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L'iconographie de la légende québécoiseCauchon, Michel, Cauchon, Michel 16 May 2024 (has links)
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La problématique sao : entre civilisation, mythologie et construction de l'histoire / The Sao problem : between civilization, mythology and the construction of historyMakrada Maïna, Manga 14 November 2017 (has links)
Dans le bassin du lac Tchad, aux confins des États que sont actuellement le Nigeria, le Cameroun, le Tchad et le Niger coexistaient près des empires et royaumes médiévaux du Borno et Kanem les Sao. Ces Sao animistes étaient considérés par qu’Ibn Furtû comme les véritables autochtones de la région. Grâce aux chroniques de cet imam kanuri, ces populations dont principalement les Sao-Tatala et les Sao-Ngafata nous sont connus plus ou moins en détail. Ils nous sont connus parce que dans ces chroniques, Ibn Furtû décrit les expéditions de son maitre le maï Idriss Alauma qui les a combattus à de nombreuses reprises. Après leur défaite face aux musulmans dirigés par Alauma, les rescapés Ngafata et Tatala migrent vers le sud du lac Tchad, pour s’installer sur les rives du Chari et du Logone où ils occupent certaines terres libres, s’allient aux populations présentes et battissent des buttes anthropiques et développent les pratiques de la terre cuite. Ils apportent avec eux leur savoir-faire, notamment l’architecture et la poterie, la pêche ainsi que leurs croyances. Leur maitrise du travail de la terre cuite leur a permis d’établir de véritables industries dont les produits avaient plusieurs fonctions : cultuelles, usuelles, ludiques et probablement artistiques. Avec la terre, ils construisent aussi des fortifications bâties sur des buttes anthropiques de terre qui avaient deux fonctions : rempart de protection face aux musulmans qui continuent par les poursuivre et contre les inondations. Au cours des siècles, l’histoire de ces populations a considérablement été tronquée aussi bien par leurs adversaires qui obscurcissent leurs mémoires, que par leurs descendants qui trouvent en eux des héros géants. Tout cela donne naissance à de nombreuses légendes et mythes qui tendent à effacer le passé tangible de ce peuple qualifié de «Sao légendaires». Très peu de sources renseignent de façon profonde sur ces populations. Même les informations fournies par les chroniques d’un imam Kanuri, qui semblent pourtant être les plus fiables ne sont pas dénudées d’impartialité. Dans ce bassin du lac Tchad, les Sao y laisseront un héritage culturel considérable, identifiable matériellement et immatériellement. La reconstitution de l’histoire des Sao par les auteurs s’appuie sur une multitude de sources. Outre les sources matérielles comme les buttes anthropiques visibles et les tessons de poteries éparpillées à plusieurs niveaux, il convient aussi de faire mention de la tradition orale où abondent des mythes et légendes. / In the Lake Chad Basin, at the borders of Nigeria, Cameroon, Chad and Niger, lived Sao’s people next to the medieval empires and kingdoms of Kanem Borno. Sao, black animistic people who was seen as the true native of the region by Ibn Furtû, are considered today wrongly or rightly to have disappeared. These people, mainly Sao-Tatala and Sao-Gafata are more or less known thanks to the chronicles of Iman Kanuri. In these cronicles, he describes his master’s Idriss Alauma expeditions who fought against the mat many times. After their defeat against muslims ruled by Alauma, the surviving Gafata and Tatala migrated to the south of the lake Chad to settle in the free lands of the edges of rivers Chari and Logone. They form an alliance with people already present, build mounds and