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L'impact des capacités opérationnelles et dynamiques sur la performance des entreprises manufacturières du Québec

Ibanescu, Mihai 09 1900 (has links) (PDF)
Cette étude se propose d'apporter des développements à la théorie des capacités dynamiques et d'analyser l'état de l'industrie manufacturière du Québec, ainsi que les antécédents du développement de certaines compétences technologiques (l'adoption de normes de qualité et présence de projets de R-D), les effets de la possession de ces compétences et de la politique de protection de la propriété intellectuelle sur la performance des entreprises. Un autre objectif de l'étude sera de déterminer les effets des barrières de protection sur la distribution des firmes et les risques sectoriels lors de chocs externes. La partie théorique de la recherche essaye de délimiter et clarifier le concept des capacités dynamiques, leur position et leur rôle par rapport aux autres ressources, routines, capacités et compétences organisationnelles, ainsi que leur modalité de fonctionnement. Dans la partie méthodologique, plusieurs indicateurs de performance et de protection des secteurs sont expliqués et construits. La partie empirique traite de l'ensemble de l'industrie manufacturière du Québec, soit environ 12 000 entreprises existantes en 2010. Les données sont analysées sous les aspects de la structure par âge et par taille, pour l'ensemble et pour les grands secteurs industriels, la présence des compétences technologiques et leurs effets sur divers critères de performance, en utilisant un support théorique varié : théorie basée sur les ressources, l'écologie des organisations, l'équilibre ponctué, l'entrepreneuriat, les capacités dynamiques, l'organisation industrielle et autres. La prépondérance numérique des PME dans l'industrie manufacturière du Québec confère à cette étude une dimension spécifique aux études entrepreneuriales. La recherche propose plusieurs hypothèses concernant l'influence des capacités dynamiques et opérationnelles sur la performance des firmes, ainsi que sur le rôle des barrières de protection sur la performance et sur les chances de survie des entreprises. D'autres hypothèses concernent la liaison entre la propension de breveter les résultats de l'activité de R-D et la taille de l'entreprise, ainsi que l'influence du développement de ces compétences technologiques sur la performance multidimensionnelle des entreprises, selon des indicateurs de productivité, de performance des exports et de survie. La recherche présente aussi des hypothèses concernant un éventuel ordre du développement des compétences technologiques, selon le secteur industriel. L'étude empirique utilise un ensemble d'environ 50 variables élémentaires sur les 12000 entreprises des industries identifiées par les codes 31 à 33 (SCIAN), données en provenance de sources variées : ISQ, CRIQ, MDEIE, Industrie Canada, sites Internet des entreprises, bases de données de brevets. L'analyse des données est faite en utilisant une variété de méthodes : modèles d'équations structurelles, des régressions uni et multi variés, logit, tableaux de contingence, analyse Anova et Mancova, tests de moyenne, etc. Les résultats des tests empiriques confirment l'influence prépondérante des capacités dynamiques sur la performance de la firme, par rapport aux capacités opérationnelles et celle-ci même pour l'ensemble du secteur LT. Cependant, les résultats révèlent des exceptions, en particulier pour certaines industries LT, où le rôle des capacités dynamique dans la performance est faible ou nul. Un résultat important est la précision élevée avec laquelle le modèle de risque sectoriel a identifié les secteurs les plus affectés par la crise entre 2004 et 2009. Les résultats par industrie spécifique montrent aussi que s'il est vrai en général que les entreprises ayant des normes de qualité et des activités R-D performent mieux que les autres, dans quelques industries une seule des deux compétences confère tout l'avantage. Un autre résultat concerne le rôle médiateur, faible, des brevets sur l'influence de l'activité R-D sur la performance des entreprises. Finalement, l'étude révèle des alternatives concernant l'ordre d'acquisition des compétences technologiques, les jeunes entreprises en haute technologie ayant une préférence pour développer tout d'abord des compétences dans les activités R-D, et par la suite des compétences relatives à la qualité, tandis que les autres entreprises préfèrent l'approche inverse. Cette étude met en évidence le déclin de l'esprit entrepreneurial dans le secteur manufacturier, l'importance d'une approche contingente, selon les spécificités environnementales de chaque industrie, mises en lumière par les analyses. Elle fournit, entre autres, quelques suggestions pour les politiques économiques, en tenant compte de l'importance variée des compétences technologiques pour les performances, et elle suggère des orientations pour des recherches futures. ______________________________________________________________________________
