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Kant, Heidegger, and the problem of indifference: from reason to releasement

Poole, Nicholas 25 April 2016 (has links)
This thesis presents a study of Immanuel Kant and Martin Heidegger on the theme of indifference. There are two main argumentative trajectories. First, I establish the coherency of indifference as a unifying theme across both of their works. Specifically, it will be shown that for both thinkers indifference emerges as a “problem” bound up with the history of western metaphysics tending towards nihilism. For Kant, this appears as a problem of reason, and for Heidegger a loss of Being. Their responses to this problem can also be seen as broadly analogous: Both are concerned to demonstrate how a certain “authentic” relation to the inner possibility of metaphysics is possible, and do so without assuming anything in advance about the being for whom metaphysics is an issue. Second, I aim to show that Heidegger’s notion of indifference, as a closure of ecstatic time and loss of Being, more sufficiently accounts for the breadth of indifference as an experiential phenomenon, as well as makes possible a “turning” (Verwindung) of this closed mode into an kind of “open indifference” that makes possible the presencing of things. From the perspective of Heidegger’s response to the problem of indifference, Kant’s response will be shown to regenerate the very problem he seeks to overcome. / Graduate
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The Tension between Non-Intervention and Non-Indifference in the SADC Mediation in Zimbabwe, 2007-2013 : An Analysis

Mashimbye, Rich January 2020 (has links)
The aim of this study is an analysis of the Southern African Development Community’s (SADC) management of the non-intervention and non-indifference dichotomy during its mediation in Zimbabwe. Non-intervention and non-indifference are inherently mutually exclusive hence the idea of tension between them. The institutional configuration of SADC, at the ideational level, is such that it encompasses commitment to sovereign equality and non-intervention and also to intervention in the interest of advancing regional stability, peace and security. Clearly, an uncertainty arises pertaining to the (supposed) relationship of these competing commitments; which concept or idea assumes precedence in an event of regional conflict or crisis that threatens regional stability? Additionally, the AU norm of non-indifference, which emerged in the aftermath of the deadly internecine conflict that engulfed Rwanda in 1994, has been embraced by SADC. SADC opted for mediation in Zimbabwe which paradoxically allowed it to manage and mitigate the tension between non-intervention and non-indifference. The mediation process produced the GPA in 2008 that subsequently led to the establishment of the power sharing government, the GNU, in 2009. As the guarantor of the GPA, SADC was involved in facilitating the implementation of the agreement. During this stage of its mediation intervention in Zimbabwe, clashes centred on non-intervention and non-indifference frequently occurred. In particular, President Mugabe was often at loggerheads with SADC over its involvement in Zimbabwe, occasionally accusing the organisation of undermining the country’s sovereignty. Despite Mugabe occasionally undermining the GPA, as was seen with his tendency to unilaterally appoint allies in strategic positions within the state for example, SADC did not change its stance on the question of the method of intervention in Zimbabwe. The use of mediation which is a peaceable method of intervention allowed SADC to manage the tension that naturally exists between non-intervention and non-indifference during its conflict resolution role in Zimbabwe. / Thesis (PhD (International Relations))--University of Pretoria, 2020. / UP Doctoral Research Bursary / Political Sciences / PhD (International Relations) / Unrestricted
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Vitalisme et philosophie critique: genèse de la philosophie politique de Gilles Deleuze autour du problème de l'illusion

Janvier, Antoine 24 February 2010 (has links)
