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Dr. Heinrich von Martius: (1781 – 1831) - Vertreter einer berühmten Familien-Dynastie

Schönfuß-Krause, Renate 03 February 2021 (has links)
Das Lebensschicksal des Doktors der Medizin und Chirurgie, Gustav Heinrich von Martius (* 28.12.1781 Radeberg, † 4.8.1831 Berlin), der zusätzlich zu seiner medizinischen Arbeit auch als Naturwissenschaftler, Botaniker, Schriftsteller, Historiker und Chronist tätig war, ist durchaus als außergewöhnlich für seine Zeit anzusehen und regt zu Vergleichen an, die auf seiner Herkunft aus einer mehr als 400 Jahre existierenden weitverzweigten Familiendynastie beruhen. Der Bildungsweg von Heinrich Martius führt in der Napoleonischen Zeit über Freiberg an die Universität Wittenberg zum Medizinstudium, von wo er 1804 an die Universität Moskau als Unteraufseher und Bibliothekar an das Kaiserliche Museum für Naturgeschichte berufen wurde. Sein Wirken in Moskau, zu Beginn des 19. Jahrhunderts und seine wissenschaftlichen Reisen innerhalb des russischen Reiches und in Krisengebiete, geben Einblicke in bisher wenig bekannte Details dieses Riesenreiches und das ganz normale Leben. Martius gehörte bereits 1805 zu den 25 Stiftern der „Moskauer Gesellschaft der Naturforscher“. Nach seiner Promotion zum Dr. der Medizin begann seine steile Karriere zum Leibarzt bedeutender russischer Familien bis hin zum Fürsten und Bildungsminister Alexej von Rasumowski, der ihn in den Adelsstand erhob. Nach dem Brand von Moskau, bei dem Martius alles verlor, nahm er Heimaturlaub nach Deutschland bei seiner Familie in Radeberg, ging als Arzt nach Bautzen, wurde Amtsarzt in Nossen, wo er mit seinen fortschrittlichen Ideen für die Verbesserung des Gesundheitswesens auf Widerstand stieß und in Prozesse verwickelt war, woraufhin er mit seiner Familie als Arzt nach Berlin übersiedelte, wo sein Leben mit 39 Jahren endete.
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Große Familien - Große Namen. Die Schlegels aus Altenburg

Schönfuß-Krause, Renate 05 September 2022 (has links)
Die Familienlinien Schlegel waren seit Mitte des 18. Jahrhunderts nachweisbar in die Stadt Altenburg involviert, hatten teilweise durchaus die Geschicke und die Geschichte der Stadt mitgetragen und beeinflusst. In der Zeit um 1800 existierten zwei bedeutende Schlegel-Linien in Altenburg, die des Instrumentenfabrikanten Elias Schlegel (1750 Prößdorf - 1805 Baalsdorf) und die der Rotgießer-Familie Schlegel, die mit Melchior Schlegel (1746 Ungarn - 1805 Altenburg) in der Stadt ansässig wurde. Dessen Sohn David Schlegel (* 17. Okt. 1769, † 4. Dez. 1850) führte die Linie als Gelbgießermeister in Altenburg weiter. Sein ältester Sohn war Hermann Schlegel (1804 Altenburg - 1884 Leiden). Hermann Schlegel, befreundet mit dem Ornithologen Brehm, wurde zu einem bedeutenden europäischen Gelehrten, der noch nicht 18-jährig seine Geburtsstadt Altenburg verließ, um über die Stationen Dresden und Wien in Leiden/Holland am Reichsmuseum Präparator und Konservator zu werden und sich zu einem der verdientesten Ornithologen und Zoologen seiner Zeit hochzuarbeiten. Sein Schaffen wurde begünstigt durch die Forschungsreisenden und ihre Neuentdeckungen der Tier- und Pflanzenwelt in den Kolonien der Niederlande. Er wurde als Naturwissenschaftler schließlich Professor und Direktor des „Königlichen Niederländischen Reichsmuseums für Naturgeschichte“ in Leiden. Unter seiner Leitung und Neuordnung entwickelte sich das Reichsmuseum zu einer der größten und bedeutendsten Einrichtungen Europas, zu einem Institut von Weltruf. Er hatte enge Kontakte zu berühmten Zeitgenossen, die seinen wissenschaftlichen Rat und seine Bekanntschaft suchten. Schlegel wurde bereits zu Lebzeiten als einer der letzten universellen Naturwissenschaftler hochgeschätzt und hatte sich, in seinem fast 60-jährigen Wirken an einer der größten Museen Europas, höchste Anerkennung und Ruhm in der Fachwelt erworben. Seine Söhne wurden ebenfalls zu Berühmtheiten. Sein ältester Sohn Gustav (auch: Gustaaf, 1840-1903) war ein berühmter Sinologe und hatte eine Professur an der Universität Leiden inne, der jüngste Sohn Leander (1844-1913) studierte in Leipzig Musik und war ein niederländischer Pianist, Direktor einer Musikschule und Komponist in Haarlem / Nordholland.
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Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912) Miroir d'une jeune nation.

