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Mademoiselle Clairon : Verwandlungen einer Schauspielerin /Schmidt-von Essen, Maren Isabell, January 1900 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Bonn--Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität, 1993.
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Les "comédiens-poètes" en France du XVIIe siècle / The French actors-authors in XVIIth centuryNishida, Shikiko 29 January 2015 (has links)
Nous comptons au total vingt-deux « comédiens-poètes », dont deux sont des femmes, entre le dernier tiers du XVIe siècle jusqu’à la fondation de la Comédie-Française en 1680, soit une période de cent ans environ. Afin de comprendre la naissance puis la montée en puissance de cette pratique d’écriture propre aux comédiens, nous commençons à étudier les conditions de création des pièces de Châteauvieux et Hardy au début du siècle. Dans la première partie, nous étudions l’apparition de cette pratique chez les comédiens parisiens dans les années 1640 à travers Desfontaines et Montfleury. Dans la deuxième partie, nous mettons en lumière l’importance du rôle des commandes et des institutions lors de l’émergence des comédiens-poètes itinérants dans les années 1650 et 1662, à travers des recherches archiviques qui nous révèlent les rapports entre Des Carreaux, Dorimond et Rochefort, comédiens-poètes contemporains de Molière, et les commanditaires de fêtes en province. Dans la troisième partie, toujours selon la même méthode, nous suivons principalement l’activité de Dorimond, Rosidor et Rochefort, dans les années 1660. Nous examinons la concurrence qui se joue entre eux à La Haye et à Bruxelles concernant la création de leurs propres pièces et la reprise de pièces d'auteurs, en particulier celles à machines. Dans l’épilogue, nous mettons en lumière la singularité des habitudes de composition chez les comédiens-poètes, qui sont tout à fait différentes de celle des auteurs, à travers l’analyse des ouvrages de Villiers, Madeleine Béjart, La Thorillière, tous comédiens-poètes occasionnels, et nous perçons à jour le secret de la rapidité de composition des comédiens-poètes en général. / We count in total twenty-two actors-authors, including two women, from the last third part of the XVIth century until the creation of la Comédie-Française in 1680, so upon a hundred years period of time. To understand the birth and then the rising of this actors’ very writting way, we start to study in the prologue Chateauvieux and Hardy’s plays’ first productions’ conditions at the beginning of the century. In the first part, we study the emergence of this practice among parisian actors around 1640 through Desfontaines and Montfleury. In the second part, we light up the important role of plays made to order as well as the institutions while strolling actors-authors emerging in 1650 and 1662. To that purpose we use archivic methods revealing us relationships between Des Carreaux, Dorimond and Rochefort, three contemporaneous actors-authors of Molière, and also provincial parties’ sponsors. In the third part, still with archives’help, we mainly follow Dorimond, Rosidor and Rochefort’s activities around 1660. We study the competition between them in La Haye and Bruxelles regarding their own plays’s first productions as well as authors’plays revival, especially plays with stage effects. In the epilogue, we light up the specificity of the actors-authors writting way, quite different from the authors’way, through the analysis of Villiers, Madeleine Béjart, La Thorillière’s works, all chance actors-authors, and we find out the writting swiftness of actors-authors generally speaking.