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The performance of the internationalization process of Mexican manufacturing firms : an empirical study

Rodriguez-Valle, Alejandro 01 1900 (has links) (PDF)
L'étude scientifique de l'internationalisation de la firme est sur le point d'arriver à ses cinquante ans de recherche, toutefois durant tout ce temps, un volume et une variété de matériel considérables ont été réalisés. Il est clair que la recherche réalisée et celle qui est en cours, visent à expliquer, démontrer et créer une nouvelle théorie autour de l'activité internationale des entreprises dont les centres de décisions se situent dans les pays du « monde occidental développé ». Ce qui signifie que presque tout le travail académique, autant la partie théorique qu'empirique, s'efforce de remplir les vides perçus dans les différentes explications de l'internationalisation de la firme de ces pays, à supposer que n'importe quelles généralisations obtenues soient applicables dans le monde, autant développé que non développé. En tout cas, de cet effort de la communauté académique ressort une concurrence fermée afin de réussir à imposer une théorie générale d'internationalisation de la firme, tout en créant dans le processus « écoles de pensée » qui prétendent apporter « la » théorie générale et qui explique le phénomène de l'internationalisation de la firme. Il est indubitable que les apports en matière d'internationalisation, venant des pays appelés « pays développés », ont été diffusés, avec une certaine réussite, tout en impliquant que ces apports sont universellement éminents et applicables. Ceci n'est pas du tout passé inaperçu et de cette manière, des organisations comme la Conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement (CNUCED) a lancé un appel pour une rencontre d'experts afin d'explorer l'élargissement de la capacité des « pays en voie de développement » à travers l'internationalisation de leurs compagnies (CNUCED, 2005). Cette thèse argumente que la théorie de l'internationalisation de la firme a besoin d'une recherche scientifique du phénomène dans des contextes alternatifs, comme dans les pays appelés « pays non développés ». Une telle activité de recherche doit éclairer la discussion sur le fait que pour être comprise, il faut que l'internationalisation soit d'abord mise en contexte. En suivant cette réflexion, nous avons étudié l'internationalisation de la firme mexicaine. Le Mexique fait partie des quinze plus grandes économies mondiales, c'est aussi un participant actif dans le commerce et les investissements mondiaux et le Mexique, en collaboration avec le Canada et les États-Unis, a fondé le Traité de Libre Commerce d'Amérique du Nord (A.L.E.N.A) et pourtant la communauté académique des affaires internationales a travaillé de manière limitée sur une théorie de l'internationalisation de la firme mexicaine. Dans ce projet de recherche, nous nous sommes concentré sur la firme mexicaine manufacturière internationalisée et en voie de l'être car cela représente un des secteurs économiques qui possède l'information statistique disponible la plus sophistiquée et complète (Holtbrügge, 2003 ; INEGI, 2005). Nous avons vérifié la littérature correspondante dans le but de positionner notre projet et nous avons développé un cadre conceptuel préliminaire. De la même manière, nous en avons déduit une série de propositions théoriques ou d'hypothèses à démontrer par rapport à ces entreprises mexicaines. Il est utile de mentionner que notre recherche a été éminemment empirique, y compris l'application d'un sondage à partir de bases de données nationales de firmes manufacturières mexicaines. De même, une série d'entretiens a été réalisée auprès de cadres et de chefs d'entreprises en voie d'internationalisation. Ce travail de recherche a eu pour but de produire de nouvelles perspectives théoriques et pratiques sur le phénomène de l'internationalisation de la firme manufacturière mexicaine. Il s'avère que cette recherche a signalé une zone d'études dans laquelle nos travaux de recherche s'inscrivent et qui devraient produire de nombreux résultats. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Internationalisation de la firme, firme industrielle, firme mexicaine, intensité des ventes étrangères, satisfaction avec la performance, entreprenariat.
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Du métier à l'institution, ou, Les transformations des mentalités associées aux modifications des modes de gestion dans l'industrie manufacturière canadienne de 1900 à 1930 / Transformations des mentalités associées aux modifications des modes de gestion dans l'industrie manufacturière canadienne de 1900 à 1930

Portes, Michel January 2000 (has links) (PDF)
No description available.
