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Iconographie de la féminité

Jambel, Laure 10 February 2024 (has links)
La photographie est mon médium artistique et l'image apporte une fonction relationnelle. En effet, ma démarche est guidée au départ par la rencontre de personnes. Lors de la recherche de maîtrise j’ai voulu explorer différentes représentations de la femme. En collaboration avec des personnes que je nommerai modèles, j’ai créé cinq portraits, pour tenter de saisir une part de leur identité. Les rencontres ont permis de développer leurs récits. Au fur et à mesure des rendez-vous, un dialogue s'est établi tissant des liens entre nous afin de coconstruire le projet, de le préciser et de le transformer : un jeu entre ce qu’elles ont bien voulu montrer, ce que j'ai perçu, ce qu’elles désiraient et ce que j’ai imaginé et construit. En plus des matrices photographiques, j’ai utilisé plusieurs moyens de création : la vidéo, l’écriture, la programmation de rythmes lumineux, etc. Les oeuvres ont pris alors la forme d’environnement se déployant dans l’espace utilisant certains phénomènes d’illusion. Les réunir dans un même lieu leur a donné sens.
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La passéité du paysage pour le poétique du vécu

Auclair, Gabrielle 24 January 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 19 janvier 2024) / En ces pages, je propose questionnements, idées, créations et recherches sur le développement de ma pratique artistique entourant ma Maîtrise en arts visuels. Ce corpus se penche sur le concept du vide quotidien qui affecte par sa motion vers le sensible du vécu. Ces brèches de la vie sont présentées en images aux côtés d'objets courants du quotidien qui habitent l'idée d'un chez-soi par l'absence qu'ils portent. Fragments de textes, images, matérialité et installation se rencontrent dans un amalgame organisé par les sentiments de l'artiste. Ceux-ci ont guidé le processus de création de son commencement jusqu'à la mise en place de l'exposition. Tout au long de cette évolution, le cheminement est questionné pour être mieux approfondi par diverses recherches et lectures présentées dans ce texte. Les réponses de cette progression se retrouvent visuellement dans l'exposition La passéité du paysage pour le poétique du vécu. Dans l'œuvre, la temporalité des paysages en nature vient être confrontée à celle vécue de manière individuelle par son regardeur, ouvrant sur la possibilité de l'inscrire de contemplateur à voyeur par la nostalgie. Du bout des doigts, je tente simplement de tracer la présence de l'absence. Partout.
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Sur la peinture-installation

Brunet, Paul 13 April 2018 (has links)
Ce texte se veut une mise en théorie, accompagnant la production visuelle réalisée lors de mes deux années à la maîtrise. Cette recherche se base principalement sur l'exploration des modes de présentation d'une œuvre et de ses conséquences ou répercussions sur les plans formels, perceptifs et sémantiques. J'y questionne, plus particulièrement, le dispositif d'installation spatiale d'un tableau ou d'une séquence de tableaux que permet la peinture-installation. Cet écrit relate donc ma pensée sur la notion de peinture-installation et ce qu'elle implique dans mon travail pictural.
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La distance dans la sculpture ou le paysage opaque

Roy, Jean-Philippe 11 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / J'aimerais que de ce texte transparaisse la même attitude que celle adoptée vis-à-vis mon travail d'atelier, à savoir une ouverture face à ce qui va naître de la mise en forme de la matière, soit la mise en forme simultanée de la pensée par l'écriture. Bien que cette réflexion sur la sculpture provienne de mon expérience concrète de la création, un mot pourtant aura suffi à lancer son activité : le paysage. À l'origine, donc, une intuition. Utiliser le paysage comme figure de comparaison en vue d'analyser une œuvre installative où la sculpture est au cœur de toutes investigations. Par l'écriture, il aura fallu arpenter le mot pour en prendre la juste mesure, remonter sa généalogie jusqu'à obtenir un point de vue sur l'étendue de sa signification et les possibilités interprétatives qui l'enracinent à la langue. À la manière du paysan auscultant la terre, il aura fallu chercher dans les signes, une cause et un sens au paysage; suivre les chemins qui le lient à d'autres mots, d'autres images, pour finalement découvrir le pays qui le borde et marque sa limite conceptuelle. Dans ce lent processus d'imprégnation, où la phrase est l'horizon qui les collige, les mots m'auront révélé ce que je n'ai jamais su identifier au sein de mon expérience de la sculpture et qui me semblait pourtant en constituer l'essentiel : la distance. Espace compris entre moi et les choses, la distance est cette disparité insurmontable de la connaissance mais, aussi, la marque de mon appartenance au monde. Autour de cette notion fondamentale, j'ai également trouvé des textes, des auteurs, des artistes, des philosophes et une attitude similaire. Celle-là même qui, enfant, a façonné au travers de dessins mon approche de la création; une manière de penser la réalité dans l'action, de la formuler au plus vif de mon actualité. Le paysage opaque est le titre de l'installation qui fait l'objet du présent texte. C'est une œuvre évolutive déjà présentée en 2005 à la galerie R3, à Trois-Rivières. Dans le contexte de ce mémoire, elle a été présentée en 2006, dans la grande Galerie de l'ŒIL de Poisson, à Québec. C'est une œuvre, à l'image de l'attitude dépeinte ici, faite d'allers-retours entre la théorie et la création.
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Sculpture toutous : le rapport affectif entre l'oeuvre, son créateur et le spectateur