Cette thèse vise à déterminer la « genèse de la philosophie politique de Gilles Deleuze ». Durant les années soixante, Deleuze publie une série d'ouvrages et d'articles, sur des auteurs aussi divers que Lucrèce, Nietzsche, Kant, Proust, Bergson, Sacher-Masoch, Spinoza entre autres. Avec Différence et répétition d'abord (en 1968), Logique du sens ensuite (en 1969), il élabore sa philosophie propre, sur un registre « métaphysique ». C'est seulement en 1972 qu'il rédige avec Félix Guattari, selon ses propres termes, un « livre de philosophie politique » : L'anti-dipe. La question à laquelle répond ce travail est la suivante : comment Gilles Deleuze en est-il venu à la philosophie politique, comment y est-il « passé » ? La thèse posée à cette fin est que le « passage à la politique » se comprend si on lit les textes qui précèdent L'anti-dipe comme autant de problématisations de la philosophie, c'est-à-dire de mises en question, par Deleuze, de sa propre pratique. Depuis Nietzsche et la philosophie jusqu'à Logique du sens, en passant, entre autres, par Proust et les signes et Différence et répétition on constate la récurrence d'une expression : celle d'« image de la pensée ». Plus exactement, Deleuze oppose l'« image dogmatique de la pensée », d'une part, et la « nouvelle image de la pensée » ou la « pensée sans images », d'autre part. Plus tard, Deleuze pourra même dire que c'était là le véritable objet de sa recherche durant toutes ces années. En trois moments, qui correspondent aux trois parties de mon travail, j'ai tenté de montrer que la définition de la philosophie donnée par Deleuze était l'expression d'un problème. Ce problème, c'est celui des illusions qui asservissent la pensée. La première partie de ma thèse analyse le système conceptuel vitaliste élaboré par Deleuze dans Nietzsche et la philosophie, qui s'articule autour du concept d'affirmation. Le vitalisme requiert une critique des pensées du négatif. Il implique une démystification qui marque ce moment où la pensée se libère de ses présupposés et se met en position de comprendre la multiplicité et le devenir des modes d'existence, comme autant d'affirmations de la vie. Penser en termes d'affirmation, c'est chercher à comprendre un phénomène donné selon le mode d'existence qui s'élabore à travers lui, selon la vie qui s'y construit, la logique qui le soutient. Ainsi par exemple, le ressentiment n'est pas une réaction contre la vie, une négation de la vie, une haine portée contre l'existence. À bien lire Nietzsche et la lecture qu'en donne Deleuze le ressentiment est lui-même un mode d'existence. Autrement dit, il est lui-même une manière d'affirmer la vie, bien que cette affirmation passe par la souffrance et y trouve ses puissances propres. Le point central de cette analyse est le suivant : une pensée est affirmative lorsqu'elle comprend la logique affirmative qui soutient un phénomène, y compris ces phénomènes que sont les pensées du négatif. Autrement dit, le vitalisme ne peut se satisfaire du geste critique par lequel il délégitime les illusions du négatif ; il lui faut encore les comprendre depuis le mode d'existence qu'elles impliquent, c'est-à-dire depuis la vie qui s'y construit ; il lui faut encore comprendre les pensées du négatif comme des modes d'affirmation de l'existence. La conséquence de ce vitalisme radical est que la notion d'illusion devient caduque. Les pensées du négatif ne trompent ni ne se trompent ; elles ne sont pas pleines d'illusions sur la vie. Pour le vitalisme, la vie n'est pas le réel en fonction duquel les discours devraient être jugés, selon leur degré d'adéquation ou de représentation à l'égard des puissances vitales. La vie n'est rien d'autre que le processus de constitution d'une existence. La question à poser, ce n'est pas de savoir si les pensées du négatif représentent bien la vie, ou si elles s'illusionnent sur elles. C'est de comprendre par quel type de vie ces pensées du négatif sont portées. Dès lors, la notion d'illusion doit être redéfinie et la dimension « critique » du vitalisme prendre un tout autre sens. En quoi consiste la démystification constitutive du vitalisme critique ? Comment comprendre la notion d'« illusion » dans ce cadre ? La deuxième partie de ma thèse tente de répondre à ces questions, par une analyse de la lecture deleuzienne de Kant. Deleuze n'a jamais cessé de renvoyer la question critique et la notion d'illusion à l'entreprise kantienne. Chez Kant, la raison humaine est tourmentée par des illusions qui ne la trompent pas. Ainsi, contrairement à son acception habituelle, le concept kantien d'illusion se distingue du concept d'erreur. On comprend qu'un tel concept intéresse un vitalisme radical comme celui de Deleuze. Car il ouvre à une conception non-représentative de l'illusion. Mais alors, qu'est-ce qu'une illusion, si elle