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Marginal pleasure and auteurist cinema the sexual politics of Robert Bresson, Jean-Luc Godard, Catherine Breillat and François Ozon /Schilt, Thibaut, January 2005 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Ohio State University, 2005. / Title from first page of PDF file. Document formatted into pages; contains viii, 255 p. Includes bibliographical references (p. 234-255). Available online via OhioLINK's ETD Center
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Le théâtre de Jean-Luc Lagarce : les infinis locataires de la parole / The theater of Jean-Luc Lagarce : the infinite tenants of speechAlina, Kornienko 22 January 2018 (has links)
La thèse actuelle présente une étude de l’œuvre complète du dramaturge, écrivain, metteur en scène et acteur français contemporain Jean-Luc Lagarce (1957-1995) dont la création dramatique a été pleinement reconnue après son décès et la découverte de sa dernière pièce Le Pays lointain qui a tout de suite connu un énorme succès critique et a été plusieurs fois mise en scène. Organisée en quatre chapitres majeurs, la présente recherche rencontre nécessairement les préoccupations des spécialistes du langage et plus particulièrement de la linguistique conversationnelle et de l'approche pragmatique. Ce regard croisé permet une réflexion sur la nouvelle poétique dramatique et littéraire de Jean-Luc Lagarce centrée sur la complexité inhérente à la réalisation empirique de la parole, au lieu de se réduire à un simple fonctionnement des interactions verbales attestées dans la société contemporaine. L’œuvre de Jean-Luc Lagarce se présente ainsi comme la résultante dramatique, stylistique et littéraire spécifique de ce théâtre discursif qu’est le « théâtre du langage ». / The present thesis presents a study of the complete work of contemporary French playwright, writer, director and actor Jean-Luc Lagarce (1957-1995) whose dramatic creation was fully recognized after his death and the discovery of his last play The Far Country, which has immediately been enormously critical and has been staged several times. Organized into four major chapters, this research necessarily meets the concerns of language specialists and more particularly of conversational linguistics and the pragmatic approach. This cross-look allows a reflection on Jean-Luc Lagarce's new dramatic and literary poetics centered on the complexity inherent in the empirical realization of speech, instead of being reduced to a mere functioning of verbal interactions attested in contemporary society. The work of Jean-Luc Lagarce thus appears as the dramatic, stylistic and literary resultant specific to this discursive theater that is the "theater of language".
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Ecce Corpus: La exposición del cuerpo, de Nietzsche a Jean-Luc NancyGómez Urra, Sebastián January 2008 (has links)
No description available.
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De la liberté dans l’amour: une étude du Phénomène érotique de Jean-Luc MarionGuérette Rivard, Youna January 2016 (has links)
Jean-Luc Marion dans son Phénomène érotique (2003) est à la recherche d’un concept, d’une description philosophique de l’amour humain. Selon la méthode phénoménologique qu’il suit, définir l’amour comme phénomène veut dire montrer comment l’amour apparaît pour un « je ». Il s’agit de voir comment on en vient à aimer. Marion décrit la situation où l’amour est donné en s’intéressant à la disposition humaine propice à l’amour. Nous soutenons que la liberté est pour Marion cette disposition essentielle à l’amour. La thèse apparait tout au long de l’oeuvre. Dans notre mémoire, nous tâchons de préciser de quelle liberté parle l’auteur.
Une exégèse du Phénomène érotique nous conduit à identifier deux réponses apparemment opposées à cette question du rôle de la liberté dans l’amour.
(1) Au début de l’oeuvre, Marion soutient la thèse que l’amour apparaît lorsque le sujet renonce à sa position autarcique; celle d’un ego qui se certifie lui-même et le monde. L’amour apparait en dépit d’une liberté comprise comme ce pouvoir a priori du sujet. Pour aimer, il faut entrer dans une certaine passivité et accepter de dépendre d’un ailleurs qui ne peut être maîtrisé.
(2) D’autre part, dans la troisième partie du livre, l’auteur montre qu’il n’y a pas d’amour sans une décision d’aimer et une avance vers autrui, indépendante de toute réciprocité. Autrement dit, pour qu’il y ait amour, il faut aimer sans attendre d’être aimé. « Je deviens amoureux parce que je le veux bien, sans aucune contrainte, selon mon seul et nu désir » (PÉ, 149), écrit Marion. Cette thèse de l’oeuvre a surpris en regard des thèses précédentes de Marion, principalement celles d’Étant donné. L’activité de la subjectivité y avait été réduite par l’auteur à la seule réception du donné, afin de laisser les phénomènes se manifester pleinement. Dans le phénomène érotique, la subjectivité semble récupérer de ses pouvoirs. Certains commentateurs ont vu un retour de transcendantalisme dans cette oeuvre et une contradiction de Marion avec lui-même. Nous faisons la lumière sur ces critiques.
