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Nationalisme, problématique linguistique et stratégie identitaire dans le discours journalistique au Québec, de 1987 à 1990

Paquin, Martine January 1992 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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« Une lamentable tragédie » : la représentation des homicides québécois dans la presse francophone et anglophone au Québec entre 1885 et 1915

Pilote, Gina 13 December 2023 (has links)
Dans les sociétés occidentales du tournant du XXe siècle, le niveau de violence tend à diminuer. Pourtant, cette période est considérée par beaucoup de chercheurs comme étant un âge d'or pour les récits d'homicide. Pendant longtemps, ceux-ci sont davantage relégués dans des publications spécifiques. Cette période coïncidant avec l'avènement d'une presse grand public et peu coûteuse, dont l'objectif est avant tout le profit, les journaux sont désormais largement accessibles. Le crime fascine et fait vendre, particulièrement les assassinats dont la presse de l'époque n'hésite pas à en faire l'étalage dans ses colonnes. Ce mémoire a pour but de démontrer que le Québec, entre 1885 et 1915, n'échappe pas à une tendance déjà bien implantée depuis quelques décennies ailleurs en Occident. Ainsi, la presse québécoise francophone et anglophone de l'époque a emprunté le style de représentation de ses confrères européens et américains, décrivant avec détail un acte d'homicide et le processus judiciaire qui s'ensuivait. Notre objectif est de faire la démonstration qu'au moment où un meurtre est commis en territoire québécois, la population, par le biais de la presse, est en mesure de connaître les principaux détails sur les circonstances et les éléments entourant ce crime, mais également sur tout le déroulement du processus judiciaire fidèlement reproduit tel un feuilleton, une pièce de théâtre. Ces articles ne sont peut-être pas nécessairement toujours fidèles à la réalité puisqu'ils sont teintés par la perception des journalistes. De plus, ils sont avant tout rédigés dans un souci de plaire et pour susciter la curiosité de leur lectorat. Par contre, bien que la représentation des homicides dans la presse francophone et anglophone est tout sauf neutre, la lecture de ces articles permet de rendre compte des diverses réactions de la société québécoise à l'égard de ces actes violents, le tout étant fortement influencé par les codes sociaux et les valeurs de cette époque. / Levels of violence tended to decrease in Western societies at the turn of the 20th century. At the same time, the period is considered by many researchers to have been the golden age of homicide reporting, which for a long time had been relegated to specialized publications. The period coincided with the advent of popular, inexpensive newspapers, whose objective was above all profit, and which became widely accessible. Crime fascinated and sold, especially murders, which the press of the time did not hesitate to cover in its columns. This thesis aims to demonstrate that Quebec, between 1885 and 1915, participated fully in this trend, which had already been well-established elsewhere in the West for several decades. Thus, the francophone and anglophone Quebec press of the time borrowed the styles of representation from its European and American analogues, describing in great detail both homicides themselves and the legal procedures that followed. When a murder was committed in Quebec, the population, through the press, had access not only to the main details of the circumstances surrounding the crime, but also the entire course of the judicial process, faithfully reproduced like a soap opera or a play. The newspaper accounts were however not necessarily true to reality, since they were shaped by the perception of the journalists. In addition, the accounts were above all written with a view to pleasing the newspapers' readership and arousing their curiosity. Though the representation of homicides in the francophone and anglophone press was thus anything but neutral, reading these articles makes it possible to measure the interest of Quebec society with regard to such violent acts, as well as its responses, all of which was strongly influenced by the social codes and values of the time.
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Les représentations de Vatican II dans les quotidiens francophones du Québec en 1963 : élaboration d'une culture conciliaire

Guillemette, Charles-Étienne 25 May 2021 (has links)
Les années 1960 représentent une période chamière dans le renouvellement des représentations au Québec. Constamment reproduites dans les medias de I’époque, les nouvelles représentations occupent largement I’imaginaire des Québécois et servent de point d’appui pour interpréter les évènements venant de I’extérieur. Les représentations élaborées au cours de cette période pour penser révolution de la société influenceront la perception qu’ont les joumalistes de I’évènement conciliaire. Le mémoire s’intéresse au contenu du discours joumalistique sur le concile Vatican II au Québec. Son principal objectif est de rendre compte des représentations véhiculees dans la presse ecrite au cours des activites de la deuxieme periode conciliaire et d’etablir une relation avec les représentations élaborées pour parler de la Révolution tranquille. La « culture conciliaire » issue des représentations répertoriées foumit un éclairage particulier sur la réception du concile dans les quotidiens francophones au Québec et, plus largement, de la réception de Vatican II au Québec.
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La couverture de presse de Vatican II dans les quotidiens francophones du Canada