n'est pas une mauvaise représentation du réel ? Une illusion est ce qui tourmente de la raison, quand elle n'a pas de critère permettant de satisfaire ses prétentions de connaître le réel tel qu'il est en soi. La chose en soi ne peut pas être connue. À cet égard, nos illusions ne consistent pas à nous présenter de fausses représentations de la chose en soi, mais seulement des représentations dont nous ne pouvons pas dire si elles sont vraies ou fausses. C'est pourquoi nos illusions ne nous trompent pas ; elles nous tourmentent, parce qu'elles relèvent d'une prétention que nous ne pouvons pas satisfaire, à savoir connaître la chose en soi. Une telle prétention est le propre de la métaphysique. La métaphysique, selon Kant, est un vaste champ de batailles, sur lequel les combattants s'épuisent à connaître l'inconnaissable. La critique kantienne porte sur la métaphysique. Elle ne vise pas à contredire les diverses tentatives de connaître la chose en soi pour en proposer une nouvelle. Elle vise à montrer l'illégitimité de ce type de connaissance. À cette dimension négative de la critique, il faut y joindre une dimension positive. Sa mise en lumière conduit Deleuze à trouver chez Kant un criticisme vitaliste. Pour Kant, la critique ne consiste pas seulement à établir les limites de notre connaissance et à dénoncer l'illégitimité des prétentions de la raison. Elle consiste aussi et surtout à discipliner la raison humaine, c'est-à-dire à la rendre capable dans la pratique de distinguer le légitime de l'illégitime. À cette fin, une simple détermination théorique des limites de la raison ne suffit pas : car la métaphysique n'est pas une erreur passée que la critique pourrait invalider une fois pour toutes, mais une tendance actuelle de la raison humaine ; une tendance qui la menace toujours. Dès lors pour Kant, il s'agit de comprendre les motifs de cette tendance à l'illusion, pour mieux empêcher la raison d'y succomber. Les illusions ne tombent pas de nulle part. On peut dire qu'elles proviennent d'un usage illégitime des facultés qui composent la raison humaine. Mais c'est seulement déplacer le problème : l'usage illégitime lui-même doit alors être expliqué ; lui non plus, il ne tombe pas de nulle part. La réponse à ce problème nous porte au cur de l'interprétation deleuzienne de Kant. Selon Deleuze, si un usage illégitime de la raison humaine est possible, c'est parce que l'usage légitime n'est pas donné, assuré en fait. Rien n'assure que nous usions correctement de notre raison, que ce soit dans le domaine de la connaissance ou dans celui de la morale. C'est pourquoi Kant porte le problème au niveau du droit. Le droit n'est pas le fait de la raison humaine, mais ce qu'elle doit faire pour atteindre la connaissance et la morale. Le manque d'assurance de la raison, au niveau du fait, est constitutif de l'exigence qui lui est formulée, au niveau du droit. Cependant, la distinction entre le droit et le fait ne permet pas seulement de penser un usage illégitime de la raison. Selon Deleuze, elle permet à Kant de penser la fragilité de notre raison, son effondrement possible. En effet, la raison n'est jamais assurée de sa simple mise en exercice, de sa réalisation, en fait. Elle ne l'est qu'en droit. Pour Deleuze, la célèbre « doctrine kantienne des facultés », qui insiste sur leur hétérogénéité ou leur différence de nature, prend en compte ce danger qui menace toute pensée : l'unité de la raison n'est pas donnée en fait, la raison humaine peut très bien s'effondrer. Ses facultés risquent non seulement de mal s'accorder (c'est-à-dire de s'accorder de manière illégitime), et de produire en conséquence un délire métaphysique. Mais surtout, les facultés risquent de ne pas s'accorder du tout, et la raison de s'effondrer. La solution kantienne à ce problème est pratique et repose sur le devoir-être moral. L'unité de la raison n'est sauvée que sur le plan du doit, c'est-à-dire devoir-être. La raison n'est pas assurée de son unité, de son usage. Plus exactement, rien n'assure qu'elle le soit en fait, et c'est pourquoi elle doit le faire, au sens fort du mot « devoir » - selon Deleuze, Kant « sauve » ainsi le monde de la représentation et l'unité de la raison. Kant permet à Deleuze de déterminer la véritable menace qui donne à la philosophie sa légitimité : la menace d'un effondrement de la pensée. Nous comprenons mieux alors le sens critique du vitalisme. Il s'agit moins de s'émanciper des illusions du négatif pour rejoindre la vie et la croquer à pleines