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Balance des émissions de CO[indice inférieur 2] incorporées au commerce : cas du commerce bilatéral sino-canadien, 1990-2009

Meless, Gnagne Agnero Yves January 2013 (has links)
Le présent mémoire vise à donner un aperçu des effets du commerce bilatéral sino-canadien sur le niveau global des émissions de dioxyde de carbone. L'objectif est de réaliser une analyse "ex post" des émissions de CO? générées sur les territoires du Canada et de la Chine pour la fabrication de biens manufacturiers. À partir de l'analyse entrées-sorties, nous estimons les émissions de CO? incorporées au commerce bilatéral sino-canadien de 1990 à 2009 pour 13 secteurs manufacturiers et nous dérivons l'indice BEIC (balance des émissions de CO? incorporées au commerce). La BEIC mesure directement le gain environnemental, en termes relatifs, que peut avoir un pays et qui apparaît lorsque les biens importés contiennent plus de carbone, du fait des émissions CO? générées au moment de leur fabrication, que les biens exportés. L'analyse des effets du commerce bilatéral sino-canadien de biens manufacturés sur les émissions globales de CO? pour la période 1990-2009 révèle une BEIC excédentaire pour les secteurs manufacturiers de la Chine. En 2009, la BEIC entre la Chine et le Canada pour l'ensemble des secteurs manufacturiers du Canada est estimée à -17,23 MtCO?. Nous remarquons que pour la même année chaque dollar gagné par la Chine dans ses exportations de biens manufacturés en direction du Canada incorpore 2,1 fois plus de pollution, en termes d'émissions de CO? que chaque dollar dépensé dans les importations de biens manufacturés provenant du Canada. En l'absence du commerce bilatéral sino-canadien, les émissions globales de CO? se trouveraient réduites de 10,67 MtCO? en 2009. Si la tendance qui a prévalu entre 1990 et 2009 se maintient, le commerce bilatéral sino-canadien contribuerait à une hausse des émissions globales de CO?. Les niveaux constatés de la BEIC s'expliquent par deux raisons principales. La première raison est l'important déficit commercial du Canada dans son commerce avec la Chine. En 2009, les exportations canadiennes vers la Chine ne représentent que 15,63% des importations de biens manufacturés en provenance de Chine. La seconde raison est la différence dans l'intensité d'émission de CO? entre le Canada et la Chine. En 2009, l'intensité carbone des industries légères canadiennes (0,11 kgCO?$US2002) est 1,5 fois moins importante que l'intensité carbone des industries légères en Chine. Lorsqu'on compare pour la même année 2009 les niveaux d'intensité carbone des industries lourdes, ceux des industries lourdes chinoises sont près de deux fois plus importants que ceux des industries lourdes canadiennes. Par ailleurs, nous remarquons qu'en dépit du fait qu'ils restent très élevés, les niveaux d'intensité de carbone des secteurs manufacturiers chinois ont considérablement diminué sur la période 1990-2009. Entre 2000 et 2009, les niveaux d'intensité carbone des industries légères de la Chine ont été réduits de 23,7% et les niveaux d'intensité carbone des industries lourdes de la Chine ont diminué de 48,3%. Sur la même période, les améliorations technologiques des systèmes de production ont grandement contribué à ces importantes réductions des niveaux unitaires d'émissions de CO? des industries manufacturières de la Chine. [symboles non conformes]
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Dans quelle mesure les incoterms pourraient constituer un espace de négociations commerciales favorisant la performance à l'international des PME manufacturières exportatrices québécoises hors ALÉNA sur le long terme?