Therrien, Yves 28 January 2022 (has links)
Si le Concile Vatican II a retenu l'attention de la presse écrite et parlée, c'est qu'il s'agissait d'abord et avant tout d'un événement, d'un fait. L'objet de la présente recherche est d'analyser la couverture de presse de Vatican II dans les quotidiens francophones du Canada. Ceux-ci ont constitué un relais important entre les pères conciliaires et les autres membres du peuple de Dieu. Dans bien des cas, les quotidiens furent l'une des principales sources d'information pour tout un segment de la population désireuse d'avoir le fin mot sur toutes ces réformes débattues et entérinées à l'abri des regards, dans l'aula conciliaire. À l'étude de cette couverture journalistique du Concile et à l'analyse de 1 630 articles, nous découvrirons comment l'Église communique son message tout en nous interrogeant sur la place de l'Église dans la culture médiatique.
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Le libéralisme du journal L'Électeur, 1880-1896

Simard, François 12 April 2018 (has links)
Dans le Québec du dernier quart du XIXe siècle, le journal L'Electeur de Québec, organe officiel du Parti libéral du Québec ainsi que du Parti libéral du Canada, entre 1880 et 1896, exprime des opinions politiques découlant de l'idéologie libérale et est destiné lors de sa fondation à faire office de porte-parole des libéraux modérés dirigés par Wilfrid Laurier, au niveau fédéral, et par Honoré Mercier, pour la majeure partie de la période, au niveau provincial. Pourtant, L'Electeur est condamné par le clergé du Québec à ne plus être publié en 1896 suite à des propos jugés trop radicaux par les évêques de la province, mettant ainsi fin à son existence. Ce mémoire vise à approfondir le libéralisme du journal L'Électeur dans ses aspects idéologiques, politiques, économiques et sociaux afin de déterminer si cette publication s'inscrit dans le courant modéré ou radical du libéralisme.
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Jacques Ferron : polémiste ou pamphlétaire? Analyse des lettres au Devoir (1960-1969)

Gélinas, Marc-André 13 April 2018 (has links)
Jacques Ferron a écrit 197 lettres dans différents journaux et revues du Québec. De cet ensemble, 47 lettres forment le corpus à l'étude. Toutes ces lettres ont été écrites entre 1960 et 1969 et on les retrouve dans les pages du Devoir. La pratique de la lettre ouverte chez Ferron est méconnue et très peu étudiée. La manière dont Ferron l'utilise pour s'exprimer est au coeur de ce mémoire. Le traitement des cibles et la construction de l'ethos sont les éléments importants qui ont été analysés pour comprendre comment Ferron entre en relation avec ses adversaires et comment il se présente dans les lettres pour assurer la crédibilité de sa parole. Par la suite, le choix d'un discours, polémique ou pamphlétaire, et les conséquences d'un tel choix sur l'écriture ont fait l'objet d'une analyse, tout en tenant compte d'une perspective chronologique. Observer la manière dont Ferron pratique la lettre ouverte nous a amené à constater qu'il entretient des relations conflictuelles surtout avec des cibles ayant un lien direct ou indirect avec le pouvoir. Dans ces confrontations, Ferron tente de présenter l'image de celui qui est instruit et solidaire des préoccupations de la population tout en défendant son indépendance d'esprit. Quant au choix des discours, Ferron semble privilégier, tôt dans la décennie, le discours polémique, voulant ainsi entretenir le dialogue avec l'autre. Par contre, plus la décennie avance, plus le discours pamphlétaire et une forme hybride (présence dans une même lettre du discours pamphlétaire et polémique) s'imposeront comme choix. Il semble évident que le discours public de Ferron dans les lettres aux journaux se radicalise avec le temps.
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La réaction de l'épiscopat québécois à l'industrialisation de la presse, 1884-1914

Guérin, Andréanne 11 April 2018 (has links)
Dans le Québec de la fui du XIXe siècle, l'Église catholique règle le rythme de la vie d'une majorité de la population québécoise. L'épiscopat détient une force d'influence très puissante sur la société. Dans le domaine des communications, la période est marquée par le passage de la presse d'opinion à la presse d'information, alors que le journal se transforme en une entreprise de presse et que la nouvelle sensationnaliste remplace le débat d'idées du journal traditionnel. L'émergence d'un nouveau genre de journal à même d'influencer une large part de la population du Québec ne laisse pas l'épiscopat indifférent et entraîne une redéfinition des rapports entre les évêques et les éditeurs. L'étude de la correspondance privée des évêques sur le thème de la presse révèle la perception qu'ont les prélats de ces transformations ainsi que les actions qu'ils entreprennent pour endiguer la vague de l'influence des journaux à grand tirage.
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Analyse de contenu du journal Bas-Canada