dents, que de répondre à la menace d'un effondrement de la pensée et de la vie, menace que les « illusions » tentaient déjà de conjurer et d'éviter. Mais Deleuze refuse la solution kantienne du devoir-être. Car Kant lui-même le savait la solution morale ne fait que sauver la raison humaine de l'effondrement en la rapportant au domaine du droit. Mais elle ne permet pas de l'affronter ici et maintenant, en fait. Or, tel est bien le problème pour Deleuze. C'est pourquoi il ne se satisfait pas du concept d'illusion. Celui-ci n'avait de sens qu'à supposer une réalité des usages de la raison réalité en droit par rapport à laquelle les usages illégitimes de la raison les usages de fait pouvaient apparaître comme producteurs d'illusions. À refuser la solution morale, Deleuze est contraint de délaisser le concept d'illusion et l'opposition illusion/réel pour penser l'effondrement de la raison dans toute son actualité : on ne sait pas encore ce qu'est la raison avant qu'elle ne soit effectuée, on ne le sait même pas en droit ; on ne sait pas encore ce que signifie penser, puisque penser n'est ni donné, ni à faire. Tel est le sens du nouveau partage, entre image dogmatique de la pensée et pensée sans image : l'image dogmatique désigne les différentes manières d'éviter et de conjurer le danger d'effondrement de la pensée. La pensée sans image ouvre à une compréhension du rapport actuel de la pensée à son propre effondrement, à sa propre dissolution. La radicalité du vitalisme destitue le monde de la représentation et le critère transcendant d'un réel auquel se conformer, ou d'un principe fondateur, et ce au profit d'une compréhension de la multiplicité et du devenir des modes d'existence. Le vitalisme ne conduit pas la philosophie à plonger dans le grand Tout infini de la Vie, pour la contempler d'un sourire béat et exalter ses puissances créatrices. Qu'il n'y ait plus de critère transcendant signifie d'abord que la pensée n'est pas donnée, que penser n'est pas assuré, que la vie psychique peut s'effondrer ici et maintenant. Telle est la conséquence d'un critère devenu immanent : il ne s'agit plus de départager la bonne et la mauvaise pensée, ni même la pensée plus puissante et la pensée moins puissante ce qui n'est qu'une manière de reconduire un partage moral. À partir du moment où le danger est l'effondrement actuel de la vie et de la pensée, la seule chose qui compte, c'est de parvenir, pour le dire avec Deleuze, à « penser tout court quelque chose ». Alors, Deleuze ouvre la philosophie à la compréhension sinon à l'effectuation de la multiplicité des modes de penser des pensées dans les savoirs, dans les pratiques, les plus diverses soient-elles. Tel est le problème majeur auquel Deleuze se consacre dans les années soixante : comment arriver à penser quelque chose, comment faire de la philosophie ? Son génie fut de faire de ce problème un objet de pensée, c'est-à-dire un moyen par lequel, précisément, penser devient possible. Ainsi, Deleuze fait du problème de la philosophie le motif même de sa philosophie. Sur ce sujet, Deleuze doit beaucoup à la psychanalyse freudienne; mais non moins que ce qu'il en refuse. L'étude de la lecture deleuzienne de Freud fait l'objet de ma troisième partie. Freud est confronté, dans sa pratique thérapeutique et dans la seconde métapsychologie, à ce même problème d'effondrement de la vie psychique (témoins, chez Freud, les problèmes de transfert et de contre-transfert qui risquent de réduire la cure à néant, les phénomènes de compulsions de répétition et ce que Freud appelle les affections narcissiques, c'est-à-dire, pour le dire vite, les psychoses). La discussion serrée, toujours critique, menée par Deleuze avec la psychanalyse, lui permet d'approfondir le problème de la pensée ici et maintenant, sur un plan qui n'est pas moral, mais thérapeutique ou clinique. La problématisation thérapeutique de la vie psychique, c'est-à-dire, au fond, la position de ce problème sur un plan relationnel, et donc collectif : voilà ce qui amènera Deleuze à la politique. On comprend mieux alors pourquoi la servitude et la liberté, thèmes classiques de la philosophie politique, sont pour Deleuze affaire d'affectivité et de vie pulsionnelle. On comprend aussi les motifs de la rencontre avec Guattari Guattari, si soucieux d'une approche thérapeutique détachée de toute morale, de tout devoir-être, et fondée sur une pensée de l'institution comme enchevêtrement de relations sociales comprises sur un mode affectif. On comprend enfin que, pour