• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 5
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Pratique contemporaine de la médecine ayurvédique à la Government Ayurvedic Mental Hospital (Kottakkal, Kerala) : le cas de la santé mentale

Giguère, Nadia January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
2

No Laughing Matter: Shakespearean Melancholy and the Transformation of Comedy

Bernard, Jean-François 04 1900 (has links)
Mon projet de thèse démontre le rôle essentiel que tient la mélancolie dans les comédies de Shakespeare. J’analyse sa présence au travers de multiples pièces, des farces initiales, en passant par les comédies romantiques, jusqu’aux tragicomédies qui ponctuent les dernières années de sa carrière. Je dénote ainsi sa métamorphose au sein du genre comique, passant d’une représentation individuelle se rapportant à la théorie des humeurs, à un spectre émotionnel se greffant aux structures théâtrales dans lesquelles il évolue. Je suggère que cette progression s’apparent au cycle de joie et de tristesse qui forme la façon par laquelle Shakespeare dépeint l’émotion sur scène. Ma thèse délaisse donc les théories sur la mélancolie se rapportant aux humeurs et à la psychanalyse, afin de repositionner celle-ci dans un créneau shakespearien, comique, et historique, où le mot « mélancolie » évoque maintes définitions sur un plan social, scientifique, et surtout théâtrale. Suite à un bref aperçu de sa prévalence en Angleterre durant la Renaissance lors de mon introduction, les chapitres suivants démontrent la surabondance de mélancolie dans les comédies de Shakespeare. A priori, j’explore les façons par lesquelles elle est développée au travers de La Comedie des Erreurs et Peines d’Amour Perdues. Les efforts infructueux des deux pièces à se débarrasser de leur mélancolie par l’entremise de couplage hétérosexuels indique le malaise que celle-ci transmet au style comique de Shakespere et ce, dès ces premiers efforts de la sorte. Le troisième chapitre soutient que Beaucoup de Bruit pour Rien et Le Marchand de Venise offrent des exemples parangons du phénomène par lequel des personnages mélancoliques refusent de tempérer leurs comportements afin de se joindre aux célébrations qui clouent chaque pièce. La mélancolie que l’on retrouve ici génère une ambiguïté émotionnelle qui complique sa présence au sein du genre comique. Le chapitre suivant identifie Comme il vous plaira et La Nuit des Rois comme l’apogée du traitement comique de la mélancolie entrepris par Shakespeare. Je suggère que ces pièces démontrent l’instant où les caractérisations corporelles de la mélancolie ne sont plus de mise pour le style dramatique vers lequel Shakespeare se tourne progressivement. Le dernier chapitre analyse donc Périclès, prince de Tyr et Le Conte d’Hiver afin de démontrer que, dans la dernière phase de sa carrière théâtrale, Shakespeare a recours aux taxonomies comiques élucidées ultérieurement afin de créer une mélancolie spectrale qui s’attardent au-delà des pièces qu’elle hante. Cette caractérisation se rapporte aux principes de l’art impressionniste, puisqu’elle promeut l’abandon de la précision au niveau du texte pour favoriser les réponses émotionnelles que les pièces véhiculent. Finalement, ma conclusion démontre que Les Deux Nobles Cousins représente la culmination du développement de la mélancolie dans les comédies de Shakespeare, où l’incarnation spectrale du chapitre précèdent atteint son paroxysme. La