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Volonté et responsabilité civile

Conte, Henri 21 September 2017 (has links)
Le droit de la responsabilité civile est en constante évolution, et pourtant, aucune réforme de grande ampleur n’a eu lieu depuis la promulgation du Code civil. De multiples projets se sont accumulés sans que nuls ne parviennent au bout du processus d’édification de la loi. Le législateur de 1804 a légué de grands principes généraux qui se sont avérés aussi féconds que Portalis le préconisait dans son discours préliminaire. La responsabilité contractuelle a évolué de telle sorte qu’elle est devenue une assise importante de la réparation des dommages corporels. Elle permet aujourd’hui une réparation plus ou moins efficace des préjudices mais demeure critiquée dans ses fondements et ses domaines d’application. La responsabilité extracontractuelle, quant à elle, s’est enrichie de multiples fondements prétoriens et remplit désormais des fonctions auxquelles elle ne prétendait jusqu'alors pas. Cette étude a pour objet d’étudier la responsabilité sous l’angle de la volonté. Quel rôle joue-t-elle au sein de la responsabilité contractuelle et extracontractuelle ? De prime abord, il est plus naturel de penser que la volonté a un rôle important à jouer au sein de la responsabilité contractuelle. Le contrat, instrument de prévision et fruit de la volonté des parties, permettrait d’interférer sur l’application du régime qui sanctionne une non ou mauvaise exécution. C’est tout du moins de là qu’est tiré le principe de validité des clauses élusives ou exonératoires de responsabilité. Les parties ont voulu le contrat et leur volonté est susceptible d’alléger leurs obligations, le montant des dommages et intérêts dus en cas d’inexécution, etc. Il apparaît pourtant possible de remettre en cause ce présupposé en mettant en avant, sous l’effet de divers facteurs, les manifestations de l’affaiblissement de la volonté dans la responsabilité contractuelle. La volonté dans la responsabilité extracontractuelle n’aurait, elle, pas de place. Cette responsabilité étant d’ordre public, la volonté des parties ne pourrait y jouer aucun rôle. Les parties n’ont donc pas la possibilité de stipuler de clauses limitatives ou exonératoires en matière extracontractuelle et elles ne peuvent interférer dans l’application du régime auquel elles sont soumises. Il a semblé possible, là encore, de remettre en question ce présupposé. Non seulement la volonté joue, de lege lata, un rôle dans la responsabilité extracontractuelle mais elle pourrait voir celui-ci renforcé. L’encouragement de l’utilisation de la volonté dans le droit de la responsabilité se matérialiserait à travers un volontarisme qui dépasserait le contrat et qui permettrait de favoriser la liberté individuelle par l’action dans le droit. / Civil liability law is constantly evolving, and yet no major reform has ever taken place since the promulgation of the Civil Code. Many projects have accumulated without any actual legislative outcome. In 1804, the legislator bequeathed broad general principles which proved as fruitful as Portalis advocated in his preliminary discourse. Contractual liability has evolved in such a way that it has become an important basis for remediation of bodily damages. Today, it allows for the more or less effective reparation of prejudices but remains criticized in terms of legal basis and scope. Extra-contractual responsibility, for its part, has been largely enriched by case law and now fulfills functions it was initially not designed to address. The purpose of this study is to examine the concept of responsibility through the lens of the will. What role does the will play when it comes to contractual and extra-contractual liability? At first glance, it seems natural to think that the will has an important role to play in connection with contractual responsibility. The contract, as forecasting device and outcome of the parties’ will, would interfere with the application of a regime which sanctions non- or improper performance. It is at least from this assertion that the validity of clauses of limitation or exemption of responsibility derives. The parties wanted the contract and their will is likely to alleviate their obligations, the amount of damages due in case of non-performance, etc. However, it appears possible to challenge this assumption by illustrating the weakening influence of the contractual will, influenced by various factors. Yet, there would be no room for will under the regime of extra-contractual liability. Since this type of liability derives from public policy, the parties’ will would play no part in it. Parties would therefore not be in a position to contractually restrict their respective liabilities and could not interfere with the application of the regime to which they are subject. Once again, it seemed possible to question this presupposition. Not only the will plays a role for the purpose of extra-contractual liability but such role could even be reinforced. Promoting the importance of the will under liability law would materialize through a voluntarism which would go beyond the contract itself and which would promote individual freedom through action in law.
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Le concept de volonté dans la philosophie de L. Wittgenstein / The concept of will in Wittgenstein's philosophy