les auteurs de L'anti-dipe, l'important, avant tout, est qu'il « se passe quelque chose », malgré toute la rigueur des coordonnées dans lesquelles nous pensons et la dureté des partages qui segmentent nos vies. En somme, il s'est agit de montrer la fécondité d'une approche génétique: une approche interrogeant les modalités d'engendrement de la philosophie politique deleuzienne. La méthode de lecture choisie consistait à demander non seulement comment Deleuze effectue son passage à la politique, mais aussi comment il en vient à étudier tel ou tel thème, à aborder tel ou tel auteur, à produire tel ou tel concept. Cette perspective génétique convient particulièrement à la philosophie de Deleuze, puisqu'elle permet de mettre en évidence le problème qui l'anime : comment engendrer « penser » dans la pensée, comment parvenir à penser tout court quelque chose.
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Losing the Will: Automatic Reactions to the Indifference Perceived in Others

Leander, Nils Pontus January 2009 (has links)
<p>Three studies examine individuals' implicit sensitivity to the absence of motivation perceived in others and how the nature of this sensitivity is moderated by individuals' own motivational states. Using a subliminal priming paradigm, Study 1 tested a direct perception-behavior link between perceiving indifference in others and applying such indifference towards one's own pursuits. Study 2 then examined how individuals who are primed in advance with a nonconscious achievement goal show automatic counteraction to the indifference perceived in others. Using a video-based priming paradigm, Study 3 then found that such goal-driven counteraction to indifference occurred only among individuals with higher action control--those who had the ability to sustain goal pursuit after the intention to pursue it has been formed. In contrast, individuals with lower action control in Study 3 were more susceptible to indifference than all other participants, particularly when an achievement goal was made highly active in memory. These influences were found in all three studies to occur largely without participants' conscious intent or awareness.</p> / Dissertation
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Indifference to past human rights violations in Chile

Corral, Hugo Andrés Rojas January 2017 (has links)
The purpose of this thesis is to explain how and why a sector of the Chilean population is indifferent to past human rights violations committed during the dictatorship of General Augusto Pinochet (1973-90), and also what the consequences of that indifference are in Chile today. An explanatory sequential and non-nested mixed methods design has been applied: the quantitative analysis is based on the 2013 National Bicentennial Survey (N=2,004), and the qualitative analysis is carried out from fifty-three in-depth and semi-structured interviews to indifferent and non-indifferent individuals. It is argued that indifference to past human rights violations is the result of various processes of socialization that influence the individual, being relevant life experiences and social interactions related to political issues. According to the survey, 16.02 percent of the sample is indifferent to past atrocities. Regarding the causes of indifference, binomial logistic regression highlights four variables: political orientation, socio-economic status, generational cohort, and perception of social conflict. The analysis of in-depth interviews shows that the three most common sets of variables that explain indifference to past human rights violations are: the predominant emphasis on search for family and personal well-being, discomfort with politics, and fear of a recurrence of the pre-coup d'état crisis and post-coup authoritarian experiences. Qualitative analysis shows that indifference is dynamic and visible. There are also different intensities in the spectrum of indifference. As the indifferent are a heterogeneous group, distinctions between disillusioned, submissive, depoliticized, and resigned indifferent are presented. It is also argued that the indifferent cynics are a problematic group for transitional justice, democratic consolidation, and the rule of law. Regarding the social consequences, the indifferent may actively promote social indifference in their interactions; indifference has become a socially accepted norm by other sectors, and indifference facilitates the persistence of the culture of impunity over time.