Legendre, Roland 25 April 2018 (has links)
Le 9 avril I656, le Canadien informait ses lecteurs qu'il avait reçu "le prospectus d'un journal qui devait être publié aux Trois-Rivières par Doucet et Cie". Il annonçait ainsi la naissance du Bas-Canada fondé par Georges-Isidore Barthe le 3 avril I856. Georges-Isidore, fils du capitaine Joseph Barthe et de Marie Tapin, était né à Restigouche au Nouveau-Brunswick le 16 novembre 1834. H fit ses études primaires dans sa paroisse et vint poursuivre ses études classiques au Séminaire de Nicolet. Par la suite il opta pour le droit et après avoir fait une partie de sa cléricature à l'étude de Napoléon Bureau de Trois-Rivières et l'avoir terminée à celle de George et Andrew Robertson de Montréal, il est admis au barreau le 16 octobre I856. La fondation du Bas-Canada marquait donc la première expérience de Barthe dans le monde du journalisme. Cependant Georges-Isidore recevra une précieuse collaboration de son frère Joseph-Guillaume. Ce dernier, de dix-huit ans son aîné, a vu le jour à Carleton le 16 mars 1816. Après des études classiques à Nicolet, il s'initia aux éléments de la médecine qu'il abandonna pour le droit. En 1837, à 21 ans, mêlé au mouvement insurrectionnel, il donna â la presse et en particulier au Fantasque de Nicolas Aubin quelques odes patriotiques qui lui valurent d'être emprisonné à Montréal le 2 janvier 1839, sous l'accusation d'avoir écrit en faveur de Papineau et des exilés des Bermudes. Remis en liberté, il se fit inscrire au barreau. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Les chroniqueurs parlementaires, membres de la tribune de la presse de l'Assemblée législative de Québec, de 1871 à 1921

Saint-Pierre, Jocelyn 11 April 2018 (has links)
Cette étude poursuit un double objectif. Le premier est de brosser le portrait du chroniqueur parlementaire membre de la Tribune de la presse de l'Assemblée législative, entre 1871 et 1921; analyser le produit de son travail, la chronique parlementaire publiée dans les principaux quotidiens québécois; et expliquer le fonctionnement de la Tribune de la presse. Les quatre premiers chapitres sont orientés vers cet objectif. Le premier chapitre, décrit le contexte dans lequel se meut le correspondant. Dans le deuxième chapitre, l'auteur montre ce qui existe à la même époque en Angleterre, en France et aux États-Unis, et explique ensuite brièvement ensuite le fonctionnement de cette institution parlementaire chez-nous avant la période étudiée. Le chapitre 3 présente une étude socio-économique des membres de la Tribune de la presse, en traitant de leur origine sociale, de leur formation, de leur parcours professionnel et de leurs conditions de travail. Le chapitre 4 s'attache à décrire le processus qui va de la cueillette de l'information jusqu'aux lecteurs. Le second objectif, veut vérifier l'hypothèse suivante: le chroniqueur parlementaire, médiateur entre le député et ses électeurs, chargé par une entreprise de presse de mettre en forme la nouvelle politique, s'est acquitté adéquatement de sa tâche. Cette hypothèse a été confirmée dans le dernier chapitre consacré à une étude de contenu de la chronique parlementaire comparée à une mesure étalon, le Journal des débats reconstitué. Le correspondant parlementaire rapporte adéquatement les débats. Après avoir étudié l'intervenant, le discours et la manière de rapporter les débats, il appert que le journaliste parlementaire rend compte de façon satisfaisante, des discours prononcés à l'Assemblée législative. Sans être exhaustive, la chronique parlementaire rend justice aux intervenants; elle est neutre, elle porte sur le sujet de l'intervention et elle est rédigée en style indirect. Une certaine spécialisation de la presse selon les sujets, de légères différences à l'égard de la langue, une utilisation quelquefois partisane du style et de rares commentaires en provenance de journaux engagés dans la lutte politique ont été observés, mais dans l'ensemble il n'y a pas de déformation grossière des paroles des députés. Le chroniqueur parlementaire est un témoin fidèle. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'évolution des pratiques rédactionnelles et de l'identité discursive des journalistes pratiquant dans le domaine de l'information judiciaire de nature criminelle et pénale de 1950 à 2010

