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Analyse de contenu du journal Bas-Canada

Legendre, Roland 25 April 2018 (has links)
Le 9 avril I656, le Canadien informait ses lecteurs qu'il avait reçu "le prospectus d'un journal qui devait être publié aux Trois-Rivières par Doucet et Cie". Il annonçait ainsi la naissance du Bas-Canada fondé par Georges-Isidore Barthe le 3 avril I856. Georges-Isidore, fils du capitaine Joseph Barthe et de Marie Tapin, était né à Restigouche au Nouveau-Brunswick le 16 novembre 1834. H fit ses études primaires dans sa paroisse et vint poursuivre ses études classiques au Séminaire de Nicolet. Par la suite il opta pour le droit et après avoir fait une partie de sa cléricature à l'étude de Napoléon Bureau de Trois-Rivières et l'avoir terminée à celle de George et Andrew Robertson de Montréal, il est admis au barreau le 16 octobre I856. La fondation du Bas-Canada marquait donc la première expérience de Barthe dans le monde du journalisme. Cependant Georges-Isidore recevra une précieuse collaboration de son frère Joseph-Guillaume. Ce dernier, de dix-huit ans son aîné, a vu le jour à Carleton le 16 mars 1816. Après des études classiques à Nicolet, il s'initia aux éléments de la médecine qu'il abandonna pour le droit. En 1837, à 21 ans, mêlé au mouvement insurrectionnel, il donna â la presse et en particulier au Fantasque de Nicolas Aubin quelques odes patriotiques qui lui valurent d'être emprisonné à Montréal le 2 janvier 1839, sous l'accusation d'avoir écrit en faveur de Papineau et des exilés des Bermudes. Remis en liberté, il se fit inscrire au barreau. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Fréquentations et mariage, les représentations de jeunes québécoises à travers l'étude d'un courrier du coeur (1958-1968)

Sénéchal, Johanne 12 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / Notre intérêt s'est porté sur l'étude du Refuge Sentimental, le courrier du coeur tenu par Janette Bertrand entre 1953 et 1969, et publié dans l'hebdomadaire Le Petit Journal. Cette rubrique s'est révélée être une excellente tribune aux confidences de jeunes Québécoises concernant l'amour, les fréquentations, le mariage, la famille, la sexualité, des thèmes que madame Bertrand, dans sa chronique, définit en tant que "problèmes du coeur". L'analyse d'un échantillon de 271 lettres publiées entre 1958 et 1968 nous a permis de constater que le vent de changement et de liberté qui souffle sur le Québec au cours de cette période influence grandement les représentations des jeunes Québécoises concernant ces sujets. Les jeunes filles de cette décennie doivent composer non seulement avec leurs propres rêves d'amour et de mariage heureux, mais également avec les pressions sexuelles de leurs amoureux ainsi qu'avec les normes morales très strictes de la société.
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L'évolution des pratiques rédactionnelles et de l'identité discursive des journalistes pratiquant dans le domaine de l'information judiciaire de nature criminelle et pénale de 1950 à 2010