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Utility Indifference Valuation of Life Insurance Risks

Alexandru-Gajura, Elena January 2010 (has links)
<p> We address the problem of valuation of life insurance risks of different nature, market independent or equity-linked, under various assumptions regarding policyholders'mortality and the financial market. Given the incomplete nature of life insurance markets, an indifference valuation approach tailored to different models of the insurer's liability is applied. To be more specific, we propose three models for the insurer's liability: a single life insurance model, the individual risk model and the collective risk model. The last two models are generalizations of the aggregate loss models with the same name from actuarial mathematics. </p> <p> First, we investigate the pricing problem of market independent life insurance risks under the assumption of random mortality, focussing on the effects of this latter assumption on the premium. We find that random mortality is an essential assumption especially when pricing in aggregate loss models. Then, we consider life insurance products with a more complex structure of the benefit, as equity-linked term life insurances. We price them via utility indifference in all liability models mentioned above, assuming deterministic mortality and a Black-Scholes market model. Comparing the results obtained, we observe that the collective risk model is computationally more efficient than the others, but at the cost of higher premium. Finally, we conclude by extend-ing our pricing results for equity-linked term life insurance to a one factor stochastic volatility market model. We obtain that in a fast-mean-reverting volatility regime, the indifference premium can be well approximated by adjusted constant volatility results, previously derived. </p> / Thesis / Doctor of Philosophy (PhD)
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Indiferença: um estudo psicanalítico / Indifference: a psychoanalytic study

Ferraz, Daniela Tankevicius 14 June 2018 (has links)
A indiferença é uma marca de nossa cultura que envolve noções de desprezo, falta de interesse, e apatia. Verificamos também a emergência de uma supervalorização da indiferença enquanto possibilidade de desafetação frente ao sofrimento, próprio ou do outro, relacionada a um estatuto de poder frente aos demais. Avançando em relação à inclusão em categorias meramente pejorativas, pretendemos sustentar que a indiferença é uma atitude em relação a algo. Uma vez que chega ao psicanalista via sofrimento psíquico, observamos que o tema convoca uma investigação no campo de pesquisa em psicanálise. Apostando que a psicanálise carrega em si um saber sobre as possibilidades de tratamento e reposicionamento dos sujeito frente ao desejo, este trabalho tem por objetivo realizar uma investigação acerca da indiferença como modalidade de sofrimento de nossa época, mobilizando a rede conceitual psicanalítica de Freud e Lacan por diversas vias que nos instrumentalizem na construção de hipóteses sobre possíveis estatutos da indiferença no campo clínico/político. Entendemos sua incidência dentro de um contexto político marcado por um narcisismo generalizado dentro do neoliberalismo, que produz uma lógica de exclusão e negação da diferença, como também uma indiferenciação dos sujeitos dentro da massa. A indiferença entra em cena articulada aos diferentes processos da constituição subjetiva, lida através das noções de indiferenciação, identificação e alienação. A presença da indiferença na atualidade é marcada por faces diversas, que atuam de modo intrincado. A fixação em identidades rígidas relega ao sujeito uma precariedade em relação ao reconhecimento da diferença, culminando em situações extremas de ódio e fanatismo. Uma profunda vinculação aos ditames de nossa época contribui para emergência de indivíduos intolerantes ao encontro com o estranho de si e do outro, além de efetuar indiferenças valorizadas como sinônimo de sucesso da autorrealização. A indiferença depressiva se coloca na contramão da lógica do mercado, o que a faz não desejada no contexto social. Diante disto concluímos que a psicanálise pode tratar do que dói na indiferença não oferecendo consistência às demandas de aumento de autocontrole e ideais de isolamento, mas auxiliando na produção de indiferenças necessárias frente a hipereatividade às diferenças / Indifference is a mark of our culture that involves the notions of contempt, lack of interest, and apathy. We can also see the emergence of indifference regarded as a possibility of disengagement, either a persons own suffering or from the suffering of others, related to a status of power over others. Moving forward in relation to the inclusion of indifference in merely pejorative categories, we intend to maintain that indifference is an attitude toward something. Once indifference is presented to the psychoanalyst through a patients psychic suffering, we observe that the theme calls for an investigation in the field psychoanalytic