Samson, Jacques 17 April 2018 (has links)
Ce texte accompagne les oeuvres qui ont fait fobjet d'une recherche création à la maîtrise en arts visuels. Maille par maille, il rend compte du processus qui a sous tendu mon travail ainsi que le parcours que j*ai emprunté pour y parvenir. Mes sculptures abordent les notions d'accumulation, d'empilement et de répétition. Elles ont fait l'objet d'une exposition dans un lieu intime transformé pour l'événement, à savoir mon propre atelier. Ce texte témoigne du lien affectif que j'entretiens avec l'oeuvre et de ma capacité à faire partager cette expérience avec les spectateurs.
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La fragmentation picturale et l'installation-peinture : la présentation du paysage panoramique

Dupuis-Kingsbury, Louis-Pier 16 April 2018 (has links)
Le but de ce mémoire est de présenter mon approche ouverte du langage pictural. Traitée dans une optique contemporaine, ma peinture s'articule en traitant un des plus vieux thèmes picturaux : le paysage. Utilisé comme prétexte pour peindre, ce thème se développe en une multitude de concepts comme l'authenticité picturale développée à même le processus de création, les espaces picturaux et la peinture-installation. Tous ces thèmes servent à revoir la peinture contemporaine comme étant en lien direct avec son histoire, comme étant conceptuellement fragmentaire dans sa conception et sa réception.
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Les cadres symbiotiques : la présentation d'ensemble de la vidéo et de son installation

Chen, Keyu 18 April 2018 (has links)
Comme un chef trouverait ridicule qu'un client qui goûte son plat lui demande de décrire la saveur et pourquoi il le fait, certains artistes ne veulent pas s’asseoir et interpréter leurs œuvres à la place du spectateur. Surtout que les artistes ont d’autres raisons de rester silencieux: peut-être que les œuvres elles-mêmes sont des objets obscurs auxquels les artistes veulent échapper ou que celles-ci répondent à des questions non résolues. Les œuvres seraient des réflexions non avouées. Cependant, une relation s’établit entre les artistes et leurs pratiques. Je la découvre à travers ma démarche de création en maîtrise, accompagnée de tous les questionnements techniques et émotionnels, que je termine avec mon exposition – Rivière absente. Pour décrire mon cheminement, je commence par une interprétation du concept de symbiose. Ce concept s'applique à l'ensemble des installations de mon exposition. Deuxièmement, j'analyse l’influence de l’animation et de la vidéo sur ma production en accordant plus d'importance à l'œuvre finale et son échange avec le spectateur qu'au médium lui-même. À la fin, j’analyse l'ensemble des sentiments et des réflexions sur la notion de nostalgie qui donne naissance à mes scénarios et à ma pratique. En plaçant cette partie à la fin, je tente de mettre en avant-plan les émotions que l'œuvre transmet tout en mettant de côté l'analyse technique.
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Ce qu'il reste des vagues : la naissance d'une Île