Togney, Marie-Laure 02 1900 (has links) (PDF)
Dans le contexte de mondialisation provoqué par la déréglementation des prix des transports et des communications intervenue au milieu des années 70, l'internationalisation est peu à peu devenue une condition de survie pour l'entreprise. Au Québec, les PME manufacturières n'échappent pas à cette tendance. Pourtant, elles semblent peiner à diversifier leurs exportations en terme de destinations. En effet, soutenues par un phénomène de proximité géographique et psychologique, c'est traditionnellement et essentiellement vers les États-Unis qu'elles exportent. C'est aussi le cas pour les entreprises de plus grande taille. Or, l'accélération de la mondialisation des marchés va de pair avec de nombreux changements dans le commerce international. Le taux de change, par exemple, constitue aujourd'hui clairement une condition à l'exportation. De plus, au Québec comme dans de nombreux pays, les PME constituent un pilier de l'économie. Cette importance des PME québécoises dans l'économie de la province, réside dans l'emploi. Ce travail de recherche porte sur l'utilisation des Incoterms par les PME manufacturières québécoises dans le cadre de leurs activités de négociation à l'international, hors ALÉNA. Il a pour double objectif de comprendre comment ces PME utilisent et maîtrisent les Incoterms, d'une part, et comment elles pourraient en tirer profit à l'exportation, d'autre part. Plus exactement, il s'agit d'analyser les Incoterms sous l'angle des négociations commerciales et de regarder comment ils pourraient, à la condition de leur maîtrise, favoriser la performance à l'exportation des PME québécoises. Cette étude circonscrit les activités à l'international par opposition aux activités avec les États-Unis et le Mexique. Nous avons effectué un premier travail d'entrevues semi-structurées menées auprès de 5 experts québécois et internationaux du commerce international que nous avons choisis pour la maîtrise et la couverture du domaine des activités de négociation à l'international des PME du Québec qu'ils offrent globalement. Ces experts, spécialistes des PME québécoises, des activités de négociation à l'exportation, des échanges internationaux, de la logistique, du transport et de la douane, ainsi que des Incoterms, • nous ont offert l'information dense et précise, nécessaire à l'orientation de notre recherche. L'analyse des données primaires ainsi obtenues a permis de mettre en évidence un manque de connaissance, en général, des Incoterms par les PME québécoises, s'inscrivant dans un manque de connaissance de leur propre environnement. Ce dernier est marqué par une absence de recherche systématique de l'information venant alimenter les tableaux de bord de gestion stratégique des PME, tels que les plans stratégiques marketing, plans d'affaires et plans d'affaires à l'exportation. C'est précisément au plan d'affaires à l'exportation que nous relierons les Incoterms, car il est le seul des tableaux de bord de gestion stratégique à les intégrer. Or, notre étude nous a révélé que peu de PME en possèdent, et lorsqu'elles en possèdent un, celui-ci a été réalisé à l'externe, en partie ou en totalité. Cette première analyse a aussi et surtout permis de définir dans quelles conditions les Incoterms peuvent constituer un outil de négociation. Bien entendu, le rapport de force dans la négociation, en terme de pouvoir lié à la taille de l'entreprise, en est la première. La PME, face à la multinationale, ne possède pas de bargaining power, à moins d'être en situation de monopole. La seconde condition réside dans la maîtrise des Incoterms assortie de la maîtrise optimale de tous les éléments du plan d'affaires à l'export de la firme, au titre du cadre de référence commun des négociateurs. Les éléments du plan d'affaires appartiennent à l'information de la PME que son négociateur devra échanger avec l'autre partie, minimalement à partir de la seconde étape de la négociation. D'une manière générale, l'information est nécessaire au négociateur pendant les quatre phases de la négociation. En ce qui concerne l'aspect interculturel des relations de négociation, il constitue un obstacle pour le négociateur, tant qu'il n'a pas été appréhendé, traité, compris et intégré au plan d'affaires au titre de l'information de l'entreprise. Nous avons mené notre travail principal d'analyse, à travers un questionnaire semi-structuré administré auprès d'un échantillon représentatif de 10 PME manufacturières québécoises exportatrices. Plus exactement, nous avons entrevu les propriétaires dirigeant et/ou négociateur à l'international des PME concernées. Nous avons ensuite dégagé, à partir de quelque 160 pages de retranscriptions, un certain nombre de faits saillants que nous avons analysés. Ce travail nous a permis de valider nos propositions de recherche, certes, ainsi que d'établir la réalité de la connaissance, la maîtrise et l'utilisation des Incoterms à travers la présence et de la mise en œuvre d'un plan d'affaires à l'exportation chez les PME québécoises. Il nous a aussi permis d'établir que les PME québécoises, y compris celles qui affirment les connaître, sinon être en mesure d'effectuer les recherches propres à les utiliser, ne connaissent pas les Incoterms. Ces dernières, les utilisant de façon erronée, n'éliminent pas le risque lié au transport international contrairement à leurs croyances. Ainsi, elles s'inscriraient dans le mode de travail « essais et erreurs » évoqué par nos experts. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Caractéristique des PME, Bargaining Power, Caractéristiques du négociateur, Activités de négociations, Marketing relationnel, Gestion de la relation client, Contexte interculturel, Plan d'affaires à l'exportation, Incoterms, Performance à l'exportation.