nature collaborative de la pièce suggère également un certain rituel transitif entre la mélancolie dite Shakespearienne et celle développée par John Fletcher à l’intérieure de la même pièce. / My dissertation argues for a reconsideration of melancholy as an integral component of Shakespearean comedy. I analyse its presence across the comic canon, from early farcical plays through mature comic works, to the late romances that conclude Shakespeare’s career. In doing so, I denote its shift from an individual, humoural characterization to a more spectral incarnation that engrains itself in the dramatic fabric of the plays it inhabits. Ultimately, its manifestation purports to the cyclical nature of emotions and the mixture of mirth and sadness that the aforementioned late plays put forth. The thesis repositions Shakespearean melancholy away from humoural, psychoanalytical and other theoretical frameworks and towards an early modern context, where the term “melancholy” channels a plethora of social, scientific, and dramatic meanings. After a brief overview of the prevalence of melancholy in early modern England, the following chapters attest to the pervasiveness of melancholy within Shakespeare’s comic corpus, suggesting that, rather than a mere foil to the spirits of mirth and revelry, it proves elemental to comic structures as an agent of dramatic progression that fundamentally alters its generic make-up. I initially consider the ways in which melancholy is developed in The Comedy of Errors and Love’s Labor’s Lost, as an isolated condition, easily dismissible by what I refer to as the symmetrical structure of comic resolution. In both plays, I suggest, the failure to completely eradicate melancholy translates into highly ambiguous comic conclusions that pave the way for subsequent comic works, where melancholy’s presence grows increasingly cumbersome. Chapter three reads Much Ado about Nothing and The Merchant of Venice as prime dramatic examples of the phenomenon by which prominent comic characters not only fail to offer a clear cause for their overwhelming melancholy, but refuse to mitigate it for the benefit of the plays at hand. The melancholy found here creates emotional loose ends from which a sense of malaise that will take full effect in later comedies emanates. In the next chapter, As You Like It and Twelfth Night are held as a landmark in Shakespeare’s treatment of comic melancholy. The chapter suggests that these plays complete the break from individual melancholic characterization, which no longer seem suitable to the comic style towards which Shakespeare progressively turns. Consequently, the final chapter undertakes an analysis of Pericles and The Winter’s Tale to demonstrate the fact that, in his concluding dramatic phase, Shakespeare returns to the comic taxonomies of melancholy in order to foster more forceful, lingering emotional impacts as a form of dramatic impressionism, a relinquishing of details in favour of more powerful emotional responses. In a brief coda, I read The Two Noble Kinsmen as the culmination of the dramatic treatment in melancholy in Shakespeare, where the spectral wistfulness that characterized the late plays reaches a breaking point. I suggest that the play bears witness to a passing of the torch, as it were, between the Shakespearean dramatization of melancholy and the one propounded by Fletcher, which was to become the norm within subsequent seventeenth-century tragicomic works.
3