Plamondon-Pagé, Éloïse 13 December 2023 (has links)
Ce mémoire est traversé par le mouvement, par les saisons et par les eaux qui mènent à la lumière. Il est également traversé par l'estampe, par l'installation et par la vidéo. C'est un récit de vie qui relate un véritable parcours, tant géographique qu'humain, à travers lequel j'ai entrepris une quête pour m'affranchir des contraintes passées. Aspirant à un second souffle, je me suis lancée dans des projets de création à l'étranger où l'Ailleurs est devenu un véritable potentiel de création. Cet Ailleurs m'a permis de prendre conscience de ma propre expérience du monde et, à travers elle, j'ai compris l'importance du contexte dans ma pratique artistique. Sachant que tout contexte est éphémère, je deviens sensible aux changements infimes du temps qui passe et me laisse imprégner par eux. Mes œuvres incarnent ce qu'il reste de mon expérience sensible du monde : ce qu'il reste des vagues. Elles en sont le catalyseur, et elles deviennent son vestige pour voyager jusqu'à vous. / My thesis has been shaped by movements, changing seasons, and the spaces where waters and light meet, just as it is steeped in my printmaking, installation, and video art practices. It tells the story of a life and of the geographic and personal journeys to free myself from the artistic constraints that formerly bound me. In search of a creative "second wind", I completed residencies far from home. My immersion in these Elsewheres spurred my creative process, threw into relief my experience of the world and highlighted the importance of context to my art practice. Because all context is ephemeral, I have become increasingly sensitive to the slightest changes wrought by the passage of time, deliberately seeking them out and finding ways to make time pass through me. My work gives form to what remains of this sensory experience of the world, much as a receding wave leaves physical traces and flotsam and jetsam behind : these are at once the catalyst and the vestiges of my art as it makes its journey to the viewer - its journey to you.
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Ambiguïté et étrangeté : (l'intuitition sensible et l'ouverture sur l'ambiguïté)

Pelletier, Patricia 11 April 2018 (has links)
Je commence par l'inspiration, lieu intime où je puise mes images ; images vidéos, images objets, mais images ambiguës. Je cherche l'ambiguïté et fait naître l'inquiétante étrangeté. Ma pratique est fondée sur la recherche d'une polyvalence de sens à travers la beauté étrange des images vidéos et des objets. A travers ceux-ci, je suggère des univers ambivalents où se côtoient le temps, l'intuition, l'émotion, la différence, la répétition, l'image et l'absence. Mon mémoire intitulé : Ambiguïté et étrangeté (l'intuition sensible et l'ouverture sur l'ambiguïté), se veut une réflexion sur ma pratique comme un regard neuf posé sur des exercices d'intuition sensible toujours incertains. À travers mes œuvres, je propose des impressions contraires qui, ici, ne se divisent pas, mais s'unissent pour renforcer l'ambiguïté ou, plutôt, l'indétermination du sens. Ma pratique à travers la vidéo, l’installaction et les objets se révèle être un cheminement vers un résultat incertain, mais finalement toujours surprenant. C'est aussi l'occasion de me surprendre et de faire la rencontre avec l'imprévisible par les accidents de parcours et le hasard. Je joue avec l'ambiguïté, guidée par la volonté de faire apparaître une bizarrerie troublante. Je crée donc des atmosphères où transparaissent des images par lesquelles l'ouverture de sens est possible. Et grâce au non-dit, je découvre d'autres images, d'autres formes par leur présence et leur absence. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Mobilier urbain

Séguin, Chantal 12 April 2018 (has links)
Ce mémoire de maîtrise a pour but d'accompagner mes recherches et les expositions que j'ai présentées au cours de mes études dans le programme de maîtrise en arts visuels. Je désire par ce travail réfléchir sur ma pratique personnelle ainsi que sur mon processus de travail en atelier. Sans aucun doute, cette expérience d'études m'a aidée à développer et à rapprocher davantage mon travail de différentes conceptions de l'art. Les deux premiers chapitres portent sur mes deux expositions, soit L'Avenir est plus loin qu'on pense, présentée chez Engramme, et Living dans l'espace, présentée à la Galerie des arts visuels de l'Université Laval. Elles questionnent l'espace public et la perception de l'espace architectural à l'époque de la standardisation. Le troisième chapitre aborde principalement les thématiques élaborées dans ces deux expositions, l'appropriation de l'image, le design et l'art populaire. Une série de photographies de ces deux expositions et certaines œuvres d'artistes viennent appuyer mes idées tout en aidant le lecteur à suivre le déroulement de mes recherches et de mes expérimentations.

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