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Effets des coupes partielles et à rétention variable sur la distance de débardage et les coûts de récolte : étude de cas

Cea Roa, Ingrid Beatriz 04 1900 (has links) (PDF)
Il est admis que les coûts de récolte d'une coupe partielle sont plus importants que la coupe totale ou la coupe avec protection de la régénération et des sols (CPRS). Cette prémisse limite certainement la pratique de la coupe partielle en forêt boréale et empêche l'obtention des avantages d'une foresterie plus fine qui répondrait à des objectifs de conservation tout en réduisant les coûts de récolte. Afin de tenir compte des variantes de la coupe partielle et de l'intégration de la rétention des attributs dans les blocs de récolte, des ajustements au calcul des coûts de récolte ont été proposés. Ceci implique de considérer différents éléments tels que la distribution des volumes dans les blocs de récolte, le prélèvement variable, la distribution et la position des obstacles et l'influence de ces variables sur la distance de débardage. Ces éléments spatiaux et structuraux associés aux coupes partielles peuvent devenir très complexes, dépendamment des objectifs de la rétention variable, et avoir pour conséquence une estimation des coûts très onéreuse. Nous avons réalisé l'étude à partir des données issues du Réseau de coupes partielles de l'Abitibi (RCPA). Les sites sont situés au sud de Rouyn-Noranda et au nord de La Sarre. Les traitements sylvicoles appliqués ont été la coupe avec protection de la régénération et des sols (CPRS), la coupe avec protection des petites tiges marchandes (CPPTM) et/ou la coupe partielle à rétention variable (CPRV). Les variables telles que la distance de débardage, la distribution du volume et les coûts de récolte ont été analysées. D'abord, la distance de débardage a été estimée et comparée selon trois méthodes : la numérisation des sentiers de débardage sur les photos aériennes après récolte, le format raster et la méthode traditionnelle. L'analyse a permis de déterminer que les méthodes sont comparables, mais que la méthode raster est plus efficace pour intégrer la distribution et le prélèvement variable dans le contexte de coupes partielles. L'analyse des volumes du réseau RCPA a démontré que les volumes ne se distribuaient pas de façon homogène à l'intérieur des blocs de récolte comme prévu dans l'ensemble des modèles d'estimation des coûts. En effet, 67,71% de la variation du volume s'explique par la variation à l'intérieur des blocs. Alors, afin d'intégrer cette variabilité, nous avons incorporé la distribution du volume dans les blocs de récolte selon deux méthodes d'assignation. Cette incorporation a été réalisée à partir du volume obtenu des placettes d'échantillon permanentes, assignés selon la photo-interprétation ou la méthode d'interpolation de Thiessen, afin d'obtenir un volume pondéré par leur zone d'influence. Nos résultats ont montré qu'il n'y avait pas de différence significative entre les méthodes d'assignation. Ensuite, la distance raster et l'assignation des volumes avec l'interpolation de Thiessen ont été combinées afin d'ajuster la distance de débardage qui tient compte de la forme et de la distribution du volume dans les blocs de récolte. Les résultats de cette analyse combinée ont montré que la distance de débardage était sensible aux changements de la distribution et du taux de prélèvement. Ainsi, l'analyse de la distance de débardage combinée a été intégrée à l'estimation des coûts de débardage et des coûts de récolte forestière. Les coûts de débardage ($/m3) des secteurs d'étude varient de l'ordre de 10% en CPRS selon la distance de débardage utilisée et peuvent varier d'environ 15% en CPPTM si les éléments de rétention sont bien identifiés. L'estimation de distance de débardage combinée a été incorporée à la création de modèles simulés de récolte considérant différentes positions et concentrations du volume à l'intérieur d'un bloc de récolte, ainsi que différents pourcentages et configurations de la rétention, pour un bloc de forme régulière, de 500 mètres de profondeur et de taille moyenne de 62 ha. Nos résultats montrent que la distance de débardage considérant tous ces éléments (volume, position, rétention) peut varier considérablement. La variation majeure s’est observée lorsque s’est réalisé une rétention agglomérée de 40%. La position de la rétention a affecté davantage la distance de débardage si elle est disposée dans les 250 mètres les plus proches du chemin. La variation de la distance de débardage selon la position et la concentration du volume, ainsi que la configuration et le pourcentage de rétention affecteront aussi le type de machine de débardage à utiliser. Ainsi, il a été possible d'observer une variation maximale des coûts d'opération de l'ordre de 5$/m3 pour un débardeur à grappin, 3$/m3 pour un semi-porteur, 2$/m3 pour un débardeur à câble et 2$/m3 pour un porteur. Finalement, notre proposition d'estimation de la distance de débardage combinée permet de manière explicite l'incorporation des éléments de rétention spatiale (forme, taille et volume) et le prélèvement variable à priori dans la planification de la récolte. Ainsi, dans un contexte de coupe partielle, la nouvelle estimation de la distance de débardage permettrait d'atteindre les objectifs de structure et de composition d'un aménagement forestier écosystémique, tout en tenant compte des conséquences économiques de cette pratique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Coupe partielle, rétention variable, distance de débardage, coût de récolte, modélisation spatiale, productivité des opérations, aménagement écosystémique.
