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1

Das Buch der humanistischen Psychologie : eine ausführliche einführende Darstellung und Kritik des Fühlens, Denkens und Handelns in der humanistischen Psychologie /

Kollbrunner, Jürg, January 1987 (has links)
Diss.--Freiburg, Schweiz--Philosophische Fakultät, 1983. / Bibliogr. p. 533-557. Index.
2

Der Mensch zwischen Wachstum und Verfall : Beiträge zu Erich Fromms humanistischer Charakterlehre /

Gross, Thomas M. January 1992 (has links)
Diss.--Universität Giessen, 1991.
3

Der Moderne Humanitarismus : zur Bestimmung und Kritik einer zeitgenössischen Auslegung der Humanitätsidee /

Delikostantis, Konstantinos. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophie--Tübingen, 1980. / Bibliogr. p. 209-222. Index.
4

The educational principles of American humanism a dissertation /

Foudy, John Thomas, January 1945 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Catholic University of America, 1945. / Includes bibliographical references (p. 220-235) and index.
5

Les fondements d'une éducation humanisante et la motivation de futurs enseignants /

Roy, Amélie. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. 118-125. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
6

Pour une éthique humaniste /

Abou-Chakra, Hanane. January 1997 (has links)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 1997. / Bibliogr.: f. 297-303. Publié aussi en version électronique.
7

Pour une perspective critique de la psychologie humaniste

Bilodeau, Renée., Bilodeau, Renée 27 November 2024 (has links)
Par le biais d'une approche de la psychologie humaniste en tant que système théorico-pratique - c'est-à-dire en tant que structure dont, d'une part, les schèmes abstraits sont fonction du contexte concret dans lequel elle se construit de même que des supports institutionnels qu'offre ce dernier, sans en être une simple redondance; et dont, d'autre part, les applications pratiques, y compris celles qui contredisent l'esprit de la théorie, découlent de façon nécessaire de cette même théorie - la présente thèse a voulu mettre en lumière comment ce corpus scientifique renferme dans sa constitution propre, donc avant toute utilisation, des dimensions politiques, sociales et éthiques. En évitant les oppositions traditionnelles entre la science et l'idéologie, la vérité et la fausseté, il s'agissait de voir de quelle manière un tel savoir sur l'être humain dépend intrinsèquement de la méconnaissance de certains aspects de la réalité humaine, méconnaissance au sens où les pans de l'existence que cette discipline ne considère pas pour des raisons méthodologiques sont exclus non seulement épistémologiquement mais aussi ontologiquement. Ce vice logique découle dès le départ de la prétention de la psychologie humaniste à tenir un discours sur la «nature», sur l'«essentiel», lesquelles nature ou essence, définies a priori, sont cautionnées comme concepts valides du fait que la psychologie évoque une pratique clinique par quoi elle distingue ses recherches des philosophies spéculatives. En conséquence de la vertu absolue qu'elle prête à ses principes et conclusions, on a vu qu'elle engendre une vision du monde et des rapports humains construite selon une hiérarchie qui n'accepte comme véritable que ce qui répond à des exigences d'harmonie et de concordance universelle, déréalisant par là même ce qui, dans le vécu d'un individu, reste irréductible - trop marqué par les aléas ou les nécessités matériels - au règne d'une intentionnalité ou d'une intersubjectivité substantifiées. La rigidité des affirmations proférées à partir d'une communion à une hypothétique nature humaine est occultée par une rhétorique du respect de l'unicité et de la liberté foncière de chacun. La psychologie humaniste s'installe dans un tiraillement perpétuel entre ces deux postulats dont le caractère contradictoire apparaît de toutes parts à travers une analyse logique et une critique de l'impact idéologique de ses principaux thèmes fondamentaux. La grandeur de ses idéaux ne les rend pas moins particuliers et normatifs, et les moyens dont elle dispose et use pour les propager (notamment les interprétations en termes de «problèmes», et les arguments par étiquetage dépréciatif: «hétéronomie», «inauthenticité»...) invalident toute parole qui refuse ses cadres de références. Plus largement, cette discipline renchérit sur les oppositions qui fondent la civilisation occidentale contemporaine. Opposition privé/public, qui autonomise chacune des sphères sans analyser leurs liens relationnels, et qui confine la personne en quête d'identité et d'estime de soi au travail d'amélioration de ses rapports intimes. Opposition individu/milieu, qui situe le premier hors du monde en rendant ses gestes tributaires de ses seules visées, ou qui ne l'y incarne qu'en tant que sujet constituant mais non plus constitué par l'univers ambiant. Opposition corps/esprit, dont la psychologie humaniste clame la résolution, bien que celle-ci n'advienne qu'au prix, d'une part, de l'inscription d'un ordre positif et rationnel dès le domaine des émotions, et, d'autre part, de la régulière intervention d'une conscience à la fois transcendante du monde et toute-puissante dans le décodage des «données» immédiates de ce dernier. Finalement, en plus d'illustrer les principales lignes d'assise implicites au corpus de la psychologie humaniste l'étude critique des textes des initiateurs de celle-ci aux Etats-Unis a permis d'éclairer par quels mécanismes, qui lui sont propres, cette science humaine, en s'appuyant sur certaines «évidences» actuellement admises, construit une nouvelle réalité positive, le culte du relationnel, par lequel ce que vivre comporte est totalisé dans les rapports interpersonnels tels que vécus émotivement et intentionnellement par chacun. Par quels mécanismes, de plus, en instaurant cette réalité, elle crée l'urgence de soins psychologiques généralisés pour répondre aux carences qui affligent cet univers relationnel arbitrairement absolutisé.
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Gelehrte im Bild : Repräsentation, Darstellung und Wahrnehmung einer sozialen Gruppe im Mittelalter /