Diagre, Denis 20 April 2006 (has links)
L’histoire du Jardin botanique de Bruxelles offre l’opportunité de prendre le pouls de la capitale et de ses développements successifs ; de la bourgeoisie du XIXème siècle, de ses passions et de ses fantasmes ; de la science nationale et internationale ; des rêves coloniaux qui habitèrent les souverains belges ; bref de la société belge dans ses multiples composants… quand elle n’entrouvrait pas la porte de l’intimité psychologique de certains intervenants majeurs du passé scientifique national. En effet, le Jardin botanique fut d’abord l’expression d’une société anonyme créée sous le régime hollandais (1826) : la Société Royale d’Horticulture des Pays-Bas. Cette dernière devait enfin doter la capitale méridionale du pays d’un indispensable marqueur de sa modernité, à moindres frais pour la couronne. Dans ce modus operandi se lisaient la passion bourgeoise pour la nature (surtout exotique), certes, mais aussi son utopie, laquelle faisait dépendre le bien être de la société de l’esprit d’entrepreprise d’une classe. Il s’agissait d’une des premières sociétés anonymes belges, et l’immaturité de cet outil se paierait bien vite. Alors qu’il avait été inspiré par le Jardin des Plantes du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris – archétype de l’institution scientifique nationale totalement soutenue par l’état – le jardin de Bruxelles revêtit une forme commerciale qui devait bien le servir, lorsque la crise qui suivit la Révolution de 1830 frappa les finances publiques du nouvel état belge. Dès ce moment, le Jardin botanique se lança dans une recherche effrénée de revenus, laquelle ne cesserait qu’avec le rachat du site par l’état belge, en 1870. Unanimement considéré comme magnifique, il n’avait survécu jusque là que grâce à l’écrin qu’il offrait aux réjouissances bourgeoises de la capitale, grâce à la vente d’une partie de sa surface à la faveur de la construction de la Gare du Nord, et à des augmentations successives des subsides versés par le gouvernement et par la capitale. En réalité, la science n’avait alors jamais vraiment élu domicile à la Porte de Schaerbeek… tout au plus avait-on tenté de la singer pour feindre de mériter les subventions nationales que les Chambres devaient approuver. La beauté remarquable de la propriété, sa fonction sociale d’écrin pour la vie événementielle bruxelloise, et sa fonction symbolique de révélateur d’état de civilisation, avaient été les clefs de sa longévité. Le site fut donc racheté en 1870, à la suite d’une entreprise de persuasion, tenant parfois du lobbying, menée par Barthélémy Dumortier (1797-1878), célèbre homme politique catholique, et botaniste de renom. Il avait pour objectif de monter un équivalent belge des Royal Botanic Gardens de Kew, sur les ruines de ce jardin que la bourgeoisie avait abandonné à l’Etat, contre une somme ridicule et en sacrifiant les bénéfices de ses actionnaires. Dumortier voulait donc créer un grand centre voué à la taxonomie, et avait fait acheter le célèbre herbier brésilien de F. von Martius à cette fin. Après des années d’incertitude, marquées par des querelles internes, parfois fort menaçantes, le Jardin botanique de l’Etat échut à François Crépin, l’auteur de la fameuse Flore de Belgique. Le Rochefortois ne cesserait de tenter de déployer son institution, parfois avec succès, mais elle pâtissait d’un handicap de taille : des liens trop étroits avec la Ville de Bruxelles et son université, bastions libéraux et maçonniques. Il en découla, dans une série de ministères uniformément catholiques, une intrumentalisation du Jardin botanique, teintée de mépris, à des fins politiques, et un sous- financement chronique peu propice à la modernisation scientifique de l’institution. Le secours vint du besoin d’expertise scientifique et agronomique dont le Congo léopoldien avait cruellement besoin. Sous le bouclier du souverain de cet état indépendant, une institution scientifique belge trouva protection contre la malveillance des ministres belges, des milliers de feuilles d’herbier qui lui permirent de pratiquer légitimement une discipline bien essoufflée (la taxonomie), de s’y faire une niche et de devenir un des plus grands centres mondiaux en matière de botanique africaine. Ainsi, la colonisation donna-t-elle une base de replis à de grands fonds scientifiques, alors que les universités s’étaient emparées de la physiologie, et des nouvelles disciplines prometteuses. Ces bases de données sont aujourd’hui impliquées, en première ligne, dans les recherches suscitées par la grande inquiétude écologique contemporaine. Miroir de la Belgique, le Jardin botanique de Bruxelles refléta beaucoup de ses gloires et de ses tourments, de ses querelles politiques et philosophiques, et même de ceux qui eurent le Congo pour cadre. Son rayonnement, jadis comme aujourd’hui, doit beaucoup à ce continent. Ainsi peut-on légitimement affirmer que le Jardin botanique fut et reste un enfant de l’Afrique.
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Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912): miroir d'une jeune nation

Diagre, Denis 20 April 2006 (has links)
\ / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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