develop baked clay experiences. They bring their know-how in architecture and pottery, fishing as well as their believes. Their mastery of the work baked clay allowed them to set up true industries which products had many functions : cultural, common ludic and probably artistic. With the clay, they also build fortifications which had two functions : protection defense against Muslims and against the floods. During centuries, the history of these people has considerably been truncated by their opponents who tarnish their memories and by their descendants who see them as great heros. All this gives rise to many legends and myths that tend to erase the tangible past of this people qualified rightly and wrongly “legendary Sao”. Very few sources give information on these people. Even inquiries given by the Imam Kanuri’s chronicles which seem to be reliable are not so lake of impartiality. In this basin of Lake Chad, Sao will leave a considerable and identifiable e cultural heritage which is tangible and intangible. The rebuilding of Sao’s history by authors is based on a multitude of sources. Besides tangible sources such as visible mounds and pottery’s shards scattered at several areas, it is also appropriate to mention that the oral tradition of myths and legends abound. / En la cuenca del lago Chad, en los límites de los Estados que actualmente son Nigeria, Camerún, Chad y Níger coexisten cerca de los imperios y reinos medievales de Borno y Kanem, los Sao. Los Sao, animistas, eran considerados por Ibn Furtû, como verdaderos autóctonos de la región. Gracias a las crónicas del imán kanuri, descubrimos estas poblaciones y principalmente los Sao-Tatala y los Sao-Ngafata porque en sus crónicas, Ibn Furtû describe las expediciones de su maestro el maï Idríss Alauma que los ha combatido en numerosas ocasiones. Después de la derrota frente a los musulmanes dirigidos por Alauma, los sobrevivientes Ngafata y Tatala migran hacia el sur del lago Chad, para instalarse sobre las orillas del Chari y del Logone donde ocupan ciertas tierras libres, se alían a las poblaciones presentes, construyen montículos antropogénicos y desarrollan la práctica del barro cocido. Llevan consigo su experiencia y su «conocimientos» 1, la arquitectura y la alfarería especialmente, la pesca y sus creencias. Su conocimiento en el trabajo del barro cocido les permite establecer verdaderas industrias cuyos productos cumplían diversas funciones: culturales, cotidianas, lúdicas y probablemente artísticas. Con la tierra, construyen también fortificaciones edificadas sobre los túmulos antropogénicos de tierra que tenían dos funciones: muralla de protección contra los musulmanes que continúan a perseguirlos, y contra las inundaciones. A lo largo de los siglos, la historia de estas poblaciones ha sido considerablemente truncada tanto por sus adversarios que oscurecen sus memorias, como por los descendientes que encuentran en ellos héroes gigantescos. Todo esto da lugar a numerosas leyendas y mitos que tienden a borrar el pasado tangible de este pueblo calificado como « Sao legendarios ». Muy pocas fuentes informan de manera profunda sobre estos pueblos. Incluso, las informaciones proporcionadas por las crónicas de un imán Kanuri que parecen no obstante las más confiables, no están exentas de imparcialidad. En esta cuenca del lago Chad, los Sao dejarán una herencia cultural considerable, identificable material e inmaterialmente. Los autores que reconstituyen la historia de los Sao, se apoyan sobre un gran número de fuentes. Más allá de las fuentes materiales como los túmulos antropogénicos visibles y los fragmentos de alfarería dispersos en diversos niveles, conviene mencionar la tradición oral donde abundan los mitos y leyendas.
