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Breeding systems in Oncidium and related genera (Orchidaceae)Clifford, Sean C. January 1991 (has links)
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Solar thermal heating of a glasshouse using phase change material (PCM) thermal storage techniquesBoampong, James Kwadwo January 2015 (has links)
The Royal Botanic Gardens (RGB) is used as an umbrella name for the institution that runs Kew and Wakehurst Place gardens in Sussex The RBG has a large number of glasshouses at Kew and Wakehurst sites that consume lots of heating energy which is a major concern and the group is looking for an alternative heating system that will be more efficient and sustainable to save energy, cost and reduce CO2 emissions. Glasshouse due to greenhouse effect trap solar energy in the space with the slightest solar gains but the energy trapped in the space most often is vented through the roof wasted to keep the space temperature to the required level. An environmental measurement was carried out in twenty one zones of the glasshouse to establish the temperature and humidity profiles in the zones for at least three weeks. The investigation established that large amount of heat energy is vented to the atmosphere wasted and therefore need a heating system that could absorb and store the waste thermal energy. Phase change material (PCM) thermal energy storage technique was selected to be the best options compared to the others. It has been established that active and passive solar systems could provide enough thermal energy to meet the glasshouse heating requirements. PCM filled heating pipes will be installed to absorb the heat energy trapped in the glasshouse and use it when needed. The research analysis established that 204 MWh of the trapped energy wasted could be saved. The space temperature of the glasshouse could be maintained through melting and freezing of the PCM filled in the heating pipes. The site CHP waste heat could be useful. The research results have shown that nearly zero CO2 emission heating system could be achieved and the project is technically, economically and environmentally viable.
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Unsettled: A Collection of Sort StoriesHill, Sandra January 2013 (has links)
Magister Artium - MA / Harriott is asleep under a jacaranda tree in her daughter's lush Escombe garden. Escombe is no longer part of the Natal Colony, the Natal Colony exists only in the minds of people like Harriott. Escombe, though still in the same place it's always been, is now part of the Union of South Africa. It is the 20th of January 1923. Harriott has lived in the Natal Colony for thirty years exactly. She has been married for only one day less. Dorothy's garden Is wonderful, but according to Harriott, not as wonderful as it could be with a little more effort. Dorothy's bougainvillea are a riot of cerise, peach and white. Her dipladenias climbing the pillars of the front veranda - a profusion of pink. The creamy day Iillies are in full bloom. The lavender is a field of purple and the plumbago hedge, where dragon-like Harriott is asleep under a jacaranda tree in her daughter's lush Escombe garden. The barometer has dropped. Harriott does not notice the thickening of the air, nor the band of
dampness spreading along her back. Her chair is covered with blankets and a white sheep fleece. It Is the day-bed of a woman whose own padding has melted away, whose bones are dissolving, whose joints have swollen over. 'It won't be long,' whispers Herbert to his bride as they lie side by side sweltering in the room next to Harriott's, the door ajar so Dorothy can hear her if she calls out. 'I'm afraid, it won't be for very much longer, my dear.' chameleons lurk, is thick with blue ... a cool blue ud at t he bottom of the garden, Dorothy thinks. Boy is hard pressed to kee~~~~~~~~~i_~~~~ go, paw-paw and avocado trees. Harriott pays little heed to t ~ e for her lawns, beds, shrubs, Harriott's book is lying on the grass. It is a very slim volume, the slimmest she owns and the latest addition to her collection, thanks to dear Rose who tracked it down somewhere in London and sent it over. Harriott cannot hold anything heavier than the slimmest of books, nor can she make.
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Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912) Miroir d'une jeune nation.Diagre, Denis 20 April 2006 (has links)
L’histoire du Jardin botanique de Bruxelles offre l’opportunité de prendre le pouls de la capitale et de ses développements successifs ; de la bourgeoisie du XIXème siècle, de ses passions et de ses fantasmes ; de la science nationale et internationale ; des rêves coloniaux qui habitèrent les souverains belges ; bref de la société belge dans ses multiples composants… quand elle n’entrouvrait pas la porte de l’intimité psychologique de certains intervenants majeurs du passé scientifique national.