research. Considering that psychoanalysis carries within itself a knowledge about the possibilities of treatment and repositioning of the subject in front of his desire, this work aims to carry out an investigation about the indifference as a modality of suffering of our time, mobilizing the conceptual psychoanalytic network of Freud and Lacan, by various means that can instrumentalize us in the construction of hypotheses about possible statutes of indifference in the clinical / political field. We understand its incidence within a political context marked by generalized narcissism within neoliberalism, which produces a logic of exclusion and denial of difference, as well as an indifferentiation of the subjects within the mass. The indifference enters the scene articulated to the different processes of the subjective constitution, read through the notions of indifference, identification and alienation. The presence of indifference today is marked by diverse aspects, which act in an intricate way. The fixation on rigid identities relegates the subject to a precariousness regarding the recognition of the difference, culminating in extreme situations of hatred and fanaticism. A deep attachment to the dictates of our time contributes to the emergence of intolerant individuals in the encounter with the stranger within themselves and others, as well as effecting indifference as a valued synonymous to success and self-realization. Depressive indifference is set against the market logic, which makes it unwanted in the social context. From this we conclude that psychoanalysis can deal with what hurts in indifference, not offering consistency to the demands of increased self-control and ideals of isolation, but rather helping in the production of necessary indifference in the face of hyper-reactivity in face of differences
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Zavinění v trestním právu / Culpability in criminal law

Dao, Bich Lien January 2018 (has links)
Culpability in criminal law Abstract The culpability is fundamental institute of the Czech criminal law, because it is mandatory attribute of the subjective aspect of the criminal offence. The culpability is necessary to fulfill any of the facts of the criminal offence as the fundamental principle of liability for fault, which implies that there is not a criminal offence without fault. This thesis deals with the culpability in criminal law and is divided into six chapters, including introduction and conclusion. The introduction is followed by the chapter about general introduction, namely the placement of the culpability in the facts of the criminal offence. In this section the differences between the fault and culpability are explained, and it deals in detail with the content of the culpability, which means the extent of the facts included by culpability. This chapter is also concerned with the intensity and degree of individual form of culpability known as degree of culpability. In addition to the above, this chapter includes also a section dedicated to the matter of proving the culpability in the criminal law. The next chapter summarizes the historical development of culpability. Starting with the Act on Crimes, Offences and Misdemeanors (1852), the Criminal Code od 1950, the Criminal Code of 1961 and...
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Stjärnornas krig : kampen om it-kompetensen fortsätter / Star Wars : the battle for IT-workforce continues

Bergmark, Kristina, Öman, Elias January 2013 (has links)
Sammanfattning Titel: Stjärnornas krig – kampen om IT-kompetensen fortsätter Författare: Kristina Bergmark och Elias Öman Handledare: Agneta Hugemark Lärosäte: Uppsala Universitet Datum: 2013-06-04 Syfte: Uppsatsens syfte är att ge en ökad insyn i vad som uppfattas som attraktivt hos en arbetsgivare av arbetskraft med IT-kompetens som arbetar inom organisationen 3. Uppsatsen ämnar också ge insyn i vilka krav och normer denna arbetskraft tvingas underkasta sig till följd av sitt medlemskap i denna organisation. Metod: Datainsamlingen skedde genom kvalitativa semistrukturerade intervjuer. Intervjuerna genomfördes med 6 anställda på företagets 3:s IT-avdelning och 2 HR-anställda inom organisationen. Materialet analyserades och diskuterades utifrån de teoretiska begreppen kollektiva resurser och zone of indifference. Den tidigare forskning som behandlades fokuserade i huvudsak på motivation hos arbetskraft med IT-kompetens samt personalstyrning genom identitetsskapande. Resultat/slutsats: Det som uppfattades som attraktivt av denna typ av personer med IT- kompetens som arbetade inom organisationen 3 var autonomi, hög grad av eget ansvar, utvecklingsmöjligheter, en icke hierarkisk arbetsmiljö, återkoppling och feedback, föränderlighet och flexibilitet. Gällande krav och normer fann vi att man var tvungen att vara starkt engagerad, effektiv, konstant sträva efter sin egen och företagets utveckling och alltid vara en ”utmanare” i branschen. Nyckelord: Sociologi, zone of indifference, kollektiva resurser, IT, krav, makt
