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Analyse pluriréférentielle de l'attention : étude comparative des connaissances, croyances et pratiques enseignantes. / Multi-referential analysis of attention : A comparative study of teacher knowledge, beliefs and practices.

Rivoallan, Isabel P. 31 May 2013 (has links)
L’attention est un sujet qui concerne l’enseignant depuis l’émergence de la relation maître élève. Le terme fait partie de la doxa scolaire mais qu’en est-il de son lien avec l’éducation ? Notre recherche présente une analyse pluriréférentielle des théories concernant sa nature et son lien avec l’apprentissage. Un historique des perspectives philosophiques cherche à répondre aux questions « l’attention peut-elle s’éduquer et si oui, comment ? » De l’antiquité au XVIIème siècle, une réponse affirmative fait place à des méthodes centrées autour de la maîtrise de la perception, le corps et les passions. Du XVIII au XIXème siècle c’est l’aspect volontaire du phénomène attentionnel qui engage les philosophes et les pédagogues alors qu’au cours du XIXème siècle l’attention est transformée en objet de science puis rejetée à cause de sa nature insaisissable. A l’aube du XXème siècle le thème de l’éducabilité de l’attention est plus évanescent. Ce sont les apports philosophiques, psychologiques et neuroscientifiques qui conçoivent l’attention comme élément fondamental de la cognition incarnée et qui nous permettent d’aborder la problématique de la pertinence des apprentissages scolaires pour éduquer le phénomène attentionnel. Ces derniers confirment le bien fondé des savoirs philosophiques datant de l’Antiquité sur l’éducation de l’attention. Toutefois l’analyse des connaissances, des croyances et des pratiques enseignantes actuelles nous montre un décalage prononcé entre ces dernières et les savoirs théoriques exposés. La littérature insiste sur la nécessité d’éduquer l’attention mais les enseignants gardent des pratiques qui reflètent les recommandations du XIXème siècle. / This dissertation adopts a multi-referential approach for the analysis of the problem of attention. An historical survey of the philosophical literature proposes to answer the question of whether or not attention can be educated. Philosophers from Antiquity to the 17th century advance the existence of attention as a mental entity or a mode of thinking. They link attention with the mastery of the intellect, the body and the passions, and confirm the need for its education. From the 18th to the 19th century the voluntary nature of the faculty of attention captures the interest of scholars. At the end of the 19th century attention is objectified, examined by science then rejected as a worthy subject of research owing to its elusive nature. We address the problem of educating attention or Attention Training (AT) through the lens of more recent philosophical, psychological and neuroscientific texts conceptualizing attention as a principal component of embodied cognition. This perspective credits methods dating back to Antiquity with a capacity for the education of attention. Our mixed methods research demonstrates an important gap between the theoretical literature and current teacher epistemology and practice. Although the literature argues in favor of adopting interoceptive practices, teachers tend to prioritize exteroceptive and behaviorist methods dating back to the 19th and early 20th century.
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Le rôle du sentiment d’efficacité personnelle, de l’insatisfaction corporelle et de l’alexithymie dans l’étiologie et le maintien des troubles des conduites alimentaires

Couture, Stéphanie 01 1900 (has links)
La forte prévalence des troubles des conduites alimentaires (TCA) chez les jeunes femmes et les faibles taux de rémission suite à un traitement ont encouragé les chercheurs à mieux comprendre les facteurs impliqués dans ce trouble mental. L’un des premiers modèles à mettre l’emphase sur des traits de personnalité associés au développement d’un TCA a été proposé par Hilde Bruch (1962, 1973, 1978) et a toujours une grande influence dans la recherche actuelle. Le modèle de Bruch inclue trois facteurs, soit l’insatisfaction corporelle, l’inefficacité et la conscience intéroceptive. Le but de cette thèse est d’apporter un support empirique au modèle de Bruch. En se basant sur une revue extensive des écrits scientifiques, cette thèse vise aussi à déterminer si deux facteurs reliés, soit l’alexithymie et le sentiment d’efficacité personnelle face à l’adoption de conduites alimentaires saines, améliorent la précision du modèle dans la prédiction de symptômes