Hülsen-Esch, Andrea von, January 1900 (has links)
Texte légèrement remanié de--Habilitationsschrift--Berlin--Humboldt-Universität, 2001. / Bibliogr. p. 377-446.
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Perception par les clients des composantes d’une relation thérapeutique positive

Lamontagne, Émilie January 2016 (has links)
Bien que des interventions psychothérapeutiques efficaces aient été identifiées pour un éventail de problématiques psychologiques, un nombre considérable de clients ne bénéficient toutefois pas complètement de ces traitements, tel que l’indiquent les hauts taux d’abandon thérapeutique. La relation thérapeutique comme telle a été identifiée comme l’un des prédicteurs de l’abandon et plusieurs études ont démontré que les clients qui demeurent en thérapie évaluent leur alliance thérapeutique de manière plus positive que ceux qui abandonnent. De plus, parmi les clients qui demeurent en thérapie, c’est encore la relation thérapeutique qui joue un rôle important par sa valeur prédictive des résultats thérapeutiques. Le courant humaniste, en psychothérapie, place la relation thérapeutique au premier plan de l’intervention et a largement contribué à l’intérêt grandissant, en recherche, pour la relation thérapeutique. Malgré cette reconnaissance de l’importance de la relation thérapeutique, les études sur la nature des composantes de la relation thérapeutique et sur leur rôle dans l’efficacité de la thérapie ont surtout été menées du point de vue du psychothérapeute ou de celui d’un observateur. Le point de vue du client a été peu étudié, bien qu’il puisse être un meilleur prédicteur des résultats thérapeutiques. La présente étude avait donc pour but de recueillir les perceptions de clients adultes en psychothérapie sur la nature des composantes d’une relation thérapeutique positive ainsi que sur les composantes de la relation thérapeutique qu’ils perçoivent comme ayant un impact positif sur leur processus de changement. Un cadre théorique humaniste a été privilégié. Un devis qualitatif a été utilisé, car ce type de devis est pertinent pour explorer un phénomène peu documenté et pour décrire en profondeur l’expérience unique et complexe qui s’y rapporte. Des entrevues semi-structurées ont été réalisées auprès de clients en psychothérapie à moyen et long terme (de 15 séances à deux ans), avec des psychologues d’orientation humaniste, étant donné l’importance qui est accordée à la relation thérapeutique par cette approche. Les données ont été analysées à l’aide de la méthode d’analyse de contenu mixte, inspirée de la méthode proposée par l’Écuyer, en combinant la méthode déductive et la méthode inductive. Une grille des composantes préexistantes a été construite pour guider la collecte et l’analyse des données et comprend la Relation coopérative, la Relation transférentielle, la Relation personne-à-personne et la Relation transpersonnelle. L’analyse des données a permis de décrire en profondeur ces composantes. De plus, l’analyse à l’aide de la méthode inductive a fait se dégager un arbre des catégories émergentes, qui amène des éléments d’approfondissement quant à la perception des clients d’une relation thérapeutique positive. Une démarche d’accord inter-juges a permis d’augmenter la validité du processus de codification. En ce qui a trait aux éléments perçus comme ayant un impact positif sur le processus de changement, la confiance mutuelle et le dévoilement de soi seraient centraux dans la perception des clients de cette étude. De plus, il ressort que différents éléments de la relation plus personnelle qui s’établit entre le client et le thérapeute, tels qu’un équilibre entre intimité et distance émotionnelle ainsi que la présence d’une complicité, seraient des leviers importants dans le processus de changement, selon les clients qui ont participé à cette étude. À la lumière des résultats obtenus ainsi que des forces et des limites de l’étude, des recommandations concernant les pistes d’investigation futures pour la recherche sont formulées. Les résultats et la discussion de la présente étude pourront fournir aux psychologues cliniciens et aux institutions de formation une porte d’entrée pour amorcer ou poursuivre une réflexion quant aux composantes de la relation thérapeutique pouvant recevoir une attention particulière en psychothérapie.
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Descartes et l’éloquence de la vérité. Les héritages jésuite et humaniste / Descartes and Eloquence of the Truth. Jesuit and Humanist Heritages