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Indiferença: um estudo psicanalítico / Indifference: a psychoanalytic study

Daniela Tankevicius Ferraz 14 June 2018 (has links)
A indiferença é uma marca de nossa cultura que envolve noções de desprezo, falta de interesse, e apatia. Verificamos também a emergência de uma supervalorização da indiferença enquanto possibilidade de desafetação frente ao sofrimento, próprio ou do outro, relacionada a um estatuto de poder frente aos demais. Avançando em relação à inclusão em categorias meramente pejorativas, pretendemos sustentar que a indiferença é uma atitude em relação a algo. Uma vez que chega ao psicanalista via sofrimento psíquico, observamos que o tema convoca uma investigação no campo de pesquisa em psicanálise. Apostando que a psicanálise carrega em si um saber sobre as possibilidades de tratamento e reposicionamento dos sujeito frente ao desejo, este trabalho tem por objetivo realizar uma investigação acerca da indiferença como modalidade de sofrimento de nossa época, mobilizando a rede conceitual psicanalítica de Freud e Lacan por diversas vias que nos instrumentalizem na construção de hipóteses sobre possíveis estatutos da indiferença no campo clínico/político. Entendemos sua incidência dentro de um contexto político marcado por um narcisismo generalizado dentro do neoliberalismo, que produz uma lógica de exclusão e negação da diferença, como também uma indiferenciação dos sujeitos dentro da massa. A indiferença entra em cena articulada aos diferentes processos da constituição subjetiva, lida através das noções de indiferenciação, identificação e alienação. A presença da indiferença na atualidade é marcada por faces diversas, que atuam de modo intrincado. A fixação em identidades rígidas relega ao sujeito uma precariedade em relação ao reconhecimento da diferença, culminando em situações extremas de ódio e fanatismo. Uma profunda vinculação aos ditames de nossa época contribui para emergência de indivíduos intolerantes ao encontro com o estranho de si e do outro, além de efetuar indiferenças valorizadas como sinônimo de sucesso da autorrealização. A indiferença depressiva se coloca na contramão da lógica do mercado, o que a faz não desejada no contexto social. Diante disto concluímos que a psicanálise pode tratar do que dói na indiferença não oferecendo consistência às demandas de aumento de autocontrole e ideais de isolamento, mas auxiliando na produção de indiferenças necessárias frente a hipereatividade às diferenças / Indifference is a mark of our culture that involves the notions of contempt, lack of interest, and apathy. We can also see the emergence of indifference regarded as a possibility of disengagement, either a persons own suffering or from the suffering of others, related to a status of power over others. Moving forward in relation to the inclusion of indifference in merely pejorative categories, we intend to maintain that indifference is an attitude toward something. Once indifference is presented to the psychoanalyst through a patients psychic suffering, we observe that the theme calls for an investigation in the field psychoanalytic research. Considering that psychoanalysis carries within itself a knowledge about the possibilities of treatment and repositioning of the subject in front of his desire, this work aims to carry out an investigation about the indifference as a modality of suffering of our time, mobilizing the conceptual psychoanalytic network of Freud and Lacan, by various means that can instrumentalize us in the construction of hypotheses about possible statutes of indifference in the clinical / political field. We understand its incidence within a political context marked by generalized narcissism within neoliberalism, which produces a logic of exclusion and denial of difference, as well as an indifferentiation of the subjects within the mass. The indifference enters the scene articulated to the different processes of the subjective constitution, read through the notions of indifference, identification and alienation. The presence of indifference today is marked by diverse aspects, which act in an intricate way. The fixation on rigid identities relegates the subject to a precariousness regarding the recognition of the difference, culminating in extreme situations of hatred and fanaticism. A deep attachment to the dictates of our time contributes to the emergence of intolerant individuals in the encounter with the stranger within themselves and others, as well as effecting indifference as a valued synonymous to success and self-realization. Depressive indifference is set against the market logic, which makes it unwanted in the social context. From this we conclude that psychoanalysis can deal with what hurts in indifference, not offering consistency to the demands of increased self-control and ideals of isolation, but rather helping in the production of necessary indifference in the face of hyper-reactivity in face of differences

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