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Analyse de l'intensité énergétique dans les industries manufacturières de quatres provinces canadiennes de 1976 à 2006 / Analyse de l'intensité énergétique dans les industries manufacturières de 4 provinces canadiennes de 1976 à 2006

Kammoun, Nadia 17 April 2018 (has links)
Le Canada se classe parmi les plus grands émetteurs de gaz à effet de serre au monde. Le secteur industriel et celui du transport sont responsables de la majorité de ces émissions qui provoquent des problèmes environnementaux importants. Étant donné qu'une amélioration de l'intensité énergétique constitue une solution envisageable afin de réduire ces émissions, il serait donc important d'analyser sa variation. Le but de notre étude sera de déterminer les principaux facteurs qui peuvent influencer la variation de l'intensité énergétique dans le secteur manufacturier de quatre provinces canadiennes (i.e. le Québec, l'Ontario, l'Alberta et la Colombie-Britannique) entre les années 1976 et 2006. Afin d'y arriver, nous avons développé un modèle de régression linéaire qui a été estimé par la méthode du maximum de vraisemblance, et ce, pour les trois sous-périodes suivantes: 1976-1985, 1986-1999 et 2000-2006. Les résultats de notre étude démontrent que la valeur de la production et le ratio du prix d'énergie sur le prix de la main-d'oeuvre constituent les principales forces motrices de la variation de l'intensité énergétique en l'influençant significativement et négativement. Mots clés : intensité énergétique, efficacité énergétique, secteur manufacturier, émissions, Gaz à effet de serre, facteurs, influence.
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Les déterminants de la coopération en matière d'innovation au sein des PME manufacturières

Cloutier, Amélie 27 January 2024 (has links)
Les PME manufacturières font face à des pressions importantes pour innover, mais leur capacité de le faire est notamment entravée par des ressources limitées. La coopération en matière d’innovation s’avère être une avenue porteuse pour leur permettre d’accroître leur capacité d’innovation et de tirer leur épingle du jeu dans un marché concurrentiel. Cette thèse a comme objectif de faire avancer les connaissances sur les leviers et les freins du recours à cette pratique qui a fait ses preuves pour stimuler la capacité d’innovation des organisations. Globalement, cette thèse analyse les conditions qui expliquent le recours à la coopération en matière d’innovation et l’intensité de cette pratique chez les PME manufacturières. Ainsi, elle souligne les éléments sur lesquels les gestionnaires, les intervenants et les décideurs politiques, concernés par le développement et la promotion de l’innovation dans les entreprises, auraient intérêt à agir pour la favoriser.Plus précisément, une revue systématique de la littérature a tout d’abord permis de mieux définir le concept et d’identifier les déterminants de la coopération en matière d’innovation testés dans la littérature dans le cadre d’analyses quantitatives menées auprès de PME manufacturières. Elle cristallise les connaissances acquises en identifiant, en synthétisant et en discutant 53 déterminants et leurs 220 indicateurs uniques issus d'un corpus littéraire vaste et hétérogène. Elle introduit un cadre conceptuel rassemblant différentes perspectives pour aborder ce concept en présentant une vision globale et intégrée du sujet. Ce dernier regroupe les déterminants colligés en six grandes catégories qui sont, du général au particulier, relatives aux caractéristiques : environnementales, industrielles, organisationnelles, individuelles, du partenariat et du projet. Cette revue systématique identifie également les lacunes actuelles dans la littérature. Les perspectives de recherche fournies établissent une base, pour les recherches futures sur le sujet, en organisant et en s'appuyant sur la littérature qui a été publiée jusqu'à présent.Suite à ces constats, pour le volet empirique, une collecte de données par sondage par Internet et téléphonique auprès de dirigeants de PME manufacturières (n = 273) a permis de colliger des données pour affiner la compréhension du phénomène à l’étude. La région de Chaudière-Appalaches a été sélectionnée, car la combinaison de son entrepreneuriat exceptionnel, sa forte concentration d’entreprises manufacturières et son taux élevé d’innovation en font un endroit très attractif pour étudier ce phénomène.Des analyses statistiques ont été menées afin de dégager un portrait régional des pratiques de coopération en matière d’innovation des PME manufacturières. Des régressions ont permis d’identifier les leviers et les freins qui ont une incidence sur la propension des PME manufacturières à coopérer en innovation. Elles ont été comparées à l’intensité de coopération en matière d’innovation avec les partenaires du marché (clients, concurrents, consultants et fournisseurs) et les partenaires de recherche (laboratoires, établissements d’enseignement postsecondaire, centres de transfert de technologie et universités). Il s’agit d’un apport dans cette littérature dominée par les analyses binaires. L’impact des principaux freins et leviers a été hiérarchisé. Les analyses empiriques suggèrent que la coopération en matière d’innovation est favorisée par plusieurs déterminants clés. Cependant, elles soulignent qu’il existe des différences importantes entre les déterminants de la propension et de l’intensité de coopération en matière d’innovation.Les analyses quali-quantitatives comparées ont permis d’identifier qu’aucune condition n’est nécessaire et suffisante pour qu’une firme coopère en innovation. Diverses configurations de conditions sont toutefois propices à ce qu’elles y aient recours. Quelques leviers clés ont une incidence importante sur le recours à cette pratique, notamment une plus grande taille (nombre d’employés) et d’employés de R et D. Néanmoins, le réseautage du dirigeant fait également partie des configurations dégagées.Les avenues de recherche énoncées ouvrent la voie à de plus amples avancées sur le concept. / Manufacturing SMEs face significant pressure to innovate; however, their ability to do so ishampered by limited resources. Innovation cooperation is proving to be a promising avenue toincrease their innovation capacity and to compete in a competitive market. This thesis aims toadvance the knowledge on the levers and the brakes of practicing innovation cooperation which hasbeen proven to stimulate the innovation capacity of organizations. Overall, this thesis analyzes theconditions that explain the use and the intensity of the practice among manufacturing SMEs. Thus,it highlights the elements which managers, stakeholders and policy makers, involved in thedevelopment and promotion of innovation in companies, would be interested in taking action on topromote it.More specifically, a systematic review of the literature firstly made it possible to better define theconcept and identify the determinants of innovation cooperation tested in the literature, in thecontext of quantitative analyses conducted with manufacturing SMEs. It crystallizes the acquiredknowledge by identifying, synthesizing and discussing 53 determinants and 220 unique measuresfrom a vast and heterogeneous literary corpus. It introduces a conceptual framework bringingtogether different perspectives to approach this concept by presenting a global and integratedvision of the subject. The latter groups together the determinants into six broad categories that are,from general to specific, related to the following characteristics: environmental, industrial,organizational, individual, partnership and project. This systematic review also identifies currentgaps in the literature. The provided research perspectives establish a basis for future research onthe subject, organizing and building on the literature that has been published so far.Following these findings from the systematic review, an Internet and telephone survey wereconducted with leaders of manufacturing SMEs (n = 273) which allowed to collect data to refine theunderstanding of the phenomenon under study. The Chaudière-Appalaches region was selectedbecause of its high concentration of entrepreneurs, manufacturing companies and rate ofinnovation, making it a very attractive territory to study this phenomenon.Statistical analyses were conducted to obtain a regional portrait of the innovation cooperationpractices of manufacturing SMEs. The regressions identified the levers and brakes that affect thepropensity of manufacturing SMEs to cooperate on innovation. They were compared with theintensity of innovation cooperation with market partners (customers, competitors, consultants, andsuppliers) and research partners (laboratories, post-secondary institutions, technology transfercenters, and universities). These multinomial comparisons are a contribution in the innovationcooperation literature which is dominated by binary analyses. The impacts of the main brakes andlevers have been hierarchized.” Empirical analyses suggest that innovation cooperation is favoredby several key determinants, with important differences between the determinants of cooperationpropensity and intensity in innovation.Fuzzy-set analyses made it possible to identify that no condition is necessary and sufficient for afirm to cooperate in innovation. Various configurations of conditions, however, are conducive to thispractice. Some key levers are shown to have a significant impact on the use of this practice,including a bigger size (number of employees) and more R & D employees. Nevertheless, theleader's networking can replace this in some instances.The outlined research avenues pave the way for further advances on the concept.