Kubota, Shizuka 20 February 2012 (has links)
La philosophie de Descartes est-elle « une philosophie sans rhétorique »? L’on s’attendrait à ce que le principe de l’évidence qui requiert une transparence totale des idées refuse catégoriquement tout recours à l’art rhétorique fondé sur le vraisemblable et réputé faire obstacle à la vérité nue. Cependant, et malgré ses prises de position, Descartes, ancien élève des jésuites, ne renie pas l’héritage des litterae anciennes. Il s’agit de l’héritage rhétorique des humanistes de la Renaissance dans lequel les Pères jésuites ont considérablement puisé : la formation linguistique de Descartes est allée de pair avec un amour de l’éloquence dans son adolescence. Mais cette éloquence, originairement déployée dans un style d’apparat mu par l’enthousiasme, ne va pas chez le Descartes de l’âge mûr sans être guidée par le souci éthique de ne pas trahir la vérité. Derrière un voile transparent propre à transmettre cette vérité intacte, le philosophe tente à la fois de scruter son for intérieur et de s’insinuer discrètement dans l’esprit d’autrui. La rhétorique est ainsi un moyen indispensable pour donner corps au dialogue de la pensée et de l’écriture cartésiennes. / Is the philosophy of Descartes “a kind of philosophy without rhetoric”? We might expect that the principle of the evidence, which calls for a total transparency of the ideas, refuses categorically all recourses to the rhetorical art founded on the bounds of credibility and reputed to obstruct the bare truth. However, despite their captures of position, as an old student of the Jesuit, Descartes, doesn’t disown the heritage of the old litterae. It is important to point the rhetorical heritage of the Humanists from which the Jesuit Fathers have considerably drawn: the linguistic formation of Descartes has accompanied with a respect to the eloquence during his adolescence. But this eloquence, originally displayed in the sumptuous style driven by enthusiasm, doesn’t continue until his middle age without being guided by his ethical anxiety not to betray the truth. Behind a transparent veil proper to transmit this intact truth, the philosopher tries both to examine his deep mind and to creep into others’ spirits discreetly. The rhetoric is also an indispensable means in order to embody the dialogue of Cartesian thought and of writings.

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