Cambrelin, Jean-Jacques 08 July 2011 (has links)
Traitant de la volonté dans la philosophie de Wittgenstein, nous devons constater que ce concept acquiert une importance que nous ne soupçonnions pas initialement. Les écrits aphoristiques et la singularité des écrits de notre philosophe nous refusent un accès facile à cette volonté qui doit nous permettre un effort de libération vis-à-vis de nos concepts figés. Aussi, si la volonté prend une telle ampleur dans cette philosophie thérapeutique, elle le doit à la révolution cathartique qu’elle suscite en nous, amorçant la conversion du regard que notre auteur espère inspirer. Oubliant la voix lancinante de la convention, Wittgenstein nous engage à nous délivrer de la servitude linguistique et à envisager le concept de « volonté » sous un jour plus pragmatique. Pour autant, Wittgenstein a-t-il réussi à éradiquer l’attrait méphitique des abysses métaphysiques ? Rien n’est moins sûr ! Reste que cette philosophie incomparable appréhendée sous l’angle de la volonté ne peut laisser insensible le lecteur enclin à changer sa vie et à se libérer des entraves conceptuelles / Dealing with will in Wittgenstein's philosophy, we can but conclude that this conceptis far more important than we imagined. The aphoristic writings and the originality of thephilosopher deny the reader an easy access to this will which should enable us to get rid ofour narrow concepts. Thus, if will takes on such a dimension in this therapeutic philosophy, itis due to the cathartic revolution it triggers, causing a change in the way we think of it.Forgetting the traditional definition, Wittgenstein urges us to free ourselves from ourlinguistic slavery and to study the concept of will in a more pragmatic way. Yet, we maywonder whether Wittgenstein has managed to eradicate the sulphurous side of the mostobscure metaphysics. The point is, this unrivalled philosophy seen from the point of view ofwill cannot leave the reader unaffected and will encourage him to change his lifestyle and toget rid of his conceptual fetters.
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La notion d'inconscient dans la philosophie d'Arthur Schopenhauer : pour une nouvelle interprétation du lien entre Schopenhauer et Freud

Banvoy, Jean-Charles 31 May 2013 (has links)
Suite aux travaux de François Félix (2007) et de Jean-Philippe Ravoux (2005, 2007) se pose la question de la nature et du rôle de la notion d’inconscient dans la philosophie d’Arthur Schopenhauer (1788-1860). Cette problématique interne se double d’une question historique concernant le rapport de Schopenhauer à la psychanalyse freudienne. En effet, Schopenhauer est bien souvent associé – par des auteurs comme Clément Rosset ou Paul-Laurent Assoun – à cette première théorisation de l’inconscient. Freud lui-même le désignait comme l’un de ses précurseurs. D’où notre problématique : Schopenhauer peut-il véritablement être désigné comme l’un des précurseurs de Sigmund Freud ? Nous répondons à cette question en trois étapes. Dans un premier temps, en nous appuyant sur un relevé exhaustif de l’ensemble des passages dans lesquels cette notion apparaît, nous définissons et analysons de manière systématique le concept d’inconscient au sein de l’œuvre du philosophe. La seconde partie de cette thèse analyse la relation entre Schopenhauer et Freud. Nous cherchons ici à comparer le plus objectivement possible les conceptions schopenhauerienne et freudienne de l’inconscient, ainsi que de la pulsion, du refoulement, du ça, des rêves et de la folie. Enfin, poursuivant notre comparaison entre Schopenhauer et Freud, il s’agit pour nous de déterminer les points communs et les différences pouvant exister entre les conceptions schopenhauerienne et freudienne du sujet humain. / Not available
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Le langage de la volonté : Conceptualisation des actes de parole comme expressions volitives corporelles / The Language of the Will : Conceiving Speech Acts as Volitive Expressions of the Body

