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Aspects of complementation in three Bantu languages

Perez, Carolyn Harford. January 1900 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin, 1985. / "April 1986." Includes bibliographical references (p. 96-100).
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Description linguistique du shiwa, langue bantu du Gabon. : phonologie, morphologie, syntaxe, lexique. / Linguistic description of shiwa, Bantu language of Gabon. : phonology, morphology, syntax, lexicon.

Ollomo Ella, Régis 06 December 2013 (has links)
Le présent travail est une description linguistique du shiwa, une langue bantu du Nord-Est du Gabon.La thèse comporte trois parties précédées d’une introduction générale qui situe le shiwa et les Shiwa dans leur environnement géographique, sociolinguistique et socioculturel. Cette introduction présente également les données exploitées et les conditions de leur collecte.La partie phonétique et phonologie (phonématique et analyse tonale) est traitée dans l’optique fonctionnaliste. Le shiwa présente un grand nombre de réalisations phonétiques et un système phonologique complexe, six tons se réalisant sur plusieurs registres. La complexité phonétique est liée à la monosyllabisation. Elle engendre des consonnes complexes, palatalisées, labialisées, affriquées, des voyelles centralisées et nasalisées. Le système phonologique présente de multiples mécanismes de variations libres, combinatoires et contextuelles.La morphologie inspirée des méthodes de l’Ecole de Londres montre un système d’accord bantu classique avec, cependant, un nombre restreint de schèmes d’accord et de classes. La langue fait usage au singulier des mêmes préfixes pour l’ensemble des classes.Le lexique exploité compte 1104 termes, transcrits, segmentés, rangés selon la classe avec une référence les liant à l’annexe audio.Outre les éléments de description linguistique, la thèse comprend des fichiers sons. Ces fichiers sons comportent une partie des données collectées sur le terrain soit une dizaine d’heures d’enregistrements sur des lexiques spécialisés, des questionnaires et des récits. / The present work is a linguistic description of the Shiwa, a Bantu language of northeastern Gabon. The thesis has three parts preceded by a general introduction. It places the Shiwa and Shiwa in their geographical, sociolinguistic and sociocultural environment. The introduction also presents the data used and the conditions of their collection.Phonetics and phonology part use the functionalist perspective. Shiwa has many phonetic realisations, a complex phonological system and six tones. Phonetic complexity is related to the monosyllabisation. It generates complex consonants, palatalized, labialized, affricates, centralized and nasalized vowels. The phonological system has multiple mechanisms of free, combinatorial and contextual variations.The morphology is based on the London School methods. It brings to light a system with classical Bantu agreements system. However, the language has few classes and agreements marks. It uses the same singular prefixes for all classes.The lexicon contain 1104 words, transcribed, segmented, classified by class and linking to the audio Annex.In addition to the elements of linguistic description, the thesis includes a sound data. This contain a part of data collected during our investigations: ten hours of recordings on specialized lexicons, questionnaires and stories.
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Description de l'Ikota (B25), langue bantu du Gabon. Implémentation de la morphosyntaxe et de la syntaxe / Ikota’s description (B25), bantu language of Gabon Morphosyntax and syntax implementation