de TCA. Pour répondre empiriquement à cette question, il était d’abord nécessaire de disposer d’un questionnaire évaluant le sentiment d’efficacité personnelle en lien avec les conduites alimentaires qui peut être utilisé dans tout le spectre de présentation des TCA. Ainsi, le Eating Disorder Self-Efficacy Questionnaire (EDRSQ) a été adapté en français et ses propriétés psychométriques ont été évaluées. Une analyse factorielle confirmatoire a révélé une structure bi-factorielle, soit le sentiment d’efficacité personnelle en lien avec l’insatisfaction corporelle et avec l’adoption d’une alimentation normative. Chaque échelle a démontré une bonne fiabilité ainsi qu’une validité de construit cohérente avec la théorie. Par la suite, la capacité des facteurs proposés par Bruch à prédire les symptômes de TCA a été évaluée et comparée à des adaptations du modèle découlant des écrits. Au total, 203 étudiantes de premier cycle universitaire ont complété les versions validées en français du Eating Disorder Inventory 2, du Eating Attitudes Test, et du Toronto Alexithymia Scale en plus du EDRSQ. Les résultats montrent que le modèle de Bruch explique 46% de la variance des symptômes de TCA. Alors que l’insatisfaction corporelle et la conscience intéroceptive démontrent chacun une contribution importante dans la prédiction des symptômes de TCA, il a été démontré que l’inefficacité présente seulement une contribution spécifique négligeable. Le modèle de Bruch est amélioré par la substitution de l’inefficacité par le sentiment d’efficacité personnelle tel que mesuré par le EDRSQ; le modèle explique alors 64% de la variance des symptômes de TCA. Finalement, cette étude démontre que l’alexithymie n’a pas de contribution spécifique dans la prédiction des symptômes de TCA. Ainsi, la combinaison d’une faible conscience intéroceptive, de l’insatisfaction corporelle et d’un faible sentiment d’efficacité personnelle en lien avec les conduites alimentaires est fortement associée aux symptômes de TCA dans un échantillon non-clinique de jeunes femmes. Finalement, les implications conceptuelles et cliniques de ces résultats sont discutées. / High prevalence of Eating Disorders (EDs) amongst young women and poor treatment outcome rates have urged researchers to better understand premorbid factors involved in the pathology. One of the first models to emphasize premorbid personality factors in order to explain eating disorders was proposed by Hilde Bruch (1962, 1973, 1978) and is still very influential in today’s literature. Bruch’s model included three factors, namely body dissatisfaction, ineffectiveness and interoceptive awareness. The purpose of this thesis was to provide an empirical validation of Bruch’s theoretical model. Based on the literature, this thesis also aimed to determine if two related concepts, namely alexithymia and eating self-efficacy, improved the accuracy of the model in predicting ED symptoms. To empirically answer this question, it was first deemed necessary to have an eating self-efficacy questionnaire that could be used within all the spectrum of ED pathology. Therefore, the Eating Disorder Self-Efficacy Questionnaire (EDRSQ) was adapted to French and its’ psychometric properties were assessed. A confirmatory factor analysis revealed a bi-factorial structure, which were Body Image Self-Efficacy and Normative Eating Self-Efficacy. Both scales demonstrated evidence of reliability and theoretically consistent evidence of construct validity. Afterwards, Bruch’s factors ability to predict ED symptoms was assessed and then compared to empirically driven adaptations of the model. A total of 203 undergraduate females completed the Eating Disorder Inventory 2, Eating Attitudes Test, and Toronto Alexithymia Scale, as well as the EDRSQ. The results indicated that Bruch’s model accounted for 46% of the variance in eating symptomatology. While body dissatisfaction and interoceptive awareness both demonstrated an important contribution in predicting ED symptomatology, ineffectiveness was found to have a negligible specific contribution. Bruch’s model was improved by substituting ineffectiveness with eating self-efficacy as measured by the EDRSQ; it then accounted for 64% of the variance in eating disorder symptoms. Finally, this study demonstrated that alexithymia was not a specific predictor of eating disorder symptoms. Thus, a combination of lack of interoceptive awareness, body dissatisfaction and low eating self-efficacy is strongly associated with symptoms of eating disorders in a non-clinical sample of women. Finally, the conceptual and clinical implications of these findings were discussed.
