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Dialogues des cultures et esthétiques dans les "musiques improvisées"

Duprat, Maxime 04 1900 (has links)
La version intégrale de ce mémoire est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU). / Ce mémoire porte sur l’improvisation libre, pratique musicale apparue au cours de la seconde moitié du vingtième siècle en musique savante occidentale et en parallèle avec le courant du free jazz. Évoquée fréquemment par l’emploi du terme de « musiques improvisées », dans un premier temps, nous abordons le rapport entre cette appellation et la musique qui s’y rattache à travers son emploi chez certains auteurs en musicologie dans l’optique d’en montrer les différentes acceptions. Dans un second temps, nous réfléchissons sur la dualité des origines de la pratique d’improvisation libre afin d’expliquer en quoi celle-ci peut causer une certaine confusion lorsqu’elle est abordée en musicologie. Cette étude se concentre ensuite sur les aspects de pluralisme esthétique et de multiculturalisme qu’on peut rencontrer en improvisation libre. Nous explorons plusieurs explications quant aux fondements de la pratique musicale à partir d’une analyse de ses origines culturelles et historiques. Suite à cela est abordée la question de transculturation, un concept qui a été évoqué à plusieurs reprises ces quinze dernières années concernant les musiques improvisées, sans jamais avoir été appliqué de façon très spécifique à ces dernières. Le mémoire est complété par une analyse de l’improvisation The Usual Turmoil (1997) du tromboniste George E. Lewis et de la kotoïste Myia Masaoka, qui a pour objectif de mettre en application certains éléments de la réflexion théorique précédemment élaborée et de trouver les prémisses d’une méthode propre à l’analyse de l’improvisation libre. / This memoire treat about a specific musical practice which is free improvisation, and which appeared during the second half of the twentieth century in western art music and with the free jazz wave/trend. Frequently referred by the term « improvised music », we will first go through some definitions from authors in musicology to show the different underlying problematic of the term. We will return to the duality of the origins of free improvisation practice in order to explain why such duality caused confusion in musicology studies. We will then look at some specific aspects concerning multicultural and esthetic pluralism in free improvisation. We will try to bring forth some explanations from our analysis of the cultural roots of free improvisation. Furthermore, we will address the question of transculturation, a recent concept frequently used during the last fifteen years in improvised music studies and which had never been deeply studied. Finally, with the analysis of The Usual turmoil, a duet improvisation by the trombonist George E. Lewis and koto player Miya Masaoka, we will be able to consider free improvisation from an analytic point of view.
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Unifying concerns and entente : locating and pursuing the idiomaticity of free improvisation / Préoccupations unificatrices et "entente" : Situer et retracer l'idiomaticité de l'improvisation libre

Bourgeois, André Louis 19 January 2017 (has links)
Cette thèse étudie la question de l'idiomaticité dans la pratique musicale de l'improvisation libre. Notre enquête débute avec une discussion sur les difficultés qu'implique toute tentative de délimiter cette activité ou de la définir en termes positifs. En effet, le produit d'une performance improvisée émerge au moment de la prestation et s'évanouit immédiatement. Ce fait a poussé de nombreux musiciens et chercheurs à classer cette pratique comme étant « non-idiomatique » (et donc comme étant résistante à l'analyse sémiotique), une désignation qui a été popularisée par Derek Bailey dans son oeuvre pionnière Improvisation. Cependant, malgré son apparent caractère insaisissable, le genre a été capable de subsister depuis plusieurs décennies et continue a se propager à de nouvelles scènes musicales à travers le monde, supporté par un ensemble relativement consistant de préoccupations idéologiques et esthétiques quiunissent et habilitent ses praticiens et admirateurs. En utilisant un modèle sémiotique triadique dans la tradition de C.S. Peirce et en considérant les différents aspects de l'improvisation libre à la lumière de sa théorie des catégories, nous sommes capables d'élaborer une analyse sémiotique des aspects émergents/évanescents de l'improvisation libre, ainsi que de ses propriétés plus durables/idiomatiques. L'improvisation libre n'est pas du tout, comme aiment l'affirmercertains, libre de toutes conventions. Un des accomplissements de cette thèse est de déconstruire de mythe de la non-idiomaticité de l'improvisation libre et de démontrer que les engagements idiomatiques particuliers de cette pratique ont tout simplement été déplacés, abandonnant pour la plupart les idiomes formels (tels des approches génériques, codifiées et reconnaissables à la tonalité et au rythme) pour privilégier des codes de conduite qui rendent l'activité cohérente et signifiante à ses participants. Les témoignages d'improvisateurs révèlent qu'ils sont largement motivés par des préoccupations et principes similaires. Quant à la valeur momentanée reconnue de n'importe quel aspect formel d'une performance improvisée, c'est grâce à l'implémentation soudaine de conventions localisées et habituellement de trèscourte durée (que nous appelons « entente ») que les musiciens arrivent à cette reconnaissance mutuelle (mais toujours contingente). Les improvisateurs tendent à vouloir déconstruire ces conventions formelle émergentes assez rapidement. Ils comptent ne laisser aucun engagement formel se solidifier au delà d'un certain caractère liminaire qu'ils jugent désirable dans le cadre de leur activité. Finalement, n'importe quel indicateur pour mesurer le succès d'une performance improvisée doit se référer soit aux principes unificateurs qui soutendent la pratique et représentent le coeur de sonidiomaticité, soit aux exigences momentanées imposées par l'entente. / This thesis studies the question of idiomaticity in the musical practice of free improvisation. Our enquiry begins with a discussion on the difficulties of delineating this activity and of defining it in positive terms. The production of improvised performances indeed emerges at the moment of its delivery and is immediately fleeting. This has led many musicians and writers to classify the practice as "non-idiomatic" (and thus resistant to semiotic analysis), a designation popularized by Derek Bailey in his pioneering book Improvisation. Yet despite its apparent elusiveness, the genre has been able to endure for several decades and keeps spreading to new music scenes throughout the world, supported by relatively consistent ideological and aesthetic preoccupations that unify and enable its practitioners and fans. By using a triadic semiotic model in the tradition of C.S. Peirce and by considering the different aspects of free improvisation in the light of his theory of categories, we are able to give a semiotic account of both the emergent/evanescent and the enduring/idiomatic aspects of free improvisation. Free improvisation is not at all, as some would hope, free from all conventions. One of the accomplishments of this thesis is to deconstruct the myth of free improvisation's non-idiomaticity and demonstrate that the practice's particular idiomatic commitments have merely been shifted away from formal idioms (such as generically codified and recognizable approaches to tonality and rhythm) and onto codes of conduct that keep the activity coherent and significant for its participants. Musician testimonies reveal that the practices of free improvisers are indeed motivated by similar underlying concerns and principles. As for agreements on the momentary value of any of the improvised performance's formal aspects, they find mutual (if contingent) recognition through short-lived localized formal conventions that we call "entente". Improvisers, however, typically playfully deconstruct these emergent formal conventions rather expeditiously; they are intent on not letting any formal commitments solidify beyond a desired liminal capacity. In the end, any gauge for the success of an improvised performance must refer either to the underlying unifying principles that make up the core of its idiomaticity or to the momentary exigencies of entente.
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Transindividuation et individuation collective : une exploration à travers l’improvisation libre et la rythmanalyse