La lecture thématique de l’oeuvre à partir de la question de la liberté nous montre que Marion articule deux conditions nécessaires à l’amour : une ouverture à l’égard d’un ailleurs qui dépasse le je et une avancée libre vers cet ailleurs. Prises l’une sans l’autre, ces deux conditions aboutissent à des apories, ce que nous montrons. L’auteur suggère ainsi que l’amour se trouve quelque part au-delà de cette stricte opposition entre passivité et activité. L’amour pour Marion n’est pas synonyme d’une passion où le sujet verrait tous ses pouvoirs submergés, mais il ne découle pas non plus d’un « volontarisme »; il se situe quelque part dans la synthèse de ces deux moments.
Notre thèse est que l’amour pour Marion va de pair avec la liberté. Mais il s’agit d’une liberté que l’auteur travaille à redéfinir. La liberté en amour prend chez Marion la forme d’un consentement à être affecté, synonyme d’abandon ou de disponibilité. Il ne s’agit ni d’une passivité totale, ni d’un pouvoir a priori, mais d’une capacité au sens qu’elle avait avant Descartes dans la notion latine de capacitas, synonyme de disponibilité d’un accueil. Marion analyse cette disposition dans deux textes précédents, ce qui jette un bon éclairage sur le sens de la liberté dans le Phénomène érotique.
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Écriture diaristique, poétique et dramatique dans l'ɶuvre de Jean-Luc Lagarce : hybridité générique / Diaristic, poetic and dramatic writing in Jean-Luc Lagarce’s artwork : generic hybridityMahjoub, Wafa 10 January 2018 (has links)
La thèse est consacrée à l’Écriture diaristique, poétique et dramatique de Jean-Luc Lagarce et à l’hybridité générique qui la régit. Elle tente d’apporter un éclairage original sur les écritures variées du Journal et de certaines pièces de théâtre du dramaturge. L’écrivain met, en effet, en évidence dans son travail une esthétique de l’échec. Il tente le pari d’une poétique du décousu. En naviguant entre les genres, le journal personnel fait écho aux pièces tandis que les œuvres dramatiques puisent, de leur côté, leur essence dans une actualité personnelle et historique. Écrivain de son temps, le dramaturge représente des personnages dans leur milieu quotidien, précipitant le lecteur au cœur de l’intime et tressant, dans une écriture lyrique toutefois dénuée de pathos, des liens entre le particulier et l’universel, l’intime et le collectif. Le tragique qu’il insuffle à son écriture est lié à une tragédie du quotidien, ensemble de blessures vives véhiculées par un passé houleux et un présent tissé de souffrances et d’incompréhension. L’absurdité de l’existence conditionne une « action-état », presque passive, comme si les personnages enduraient une véritable « passion », qui freine l’action dramatique. Dès lors, le mouvement constant de la parole se substitue à l’action. Voix, images, mouvements, l’écriture lagarcienne se révèle alors à la fois poétique et dramatique, mettant l’hybridité au cœur de l’esthétique. Théâtre psychologique, psychanalytique et sociologique de la parole, il est aussi tragédie et poésie précaire du quotidien. Il est, finalement, tout ce qui constitue l’individu même : complexité, pluralité et sensibilité de l’être-au monde / The thesis is devoted to the diaristic, poetic and dramatic writing of Jean-Luc Lagarce and to its generic hybridity. It tries to bring an original light on the playwright various writings of the Journal and some other plays.The writer puts in evidence in his work an aesthetics of failure. He tries to bet on a poetics of desultory. Navigating between genres, the diary echoes the pieces while dramatic works draw their essence in personal and historical actuality.Writer of his time, the playwright represents characters in their daily environment driving the reader into the heart of the intimate. In a lyrical writing, he braided links between the particular and the universal, the intimate and the collective.The tragedy he infuses into his writing is linked to a tragedy of everyday life, a set of vivid injuries conveyed by a stormy past and a present made of pain and misunderstanding.The absurdity of existence determines an “action-state”, almost passive, as if the characters endured a real "passion", which slows down the dramatic action. From then on, the constant movement of speech replaces action. Voice, images, movements, the Lagarcian writing is then both poetic and dramatic, putting hybridity at the heart of aesthetics.Psychological, psychoanalytical and sociological theater of speech, it also represents tragedy and precarious poetry of everyday life.It is, ultimately, all that constitutes the individual itself: complexity, plurality and sensitivity of being-to the world.
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Marion, Heidegger, and the question of givennessHaas, Alexander 02 August 2020 (has links)
No description available.