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The productivity impact and determinants of international technology transfer in China / Déterminants des transferts internationaux de technologie et leur impact sur la productivité en Chine

Zhou, Wei 02 January 2012 (has links)
Cette thèse étudie les déterminants des transferts internationaux de technologie ainsi que leurs impacts sur la productivité en Chine. A travers une analyse de la littérature sur les transferts internationaux de technologie et de la théorie de la croissance endogène, nous identifions deux principaux canaux de transferts internationaux de technologie vers la Chine : l’investissement direct étranger (IDE) et l’importation de technologie. Nous proposons ensuite une étude empirique de l’impact des transferts internationaux de technologies et des efforts de R&D des entreprises sur la productivité des régions chinoises. Pour cela nous nous basons sur la fonction de production Cobb-Douglas traditionnelle. Dans ce cadre, nous procédons à des régressions sur données de panel équilibré contenant des informations sur les transferts internationaux de technologie vers 28 provinces chinoises entre 2001 et 2008. Tout d’abord, nous utilisons les régressions sur données de panel avec effets aléatoires sur la productivité des régions chinoises. Elles montrent que le coefficient des IDE est positif mais non significatif. Afin de résoudre les potentiels problèmes d'endogénéité dans la fonction de production, nous utilisons les variables instrumentales (IV). Avec cette méthodologie, nous constatons que l'IDE a un impact négatif sur la productivité des régions chinoises, qui est cohérent avec la littérature traitant les problèmes d'endogénéité des IDE (Aitken et Harrison, 1999; Hu et Jefferson, 2002; Konings, 2001; Xu et Sheng, 2011). L’impact négatif des IDE sur la productivité peut être expliqué comme le résultat de la concurrence entre firmes étrangères et domestiques ou l’existence d’un «fossé technologique». Les résultats montrent également que l’importation de technologies a un rôle positif considérable sur la productivité des régions chinoises. Les résultats empiriques confirment également que les efforts de R&D interne chinois ont une influence positive et très significative sur la productivité des régions en Chine. Nos résultats suggèrent donc que la Chine doit favoriser non seulement le développement du transfert de technologie international mais aussi ses propres efforts de R&D. Après cette étude quantitative, nous réalisons une analyse plus qualitative des déterminants des transferts internationaux de technologie en Chine. Dans la littérature sur les transferts internationaux de technologie, cinq facteurs apparaissent comme des déterminants importants de ces transferts : les politiques gouvernementales, l’environnement de marché, les droits de propriété, les écarts technologiques et la capacité d’absorption. Cependant, peu de travaux étudient comment ces facteurs clés influent sur les transferts internationaux de technologie vers la Chine. Nous prenons l’exemple de l’industrie automobile chinoise afin d’analyser cette question en profondeur. Nos résultats empiriques montrent que les politiques gouvernementales sur l’IDE, le commerce et la propriété intellectuelle jouent un rôle particulièrement important sur les transferts internationaux de technologie en Chine. De plus, la structure de marché, notamment le degré élevé de la concurrence sur le marché, a favorisé les transferts internationaux de technologie vers la Chine. Les droits de propriété affectent également ces flux technologiques. Les entreprises d’Etat qui ont établi une Joint Venture (JV) acquièrent principalement les technologies via l’IDE, tandis que les entreprises d’Etat sans JV et les entreprises locales indépendantes se concentrent sur l’apprentissage grâce à l’importation de technologie et la coopération. L’écart technologique affecte l’efficacité du transfert de technologie international en Chine. La capacité d’absorption est importante pour le bénéficiaire afin d’acquérir les technologies transférées. / This Ph.D dissertation studies the productivity impact and the determinants of international technology transfer in China. Through a review of the theoretical and empirical literature on international technology transfer and endogenous growth theory, we analyze two main channels of international technology transfer in China, namely FDI and technology import. We investigate the productivity impacts of international technology transfer and own R&D efforts. Relying on international technology transfer literature coupled with endogenous growth theory, balanced panel data on international technology transfer about 28 Chinese regions from 2001 to 2008 are used for testing the productivity impact. The traditional Cobb-Douglas production function is used. Firstly, Pooled EGLS (Cross-section random effects) regressions are used to estimate random-effects panel data models for regional productivity. The coefficient of FDI is insignificant and positive. Then in order to solve the endogeneity problems in production function, we use instrumental