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Impacts des dépenses en recherche et développement sur la fonction de production et l'efficience des entreprises canadiennes et américaines du secteur manufacturier

Fournier, Marie-Hélène January 2007 (has links) (PDF)
Dans notre société, la performance et l'efficacité sont des aspects importants. Les entreprises ont intérêt à accroître leur efficacité rapidement, si elles veulent suivre le rythme de croissance entraîné par l'ouverture des marchés. Un des moyens disponibles est de parfaire leurs procédés de fabrication et leurs connaissances avec la recherche et développement. Des milliards de dollars sont dépensés et subventionnés, à chaque année, à cette fin. Cependant, ce type de dépense a-t-il vraiment un impact important sur l'efficacité et la productivité des entreprises? Cet impact varie-t-il d'un secteur d'activité à l'autre? Nous avons tenté de répondre à ces questions de plusieurs façons, selon différentes méthodes. Tout d'abord, en utilisant l'approche DEA (Data Envelopment Analysis), nous avons observé la modélisation de la fonction de production de nos échantillons. L'inclusion de la variable de recherche et développement, dans notre modèle, a entraîné l'obtention d'une fonction de production incluant plus d'unités optimales et rehaussant l'efficacité de l'échantillon, en général. Le fait d'omettre cette variable sous-estimerait donc l'efficacité des entreprises. Par la suite, nous avons observé les rendements d'échelle obtenus avec et sans variable de recherche et développement. Encore ici, l'ajout de la R&D amenait un plus grand nombre d'entreprises vers les rendements d'échelle constants, entre autres mots, vers l'optimalité. Enfin, nous avons étudié le prix implicite de la recherche et développement. Cet indice nous permet de voir si les unités sont sous ou sur capitalisées. Un résultat intéressant est que, dans plusieurs cas, les unités sont sur capitalisées et auraient avantage à désinvestir en recherche et développement, afin d'améliorer leur efficacité. Ensuite, nous avons utilisé la méthode Tobit, afin d'évaluer les déterminants de l'efficacité des unités étudiées. En effectuant diverses estimations, nous avons obtenu que la R&D avait un impact positif, bien que faible, sur l'efficacité totale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Recherche et développement, Productivité, Efficacité, Data envelopment analysis, Secteur manufacturier.
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Étude des pratiques de gestion de la prévention des maladies professionnelles dans les PME manufacturières au Québec

Randrianarivelo, Fara January 2019 (has links) (PDF)
No description available.
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Labour market adjustments to real exchange rate fluctuations / Labor market adjustments to real exchange rate fluctuations

Bruneau, Gabriel 13 April 2018 (has links)
Ce papier évalue la sensibilité de l'emploi, des heures travaillées et des salaires aux variations du taux de change pour les industries manufacturières canadiennes et fournit une étude empirique de l'ajustement de l'emploi, des heures travaillées et des salaires dans de telles industries. L'analyse est basée sur un modèle dynamique appliqué à un panel de 21 industries de 1987 à 2006. L'effet net de l'appréciation du dollar canadien s'est avéré statistiquement significatif et négatif pour l'emploi, les heures travaillées et les salaires, bien que l'effet sur les heures travaillées soit plus prononcé. De plus, l'impact négatif de la dépendance élevée des industries canadiennes envers les exportations. conjugué à l'impact négatif créé par l'appréciation du taux de change sur les importations des intrants étrangers qui sont des substituts à l'intrant travail, augmente les effets négatifs sur ce dernier, les effets de substitution et de revenu allant dans le même sens. / This paper evaluates the response of employment, hours worked and wages to real exchange rate shocks in the Canadian manufacturing industries and provides an empirical study of the adjustment of employment, hours worked and wages in such industries. The analysis is based on a dynamic model applied to a panel of 21 manufacturing industries from 1987 to 2006. The net effect of the Canadian dollar's appreciation was found to be statistically significant and negative for employment, hours worked and wages, although the effect on hours worked is more pronounced. Furthermore, the negative impact of the high dependency of Canadian manufacturing industries on export, in combination with the negative effect that the appreciation have on the import of foreign inputs that are substitute to labour input, enhance the negative effects on the latter, since the substitution and theoutput channels are going in the same direction.

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