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Entre ce qui reste et ce qui passe /Vézina, Lise. January 2004 (has links)
Thèse (M. A.)--Université Laval, 2004. / Bibliogr.: f. 85-88. Publié aussi en version électronique.
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Ni début, ni fin /Lavoie, Mireille. January 1997 (has links)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 1997. / Bibliogr.: f. x. Publié aussi en version électronique.
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Our ideal of an artist, Tom Thomson, the ideal of manhood and the creation of a national icon, 1917-1947Cameron, Ross Douglas January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
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Les personnifications des provinces dans l'art romain /Ostrowski, Janusz A. January 1990 (has links)
Texte remanié de: Th.--Cracovie--Université Jagellonne, 1985. / Mention parallèle de titre ou de responsabilité : Personifikacje prowincji w sztuce rzymskiej / Janusz A. Ostrowski. Bibliogr. p. 8-14. Index.
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De la clandestinité à la consécration : histoire de la Collection de l'art brut, 1945-1996 : thèse présentée à la Faculté des lettres de l'Université de Lausanne pour obtenir le grade de Docteur ès lettres /Peiry, Lucienne, January 1996 (has links)
Th. doct.--Lettres--Université de Lausanne, 1996. / Bibliogr. p. 251-278. Index.
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Dichtung und Kunst : die transposition d'art bei Théophile Gautier /Cenerelli, Bettina B., January 2000 (has links)
$a Diss. $c Siegen $f Universität $d 1999. / Bibliogr. p. 331-347.
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Dissensus créateur ou L’infiltration du Décepteur dans le territoire de l’artFillion, Caroline January 2017 (has links) (PDF)
Ce mémoire accompagne l’oeuvre réalisée dans le cadre d’une résidence au centre d’art actuel Bang à Chicoutimi. Une oeuvre furtive, dénuée volontairement de tout public et de médiatisation. Cette recherche création est un regard singulier porté sur les méthodes de légitimation de l’art à travers ses institutions. Une réflexion sur le rapport entre l’oeuvre, l’artiste et le commentaire qui les précède. Cette recherche création repose sur une conjonction symbolique, une métaphore, détournant les postulats traditionnels du milieu de l’art en recourant à la manoeuvre, à l’insertion, à l’art furtif et en s’incarnant dans un personnage emprunt des caractéristiques de l’archétype du décepteur se révélant être la coexistence d’opposés dans une même réalité. Le milieu de l’art est ici vu comme un territoire, un écosystème composé de relations entre agents, entre objets et entre espaces à l’écologie précaire. Cette recherche propose de se positionner sur la frontière, sur le seuil de ce territoire. Se situer entre deux mondes engendrant un dissensus créant ainsi du politique.
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L' artiste en traducteur : la pensée du diagramme comme expérience de création / The artist as a translator : the diagrammatic thinking as a creation experimentKhelil, Farah 12 December 2014 (has links)
Étudier et pratiquer l'art n'est souvent pas affaire de contemplation directe et matérielle ou de face à face avec les œuvre mais plutôt de lecture sémantique, de compréhension et de savoir qui logent dans la périphérie et dans la médiation. Lorsque l'œuvre est absente, les mots la remplacent et les illustrations la révèlent. Les documents, archives, livres et site contribuent à sa circulation au-delà des frontières topographiques et représentent souvent l'unique source de référence. Les appareils de médiation forment à la fois une frontière et un lieu d'accès à l'œuvre, à la fois une limite et un passage où se transforment, s'opèrent et se déplacent les langages et les formats de l'œuvre. Cet environnement sémantique constitue une base de donnée calculable et traduisible source de nouvelles pratiques plastiques. Nous verrons en quoi le régime de pensée diagrammatique permet une médiation entre contenu et expression, engendrant un dispositif de visualisation, un format et une expérience de pensée qui instaurent une grille de lecture soutenant une création processuelle. Le diagramme nous permettra de penser les appareils techniques de médiation et d'interroger des pratique et formats originaux qui sous-tendent une pensée philosophique particulière de l'art par l'art. À partir d'une articulation descriptive d'une pratique plastique personnelle, nous mettons en évidence Bibliothèque et Musée comme ateliers et prothèses techniques pour appréhender le savoir dans sa globalité par indexation, fouille et exploration de données. Ces pratiques questionnent la recherche de la vérité dans l'œuvre et dans ses métadonnées à travers les dispositifs techniques et nouveaux médias numériques de clairvoyance et de révélation du sens et éclairent une instrumentation qui orchestre une époque de traductibilité technique / Studying and practicing art is often not a matter of direct and material contemplation or coming face to face with the works but rather semantic reading, understanding and knowledge of what lies in the mediation. When the work is missing, words replace it and pictures reveal it. Documents, archives, books and sites promote its circulation beyond topographie boundaries and are often the only sources of reference. Mediation deviees are both a border and a tool to access the work both a limit and a path where languages and formats are transforming. This semantic environment is a quantifiable and translatable database which is also a source of new art practices. We will see how the diagrammatic thinking allows mediation between content and expression, generating a visualization device, a specifie format and a thought experiment that establish an interpretive framework supporting process-based creation. The diagram allows us to think technical and mediation devices and to question original formats and practices underlying a particular philosophical thought of art by art, From a description of a personal plastic practice, we highlight Library and Museum as workshops and as technical prostheses to understand knowledge as a whole by indexing, searching and data mining. These practices question the pursuit of truth in the work and its metadata through technical deviees and new digital media of clear-sightedness and revelation of meaning. These practices shed light on the instrumentation that rules an era of technical translatability.
