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Le Système Parlementaire et les Partis Politiques en France avec un Aperçu Historique de la Troisième République

Baker, Kenneth G. K. 05 1900 (has links)
Note:
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La fabrique de la République : la pensée française contemporaine au prisme des usages de la référence juive (1970-2000)

Bourdages, Jade 28 August 2020 (has links)
Cette thèse aborde la pensée politique française à la fin du 20e siècle au prisme des usages de la référence juive dont le moment d’arrimage, les déterminants et l’histoire demeurent à ce jour obscurs. Nous interrogeons ce qu’Elisabeth de Fontenay a désigné comme cette « Nef des juifs » en France, à savoir ce fait que la référence juive, après les publications d’Emmanuel Levinas, occupe dès la fin des années 1960 certains philosophes et littéraires avec insistance jusqu’à former au cours des décennies 1980-1990 une véritable économie du signe juif. À partir d’une approche compréhensive, cette thèse s’intéresse au développement de la pensée française à travers le prisme de cette économie du signe juif dans laquelle se réverbèrent les dimensions d’un champ d’expérience spécifique, celui d’une communauté de lettrés marquée en France par l’interrogation politique. Celle-ci permet d’exposer qu’au cours de cette période, la référence juive est centrale dans les œuvres de certains philosophes et littéraires français. Ces derniers ne retiennent pas tout parmi les différentes traditions juives, mais sélectionnent plutôt minutieusement et retiennent des éléments et des thématiques bien spécifiques : déracinement, exil, nomadisme, diaspora, juif errant, marrane, errance, messianisme, cosmopolitisme. Ils ne mobilisent pas non plus ces éléments et ces thématiques dans n’importe quelle direction. Ils le font d’abord lorsqu’il s’agit d’interroger les idées politiques les plus communes de leur propre tradition de pensée politique républicaine et européenne : raison, Histoire, révolution, modernité, humanisme, empire, peuple, identité, république, État, souveraineté, nationalisme. La référence juive à partir des années 1970 représente une dimension significative dans le développement de la pensée politique française contemporaine. La multiplication de ces usages s’inscrit en filigrane de certaines articulations majeures et des préoccupations qui traversent l’époque, à savoir ce contexte sociohistorique où la communauté intellectuelle se trouve déstabilisée. L’évolution des usages de la référence juive par certains des plus imminents philosophes et littéraires français au cours de ces trois dernières décennies du 20e siècle ne serait pas sans lien avec cette situation de crise épistémologique généralisée à la suite des expériences fascistes, ce moment de haute fragilisation des dictats de la théorie politique moderne européenne au cours duquel la réserve – le bassin de ressources symboliques – et le langage conceptuel disponibles jusqu’alors apparaissent désormais inadéquats. En France, ce qui a été désigné ainsi comme une véritable faillite symbolique dans le monde des philosophes et littéraires à la fin du 20e siècle est repérable dans la résurgence de la thématique de la décadence culturelle (morale et politique) et l’émergence de tout un nouvel ensemble d’axiomes de la finitude dans le champ intellectuel et les productions culturelles. Des axiomes qui font signe vers un immense bris de conjoncture routinière au cours de cette période, un contexte historique de réflexivité « forcée » marqué en France par l’angoisse intellectuelle. Poste d’observation privilégié, une analyse compréhensive de la pensée française à travers ce prisme des usages de la référence juive lors de cette période permet de restituer leur propre définition de cette situation, cet espace dramatique dans lequel ils ont fait entrer et intervenir la référence juive. Ceci permet de rendre compte de quelques dimensions de l’état culturel et historique dans lequel s’est trouvé plongée la pensée politique française à la fin du 20e. Loin d’être le symptôme d’une errance collective ou le fait d’énoncés isolés et dispersés dans les œuvres, la multiplication et l’évolution des usages de la référence juive par certains philosophes et littéraires les plus imminents de l’époque tend à rendre plus explicite le travail collectif de la pensée politique française sur elle-même à la fin du 20e siècle. La thèse permet en outre de raconter certaines dimensions de l’histoire de cette communauté intellectuelle telle qu’elle se vit, s’écrit et se trahit elle-même dès qu’elle mobilise cette référence juive à la fin du 20e siècle.
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Les roses déracinées : transformation du recrutement du personnel socialiste : des logiques sociales aux logiques politiques (fin XIX-2012) / The uprooted roses : transformation of the recruitment of the socialist staff : social logics in the political logics (ending XIXe-2012)