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Mademoiselle Chanel : um discurso entre a magia do glamour e a eloquência da solidãoAssunção, Letícia Formoso 19 December 2015 (has links)
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Previous issue date: 2015-12-19 / Ce mémoire a pour but principal d’analyser le texte de Maria Adelaide Amaral, la
construction de la (l’auto)biographie « Mademoiselle Chanel », centrée sur les questions
de corps, de mode et de genre, afin de voir de quelle façon le glamour et la solitude
apparaissent dans la vie de la protagoniste. « Mademoiselle Chanel » (2004) est un texte
dramatique sur une des plus grandes créatrices de mode de l’histoire: Gabrielle Chanel
(1883-1971). Innovatrice et subversive, Chanel a transformé l’image que les femmes
avaient sur elles-mêmes, en (re)signifiant le corps féminin à partir du concept issu de
l’acception de l’élégance en tant que liberté en mouvement. La créatrice s’est servie du
décor corporel afin de transgresser les frontières du genre à la recherche d’une mode
fonctionnelle, pratique et confortable. À travers le vêtement, elle a combattu les règles
de conduite et d’apparence pour les femmes de son époque à partir de l’élaboration d’un
corps ambigu dont les contours se sont métamorphosés en un style qui s’est imposé tout
au long du XXe siècle en devenant intemporel. La mode se défini en tant qu’un système
de communication et, sous cet angle, en visant une analyse, j’emploie ici les fondements
théoriques et méthodologiques issus de l’Analyse Critique du Discours
(FAIRCLOUGH, 2001; JÄGER, 2001), des études des genres littéraires
(auto)biographiques (ARFUCH, 2007), du concept de « biographème » de Roland
Barthes (2005b), des études du corps (GROSZ, 2000; GOELLNER, 2003), de mode
(CRANE, 2000; CASTILHO, 2006) et de genre social (PERROT, 2007; FLAX, 1991),
entre autres. Face à la diversité de catégories suggérées par l’ACD, j’ai choisi celle des
choix lexicaux et de l’ethos du personnage Chanel, tout comme le découpage de
« fragments discursifs », selon trois grands « axes thématiques » (donnés
(auto)biographiques; corps, mode et genre; glamour et solitude) sélectionnés selon
l’observation et l’identification des aspects discursifs et des thèmes davantage
expressifs et significatifs pour le récit de la vie de Chanel. L’analyse – une fois étant
réalisée à partir de fondements théoriques et de concepts issus de différents domaines –
permet de percevoir dans le texte de Maria Adelaide une histoire de vie caractérisée par
des réalisations professionnelles et des drames individuels synthétisés par des
expériences paradoxales de glamour et solitude. / A presente dissertação tem como objetivo principal analisar no texto de Maria Adelaide
Amaral, a construção da (auto)biografia “Mademoiselle Chanel”, voltando atenção às
questões de corpo, moda e gênero, com o fim de estabelecer de que forma o glamour e a
solidão se presentificam na vida da protagonista. “Mademoiselle Chanel” (2004) é um
texto dramático acerca de uma das mais importantes estilistas da história da moda:
Gabrielle Chanel (1883-1971). Inovadora e subversiva, Chanel transformou a imagem
que as mulheres tinham de si mesmas, ao (re)significar os corpos femininos a partir do
conceito que se fundamenta na acepção de elegância como a liberdade em movimento.
A estilista se utilizou da decoração corpórea para transgredir as fronteiras de gênero em
busca de uma moda funcional, prática e confortável. Por intermédio do vestuário,
desafiou as normas de comportamento e aparência para as mulheres de sua época a
partir da elaboração de um corpo ambíguo cujos contornos se transformaram em um
estilo que atravessou o século XX e se tornou atemporal. A moda caracteriza-se como
um sistema de comunicação e, neste viés, para fins de análise, utilizo pressupostos
teórico-metodológicos obtidos da Análise Crítica do Discurso (FAIRCLOUGH, 2001;
JÄGER, 2001), dos estudos sobre os gêneros literários (auto)biográficos (ARFUCH,
2007), do conceito de “biografema” de Roland Barthes (2005b), das noções de corpo
(GROSZ, 2000; GOELLNER, 2003), moda (CRANE, 2000; CASTILHO, 2006) e
gênero social (PERROT, 2007; FLAX, 1991), entre outros fundamentos. Diante da
diversa gama de categorias sugeridas pela ACD, opto pela análise das escolhas lexicais
e do ethos da personagem Chanel, além de fazer recortes de “fragmentos discursivos”
segundo três grandes “eixos temáticos” (dados (auto)biográficos; corpo, moda e gênero;
glamour e solidão) selecionados com base na observação e identificação dos aspectos
discursivos e temas mais expressivos e significativos para a escrita da vida de Chanel. A
análise, realizada com base em fundamentos teóricos e conceitos oriundos de áreas
diversas, permite perceber no texto de Maria Adelaide uma história de vida composta
por realizações profissionais e dramas particulares sintetizados em experiências
paradoxais de glamour e solidão.