Jacoby, Josy 17 March 2012 (has links)
Cette thèse est un travail de conceptualisation transdisciplinaire. Elle développe une théorie générale de la volonté et des actes de langage. Une approche pragmatique conative est proposée pour rendre compte des aspects dynamiques des comportements de communication. Articulant biologie de l'évolution et philosophie du langage, elle prend le point de vue du corps sur l'usage du langage. La volonté est l'avidité de vivre du corps avant de devenir pouvoir mental. Les émotions, telles qu'elles sont exprimées, parlent automatiquement et couramment le langage de la volonté. La joie dit « oui, je veux bien » et la tristesse dit « non, je ne veux pas ». Voici que les actes de parole prennent corps. Les mouvements expressifs du corps et de la voix sont conçus comme actes de langage corporels, communiquant implicitement nos désirs et nos engagements, donnant ainsi de la force à la parole. Les actes de langage verbaux, déclarations, offres, demandes, etc., sont considérées comme des ramifications des actes de langage corporels primaires, précisant à leur tour comment et ce qui est voulu ou non. L'argumentation s'appuie sur des travaux empiriques issus de plusieurs disciplines : éthologie humaine et animale, neurosciences affectives et volitives, psychologie des émotions, psychologie sociale de la motivation. Quelques références sont faites aux arts dramatiques et une philosophie du corps et de la volonté relie l'ensemble de la thèse. La conceptualisation débouche sur un modèle dimensionnel illustré qui catégorise un grand nombre d'actes de langage corporels et verbaux. A partir de ce modèle se laissent combiner les actes de parole comme expressions volitives corporelles. / This thesis is a transdisciplinary conceptual work. It develops a general theory of will and language acts. A conative pragmatic approach is proposed in order to account for the dynamic aspects of communicative behavior. Articulating evolutionary biology and philosophy of language, it takes the body's point of view on the use of language. The will is the body's eagerness to live before it becomes mental power. Emotions, as they are expressed, automatically and fluently speak the language of the will. Joy says « yes I want to » and sorrow says « no I don't want to ». Here is where speech acts take shape. The expressive movements of body and voice are conceived as body language acts, communicating implicitly our desires and commitments, thus giving force to speech. Verbal language acts, declarations, demands, offers, etc. are considered as ramifications of the prior body language acts, precising in their turn how and what, or not, is wanted. Arguing is based upon empirical works from several disciplines: human and animal ethology, affective and volitive neuroscience, psychology of emotions, social psychology of motivation. Some references are made to dramatic arts and a philosophy of the body and the will links the whole thesis together. The conceptualization leads to an illustrated dimensional model which categorizes a great number of both body and verbal language acts. From this model onward speech acts as volitive expressions of the body can be obtained by combination.
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La philosophie de la volonté de Paul Ricoeur /

Turgeon, Eric. January 1986 (has links)
No description available.
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La philosophie de la volonté de Paul Ricoeur /

Turgeon, Eric. January 1986 (has links)
No description available.
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Les relectures de l'argument ontologique dans L'Action de Maurice Blondel (1861-1949) : enjeux et originalité / The readings of the ontological proof in Maurice Blondel's work : issues and originality