En effet, le Jardin botanique fut d’abord l’expression d’une société anonyme créée sous le régime hollandais (1826) : la Société Royale d’Horticulture des Pays-Bas. Cette dernière devait enfin doter la capitale méridionale du pays d’un indispensable marqueur de sa modernité, à moindres frais pour la couronne. Dans ce modus operandi se lisaient la passion bourgeoise pour la nature (surtout exotique), certes, mais aussi son utopie, laquelle faisait dépendre le bien être de la société de l’esprit d’entrepreprise d’une classe. Il s’agissait d’une des premières sociétés anonymes belges, et l’immaturité de cet outil se paierait bien vite.
Alors qu’il avait été inspiré par le Jardin des Plantes du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris – archétype de l’institution scientifique nationale totalement soutenue par l’état – le jardin de Bruxelles revêtit une forme commerciale qui devait bien le servir, lorsque la crise qui suivit la Révolution de 1830 frappa les finances publiques du nouvel état belge. Dès ce moment, le Jardin botanique se lança dans une recherche effrénée de revenus, laquelle ne cesserait qu’avec le rachat du site par l’état belge, en 1870. Unanimement considéré comme magnifique, il n’avait survécu jusque là que grâce à l’écrin qu’il offrait aux réjouissances bourgeoises de la capitale, grâce à la vente d’une partie de sa surface à la faveur de la construction de la Gare du Nord, et à des augmentations successives des subsides versés par le gouvernement et par la capitale. En réalité, la science n’avait alors jamais vraiment élu domicile à la Porte de Schaerbeek… tout au plus avait-on tenté de la singer pour feindre de mériter les subventions nationales que les Chambres devaient approuver. La beauté remarquable de la propriété, sa fonction sociale d’écrin pour la vie événementielle bruxelloise, et sa fonction symbolique de révélateur d’état de civilisation, avaient été les clefs de sa longévité.
Le site fut donc racheté en 1870, à la suite d’une entreprise de persuasion, tenant parfois du lobbying, menée par Barthélémy Dumortier (1797-1878), célèbre homme politique catholique, et botaniste de renom. Il avait pour objectif de monter un équivalent belge des Royal Botanic Gardens de Kew, sur les ruines de ce jardin que la bourgeoisie avait abandonné à l’Etat, contre une somme ridicule et en sacrifiant les bénéfices de ses actionnaires.
Dumortier voulait donc créer un grand centre voué à la taxonomie, et avait fait acheter le célèbre herbier brésilien de F. von Martius à cette fin.
Après des années d’incertitude, marquées par des querelles internes, parfois fort menaçantes, le Jardin botanique de l’Etat échut à François Crépin, l’auteur de la fameuse Flore de Belgique.
Le Rochefortois ne cesserait de tenter de déployer son institution, parfois avec succès, mais elle pâtissait d’un handicap de taille : des liens trop étroits avec la Ville de Bruxelles et son université, bastions libéraux et maçonniques. Il en découla, dans une série de ministères uniformément catholiques, une intrumentalisation du Jardin botanique, teintée de mépris, à des fins politiques, et un sous- financement chronique peu propice à la modernisation scientifique de l’institution.
Le secours vint du besoin d’expertise scientifique et agronomique dont le Congo léopoldien avait cruellement besoin. Sous le bouclier du souverain de cet état indépendant, une institution scientifique belge trouva protection contre la malveillance des ministres belges, des milliers de feuilles d’herbier qui lui permirent de pratiquer légitimement une discipline bien essoufflée (la taxonomie), de s’y faire une niche et de devenir un des plus grands centres mondiaux en matière de botanique africaine. Ainsi, la colonisation donna-t-elle une base de replis à de grands fonds scientifiques, alors que les universités s’étaient emparées de la physiologie, et des nouvelles disciplines prometteuses. Ces bases de données sont aujourd’hui impliquées, en première ligne, dans les recherches suscitées par la grande inquiétude écologique contemporaine.
Miroir de la Belgique, le Jardin botanique de Bruxelles refléta beaucoup de ses gloires et de ses tourments, de ses querelles politiques et philosophiques, et même de ceux qui eurent le Congo pour cadre. Son rayonnement, jadis comme aujourd’hui, doit beaucoup à ce continent. Ainsi peut-on légitimement affirmer que le Jardin botanique fut et reste un enfant de l’Afrique.
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Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912): miroir d'une jeune nationDiagre, Denis 20 April 2006 (has links)
\ / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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