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Henri Julien illustrateur de légendesGuilbault, Nicole. 30 April 2024 (has links)
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La femme du récit légendaire québécois : de la jeune fille victime à la dame blanche secourableMercier, Lucie, Mercier, Lucie 16 May 2024 (has links)
« L'étude porte sur la représentation du personnage féminin de la légende québécoise. A partir d'un corpus rassemblant deux cent quinze récits issus de la tradition orale ou de la littérature, l'auteur explore l'hypothèse selon laquelle une femme jouant le rôle principal serait négativement perçue par le groupe d'appartenance. Elle s'expose d'emblée à être une victime lorsqu'elle ne se conforme pas aux normes établies par la collectivité ou qu'elle ne remplit pas les fonctions maternelles. Une grille d'analyse divisant les récits selon qu'i ls mettent en scène un personnage non corporel ou corporel, positif ou négatif, actif ou passif et volontaire ou non volontaire, s'est avérée particulièrement significative pour élucider l'hypothèse en jeu. Ainsi, sur deux cent quinze légendes, cent cinquante et une, soit 70,2%, illustrent une femme réelle, c'est-à-dire dotée d'un corps. Ce personnage apparaît davantage négatif (quatre-vingt-quatre récits) et passif, donc victime, dans cent deux versions. Il se montre volontaire dans cent dix versions. C'est dire que la femme corporelle présente une image surtout négative et elle devient facilement victime à cause d'une conduite le plus souvent volontaire et répréhensible. Ordinairement, il s'agit d'une jeune fille dont les gestes étranges troublent l'ordre établi. Elle agresse son entourage par des attitudes réprobatives. Le groupe ne peut tolérer pareil comportement, c'est pourquoi il punit cette femme et en fait une victime. Des deux cent quinze récits, soixante-quatre ou 29,8% mettent en scène des personnages sans corporéité. Quarante-cinq versions illustrent un être irréel, positif et actif contre dix-neuf où les éléments négatif et actif prévalent. Le personnage non corporel est toujours volontaire. Cette catégorie présente des Dames blanches secourables telle une bonne mère ou des sorcières menaçantes. Cependant, l'être imaginaire positif sous les traits d'une Vierge ou d'une mère apaisante est prédominant. Les résultats de cette analyse montrent que l'héroïne de la légende québécoise est corporelle, négative, passive et volontaire ou bien elle est non corporelle, positive, active et volontaire. C'est un portrait antithétique de la femme que laisse entrevoir le récit légendaire. Les éléments "corporel" et "non corporel" ont été les plus révélateurs. Ils ont suscité maintes questions. La représentation féminine apparaît davantage positive et active dans l'imaginaire, alors qu'elle se révèle négative et passive dans le réel. Des approches psychologiques suggèrent une interprétation permettant une explication plausible. Dans la réalité, la femme est souvent infériorisée. Il en est autrement dans l'inconscient de tout un chacun. Pour G. Rubin "...dès que l'on quitte le domaine du réel, du quotidien, la femme change de rôle: dans le réel, esclave; dans le phantasme, maîtresse toute-puissante." Elle démontre également que par les productions artistiques, les mythes, les légendes, les rêves, etc., se manifeste l'inconscient et en lui subsiste une figure féminine d'une écrasante supériorité. Cet écart justifierait les résultats obtenus. Les propos de Rubin sont éclairants et offrent quelques éléments de réponses aux interrogations soulevées. D'une part, les données confirment l'hypothèse de départ: une femme qui détient un rôle principal dans un récit est davantage vécue comme négative par ses pairs. Le moindre geste répréhensible l'expose à l'état de victime et par conséquent au rejet du groupe. L'autre partie de ce postulat voulant que le récit légendaire assure protection à la femme-mère est resté plus difficile à cerner. Les versions illustrant des mères dans un rôle central sont au nombre de vingt-cinq. Aussi cette proportion minime du corpus permet de soutenir qu'une mère est rarement victime. Sa présence plus accentuée dans la catégorie des non corporels soutient cet énoncé. La légende québécoise sert davantage à contrôler les conduites déviantes, c'est pourquoi elle raconte souvent l'histoire d'une jeune fille "légère". L'image de la bonne mère reste cependant prégnante et apparaît en filigrane dans de nombreuses versions. »--Pages préliminaires
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Visages féminins de la phantasmagorie : une étude comparative des apparitions de femmes dans les récits légendaires gréco-romains et les légendes traditionnelles québécoisesFortin-Otis, Alex-Anne 17 June 2024 (has links)
Dans sa conception contemporaine, l'oralité est l'affaire du peuple, c'est grâce à elle que se transmettent les récits traditionnels qui, selon la définition de l'ethnologue Jean Du Berger, sont au nombre de trois au Québec : le conte, le mythe et la légende. Dans le cadre de nos recherches, c'est sur ce dernier genre que nous nous sommes arrêtée afin de réfléchir aux représentations imaginaires féminines dans la culture populaire. Les nombreux.ses savant.e.s qui se sont intéressé.e.s au sujet se sont limité.e.s aux genres des contes et des mythes antiques et à la création contemporaine volontaire et réfléchie, laissant ainsi de côté la littérature orale, manifestation exemplaire de l'imaginaire populaire et de la création collective. Notre étude vise à combler cette lacune en alliant les études anciennes et l'ethnologie traditionnelle. À travers l'analyse comparée d'apparitions surnaturelles de femmes dans des légendes traditionnelles québécoises et des récits légendaires grécoromains, nous avons identifié les similarités et discontinuités dans la façon dont l'imaginaire collectif met la femme en images.