No Laughing Matter: Shakespearean Melancholy and the Transformation of Comedy

Bernard, Jean-François 04 1900 (has links)
Mon projet de thèse démontre le rôle essentiel que tient la mélancolie dans les comédies de Shakespeare. J’analyse sa présence au travers de multiples pièces, des farces initiales, en passant par les comédies romantiques, jusqu’aux tragicomédies qui ponctuent les dernières années de sa carrière. Je dénote ainsi sa métamorphose au sein du genre comique, passant d’une représentation individuelle se rapportant à la théorie des humeurs, à un spectre émotionnel se greffant aux structures théâtrales dans lesquelles il évolue. Je suggère que cette progression s’apparent au cycle de joie et de tristesse qui forme la façon par laquelle Shakespeare dépeint l’émotion sur scène. Ma thèse délaisse donc les théories sur la mélancolie se rapportant aux humeurs et à la psychanalyse, afin de repositionner celle-ci dans un créneau shakespearien, comique, et historique, où le mot « mélancolie » évoque maintes définitions sur un plan social, scientifique, et surtout théâtrale. Suite à un bref aperçu de sa prévalence en Angleterre durant la Renaissance lors de mon introduction, les chapitres suivants démontrent la surabondance de mélancolie dans les comédies de Shakespeare. A priori, j’explore les façons par lesquelles elle est développée au travers de La Comedie des Erreurs et Peines d’Amour Perdues. Les efforts infructueux des deux pièces à se débarrasser de leur mélancolie par l’entremise de couplage hétérosexuels indique le malaise que celle-ci transmet au style comique de Shakespere et ce, dès ces premiers efforts de la sorte. Le troisième chapitre soutient que Beaucoup de Bruit pour Rien et Le Marchand de Venise offrent des exemples parangons du phénomène par lequel des personnages mélancoliques refusent de tempérer leurs comportements afin de se joindre aux célébrations qui clouent chaque pièce. La mélancolie que l’on retrouve ici génère une ambiguïté émotionnelle qui complique sa présence au sein du genre comique. Le chapitre suivant identifie Comme il vous plaira et La Nuit des Rois comme l’apogée du traitement comique de la mélancolie entrepris par Shakespeare. Je suggère que ces pièces démontrent l’instant où les caractérisations corporelles de la mélancolie ne sont plus de mise pour le style dramatique vers lequel Shakespeare se tourne progressivement. Le dernier chapitre analyse donc Périclès, prince de Tyr et Le Conte d’Hiver afin de démontrer que, dans la dernière phase de sa carrière théâtrale, Shakespeare a recours aux taxonomies comiques élucidées ultérieurement afin de créer une mélancolie spectrale qui s’attardent au-delà des pièces qu’elle hante. Cette caractérisation se rapporte aux principes de l’art impressionniste, puisqu’elle promeut l’abandon de la précision au niveau du texte pour favoriser les réponses émotionnelles que les pièces véhiculent. Finalement, ma conclusion démontre que Les Deux Nobles Cousins représente la culmination du développement de la mélancolie dans les comédies de Shakespeare, où l’incarnation spectrale du chapitre précèdent atteint son paroxysme. La nature collaborative de la pièce suggère également un certain rituel transitif entre la mélancolie dite Shakespearienne et celle développée par John Fletcher à l’intérieure de la même pièce. / My dissertation argues for a reconsideration of melancholy as an integral component of Shakespearean comedy. I analyse its presence across the comic canon, from early farcical plays through mature comic works, to the late romances that conclude Shakespeare’s career. In doing so, I denote its shift from an individual, humoural characterization to a more spectral incarnation that engrains itself in the dramatic fabric of the plays it inhabits. Ultimately, its manifestation purports to the cyclical nature of emotions and the mixture of mirth and sadness that the aforementioned late plays put forth. The thesis repositions Shakespearean melancholy away from humoural, psychoanalytical and other theoretical frameworks and towards an early modern context, where the term “melancholy” channels a plethora of social, scientific, and dramatic meanings. After a brief overview of the prevalence of melancholy in early modern England, the following chapters attest to the pervasiveness of melancholy within Shakespeare’s comic corpus, suggesting that, rather than a mere foil to the spirits of mirth and revelry, it proves elemental to comic structures as an agent of dramatic progression that fundamentally alters its generic make-up. I initially consider the ways in which melancholy is developed in The Comedy of Errors and Love’s Labor’s Lost, as an isolated condition, easily dismissible by what I refer to as the symmetrical structure of comic resolution. In both plays, I suggest, the failure to completely eradicate melancholy translates into highly ambiguous comic conclusions that pave the way for subsequent comic works, where melancholy’s presence grows increasingly cumbersome. Chapter three reads Much Ado about Nothing and The Merchant of Venice as prime dramatic examples of the phenomenon by which prominent comic characters not only fail to offer a clear cause for their overwhelming melancholy, but refuse to mitigate it for the benefit of the plays at hand. The melancholy found here creates emotional loose ends from which a sense of malaise that will take full effect in later comedies emanates. In the next chapter, As You Like It and Twelfth Night are held as a landmark in Shakespeare’s treatment of comic melancholy. The chapter suggests that these plays complete the break from individual melancholic characterization, which no longer seem suitable to the comic style towards which Shakespeare progressively turns. Consequently, the final chapter undertakes an analysis of Pericles and The Winter’s Tale to demonstrate the fact that, in his concluding dramatic phase, Shakespeare returns to the comic taxonomies of melancholy in order to foster more forceful, lingering emotional impacts as a form of dramatic impressionism, a relinquishing of details in favour of more powerful emotional responses. In a brief coda, I read The Two Noble Kinsmen as the culmination of the dramatic treatment in melancholy in Shakespeare, where the spectral wistfulness that characterized the late plays reaches a breaking point. I suggest that the play bears witness to a passing of the torch, as it were, between the Shakespearean dramatization of melancholy and the one propounded by Fletcher, which was to become the norm within subsequent seventeenth-century tragicomic works.
4

La théorie des humeurs chez Heidegger : esquisse des fondements dans Sein und Zeit