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Regards sur l’Être et le Paraitre dans Trois Portraits du XVIIe SiècleLandis, Martine J 18 July 2008 (has links)
Introduced in French Salons as a parlor game, the literary portrait appears in mid Seventeenth-Century. It is similar to the literary portraits inserted in Roman à clé but it does not hide the identity of the subject behind a pseudonym, it depicts the individual as is. In a self-portrait subjects look at, observe, evaluate then describe themselves. They offer themselves to the gaze of others and propose a true reading of what they are. The self-portrait attempts to harmonize the appearance and the inner being, to render visible the essence of the person. However, in the Seventeenth Century, people reinvent themselves, and the answer to the question "who am I?" changes under the gaze of a sophisticated society where everyone must play the role assigned by their class and their gender. The nobility and the cultured elite want to be a work of art; the art of pleasing, the art of conversation, the art of story telling, and also the art of knowing others. Everything is hyperbole: nobles are gods and goddesses-when they are not fairies-and life is a vast performance where self-image and representation are tirelessly adjusted because the observer is looking to catch what is behind the façade. At court or in Salons, gazes interpret more than what is on display because they observe signs: body language and facial expressions convey feelings visibly and communicate them better than words. Charles Le Brun, painter of the Court of Louis XIV, stated that the face is not the mirror of the soul but the readable expression of passions. This study examines literary and artistic representations of three representative individuals: Mademoiselle de Montpensier, the Duc de La Rochefoucauld, and the Cardinal de Retz, with the intention of demonstrating that, for the Seventeenth-Century, the portrait is the place where the conflict between "the inner being" and "appearances", the discomfort of the visible and the veiled, and also the uneasy co-existence of honnêteté and amour-propre, converged.
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Mémoires et mémorialistes : fonder un idéal familial (1571-1753) / Memoires and memorialists : how to build a familial ideal (1571-1753)Deguin, Yohann 01 December 2018 (has links)
Notre thèse se propose d’envisager l’écriture des Mémoires, de la seconde moitié du XVIe siècle à la première moitié du XVIIIe siècle, à l’aune d’une écriture de l’idéal familial. Il nous semble en effet que la famille permet de lire à nouveaux frais ces textes pour y voir non plus exclusivement l’expression d’un « je » singulier, mais en réalité d’un « je-nous », d’une identité qui se fait à la fois singulière et collective. En effet, les mémorialistes aristocrates de la Première Modernité investissent, dans leurs Mémoires un espace dans lequel refonder les valeurs de la lignée aristocratique pour affirmer une image d’eux-mêmes au sein de l’espace social et curial : pour ce faire, ils fabriquent un récit familial, une légende de la famille à transmettre au gré de mythes familiaux et de généalogies. Ils construisent une fiction de solidarité au sein d’une famille choisie, qui reconfigure les frontières de la parenté objective pour intégrer à une parenté rêvée des personnages et des collectifs que seule l’écriture peut configurer en membres d’une famille d’encre / Our work proposes to consider the writing of Memoirs, from the second half of the sixteenth century to the first half of the eighteenth century, in the light of a writing of a familial ideal. It seems to us that family enables a new way of reading Memoirs, in order to see not only the expression of a singular "I", but in fact an "I-we", an identity that is both singular and collective. Indeed, the aristocratic memorialists of the early modern period invest, in their Memoirs, a space in which they can regenerate the values of the aristocratic lineage to assert an image of themselves within the social and curial space: to do so, they build a family story, a legend of the family to be transmitted using family myths and genealogies. They build a fiction of solidarity within a chosen family, which reconfigures the boundaries of objective kinship to integrate, into a dreamed kinship, characters and collectives that only writing can configure as members of an "ink family"
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