Hû, Grégory 25 September 2014 (has links)
Cette thèse entreprend d’examiner les transformations du recrutement du personnel politique socialiste de la fin du XIXe siècle à 2012 en établissant le passage d’une logique sociale à une logique politique du renouvellement des élus et cadres partisans à partir des années 1990. Sur la base d’une enquête de terrain croisant plusieurs méthodes (entretiens, observations, archives et base de données prosopographiques), cette recherche montre, dans une première partie, les filières sociales de renouvellement du personnel politique socialiste de la fin du XIXe siècle jusqu’en 1990. En changeant de jeu d’échelle, la seconde partie révèle la dévaluation des ressources des groupes mobilisés en 1971 (enseignants laïcs et catholiques de gauche) à partir des années 1990. Enfin, la dernière partie s’attache à démontrer en quoi la réévaluation des ressources politiques et partisanes transforme le recrutement et renouvelle le capital politique des élus. / This PhD dissertation examines the transformations in the recruitment of the French Socialist Party’s (PS) political personnel from the late nineteenth century to 2012. It shows how social logics of recruitment have been replaced by political ones, with a significant renewal of the party’s elected representatives and executives in the 1990s. The research is based on extensive fieldwork combining quantitative and qualitative methods (interviews, participant observation, archival work and prosopography). The first part describes the social rationales at work in the renewal of the PS’s political personnel from the late nineteenth century to the 1990s. The second part examines in closer detail the devaluation of the mobilized groups’ resources during the 1990s. Finally, the third and last part demonstrates how the reevaluation of political and party resources has transformed the recruitment and changed the elected representatives’ political capital.
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« Ce n’est pas arrivé ici » : sociologie politique de la réception du néo-libéralisme dans le système politique français depuis les années 1970 / "It didn't happen here" : the political sociology of the reception of neo-liberalism in the French political system since the 1970's

Brookes, Kevin 03 December 2018 (has links)
Cette recherche rend compte des difficultés de la diffusion des idées néo-libérales dans la vie politique française de 1974 jusqu’à 2012. Son premier apport consiste à démontrer – à travers un large panel de données sur les politiques publiques, l’opinion publique et les programmes des partis – qu’en France le succès des idées néo-libérales a été moindre par rapport aux autres pays européens. Son deuxième apport consiste à expliquer cette anomalie française, en contribuant plus généralement à la question de la diffusion des idéologies dans un système politique. La réponse se base sur une double étude : une analyse micro-historique centrée sur les acteurs (à partir d’entretiens et d’un travail sur les archives des organisations internationales de promotion du néo-libéralisme), couplée à une analyse macro-sociologique centrée sur les caractéristiques du contexte national. Il est montré que si la diffusion du néo-libéralisme a été moins importante en France par rapport à d’autres pays voisins, c’est en raison de la forte résistance de l’opinion publique à son égard. Celle-ci a restreint la fenêtre d’opportunité de ses partisans de manière directe en incitant les hommes politiques à ne pas mettre en œuvre des politiques publiques trop congruentes avec cette idéologie, et de manière indirecte, en exerçant une influence sur le discours économique et social des principaux partis politiques pouvant légitimer la mise en œuvre de mesures libéralisant les politiques publiques. De plus, la structure des institutions françaises a renforcé l’effet de « dépendance au sentier » dans la fabrique des politiques publiques en valorisant l’expertise d’État contre celle d’acteurs susceptibles de remettre en cause le consensus existant comme les universitaires et les think tanks. Enfin, à partir de la réalisation d’une socio-histoire inédite du mouvement néo-libéral depuis les années 1970, d’autres facteurs plus contingents sont identifiés. La fragmentation et la radicalité des partisans du néo-libéralisme, ainsi que la quasi absence d’entrepreneur politique susceptible d’incarner ces idées, ont contribué à la marginalité de ces idées dans le débat public. / This thesis examines, and then explains, the relative lack of success in the dissemination and acceptance of neo-liberal ideas in French politics during the period from 1974 to 2012. Using a wide range of data on public policy, public opinion and political party platforms, it demonstrates that neo-liberal thought has had far less influence in France than in other European nations. It then accounts for this anomaly and contributes more generally to the understanding of how ideologies diffuse in a political system. The answer is derived from the combination of two perspectives. The first is a stakeholder-centered, micro-historical analysis based on interviews and on the archives of international organizations promoting neo-liberalism. This is coupled with a macro-sociological analysis focused on the characteristics of the French national context. The failure of neo-liberalism to propagate in France is shown to be mainly due to the strong resistance of public opinion towards it. This has restricted opportunities for its supporters, both directly, by discouraging politicians from implementing policies congruent with this ideology, and indirectly, by shrinking the policy window of acceptable economic and social discourse and thus limiting the options of the main political parties that might otherwise legitimize the implementation of neo-liberal public policies. In addition, the structure of French institutions has reinforced the effect of "path dependence" in the making of public policy by valuing state expertise above that of actors likely to question the existing consensus, such as academics and think tanks. Finally, we identify other more incidental factors: The fragmentation and radicalism of neo-liberalism's supporters, as well as the absence of any political actor who could effectively embody these ideas, contributed to their marginality in the public debate.This thesis examines, and then explains, the relative lack of success in the dissemination and acceptance of neo-liberal ideas in French politics during the period from 1974 to 2012. Using a wide range of data on public policy, public opinion and political party platforms, it demonstrates that neo-liberal thought has had far less influence in France than in other European nations. It then accounts for this anomaly and contributes more generally to the understanding of how ideologies diffuse in a political system. The answer is derived from the combination of two perspectives. The first is a stakeholder-centered, micro-historical analysis based on interviews and on the archives of international organizations promoting neo-liberalism. This is coupled with a macro-sociological analysis focused on the characteristics of the French national context. The failure of neo-liberalism to propagate in France is shown to be mainly due to the strong resistance of public opinion towards it. This has restricted opportunities for its supporters, both directly, by discouraging politicians from implementing policies congruent with this ideology, and indirectly, by shrinking the policy window of acceptable economic and social discourse and thus limiting the options of the main political parties that might otherwise legitimize the implementation of neo-liberal public policies. In addition, the structure of French institutions has reinforced the effect of "path dependence" in the making of public policy by valuing state expertise above that of actors likely to question the existing consensus, such as academics and think tanks. Finally, we identify other more incidental factors: The fragmentation and radicalism of neo-liberalism's supporters, as well as the absence of any political actor who could effectively embody these ideas, contributed to their marginality in the public debate.
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Du récit fictif au journal personnel : l'itinéraire de Jacques de Bourbon Busset : étude de deux cahiers inédits / From fictional account to private diary : the route taken by Jacques de Bourbon Busset : study of two unpublished cahiers (notebooks)