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Le rôle du sentiment d’efficacité personnelle, de l’insatisfaction corporelle et de l’alexithymie dans l’étiologie et le maintien des troubles des conduites alimentaires

Couture, Stéphanie 01 1900 (has links)
La forte prévalence des troubles des conduites alimentaires (TCA) chez les jeunes femmes et les faibles taux de rémission suite à un traitement ont encouragé les chercheurs à mieux comprendre les facteurs impliqués dans ce trouble mental. L’un des premiers modèles à mettre l’emphase sur des traits de personnalité associés au développement d’un TCA a été proposé par Hilde Bruch (1962, 1973, 1978) et a toujours une grande influence dans la recherche actuelle. Le modèle de Bruch inclue trois facteurs, soit l’insatisfaction corporelle, l’inefficacité et la conscience intéroceptive. Le but de cette thèse est d’apporter un support empirique au modèle de Bruch. En se basant sur une revue extensive des écrits scientifiques, cette thèse vise aussi à déterminer si deux facteurs reliés, soit l’alexithymie et le sentiment d’efficacité personnelle face à l’adoption de conduites alimentaires saines, améliorent la précision du modèle dans la prédiction de symptômes de TCA. Pour répondre empiriquement à cette question, il était d’abord nécessaire de disposer d’un questionnaire évaluant le sentiment d’efficacité personnelle en lien avec les conduites alimentaires qui peut être utilisé dans tout le spectre de présentation des TCA. Ainsi, le Eating Disorder Self-Efficacy Questionnaire (EDRSQ) a été adapté en français et ses propriétés psychométriques ont été évaluées. Une analyse factorielle confirmatoire a révélé une structure bi-factorielle, soit le sentiment d’efficacité personnelle en lien avec l’insatisfaction corporelle et avec l’adoption d’une alimentation normative. Chaque échelle a démontré une bonne fiabilité ainsi qu’une validité de construit cohérente avec la théorie. Par la suite, la capacité des facteurs proposés par Bruch à prédire les symptômes de TCA a été évaluée et comparée à des adaptations du modèle découlant des écrits. Au total, 203 étudiantes de premier cycle universitaire ont complété les versions validées en français du Eating Disorder Inventory 2, du Eating Attitudes Test, et du Toronto Alexithymia Scale en plus du EDRSQ. Les résultats montrent que le modèle de Bruch explique 46% de la variance des symptômes de TCA. Alors que l’insatisfaction corporelle et la conscience intéroceptive démontrent chacun une contribution importante dans la prédiction des symptômes de TCA, il a été démontré que l’inefficacité présente seulement une contribution spécifique négligeable. Le modèle de Bruch est amélioré par la substitution de l’inefficacité par le sentiment d’efficacité personnelle tel que mesuré par le EDRSQ; le modèle explique alors 64% de la variance des symptômes de TCA. Finalement, cette étude démontre que l’alexithymie n’a pas de contribution spécifique dans la prédiction des symptômes de TCA. Ainsi, la combinaison d’une faible conscience intéroceptive, de l’insatisfaction corporelle et d’un faible sentiment d’efficacité personnelle en lien avec les conduites alimentaires est fortement associée aux symptômes de TCA dans un échantillon non-clinique de jeunes femmes. Finalement, les implications conceptuelles et cliniques de ces résultats sont discutées. / High prevalence of Eating Disorders (EDs) amongst young women and poor treatment outcome rates have urged researchers to better understand premorbid factors involved in the pathology. One of the first models to emphasize premorbid personality factors in order to explain eating disorders was proposed by Hilde Bruch (1962, 1973, 1978) and is still very influential in today’s literature. Bruch’s model included three factors, namely body dissatisfaction, ineffectiveness and interoceptive awareness. The purpose of this thesis was to provide an empirical validation of Bruch’s theoretical model. Based on the literature, this thesis also aimed to determine if two related concepts, namely alexithymia and eating self-efficacy, improved the accuracy of the model in predicting ED symptoms. To empirically answer this question, it was first deemed necessary to have an eating self-efficacy questionnaire that could be used within all the spectrum of ED pathology. Therefore, the Eating Disorder Self-Efficacy Questionnaire (EDRSQ) was adapted to French and its’ psychometric properties were assessed. A confirmatory factor analysis revealed a bi-factorial structure, which were Body Image Self-Efficacy and Normative Eating Self-Efficacy. Both scales demonstrated evidence of reliability and theoretically consistent evidence of construct validity. Afterwards, Bruch’s factors ability to predict ED symptoms was assessed and then compared to empirically driven adaptations of the model. A total of 203 undergraduate females completed the Eating Disorder Inventory 2, Eating Attitudes Test, and Toronto Alexithymia Scale, as well as the EDRSQ. The results indicated that Bruch’s model accounted for 46% of the variance in eating symptomatology. While body dissatisfaction and interoceptive awareness both demonstrated an important contribution in predicting ED symptomatology, ineffectiveness was found to have a negligible specific contribution. Bruch’s model was improved by substituting ineffectiveness with eating self-efficacy as measured by the EDRSQ; it then accounted for 64% of the variance in eating disorder symptoms. Finally, this study demonstrated that alexithymia was not a specific predictor of eating disorder symptoms. Thus, a combination of lack of interoceptive awareness, body dissatisfaction and low eating self-efficacy is strongly associated with symptoms of eating disorders in a non-clinical sample of women. Finally, the conceptual and clinical implications of these findings were discussed.

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