Moreau, Lise 11 December 2024 (has links)
Notre thèse vise d’abord à démontrer que, de 1950 à 2010, il y a eu des changements dans les représentations journalistiques de la justice et des magistrats et ensuite, à expliquer ces transformations. Un corpus de 350 articles de presse, soit cinquante textes publiés la première année de chaque décennie, sélectionnés de manière aléatoire dans le journal La Presse, est étudié par l’intermédiaire de l’analyse critique du discours. Selon cette méthode, l’analyse et la compréhension d’un discours requièrent de prendre en compte les conditions dans lesquelles il est produit, puisque ces conditions déterminent la nature des représentations qui y sont inscrites. En effet, les journalistes ne possèdent pas une totale liberté leur permettant de décider des sujets à traiter et de la manière de le faire. Ce sont les rapports qu’ils entretiennent avec la source de leur discours, les collègues, l’employeur, les lecteurs, etc., qui le déterminent. C’est la raison pour laquelle l’analyse critique d’un discours dans une perspective diachronique ne peut être complète sans le situer dans l’environnement, lui aussi changeant, dans lequel il prend forme, car des « rapports de force » (entendus comme la possibilité d’agir sur autrui en fonction des ressources et des contraintes de chacun) se jouent derrière son élaboration et en forgent la signification. Chaque sous-environnement (dans notre cas, particulièrement les sous-environnements judiciaire et médiatique), se compose effectivement de structures (par exemple, les lois, les tribunaux, l’entreprise de presse, le marché des médias, etc.) ayant pour effet, soit de faciliter le travail des journalistes, soit de le contraindre en limitant leurs marges de manoeuvre. Ces structures, contribuant à établir ce qu’ils peuvent écrire, évoluent elles aussi. L’effet combiné des différents éléments structurants d’un même sousenvironnement, de même que les interactions entre sous-environnements et entre les individus, interviennent en jouant sur le rapport de force (ce dernier sera parfois à l’avantage des journalistes ou encore à leur désavantage), tout en contribuant à déterminer le statut social et professionnel dont disposent les journalistes et les juges. Il arrive que les changements dans ces conditions de production entraînent à leur tour des transformations plus ou moins prononcées dans les façons de faire des journalistes et, par la même occasion, dans leur discours. Lorsqu’ils écrivent, les journalistes laissent dans leurs textes, sans même le vouloir, des traces des rapports sociaux qu’ils entretiennent avec le sujet et l’objet dont ils traitent, ainsi qu’avec ceux à qui ils s’adressent. La notion d’identité discursive journalistique permet d’observer l’effet émergent de pratiques routinières à un moment précis de leur évolution, car inconsciemment, les journalistes rédigent leurs articles en conformité avec la manière constituant la norme au moment où ils écrivent leurs textes. Ce concept nous permet alors de déceler, à l’aide d’indicateurs microtextuels et macrotextuels, les conséquences de ces rapports dans la production de l’énonciation journalistique. L’institution judiciaire et les entreprises de presse sont deux organisations de nature discursive, chacune possédant son système de valeurs, ses propres significations, son public cible, ses objectifs, bref, son système sémiotique spécifique. En ce sens, lorsque les journalistes rendent compte de ce qui se produit devant les tribunaux, ils mettent en discours un discours déjà construit une première fois par la justice et ses représentants. Selon qu’ils possèdent une identité discursive plus ou moins forte, les journalistes se permettront de modifier ou au contraire de reproduire le plus fidèlement possible, l’énonciation originale. Ainsi, en 1950, sans qu’ils en soient nécessairement conscients, les journalistes s’appliquent à construire la nouvelle en privilégiant la logique énonciative et les intérêts de l’institution judiciaire, comme si le rôle attendu d’eux en était un de rapporteur. Les valeurs rattachées aux acteurs du premier niveau sémiotique demeurent donc prédominantes dans les articles de presse. À la fin de la période étudiée, il apparaît évident que l’identité discursive des journalistes se trouve renforcée. Ils se distancient de la sémiotique judiciaire en remaniant l’énonciation originale. La prédominance des valeurs associées à la justice va de plus en plus s’estomper au moment de la seconde sémiotisation, désormais construite en fonction de la logique énonciative des journalistes et de leur évaluation de ce que désirent les lecteurs, ce qui contribue par la suite à conforter, voire affermir, leur statut social et professionnel.

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