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From Narcissism to Schizophrenia: The Subject and Method in Jean-Luc Marion, Emmanuel Levinas and Edmund HusserlPandya, Rashmika 01 1900 (has links)
This work explores three phenomenological views of subjectivity in light of
methodological transitions within phenomenology since its inception. Jean-Luc Marion offers a critique of Husserl 's transcendental ego in Cartesian Questions. This critique characterizes Husserl's transcendental ego as a 'schizophrenic ego'. This criticism is aimed at phenomenology's intentionality thesis as well as the method of reduction(s). Marion is influenced by Emmanuel Levinas' ethics and takes issue with a 'theoretical
bias' within Husserl 's thought, a bias that characterizes subjectivity in the same terms as objectivity. I frame Marion's and Levinas' views of subjectivity in terms of two seemingly opposed 'origins' of subjectivity: Marion's notion of subjectivity embraces a notion of an originally auto-affected subject, while Levinas' position privileges an originally hetero-affected subject. I argue that both these views of subjectivity remain within dualist perspectives. Both thinkers try to overturn a hierarchy of reason over sensation/ emotion/ feeling by calling for a radically passive institution of subjectivity through either a givenness prior to subjectivity (Marion) or the face to face encounter
with an Other (Levinas). However, both positions end up instituting a new hierarchy, one where reason is subjugated to feeling. Rather than dismantling dualism both thinkers end up defending a revised hierarchical thinking. I argue that Husserl's transcendental ego is indeed a 'schizophrenic ego' (i.e., a split ego) in Marion's sense but that this is not a problem for classical phenomenology but an alternative to either an auto-affected subject
or a hetero-affected subject. Husserl's works on internal time-consciousness and passive and active synthesis illustrate a necessary correlation between passivity/ activity, matter/ form, reason/ emotion, ego/ world and self/ other which moves beyond the hierarchical thinking associated with traditional dualist thought. Husserl's notions of correlation and synthesis actually suggest a subject that is always intentionally related to the world and others and is also intentionally self-related. The implicit aim of this work is to suggest an alternative to an ethics of irreducibility endorsed by both Marion and Levinas. Husserlian phenomenology offers the possibility of an ethics of reciprocity, which paradoxically does not undermine the irreducibility of the subject, others or the world. / Thesis / Doctor of Philosophy (PhD)
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Locating Responsibility After Heidegger: Levinas and NancyLarson, Michael 30 September 2008 (has links)
No description available.
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Sob o domínio da cor: análise dos filmes Pierrot le fou e Le bonheurHercules, Laura Carvalho 22 March 2013 (has links)
O estudo da cor no cinema tem alcançado relevantes dimensões de pesquisa ao longo da primeira década dos anos 2000. Diversas publicações mapearam os mais amplos temas em que a cor é posta na análise fílmica. Desta maneira, é possível revisitar algumas obras do passado e partir para novas interpretações e olhares. Sob o domínio da cor é que proponho a análise dos filmes Pierrot le fou (Jean-Luc Godard) e Le bonheur (Agnès Varda). Na investigação do sistema cromático desses cineastas, é possível avaliar questões interdisciplinares como a representação da França dos anos 60 e as relações de gênero. / The study of color in the cinema has reached relevant research dimensions throughout the first decade of the 00\'s. Several publications have mapped the broadest theme in which color is put in film analysis. Therefore, it is possible to revisit some past works and move on to new looks and interpretations. Under the domain of the color, I propose the film analysis of Pierrot le fou (Jean-Luc Godard) and Le bonheur (Agnès Varda). In the investigation of the chromatic system of these moviemakers, it is possible to evaluate interdisciplinary questions like the representation of France in the 60\'s and gender relations.
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Sob o domínio da cor: análise dos filmes Pierrot le fou e Le bonheurLaura Carvalho Hercules 22 March 2013 (has links)
O estudo da cor no cinema tem alcançado relevantes dimensões de pesquisa ao longo da primeira década dos anos 2000. Diversas publicações mapearam os mais amplos temas em que a cor é posta na análise fílmica. Desta maneira, é possível revisitar algumas obras do passado e partir para novas interpretações e olhares. Sob o domínio da cor é que proponho a análise dos filmes Pierrot le fou (Jean-Luc Godard) e Le bonheur (Agnès Varda). Na investigação do sistema cromático desses cineastas, é possível avaliar questões interdisciplinares como a representação da França dos anos 60 e as relações de gênero. / The study of color in the cinema has reached relevant research dimensions throughout the first decade of the 00\'s. Several publications have mapped the broadest theme in which color is put in film analysis. Therefore, it is possible to revisit some past works and move on to new looks and interpretations. Under the domain of the color, I propose the film analysis of Pierrot le fou (Jean-Luc Godard) and Le bonheur (Agnès Varda). In the investigation of the chromatic system of these moviemakers, it is possible to evaluate interdisciplinary questions like the representation of France in the 60\'s and gender relations.
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