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Žmogus ir liga autobiografijoje: Jonas Basanavičius, Ieva Simonaitytė, Eglė Juodvalkė / L'homme et la maladie dans l'autobiographie: Jonas Basanavičius, Ieva Simonaitytė, Eglė Juodvalkė

Vilčiauskaitė, Jūratė 15 June 2005 (has links)
A travers ce travail nous avons cherché à montrer le lien qui existe entre une personne et sa maladie, comment elle le conçoit et le transmet par le biais de l’autobiographie. Nous avons choisi pour procéder à l’analyse trois auteurs d’autobiographies, tous trois victimes de la maladie. Ils sont issue d’époques différentes et ils ont chacun été touchés par une maladie pénible et progressive. Jonas Basanavičius relate les faits liés aux changements de sa maladie à travers le regard du medecin La maladie engendre la contemplation du prophète national et la stoicité. La maladie définit le destin de la personne, et la réconciliation avec elle stimule la réalisation de soi en cherchant à atteindre l`objectif de vie établi. Le caractère de Ievos Simonaitytės a renforcé l`intégration de la personne handicapée dans la société. Le combat contre la maladie, la volonté de prouver à moi-même et à mon entourage et aux autres que je peux y arriver entraîne une valorisation personelle. L`autobiographie de Eglės Juodvalkės, au regard du récit de la vie (et de la maladie), met l`accent sur l‘importance des choix. Aprés avoir accepté que la maladie représente un compagnon de vie, on peut alors sentir la plénitude de la vie. Nous avons voulu aborder l’autobiographie d’un point de vue psychanalytique, ainsi que historique et social. Les autobiographies de Jonas Basanavičius, Ieva Simonaitytė, Eglė Juodvalkė témoignent de l’influence de la maladie sur la personnalité. Cette... [to full text]
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"Mais je n'avais pas le droit d'abandonner la partie" : le récit autobiographique, entre équilibre et déséquilibre : le cas de Thomas Bernhard

Chaloux-Gendron, Virginie 30 January 2024 (has links)
Le récit autobiographique, et à plus forte raison le récit d’enfance autobiographique, trace une frontière difficile à circonscrire. L’écrivain la ressent, pourtant. Elle existe. Mais cette frontière semble n’avoir ni commencement ni fin et est d’abord l’histoire d’une limite qu’il porte en lui et doit franchir, afin de reculer les yeux ouverts. « On court pour échapper à quelque chose mais on l’emporte avec soi », répondait Thomas Bernhard à Andrée Müller lors d’un entretien en 1979. C’est dans cette perspective que ce mémoire propose d’étudier les cinq récits autobiographiques de Thomas Bernhard. L’écriture ne permet pas au narrateur de retrouver la forme antérieure du Moi tel qu’il était avant que des forces destructrices s’abattent sur lui. Inévitablement, les traumatismes déforment le Moi. Or il est possible, par le biais du langage, de décomposer, de fragmenter les diverses forces à l’oeuvre et de trouver leur point d’application, soit l’endroit où elles agissent en soi. Puisque le récit autobiographique ne dépend pas toujours de la vérité du texte par rapport au monde dans lequel il se situe, ou se situait, il est entendu qu’il peut au contraire faire la promotion d’un nouveau monde et engager, en se fondant sur la liberté qui la caractérise, de nouvelles expériences. Les théories de la subjectivation et de la reconnaissance, ainsi que celles portant sur la vulnérabilité et la honte, guident ma réflexion et m’aident à répondre à la question suivante : que peut l’écriture face aux jeux de relais entre équilibre et déséquilibre psychiques? C’est à la mise en scène d’un soi oscillant constamment entre ces deux pôles que me convie Bernhard, un spectacle auquel chacun d’entre nous prend part à l’instant où il ouvre un de ses récits.

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