Maboungou, Christophe Westar 21 December 2015 (has links)
Cette thèse se fixe comme tâche d’examiner la manière originale et inédite par laquelle Maurice Blondel revisite les preuves classiques de l’existence de Dieu, principalement, l’argument ontologique. Cet argument occupe, chez notre auteur, une place prépondérante, et constitue un moment essentiel dans le développement de sa doctrine. C’est une approche qui se comprend comme un retour à une doctrine ancienne (Cf. l’argument d’Anselme), mais en même temps comme une élaboration originale. De ce point de vue, la lecture suivie de L’Action laisse entrevoir trois axes d’interprétations de l’argument ontologique que notre thèse entend mettre en lumière.D’abord, Blondel relit les preuves de l’existence de Dieu dans la perspective de la dialectique de la volonté dont elles amorcent le « troisième moment » conflictuel, avant que le conflit ne se résolve en alternative ou en option. Car, il y a toujours une inadéquation entre ce qui est voulu et le dynamisme qui, en nous, est le principe du vouloir c’est-à-dire entre ce qu’il appelle la volonté voulue et la volonté voulante. En conséquence, c’est en vue de l’Unique nécessaire que Blondel ébauche une synergie des preuves et renouvelle, en quelque sorte, l’argument ontologique pour montrer que chaque homme y est inévitablement embarqué.Ensuite le recours « à un inconnu inaccessible, dont la présence est pourtant pressentie sans être encore reconnue » ou la référence explicite à des expressions apophatiques pour parler de l’Être ou de l’Absolu manifeste clairement un recours symptomatique à la théologie négative comme il le reconnaît, à la suite du Pseudo-Denys que « l’affirmation est moins juste, et la négation plus vraie », et d’autant plus qu’il ajoute : « c’est le néant qui le confesse ». Or, cette donnée n’affaiblit en rien la pertinence de la preuve, car Blondel en fait une véritable expérience spirituelle.Enfin la conséquence qu’il tire de cette relecture, en insistant sur la portée philosophique de l’option, constitue le lieu privilégié qui confirme bien que cette approche n’a pas pour visée la pleine possession de l’Être, mais une ouverture, une préparation nécessaire de notre indigence à admettre et à affirmer cette existence de Dieu. Car, pour chaque existence, « cette preuve est, moins une vue qu’une vie » et que suivant une influence de la preuve cartésienne « celle-ci n’est absolue que là où il y a idée parfaite de la perfection même, là où l’essence est réelle et l’existence idéale. Dans ces conditions, l’idée de Dieu, de l’Être est comme réfractée, conditionnée, obscurcie par notre imperfection. Cependant, elle nous contraint à affirmer, du lieu où somme toute elle n’est pas, sa réalité, sa perfection.À partir d’une reconsidération des articulations de la preuve dans L’Action, notre thèse aura eu comme tâche d’élucider la portée et la pertinence de ces trois axes qui constituent l’originalité de la lecture blondélienne de l’argument ontologique. / This thesis has set itself the task of reviewing the new and original way in which Maurice Blondel revisits the classic proofs of God’s existence, mainly, the ontological argument. This argument holds, in our author, a prominent place, and is a key moment in the development of his doctrine. It is an approach that makes sense as a return to an old doctrine (See the Anselm’s argument ), but at the same time as an original development. From this point of view, reading followed by L’Action suggests three lines of interpretations of the ontological argument that our thesis intends to highlight.Firstly, Blondel reread the proofs of God’s existence from the perspective of the dialectic of the will they begin the third time conflict before the conflict will be resolved in alternative or optional. Because, there is always a mismatch between what is wanted and dynamism which, in us, is the principle of the will that is to say between what he calls the necessary will and determination voulante. Consequently, it is for the One need Blondel draft synergy evidence and renewed, in a way, the ontological argument to show that every man is inevitably embedded.Then use an inaccessible stranger, whose presence is sensed without being yet still recognized or the explicit reference to apophatiques expressions to speak of Being or the Absolute manifests clearly symptomatic use of negative theology as acknowledges, following the Pseudo-Dionysius that “the statement is less just, and truest denial”, and especially as he adds, “ it is the nothingness that confess.” However , this data does not weaken in any way the relevance of the evidence , because Blondel makes a truly spiritual experience.Finally he draws the consequence of this replay, emphasizing the philosophical significance of the option, which is the central authority confirms that this approach has not referred to the full possession of Being, but an opening, a necessary preparation to admit our poverty and affirm the existence of God. For each existence, " the evidence is less a view that a life " and following the influence of the Cartesian evidence " it is absolute that where there is perfect idea of perfection , there where gasoline is real and the ideal existence . In these circumstances, the idea of God, of Being is refracted as conditioned , darkened by our imperfection . However, it forces us to state , after all, the place where it is not , its reality, its perfection.From a reconsideration of the joints of proof in L'Action, our thesis has had the task of clarifying the scope and relevance of these three areas which constitute the originality of the Blondel reading the ontological argument.
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L'erotisme dans Les hommes de bonne volonté de Jules Romains.