Magnana Ekoukou, Brunelle 21 September 2015 (has links)
Cette thèse est une description formelle de la morphosyntaxe et de la syntaxe de l'ikota (Gabon, Bantu B25).Les données recueillies sur le terrain sont modélisées à l'aide de théories récentes (Paradigm FunctionMorphology (PFM), Tree Adjoining Grammar (TAG)). Je montre qu'une description formelle adéquate permetun passage rapide à une implémentation des règles grammaticales sous forme de contraintes. En effet, cesrègles ont permis la génération automatique des formes nominales et verbales fléchies de cette languebantu à morphologie riche ainsi que la réalisation d’une grammaire électronique des phrases de base.En morphologie, mes analyses reposent en particulier sur le concept de classes de position tel que définidans Stump (2001). Je montre qu'une analyse 'plate' (i.e. non arborescente) fournit une description élégantedes différentes classes nominales, de leurs accords sur les démonstratifs, possessifs, relateurs, adjectifs etverbes ainsi que de la flexion verbale riche (définie sur x positions). Les formes morphologiques généréessont alors réutilisées en syntaxe, les traits associés aux formes servent à contraindre la combinatoire desarbres syntaxiques. XMG2 (eXtensible MetaGrammar, Petitjean 2014) est l'outil qui permet à la fois lagénération des formes fléchies et la génération des arbres dans une grammaire TAG lexicalisée. / In this thesis, I propose a formal description of the morphosyntax and the syntax of Ikota (Bantu languageB25, spoken in Gabon). Field data are represented using recent linguistic theories (namely ParadigmFunction Morphology (PFM) and Tree Adjoining Grammar (TAG)). I show how a formal description makes itpossible to quickly implement grammar rules as constraints. These rules allowed for the automaticgeneration of nominal and verbal inflected forms belonging to this morphologically-rich Bantu language,along with the creation of an electronic grammar covering core sentences.Regarding morphology, my analyses rely on the concept of position classes as defined in Stump (2001). Ishow how a 'flat' analyse, that is to say differing from a tree-based representation, provides an elegantdescription of several nominal classes, including agreements with demonstratives, possessives, relators,adjectives or verbs, and of rich verbal inflection (defined on x positions). Inflected forms generated from thisdescription are then reused in syntax, their morphosyntactic features allow for a reduced combinatory atparsing (fewer syntactic trees are considered according to the sentence to parse). XMG 2 (eXtensibleMetaGrammar, Petitjean 2014) is the framework which has been used for describing and generating bothinflected forms and lexicalised TAG trees.
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Etude des marqueurs verbaux du Lètèyè [langue bantu parlée au Gabon (B71a)] / Study of verbal markers of Leteye bantu language spoken in Gabon

Tsoue, Pamela Carmelle 23 November 2017 (has links)
Cette thèse est une description des marqueurs verbaux de lètὲɣὲ (téké) langue bantu parlée au Gabon (B71a). Les marqueurs verbaux étudiés sont : le préfixe verbal (marque d’accord), le marqueur de négation kâ…ŋí, les particules énonciatives mâ et mí et la finale verbale. De nombreux linguistes bantouistes considèrent ce domaine d’étude (marqueurs verbaux) comme étant complexe, c’est le cas de Guarisma (2000). Le nombre de marqueurs verbaux en est une des raisons de cette complexité. Il est difficile d’assigner un rôle à certains morphèmes. Elle s’inscrit dans le cadre Théorique des Opérations Prédicatives et Enonciatives (TOPE), élaboré par Culioli et ses collaborateurs, voir Culioli (1990,1999a). L’étude de ces morphèmes montre que chacun marque une opération linguistique spécifique. / This thesis is a description of verbal markers in lètὲɣὲ (Téké), a Bantu language spoken in Gabon (B 71a). The verbal markers studied are: the verbal prefix (mark of agreement), the negation marker kâ ... ŋí, the enunciating particles mâ and mí and the verbal final. Many Bantuist linguists consider this field of study (verbal markers) to be complex, as is the case with Guarisma (2000). The number of verbal markers is one of the reasons for this complexity. This work is conducted within the framework of the Theory of the Predicative and Enunciative Operations developed by Culioli (1990) and his collaborators. The enunciative study of these elements shows that each of them marks a specific linguistic operation.
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La contribution des Français à l'étude du swahili : le cas de Charles Sacleux (1856-1943)