Ethier-Delorme, Keith January 2015 (has links)
Résumé : « Wege, nitch Werke ». L’exergue de la Gesamtausgabe donne une indication précieuse pour quiconque souhaite lire et comprendre la pensée de Heidegger. Son œuvre se distingue des classiques de la tradition philosophique par le fait qu’elle ne cherche pas à établir une doctrine. Elle vise plutôt à reprendre à bras-le-corps une seule et même question : la Seinsfrage. Heidegger l’a retournée de maintes façons, parfois en puisant dans les préjugés au sujet de l’Être, parfois en empruntant des chemins de pensée plutôt inexplorés, mais à chaque fois il étonne. Le lecteur habitué à la rigidité conceptuelle, aux évidences cartésiennes et aux règles logiques de l'esprit, trouve peut-être en Heidegger son plus grand défi parce qu’il adhérait à une pensée-en-chemin (Zu Denken Wege) qui accueille l'errance et la pause, le silence et le tournant. Il invite le lecteur à prendre le pas, à risquer les chemins qui ne mènent nulle part ― Holzwege ―, à ne pas hésiter à faire un pas en arrière (Schritt zurück). La Gesamtausgabe oblige un certain inconfort pour la pensée. Ce mémoire de maîtrise est consacré à l’examen de la fonction phénoménologique des humeurs (Stimmungen) et à l’importance que leur accorde Heidegger, à partir d’une lecture de Sein und Zeit, tout particulièrement. La recherche a pour hypothèse de travail qu’on y retrouve une théorie des humeurs appréciable, bien que ne lui soit pas réservée une analyse systématique dans l’œuvre. Malgré cela, ce mémoire fait la démonstration, en quelques chapitres, que Sein und Zeit contient des éléments théoriques qui permettent de fonder cette théorie. Au final, le mémoire explore brièvement les humeurs analysées par Heidegger. C’est l’occasion de voir comment la théorie des humeurs s’inscrit véritablement dans la pensée du philosophe. La thèse défendue dans ce mémoire pourrait être reprise et approfondie par une étude doctorale, ce qui donnerait peut-être une clef supplémentaire pour contribuer à l'élaboration d'une lecture intégrale de la Gesamtausgabe. / Abstract : The highlight of the Gesamtausgabe gives a valuable indication for anyone who wants to read and understand Heidegger's thought. His work part from the philosophical tradition in that does not seek to establish a doctrine. Rather, it is intended to tackle the question of Being (Seinsfrage). Heidegger has posed it in many ways, sometimes by challenging our common sense about the “Being”, sometimes by exploring new paths of thinking, each time surprising us. Someone familiar with rational assertion, methodological pattern and logical rule, may find Heidegger really hard to understand because he assumes what he calls a « thought-in-way » (Wege Zu Denken), which welcomes silence and wandering. Heidegger invites the reader to try pathways that lead nowhere at first sight — Holzwege —, and sometimes to take a step back (Schritt zurück) from what he thinks. The Gesamtausgabe is definitively a challenge for the thought. The main goal of this master’s thesis is to examine the phenomenological function of moods (Stimmungen) and the importance we should give to them, from a reading of Sein und Zeit, especially. The aim is to find in it a theory of moods, even if Heidegger did not analyze them systematically. Nevertheless, this essay outlines, in just a few chapters, the reasons why we can pretend there is a such theory and why the moods have a significant phenomenological function. Finally, we explore the moods analyzed by Heidegger so we can see how his theory is truly embodied. This research could be taken further in a doctoral study, which would perhaps contribute to a more comprehensive interpretation of the Gesamtausgabe.
5

Santa Teresa de Jesús y la melancolía : un estudio sobre la enfermedad melancólica en los escritos teresianos