Zaidan, Francois 12 1900 (has links)
En s’appuyant principalement sur le travail de Gilbert Simondon (1989) et sur celui de Bernard Stiegler (2010, 2012, 2013), ce mémoire de maîtrise explore la relation entre les notions d’individu et de collectif. D’une part, cette relation est conceptualisée et développée à travers les concepts de transindividuation et d’individuation collective ; et d’autre part, celle-ci est explorée via les théories de l’improvisation libre (free improvised music). S’intéressant aux différentes modalités de cette pratique musicale (Bailey, 1992 ; Saladin, 2002, 2010, 2014 ; Corbett, 2004, 2016 ; Peters, 2009), cette recherche conçoit l’improvisation libre comme une approche radicale permettant d’aborder autrement la relation entre les notions d’individu et de collectif. L’agencement, la confrontation et la négociation des singularités individuelles des musiciens.nes en présence étant au centre de la pratique de l’improvisation libre, la méthodologie mobilisée vise à cerner les dynamiques permettant de saisir la complexité de cette relation. En s’appuyant particulièrement sur la research-from-creation et la creation-as-research (Chapman & Sawchuk, 2012), l’aspect méthodologique de ce mémoire est ancré dans la recherche-création. En ce sens, les principaux matériaux d’analyse ont émergé de l’expérience de séances d’improvisation libre dans laquelle l’immédiateté et l’éphémérité de la création ont été vécues, discutées et ultérieurement analysées à travers les concepts de rythme et de présence propres à la rythmanalyse d’Henri Lefebvre (1980, 1992). / Relying mainly on the work of Gilbert Simondon (1989) and Bernard Stiegler (2010, 2012, 2013), this master’s thesis explores the relation between the notions of individual and collective. On one hand, the relation is conceptualised and developed through the concepts of transindividuation and collective individuation ; and on the other hand, it is explored through free improvisation / free improvised music theories. Looking at the different modalities of that musical practice (Bailey, 1992 ; Saladin, 2002, 2010, 2014 ; Corbett, 2004, 2016 ; Peters, 2009), this research conceives free improvisation as a radical approach to tackle differently the relation between the notions of individual and collective. The assemblage, confrontation and negotiation of individual singularities of musicians being at the centre of free improvisation, the chosen methodology tends to define the dynamics allowing to understand the complexity of that relation. Relying particularly on research-from-creation and creation-as-research (Chapman & Sawchuk, 2012), the methodological aspect of this thesis is anchored in research-creation. In that sense, the main analysis materials have emerged from the experience of free improvisation sessions in which the instantaneity and ephemeral aspect of creation were lived, discussed and subsequently analysed through the concepts of rhythm and presence inherent to Henri Lefebvre’s rhythmanalysis (1980, 1992).
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« Toucher les sons » : la manipulation expérimentale des sons électroniques, de l'apprentissage à la transmission dans les pratiques improvisées contemporaines - enquête de terrain à montréal auprès de musiciens improvisateurs (2013-2016) / "touch the sounds". The experimental manipulation of electronics sounds, learning and transmission, in the contemporary improvised practices - investigation with improvisers in Montreal (2013-2016)