Mtavangu, Norbert 05 December 2013 (has links) (PDF)
Le swahili, avec presque 100 millions de locuteurs, est la langue bantu la plus dispersée, étudiée,diffusée et la plus importante. Cette langue officielle de la Tanzanie, du Kenya et de l'Ouganda est aussi une langue de fonctionnement de l'Union Africaine. Le swahili qui a absorbé un important lexique du monde arabe, fruit des interactions commerciales et sociales séculaires continue à adopter de plus en plus de termes anglais en conséquence de la colonisation et du développement en science et en technologie. Du fait que sa description fut dirigée et influencée par les Anglais et les Allemands, le rôle des Français fut négligé et écarté, laissant l'histoire du swahili incomplète.Pourtant, la contribution des Français à l'étude du swahili n'est pas négligeable, tout d'abord par l'œuvre des missionnaires de la Congrégation du Saint-Esprit et les Pères Blancs dès le XIXe siècle, puis depuis 1960 par les travaux menés en France par les enseignants/chercheurs de cette langue. La recherche effectuée à partir des archives ainsi que des interviews faites pour le compte de la présente étude montrent que le spiritain Charles SACLEUX joua un rôle considérable dans l'étude du swahili.Les documents rédigés par ce polyglotte et botaniste, dont le monumental dictionnaire swahili français(1939) révèlent des informations rares surtout en étymologie, lexicographie,dialectologie et ethnolinguistique ainsi qu'une perspective intégrale et descriptive contrairement à ses contemporains qui se servaient de la méthode prescriptive. Il est donc souhaitable que les dictionnaires de SACLEUX soient réétudiés et intégrés dans le swahili standard.
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La contribution des Français à l'étude du swahili : le cas de Charles Sacleux (1856-1943) / French scholars’ contributions to the study of the Swahili language : the case of Charles Sacleux (1856-1943)

Mtavangu, Norbert 05 December 2013 (has links)
Le swahili, avec presque 100 millions de locuteurs, est la langue bantu la plus dispersée, étudiée,diffusée et la plus importante. Cette langue officielle de la Tanzanie, du Kenya et de l’Ouganda est aussi une langue de fonctionnement de l’Union Africaine. Le swahili qui a absorbé un important lexique du monde arabe, fruit des interactions commerciales et sociales séculaires continue à adopter de plus en plus de termes anglais en conséquence de la colonisation et du développement en science et en technologie. Du fait que sa description fut dirigée et influencée par les Anglais et les Allemands, le rôle des Français fut négligé et écarté, laissant l’histoire du swahili incomplète.Pourtant, la contribution des Français à l’étude du swahili n’est pas négligeable, tout d’abord par l’œuvre des missionnaires de la Congrégation du Saint-Esprit et les Pères Blancs dès le XIXe siècle, puis depuis 1960 par les travaux menés en France par les enseignants/chercheurs de cette langue. La recherche effectuée à partir des archives ainsi que des interviews faites pour le compte de la présente étude montrent que le spiritain Charles SACLEUX joua un rôle considérable dans l’étude du swahili.Les documents rédigés par ce polyglotte et botaniste, dont le monumental dictionnaire swahili français(1939) révèlent des informations rares surtout en étymologie, lexicographie,dialectologie et ethnolinguistique ainsi qu’une perspective intégrale et descriptive contrairement à ses contemporains qui se servaient de la méthode prescriptive. Il est donc souhaitable que les dictionnaires de SACLEUX soient réétudiés et intégrés dans le swahili standard. / Following a research undertaken in archives, libraries as well as through interviews, the author describes the Swahili coast and the contact between Swahili and Europeans. While analyzing available early documents published by French researchers, he chronologically depicts endeavour and challenges of studying African languages during that era. Among them, Charles SACLEUX, a Spiritan priest performed an outstanding work especially in etymology, dialectology, lexicography and in ethno-linguistics. The study presents his biography together with his philosophical and methodological approaches. The findings show that in comparison with other researchers who, for the sake of standardizing the language, used a prescriptive approach, he opted for a descriptive. His publications present the language in its natural state. Together with Sacleux’ work, to complete the account, the thesis reserves one chapter for the current progress in teaching/learning as well as publishing on Swahili in France. The insights from the study suggest that it is important that some contents from Sacleux’ publications be revised and incorporated in contemporary Swahili literature.

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