variables (IV) estimation. In instrumental variable estimate, we find that FDI has significantly negative impact on Chinese regional productivity, which is consistent with recently literature (Aitken and Harrison, 1999; Hu and Jefferson, 2002; Konings, 2001; Xu and Sheng, 2011) which pays attention to the endogeneity of inputs. ‘Competition effects’ and ‘technology gap’ explanation can explain the negative impact of FDI on Chinese regional productivity in short run. Our empirical results show that technology import has significantly positive impact on Chinese regional productivity. The empirical results also confirm that own R&D efforts has significantly positive effect on Chinese regional productivity. Our results suggest that Chinese governments should favor the development of both international technology transfer and own R&D efforts.Then we analyze the determinant of international technology transfer in China. In existing literature, government policy, market environment, ownership relationship, technology gap and absorptive capacity are considered as the key factors influencing international technology transfer. Few works investigate how these key factors affect international technology transfer in China. In order to analyze this questions deeply, we do a case study on Chinese automotive industry. We choose to analyze this sector as it occur more international technology transfer and it is extremely important in Chinese economy. Our empirical results show that some government policies have active impact on international technology transfer in China, such as, local content requirement, the decrease of trade barriers, tax incentives and IP protection. However, some policies have no significant even negative impact on international technology transfer in China, such as, restrictions on entry and foreign equity limits. Market environment, especially market competition, to large extant promote international technology transfer in China. Ownership relationship affect international technology transfer, JV (Joint Venture) members of SOEs (State-owned enterprises) mainly acquire production technologies through FDI and technology import, while Non-JV members of SOEs and independent local company focus on learning design technologies through technology import and international cooperation. Large technology gap makes Chinese domestic companies have more opportunities to learning foreign technologies, but it also means that domestic companies have no enough ability to absorb the advanced technologies from multinationals. Absorptive capacity is important for the recipient acquiring the transferred technologies.
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Impacts des dépenses en recherche et développement sur la fonction de production et l'efficience des entreprises canadiennes et américaines du secteur manufacturier

Fournier, Marie-Hélène January 2007 (has links) (PDF)
Dans notre société, la performance et l'efficacité sont des aspects importants. Les entreprises ont intérêt à accroître leur efficacité rapidement, si elles veulent suivre le rythme de croissance entraîné par l'ouverture des marchés. Un des moyens disponibles est de parfaire leurs procédés de fabrication et leurs connaissances avec la recherche et développement. Des milliards de dollars sont dépensés et subventionnés, à chaque année, à cette fin. Cependant, ce type de dépense a-t-il vraiment un impact important sur l'efficacité et la productivité des entreprises? Cet impact varie-t-il d'un secteur d'activité à l'autre? Nous avons tenté de répondre à ces questions de plusieurs façons, selon différentes méthodes. Tout d'abord, en utilisant l'approche DEA (Data Envelopment Analysis), nous avons observé la modélisation de la fonction de production de nos échantillons. L'inclusion de la variable de recherche et développement, dans notre modèle, a entraîné l'obtention d'une fonction de production incluant plus d'unités optimales et rehaussant l'efficacité de l'échantillon, en général. Le fait d'omettre cette variable sous-estimerait donc l'efficacité des entreprises. Par la suite, nous avons observé les rendements d'échelle obtenus avec et sans variable de recherche et développement. Encore ici, l'ajout de la R&D amenait un plus grand nombre d'entreprises vers les rendements d'échelle constants, entre autres mots, vers l'optimalité. Enfin, nous avons étudié le prix implicite de la recherche et développement. Cet indice nous permet de voir si les unités sont sous ou sur capitalisées. Un résultat intéressant est que, dans plusieurs cas, les unités sont sur capitalisées et auraient avantage à désinvestir en recherche et développement, afin d'améliorer leur efficacité. Ensuite, nous avons utilisé la méthode Tobit, afin d'évaluer les déterminants de l'efficacité des unités étudiées. En effectuant diverses estimations, nous avons obtenu que la R&D avait un impact positif, bien que faible, sur l'efficacité totale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Recherche et développement, Productivité, Efficacité, Data envelopment analysis, Secteur manufacturier.

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