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Marceline Desbordes-Valmore : de poète maudit à écrivain de contes pour enfants, étude de la subversion d'un genreJean, Marie-Claude 03 1900 (has links) (PDF)
Qu’est-ce qui distingue les Contes et scènes de la vie de famille (1865) de Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) des contes moraux de la même époque ? Quelle idéologie est véhiculée dans ces contes et à qui est-elle destinée ? Pour répondre à ces questions, j’établis d’abord l’horizon d’attente des lecteurs de contes moraux au XIXe siècle. De cette façon, il est possible de comprendre dans quel espace social et littéraire Desbordes-Valmore conçoit son projet d’écriture et de quelle façon elle applique, interprète et contourne les règles qui régissent l’écriture du conte moral pour enfants. Pour voir l’effet-idéologie qui parcourt les récits de Desbordes-Valmore, j’analyse chacun des contes en fonction de la poétique de la norme établie par Philippe Hamon dans Texte et idéologie. En étudiant de près les foyers normatifs et les évaluations des différents savoirs des personnages, je suis en mesure de constater que Desbordes-Valmore présente une écriture subversive qui, pour reprendre les mots de Pierre Bourdieu dans Langage et pouvoir symbolique, a « la possibilité de changer le monde social en changeant la représentation de ce monde qui contribue à sa réalité ou, plus précisément, en opposant une pré-vision paradoxale, utopie, projet, programme, à la vision ordinaire, qui appréhende le monde social comme monde naturel ». Ce qu’elle propose par son écriture, c’est un altruisme porté par une voix maternelle forte qui vient faire front à l’individualisme bourgeois patriarcal qui domine la société dans laquelle elle vit et écrit.
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Marceline Desbordes-Valmore : de poète maudit à écrivain de contes pour enfants, étude de la subversion d'un genreJean, Marie-Claude 03 1900 (has links) (PDF)
Qu’est-ce qui distingue les Contes et scènes de la vie de famille (1865) de Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) des contes moraux de la même époque ? Quelle idéologie est véhiculée dans ces contes et à qui est-elle destinée ? Pour répondre à ces questions, j’établis d’abord l’horizon d’attente des lecteurs de contes moraux au XIXe siècle. De cette façon, il est possible de comprendre dans quel espace social et littéraire Desbordes-Valmore conçoit son projet d’écriture et de quelle façon elle applique, interprète et contourne les règles qui régissent l’écriture du conte moral pour enfants. Pour voir l’effet-idéologie qui parcourt les récits de Desbordes-Valmore, j’analyse chacun des contes en fonction de la poétique de la norme établie par Philippe Hamon dans Texte et idéologie. En étudiant de près les foyers normatifs et les évaluations des différents savoirs des personnages, je suis en mesure de constater que Desbordes-Valmore présente une écriture subversive qui, pour reprendre les mots de Pierre Bourdieu dans Langage et pouvoir symbolique, a « la possibilité de changer le monde social en changeant la représentation de ce monde qui contribue à sa réalité ou, plus précisément, en opposant une pré-vision paradoxale, utopie, projet, programme, à la vision ordinaire, qui appréhende le monde social comme monde naturel ». Ce qu’elle propose par son écriture, c’est un altruisme porté par une voix maternelle forte qui vient faire front à l’individualisme bourgeois patriarcal qui domine la société dans laquelle elle vit et écrit.
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