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Aide à la conception de légendes personnalisées et originales : proposition d'une méthode coopérative pour le choix des couleursChristophe, Sidonie 30 October 2009 (has links) (PDF)
Aide à la conception de légendes personnalisées et originales : proposition d'une méthode coopérative pour le choix des couleurs Les utilisateurs s'approprient aisément les outils cartographiques numériques pour se construire leur propre carte. Cependant, l'accès aux outils ne suffit pas pour concevoir une légende cartographique de qualité. Il est nécessaire de savoir comment faire de bons choix de représentation graphique, en particulier de bons choix de couleurs. Une expertise cartographique comportant des connaissances en sémiologie graphique et en perception des couleurs (contrastes et harmonies) est nécessaire : soit l'utilisateur possède ces connaissances, soit les outils doivent les lui apporter. Dans ce contexte, nous cherchons à aider les utilisateurs à concevoir des légendes personnalisées et originales, en nous concentrant sur l'aide au choix des couleurs. Nous proposons une méthode de conception coopérative en quatre phases reposant sur des interactions homme-machine : 1- choix d'une source d'inspiration, 2- acquisition des préférences de l'utilisateur sur les sources d'inspiration, 3- interprétation des préférences et construction de légendes adaptées, 4- retouche de légendes. Deux stratégies de conception sont envisagées en utilisant deux types de sources d'inspiration : des échantillons de carte et des toiles de maîtres. En partant du constat que des désaccords entre l'utilisateur et le système peuvent se produire, nous proposons d'utiliser des techniques de dialogue homme-machine pour améliorer l'adaptation du système à l'utilisateur. Le modèle de dialogue ainsi proposé est implémenté dans le prototype COLorLEGend (COLLEG)
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La cultura di miniera nelle Alpi : autorappresentazione della categoria professionale dei minatori / La culture de la mine dans les Alpes : Italie, Autriche, Suisse, France : étude comparative d'autoreprésentation d'une catégorie professionnelle en perspective synchronique et diachronique / Mine culture in the Alps : self-representation of the minersArmano, Linda 11 February 2011 (has links)
Due sono le questioni che bisogna porsi per analizzare la “cultura di miniera nelle Alpi”: in che modo i fattori politici ed economici influenzarono la gestione e l’organizzazione mineraria? Esistono espressioni culturali specifiche della categoria professionale dei minatori? Pur nella loro diversità, le due questioni sono tra loro complementari. La presente ricerca è divisa in due parti: la prima prende in esame i sistemi di gestione e di organizzazione estrattiva nelle Alpi; a tal proposito sono stati comparati i contesti socio-economici delle seguenti comunità minerarie: del distretto minerario di Vipiteno-Colle Isarco ed in particolare della miniera di Ridanna-Monteneve in alto Adige; dell’Alta Val Trompia in provincia di Brescia; di Brosso e di Pont Canavese in provincia di Torino e di Premana in provincia di Lecco. La seconda parte di questo lavoro analizza le espressioni culturali della categoria professionale dei minatori che comprendono le leggende di miniera, i canti e le feste. Queste fonti sono importanti dal punto di vista antropologico in quanto esprimono i desideri, le ansie, le attese, in breve la coscienza dei minatori. I testi folklorici, soprattutto i canti, gettano luce sui loro modi di vita e di pensiero. Si tratta dunque di fonti autentiche per la conoscenza delle condizioni morali, oltre che materiali, dei minatori. / Dans l’analyse de la culture minière dans les Alpes, il faut se poser deux questions: comment les facteurs politiques et économiques influencèrent la gestion et l’organisation minière? Est-ce qu’il existe des expressions culturelles spécifiques de la catégorie des mineurs ? Bien qu’elles soient très différentes, les deux questions sont complémentaires. Ce travail est divisé en deux parties : la première concerne les systèmes de gestion et d’organisation du