Álvarez-Vélez, Bety 08 1900 (has links)
Religieuse, fondatrice, mystique, docteure de l’Église catholique, et auteur de textes autobiographiques, doctrinaux, épistolaires et poétiques, Sainte Thérèse d’Avila (1515-1582) est l’une des personnalités majeures de la littérature mystique du Siècle d’Or espagnol. Profondément observatrice de la nature humaine, elle a écrit avec une simplicité profonde sur la maladie mélancolique, un trouble des humeurs qui a vraiment affecté la société de cette époque attirant l’intérêt des médecins, philosophes et religieux. Ce mémoire examine à la lumière d’une perspective interdisciplinaire le traitement de la mélancolie dans la littérature thérésienne dans le cadre des idées exposées dans les textes Vida (1562-65), Las moradas (1577) et Fundaciones (1573-1582), appuyées de cas concrets décrits dans les lettres de Thérèse et le livre Procesos de beatificación y canonización de Santa Teresa de Jesús. La première partie expose un survol sur certains traits de la mélancolie conçus dans la pensée occidentale antique et médiévale ainsi que ses influences reformulées par la société espagnole des XVIe et XVIIe siècles. Ensuite, il est proposé un dialogue entre Thérèse et le discours de plusieurs textes médicaux, suivi des rapports complémentaires entre ses déclarations et quelques œuvres ascétiques et mystiques d’autres auteurs catholiques de cette période. La deuxième partie fournit l’analyse des mots clés utilisés par l’écrivaine pour décrire la mélancolie ainsi que des considérations naturelles et préternaturelles autour de cette maladie. Finalement, ce travail présente la systématisation de ses causes, symptômes et souffrances, types de mélancoliques et formes de traitement. / Religious, founder, mystic, doctor of the Catholic Church, Teresa of Avila (1515-1582) was a relevant figure during the Spanish Golden Age. Her writings include autobiographical, doctrinal, epistolary and poetic texts. Being a deep observer of human nature, Teresa wrote with deep simplicity about melancholy which was a disease caused by a humor’s disorder that greatly affected society at that time. This fact drew the attention of physicians, philosophers and religious authors. This Master’s thesis examines the treatment of melancholy in Teresa’s literature from an interdisciplinary perspective in the framework of the ideas exposed in Vida (1562-65), Las moradas (1577) and Fundaciones (1573-1582), complemented by some cases described in her letters and in the book Procesos de beatificación y canonización de Santa Teresa de Jesús. The first part exposes a general overview of certain features of melancholy according to the ancient and medieval Western thought, as well as its influences, which were reformulated by the Spanish society during 16th and 17th centuries. Afterwards, this study proposes a dialogue between Teresa and some medical writing’s discourse, followed by complementary connections between her statements and some ascetic and mystical works of other catholic authors of this time. The second part provides an analysis of the keywords used by the writer for describing melancholy as well as some natural and preternatural considerations about this illness. Finally, this work presents a systematization of its causes, symptoms and sufferings, types of melancholic persons and healing treatment variations. / Religiosa, fundadora, mística, doctora de la Iglesia Católica y autora de textos autobiográficos, doctrinales, epistolares y poéticos, Santa Teresa de Jesús (1515-1582) fue una de las personalidades más sobresalientes del Siglo de Oro. Siendo una gran observadora de la naturaleza humana, escribió con simplicidad profunda sobre la enfermedad melancólica, un trastorno humoral que afectaba seriamente la sociedad de su tiempo y atrajo la atención de médicos, filósofos y religiosos. Esta memoria examina a través de una perspectiva interdisciplinaria el tratamiento de la melancolía en la literatura teresiana en el marco de las ideas expuestas en Vida (1562-65), Las moradas (1577) y Fundaciones (1573-1582), complementados por algunos casos concretos descritos en sus cartas y en el libro Procesos de beatificación y canonización de Santa Teresa de Jesús. La primera parte expone un panorama sobre ciertos rasgos de la melancolía según el pensamiento antiguo y medieval así como sus influencias reformuladas por la sociedad española de los siglos XVI y XVII. Posteriormente, este estudio propone un diálogo entre Teresa y el discurso de varios textos médicos, seguido de las relaciones de complementariedad entre sus afirmaciones y algunas obras ascéticas y místicas de otros autores católicos de ese periodo. La segunda parte plantea un análisis de palabras clave utilizadas por la escritora para describir la melancolía, así como algunas consideraciones naturales y preternaturales respecto a esta enfermedad. Finalmente, este trabajo presenta una sistematización acerca de las causas, síntomas y padecimientos, tipos de melancólicos y formas de tratamiento.

Page generated in 0.0321 seconds