Thesis--Münster, 1971. / Includes bibliographical references (p. 109-112).

Thesis (M.Ed.)--University of Hong Kong, 1998. / Includes bibliographical references (leaves 67-72). Also available in print.

Also published as author's dissertation--Universität Wuppertal, 2009. / Includes bibliographical references (p. [353]-361) and index.

Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin, 1964. / Typescript. Vita. Abstracted in Dissertation abstracts, vol. 25 (1964) no. 6, p. 3616. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references.

Thèse (Ph.D.) - Université du Québec à Trois-Rivières, 2006. / Comprend des réf. bibliogr. : f. [372]-387. Également disponible en format microfiche.

Diss.--Fachbereich Philosophie/Pädagogik--Mainz--Johannes Gutenberg-Universität, 1993. / Bibliogr. p. 289-298. Index.

Diss.--Philosophie--Basel, 1976. / Bibliogr. p. 183-190.

Este repertorio registra información de Husserl en la Internet, una breve historia sobre los Nachlaß, el índice de la Husserliana, un listado de las publicaciones de y sobre Husserl disponibles en la Biblioteca Central de la Pontificia Universidad Católica del Perú, y los artículos sobre Husserl que se encuentran en la Hemeroteca. El listado abarca las publicaciones existentes hasta el año 1997.

In a famous passage in Ideas I, Husserl claims that the pure consciousness is to be understood as independent of anything apart from itself in order to constitute itself, and that it therefore is able exist without a world at all. This notion seems to be contradicted in many of Husserl’s other works as well as stand in conflict with the core of phenomenology itself as a descriptive science of intentional consciousness. Three years before the publication of Ideas I, Husserl held a series of lectures that were later published with the title The Basic Problems of Phenomenology. Here, in stark contrast to Ideas I, the inquiry culminates in stepping beyond the subject as self-given and immanent by instead focusing on intersbjectivity and phenomenological time-consciousness. This essay sets out to examine the relation between the transcendental subject in these two works. It is argued that, while the phenomenological epoché indeed establishes a subject that is prior to the world in the sense that it does not need to suppose the world to guarantee its own existence, Husserl’s philosophical project in The Basic Problems of Phenomenology shows the importance of going beyond such an immanent subject to uncover the full phenomenological field.

Cette thèse a pour point de départ l’évolution de la conception husserlienne de l’imagination, ouvrant la voie à une phénoménologie du monde de la fiction théâtrale. En 1918, Husserl décrit l’expérience du spectateur au théâtre comme quasi expérience : regardant le jeu des acteurs, le spectateur fait l’expérience de quelque chose sans être dans l’attitude d’expérience, dans une « imagination perceptive ». Sur scène, l’acteur ne représente pas à la manière d’un portrait: sujet agissant et masque, il est une présence vivante, impossible à distinguer du personnage qu’il incarne. L’expérience du spectateur et celle de l’acteur sont interdépendantes. Cette dualité de points de vue m’a conduit à mener une double enquête : j’ai tâché d’éclairer l’une par l’autre la théorie husserlienne de l’imagination et l’expérience théâtrale dont témoignent les formateurs d’acteurs et les professionnels de la scène. La première partie de la thèse reconstitue la généalogie de la quasi expérience de phantasia chez Husserl, en fusionnant deux thématiques disjointes au départ: 1) l’imagination comme phantasia et conscience d’image et 2) l’expérience perceptive comme synthèse continue d’actes. Prenant appui sur l’acquis de ces analyses, la seconde partie apporte des compléments psychologiques et historiques concernant l’évolution de la formation de l’acteur, du Paradoxe du comédien du XVIIIe siècle jusqu’à nos jours. « Ouvriers de l’imagination » selon l’expression de Sartre, les acteurs agissent en leur nom propre et en même temps pour leurs personnages. Le jeu dramatique fait exister la fiction théâtrale pour le spectateur, impliquant chez l’acteur une double conscience et une continuité spécifique d’attention. J’ai proposé un traitement phénoménologique de l’intrication entre les deux plans, imaginaire et réel, fictif et effectif. L’enquête menée dans la thèse a ainsi abouti à une caractérisation phénoménologique de la représentation théâtrale : résultat de la mise en cohérence des événements vraisemblables, le monde représenté sur scène est pourvu d’une existence propre. Le jeu théâtral a la force d’ouvrir aux acteurs et aux spectateurs les possibilités imaginaires d’autres mondes, dont ils déploient les possibilités de sens / Pas de résumé anglais