travail minier dans les Alpes ; pour bien les analyser, on a comparé les contextes socio-économiques des communautés minières suivantes : le district minier de Vipiteno-Colle Isarco et en particulier la mine de Ridanna-Monteneve en Alto Adige. La Haute Val Trompia en province de Brescia ; Brosso et Pont Canavese en province de Turin et Premana en province de Lecco. La deuxième partie de ce travail analyse les expression culturelles de la catégorie professionnelle des mineurs comprenant les légendes minières, les chants et les fêtes. Ces sources sont très importantes du point de vue anthropologique, car elles expriment les inquiétudes, les désirs, les attentes, en bref la conscience des mineurs. Les textes folkloriques, surtout les chants, permettent de comprendre leurs vies et leurs pensées. Il s’agit donc de sources authentiques pour connaitre les conditions morales et matérielles des mineurs.
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L'impact des symboles dans la civilisation mésopotamienne : l'art et l'architecture : passerelle vers l'art musulman / The impact of the symbols in the Mesopotamian civilization : art and architecture : gateway to Islamic artSaleh, Jihad 09 May 2014 (has links)
L'art et l'architecture sont deux sujets principaux pour connaitre le monde civilisationel de tel ou tel pays.Le progrès économique a donné naissance aux progrès culturels d’où le progrès de l'art et de l'architecture. Toutes les autres civilisations (civilisation byzantine, grecque, romaine, égyptienne, musulmane) ont suivi le même cheminement pour arriver au savoir- faire architectural et artistique.Les influences des symboles religieux avaient leurs impacts sur les différents éléments de la vie matérielle et spirituelle. Les histoires religieuses et l'utilisation des formes géométriques avec leurs significations mystiques ornent soit la façade extérieure soit l'espace architectural intérieur ou les deux ensemble. D’où le secret de la réussite de l'art et de l'architecture dans toutes les civilisations, d’où mon sujet d'étude. Finalement on peut dire qu'il n y a pas d'art sans religion ni religion sans art. / Art and architecture are the two main subjects that we must know about the civilization of any country. Economic progress has given rise to cultural progress, for example progress of art and architecture. All other civilizations (Byzantine civilization, Greek, Roman, Egyptian, Muslim) have followed the same path to get to the architectural and artistic craftsmanship. The influence of religious symbols had their impact on the various elements of the material and spiritual life. Religious stories and the use of geometric shapes with their mystical meanings decorate the exterior or interior architectural space or both. Hence the secret of the success of art and architecture in all civilizations and my subject of study. Finally we can say that there is no art without religion and no religion without art.
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Saint Roch: genèse et première expansion d'un culte au XVe siècleBolle, Pierre January 2001 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La légende de Théophile dans l’occident médiéval (IXe-XVIe siècle) : analyse textuelle et iconographiqueCôté, Mélanie 20 April 2018 (has links)
La légende de Théophile est complexe et elle occupe une place privilégiée dans l’Occident médiéval. Elle est représentée dans plusieurs manuscrits et sur de nombreux vitraux. Elle est également sculptée sur les parois de quelques églises et elle bénéficie très tôt d’une vaste tradition textuelle. L’objectif de cette étude est d’analyser ce thème en l’articulant à la réalité historique, aux comportements humains, mais aussi en effectuant de continuels allers et retours entre les images, les textes et leur environnement. Ainsi, l’étude sérielle et relationnelle de cinquante images provenant de supports variés (manuscrits, vitraux, images sculptées), combinée à l’analyse de plusieurs textes, révèle la dynamique et l’inventivité des représentations de cette légende particulièrement entre le IXe et le XVIe siècle.
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