Lavergne, Grégoire 05 July 2017 (has links)
Dans le domaine musical, l'époque contemporaine se caractérise par la dissémination de la scène, la démultiplication des genres musicaux et l’omniprésence des techniques audionumériques dans les processus de fabrication et de diffusion des enregistrements, reproductibles à l'infini par un nombre toujours croissant d'utilisateurs de matériel informatique. Nous choisissons d'extraire d'un tel contexte les pratiques improvisées d'inspiration libre usant d'une lutherie électronique. Comment les artistes parviennent-ils à se repérer dans un environnement aussi fluctuant et problématique, puis à transmettre leur savoir musical ? Pour sortir de la compilation des données temporellement circonscrites, nous tâcherons de comprendre ce qui est en train de se passer au sein des pratiques improvisées contemporaines dans une localité précise. Le cadre théorique, hérité du jazz, montrera qu'il existe au XXème siècle un lien entre l'enregistrement sonore et l'improvisation à travers trois types d'instrumentation : mécanique, analogique et numérique. À l'aide de deux exemples historiques, nous essayerons de comprendre comment un improvisateur apprend à jouer du clavier tout en étant confronté, dans le même temps, à un dispositif technique de production et de reproduction sonore. La méthode introduira ensuite l'enquête de terrain effectuée à Montréal en 2013-2014 dans l'atelier de six musiciens amateurs. Les monographies mettront en évidence les filiations et la mémoire sonore de chaque artiste, constitutives d'un imaginaire musical l'autorisant à performer le moment venu. Les pratiques improvisées étudiées ne représentent aucun genre ni aucune tradition musicale identifiable, car elles s'inspirent indifféremment des musiques expérimentales, de l'électroacoustique, de l'improvisation libre, du free jazz et du rock. En revanche, elles demeurent indissociables du contexte qui les a vu naître, celui de la musique actuelle au Québec et de la topographie montréalaise. Grâce au concept d'« audiotactilité », ces pratiques seront analysées du point de vue des usages que les artistes font des circuits électroniques, c'est-à-dire le rapport physique à la matérialité des outils et des sons produits par le biais de l'ouïe et de la fonction haptique. L'improvisation procède-t-elle d'une construction réfléchie, telle une architecture ou une ingénierie, et l'électronique influence-t-il l'élaboration du discours improvisé ? Existe-il une structure sous-jacente dans l'élaboration d'un discours improvisé utilisant des outils électroniques en adéquation avec un processus musical vivant ? Par le réemploi de morceaux préexistants et par la pratique du sampling, l'improvisation peut être pensée comme un processus hypertextuel. Ainsi, nous verrons si les techniques numériques se placent dans la continuité de l'enregistrement mécanique et analogique ou si elles constituent un élément de rupture. / In the field of music, our contemporary age is characterised by a scattered scene, an increasing number of musical genres and ubiquitous audio-digital techniques used in the process of production as well as in the broadcasting of recordings, themselves infinitely reproducible by an ever-growing number of computer-users. In the midst of this constellation we have chosen to highlight the art of free improvisation using electronic stringed-instruments. How do artists manage to find their way in such a fluctuating and problematical environment, and then convey their musical know-how? Rather than compiling data limited in time, we will attempt to understand what is being happening among contemporary improvisation in a specific context.The theoretical framework, inherited from jazz, points to a connection in the 20th century between recording and improvisation and operates on three levels: mechanical, analogue and digital. With the aid of two historical examples we try to understand how an improviser learns to play the keyboard while being at the same time confronted with a technical device of sound production and reproduction. The methodology / approach then presents a field investigation carried out in Montreal in 2013-2014 during a workshop involving six musicians. The monographs highlight the origins and sound memory of each artist which make up his musical individuality and allow him to perform when required. The improvised sessions under investigation do not represent a genre or identifiable musical tradition, as they derive indiscriminately from experimental music, electro-acoustics, free improvisation, free jazz and rock. However they cannot be dissociated from the context in which they emerged, i.e. the modern music scene in Quebec and the wider Montreal environment.Thanks to the concept of "audio-tactility", these practices are analysed focussing on how the artists use electronic circuits, i.e. what is the connexion between the material aspect of the devices and the sounds produced by listening and haptics. Does the improvisation stem from a mental construct, a building plan or engineered map and do the electronics have a bearing on the elaboration of the improvised discourse? Is there an underlying structure in the elaboration of an improvised discourse using electronic devices in combination with a live musical process? By feeding preexisting pieces through a sampler, improvisation can be thought of as a hypertext process. In this way we can observe whether digital techniques are an extension of mechanical and analogue recording techniques or whether indeed they break with them.
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« Toucher les sons » : la manipulation expérimentale des sons électroniques, de l'apprentissage à la transmission dans les pratiques improvisées contemporaines - enquête de terrain à Montréal auprès de musiciens improvisateurs (2013-2016)

Lavergne, Grégoire 07 1900 (has links)
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