Dumelié, Claude René January 1972 (has links)
No description available.
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La volonté dans la gestion des conflits / Will in conflict management

Zagori, Aurélie 22 October 2015 (has links)
La gestion des conflits est indiscutablement une préoccupation actuelle des opérateurs économiques qui en appellent fréquemment à leur volonté afin de prévenir, traiter, aménager ou résoudre les conflits, au sein du contrat d’origine, par le contrat ou dans le procès, s’appropriant ainsi l’œuvre de justice. La volonté des sujets de droit et l’ordre imposé par les différentes sources de droit s’entrechoquent alors avec une intensité variable selon qu’il s’agit du domaine contractuel ou processuel. De cette confrontation se dessinent les frontières de la liberté qu’il apparaît nécessaire d’éprouver. Apprécier le rôle de la volonté, individuelle ou conjointe, des parties ou des tiers, dans la gestion des conflits permet ainsi d’isoler plusieurs conceptions de la Justice, entre satisfaction d’intérêts privés, service public et réalisation d’un idéal universel. À cet égard, la position adoptée par le droit positif incite à se demander si une vision plus individualiste de la justice serait envisageable. / Conflict management is nowadays undoubtedly a major subject for economic operators who frequently mobilize their will in order to prevent, process, adjust or solve their conflicts, within the original agreement, by an agreement or during the proceedings, thus appropriating the art of justice. Individual will then confronts with the imposed order as defined by different mandatory legal sources with an intensity which varies depending on the contractual or procedural nature of the considered field. From this confrontation arise freedom’s boundaries which need to be challenged. Assessing the role of will, whether individual or joint, of the parties or of third parties, in conflict management enables the isolation of multiple conceptions of Justice, as private interest satisfaction, universal ideal achievement and public service. The position adopted by subtantive law invites to determine if a more individualistic view of justice is conceivable.
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La volonté dans la gestion des conflits / Will in conflict management

Zagori, Aurélie 22 October 2015 (has links)
La gestion des conflits est indiscutablement une préoccupation actuelle des opérateurs économiques qui en appellent fréquemment à leur volonté afin de prévenir, traiter, aménager ou résoudre les conflits, au sein du contrat d’origine, par le contrat ou dans le procès, s’appropriant ainsi l’œuvre de justice. La volonté des sujets de droit et l’ordre imposé par les différentes sources de droit s’entrechoquent alors avec une intensité variable selon qu’il s’agit du domaine contractuel ou processuel. De cette confrontation se dessinent les frontières de la liberté qu’il apparaît nécessaire d’éprouver. Apprécier le rôle de la volonté, individuelle ou conjointe, des parties ou des tiers, dans la gestion des conflits permet ainsi d’isoler plusieurs conceptions de la Justice, entre satisfaction d’intérêts privés, service public et réalisation d’un idéal universel. À cet égard, la position adoptée par le droit positif incite à se demander si une vision plus individualiste de la justice serait envisageable. / Conflict management is nowadays undoubtedly a major subject for economic operators who frequently mobilize their will in order to prevent, process, adjust or solve their conflicts, within the original agreement, by an agreement or during the proceedings, thus appropriating the art of justice. Individual will then confronts with the imposed order as defined by different mandatory legal sources with an intensity which varies depending on the contractual or procedural nature of the considered field. From this confrontation arise freedom’s boundaries which need to be challenged. Assessing the role of will, whether individual or joint, of the parties or of third parties, in conflict management enables the isolation of multiple conceptions of Justice, as private interest satisfaction, universal ideal achievement and public service. The position adopted by subtantive law invites to determine if a more individualistic view of justice is conceivable.

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