Charmet, Bernadette 05 July 2017 (has links)
S’il est devenu aujourd’hui assez courant de s’intéresser à la genèse d’écrits littéraires divers, il est un genre qui ne semble guère se prêter à ce genre d’approche : le journal personnel. Écriture au jour le jour, écriture a priori spontanée semblant exclure tout brouillon, toute préparation autre que mentale, on ne voit pas bien comment on pourrait en suivre la genèse. Or les Cahiers de Jacques de Bourbon Busset que nous publions ici apportent un démenti éclatant à de tels préjugés : pendant six ans et demi, d’août 1958 à décembre 1964, l’écrivain, qui a déjà publié plusieurs récits, va s’interroger très longuement sur ce que doit être son œuvre essentielle, qu’il estime ne pas avoir encore écrite. Et ces Cahiers montrent en particulier comment, peu à peu, il évolue, abandonnant l’idée d’écrire un grand roman, puis un livre d’essais, puis un grand récit autobiographique, pour accepter finalement l’idée que l’œuvre essentielle qu’il doit écrire est son Journal, Journal qu’il publiera effectivement pendant vingt ans. Comment arriver à accepter cette idée quand on déteste l’anecdotique, la complaisance, le narcissisme et quand on refuse de prendre soi-même la parole dans ses livres ? / Although it has now become quite common to study the origins of various literary works there is one genre which would not appear to be suited to this type of approach: the personal diary. Entries are written day to day, the writing is, in principle, spontaneous, and would appear to exclude any kind of rough draft, any kind of preparation other than mental. It is difficult to see, therefore, how its origin can be tracked. And yet the Cahiers written by Jacques de Bourbon Busset that we are publishing here refute such prejudices completely: for six and a half years, from August 1958 to December 1964, the author, who had already published several books, was to ask himself at great length what his essential work was to be, work that he believed he had not yet written. And these Cahiers demonstrate specifically how he gradually evolved, abandoning ideas of writing a great novel, then a book of essays and then a major autobiographical account, before finally accepting the idea that the essential work he had to write was his Journal or private diary, a Journal that he actually published over a period of twenty years. How did he come to accept this idea when he hated all things anecdotal, self-indulgent or narcissistic and when he refused to speak in the first person in his books?

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