Moreau, Lise 27 August 2019 (has links)
Notre thèse vise d’abord à démontrer que, de 1950 à 2010, il y a eu des changements dans les représentations journalistiques de la justice et des magistrats et ensuite, à expliquer ces transformations. Un corpus de 350 articles de presse, soit cinquante textes publiés la première année de chaque décennie, sélectionnés de manière aléatoire dans le journal La Presse, est étudié par l’intermédiaire de l’analyse critique du discours. Selon cette méthode, l’analyse et la compréhension d’un discours requièrent de prendre en compte les conditions dans lesquelles il est produit, puisque ces conditions déterminent la nature des représentations qui y sont inscrites. En effet, les journalistes ne possèdent pas une totale liberté leur permettant de décider des sujets à traiter et de la manière de le faire. Ce sont les rapports qu’ils entretiennent avec la source de leur discours, les collègues, l’employeur, les lecteurs, etc., qui le déterminent. C’est la raison pour laquelle l’analyse critique d’un discours dans une perspective diachronique ne peut être complète sans le situer dans l’environnement, lui aussi changeant, dans lequel il prend forme, car des « rapports de force » (entendus comme la possibilité d’agir sur autrui en fonction des ressources et des contraintes de chacun) se jouent derrière son élaboration et en forgent la signification. Chaque sous-environnement (dans notre cas, particulièrement les sous-environnements judiciaire et médiatique), se compose effectivement de structures (par exemple, les lois, les tribunaux, l’entreprise de presse, le marché des médias, etc.) ayant pour effet, soit de faciliter le travail des journalistes, soit de le contraindre en limitant leurs marges de manoeuvre. Ces structures, contribuant à établir ce qu’ils peuvent écrire, évoluent elles aussi. L’effet combiné des différents éléments structurants d’un même sousenvironnement, de même que les interactions entre sous-environnements et entre les individus, interviennent en jouant sur le rapport de force (ce dernier sera parfois à l’avantage des journalistes ou encore à leur désavantage), tout en contribuant à déterminer le statut social et professionnel dont disposent les journalistes et les juges. Il arrive que les changements dans ces conditions de production entraînent à leur tour des transformations plus ou moins prononcées dans les façons de faire des journalistes et, par la même occasion, dans leur discours. Lorsqu’ils écrivent, les journalistes laissent dans leurs textes, sans même le vouloir, des traces des rapports sociaux qu’ils entretiennent avec le sujet et l’objet dont ils traitent, ainsi qu’avec ceux à qui ils s’adressent. La notion d’identité discursive journalistique permet d’observer l’effet émergent de pratiques routinières à un moment précis de leur évolution, car inconsciemment, les journalistes rédigent leurs articles en conformité avec la manière constituant la norme au moment où ils écrivent leurs textes. Ce concept nous permet alors de déceler, à l’aide d’indicateurs microtextuels et macrotextuels, les conséquences de ces rapports dans la production de l’énonciation journalistique. L’institution judiciaire et les entreprises de presse sont deux organisations de nature discursive, chacune possédant son système de valeurs, ses propres significations, son public cible, ses objectifs, bref, son système sémiotique spécifique. En ce sens, lorsque les journalistes rendent compte de ce qui se produit devant les tribunaux, ils mettent en discours un discours déjà construit une première fois par la justice et ses représentants. Selon qu’ils possèdent une identité discursive plus ou moins forte, les journalistes se permettront de modifier ou au contraire de reproduire le plus fidèlement possible, l’énonciation originale. Ainsi, en 1950, sans qu’ils en soient nécessairement conscients, les journalistes s’appliquent à construire la nouvelle en privilégiant la logique énonciative et les intérêts de l’institution judiciaire, comme si le rôle attendu d’eux en était un de rapporteur. Les valeurs rattachées aux acteurs du premier niveau sémiotique demeurent donc prédominantes dans les articles de presse. À la fin de la période étudiée, il apparaît évident que l’identité discursive des journalistes se trouve renforcée. Ils se distancient de la sémiotique judiciaire en remaniant l’énonciation originale. La prédominance des valeurs associées à la justice va de plus en plus s’estomper au moment de la seconde sémiotisation, désormais construite en fonction de la logique énonciative des journalistes et de leur évaluation de ce que désirent les lecteurs, ce qui contribue par la suite à conforter, voire affermir, leur statut social et professionnel.
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La perception de la Guerre de Sécession dans la presse québécoise, 1861-1865

Jacob, François 17 April 2018 (has links)
La décennie 1860-1870 a été d'une grande importance pour le Québec, autant au niveau politique qu'économique ou social. Au cours de ces années critiques la Confédération canadienne prend forme, Confédération dont les structures influencent le Québec pour l'avenir. Les discussions qui ont mené à la Confédération canadienne ont été d'autant plus délicates qu'au sud des colonies britanniques se déroulait un cas exemplaire de rapports difficiles entre différents paliers de gouvernement: la guerre de Sécession. Forcément, pour un libéral ou un conservateur, pour un francophone ou un anglophone, l'orientation adoptée face au projet de Confédération canadienne sera influencée au moins en partie par ce conflit et les enseignements que l'on croit pouvoir en tirer. Les États-Unis se sont-ils effondrés en raison de la domination d'une section sur l'autre ? Ou alors, en raison d'une autorité centrale trop faible ou trop forte ? Ces interrogations, les leaders politiques se les posent avec acuité puisque nombre des éléments de la situation américaine sont transférables au futur Canada : populations s'estimant différentes, différences économiques considérables, méfiance entre les différentes régions...Or, si des éléments sont transférables, d'autres ne le sont pas. En effet, la guerre de Sécession comporte une charge idéologique qui n'a pas d'équivalent direct au Canada : démocratie démagogique d'un côté, l'esclavage de l'autre, qui sont autant de traits que les partisans du Sud ou du Nord attribuent à l'adversaire. / Le présent mémoire explore la représentation que les futurs Québécois, anglophones ou francophones, eurent de ce conflit. Cette perception est analysée par le biais de la presse, soit les journaux d'allégeance conservatrice The Morning Chronicle et La Minerve, ainsi que les journaux libéraux Le Pays et The Montreal Witness. La conclusion essentielle est que l'allégeance politique de tel ou tel journal prime sur toutes autres considérations dans les prises de position face à la guerre de Sécession : il y a une grande unité de ton entre le Chronicle et La Minerve, et une animosité absolue entre Le Pays et cette même Minerve, même si ces deux derniers jours sont francophones. De même, Le Pays et le Witness ont en gros la même orientation, et ce même Witness est en opposition avec le Chronicle. L'importance capitale de l'allégeance politique fait que l'analyse de la guerre de Sécession elle-même passe souvent au second plan dans la couverture de cet événement par ces journaux, couverture qui sert plutôt de prétexte pour commenter la politique canadienne.

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