programme de la grammaire générale et le constat de son inadéquation, vont adapter ce modèle. Il fait alors l'objet de différents remaniements, du point de vue de la définition du verbe et des constituants de la proposition. Ce sont précisément ces aménagements qui vont permettre l'émergence de la catégorie fonctionnelle de « complément » ainsi que celle de « verbe transitif ». Pour ce qui est du complément, la notion va s'élaborer en interférence avec celle, ancienne, de « régime », à l'aide du concept de « détermination » provenant de la logique. Pour ce qui est du verbe, les critères mêlés du classement latin en cinq « genres » : actif, passif, neutre, commun, déponent, vont être séparés jusqu'à l'émergence des classes modernes de verbe transitif direct et indirect vs verbe intransitif au milieu du 19ème siècle.
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La genèse d'une classe de mots : les conjonctions dans la tradition (pré-)grammaticale de l'Antiquité grecqueÉmond, Catherine 12 1900 (has links)
La présente recherche porte sur la théorie des parties du discours dans l’Antiquité grecque et plus particulièrement sur la réflexion entourant les conjonctions. Le premier chapitre se concentre sur la définition de la conjonction trouvée dans la Poétique d’Aristote, de même que sur les autres passages du corpus aristotélicien qui permettent de mieux cerner les contours d’une entité grammaticale encore mal définie. Le second chapitre porte sur la conjonction dans les recherches logico-grammaticales de l’école stoïcienne. La définition stoïcienne de la conjonction, de même que les différentes catégories de conjonctions identifiées par les Stoïciens sont examinées. Le rôle central des conjonctions au sein de la théorie stoïcienne des propositions complexes est souligné et met en lumière l’interrelation étroite entre la logique et la grammaire à ce point du développement de la théorie grammaticale. Le chapitre final porte sur la définition et les catégories de conjonctions trouvées dans la Tekhnè grammatikè, un bref manuel de grammaire attribué au philologue alexandrin Denys le Thrace. L’influence de la théorie stoïcienne des propositions complexes sur cette première tentative de systématisation grammaticale est mise en lumière, de même que l’interférence de préoccupations philologiques. / This research is concerned with the theory of the parts of speech in Greek antiquity and more precisely with the topic of conjunctions. The first chapter examines the definition of the conjunction given in Aristotle’s Poetics, as well as the other texts of the Aristotelian corpus which allow us the get a better grasp on a still ill-defined grammatical entity. The second chapter deals with the conjunction within the logico-grammatical researches of the Stoic school. It examines the Stoic definition of the conjunction, as well as the various categories of conjunctions that were identified by the Stoics. The central role of conjunctions in the Stoic theory of complex assertions is emphasized, thus showing the close interrelation between logic and grammar at this point in the development of grammatical theory. The final chapter is concerned with the definition and the classes of conjunctions given in the Tekhnè grammatikè, a short grammatical treatise ascribed to the Alexandrian philologist Dionysius Thrax. It shows the influence of the Stoic theory of complex assertions on this first attempt at grammatical systematization, as well as the interference of philological concerns.
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