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Efeito da exclusão experimental de vertebrados na decomposição de três tipos de plantas sob diferentes coberturas de solo no parque estadual da serra do mar - núcleo Santa Virgínia / Evaluation of the experimental exclusion of vertebrates on the decomposition of three species of plants under different land uses in the state park serra do mar- nucleus Santa VirgíniaGabriela Garcia Medeiros 11 July 2016 (has links)
A diversidade da Mata Atlântica está constantemente ameaçada devido à perda de habitats provocada pela destruição e alteração dos ambientes naturais. Este fato é muito preocupante, pois os remanescentes florestais da Mata Atlântica encontram-se, em sua maior parte, em pequenos fragmentos altamente perturbados, acarretando em perda de biodiversidade da fauna existente. Muitos estudos demonstraram que mamíferos e aves especialistas (e. g. insetívoros) são muito sensíveis à fragmentação ambiental, tendendo a desaparecer em áreas abertas. A perda destes animais pode alterar a densidade de artrópodes e as taxas de herbivoria, ocasionando um efeito cascata (top- down), que causará influência até na decomposição e ciclagem de nutrientes. Entretanto o estudo de como esse efeito top-down ocorre em diferentes coberturas de solo ainda não foi testado, desta forma, objetivou-se investigar como as taxas de decomposição são modificadas pela exclusão experimental de vertebrados em áreas com diferentes coberturas vegetais na mata Atlântica. Parcelas de exclusão de vertebrados e parcelas controle foram alocadas em áreas com coberturas vegetais de pastagem e floresta, para verificar como ocorre o efeito top-down na decomposição. Utilizaram-se três tipos de serapilheira diferentes, uma gramínea (Brachiaria decumbens), uma espécie pioneira (Tibouchina sellowiana) e uma mistura de folhas de diferentes espécies da floresta primária adjacente. A técnica dos litter bags foi utilizada para avaliar as diferentes taxas de decomposição e foram coletados em intervalos de 16, 36, 71, 181 e 247 dias. O resíduo vegetal foi limpo, seco e pesado para obtenção das massas remanescentes (%) e taxa de decomposição, após isso o material foi triturado e pesado em subamostras para analises de nutrientes e compostos orgânicos (nitrogênio, carbono, fósforo, lignina, celulose e polifenóis). A taxa de decomposição não diferiu entre os tratamentos controle e exclusão de vertebrados, desta forma, não foi possível observar o efeito top-down da exclusão de vertebrados neste estudo, provavelmente devido à elevada biodiversidade da fauna do solo na área onde o experimento foi realizado e sugere-se repeti-lo em uma área menor e mais desconectada, com a finalidade de simular como o efeito cascata ocorre em pequenos fragmentos da mata Atlântica. Além disso, a decomposição foi mais rápida nos litter bags localizados na floresta do que na pastagem e as folhas de gramínea tiveram maior perda de massa do que as folhas de floresta primária e T. sellowiana, possivelmente devido às interações entre nitrogênio, lignina e a relação C:N dos resíduos vegetais. / The diversity of Atlantic forest is constantly threatened due to habitat loss caused by the destruction and alteration of natural environments, and most of the biome is now in small and fragmented areas. This fact is of a great concern, because the remaining areas in Atlantic forest are in small highly disturbed fragments, resulting in loss of biodiversity of the existing fauna, like mammals and birds. Many studies have shown that specialist mammals and birds (e.g. insectivores) are very sensitive to environment fragmentation and tend to disappear in open areas. The loss of these animals is likely to cause an increase in the density of arthropods and rates of herbivory, causing a top-down effect that may even influence the cycling of nutrients. We aimed to investigate how decomposition rates are modified by the experimental exclusion of vertebrates in an area with different land coverage in the Atlantic forest. Vertebrate exclusion plots and control plots were allocated in areas with different land coverage (pasture and forest) to evaluate the top-down effects in decomposition. We used three different kinds of leaves, being one grass (Brachiaria decumbens), one very common primary specie of the area (Tibouchina sellowiana) and a mix of primary forest leaves. Litterbags were used to evaluate the decomposition rate and it was collected during intervals of 16, 36, 71, 181 and 247 days. The vegetal residue was cleaned, dried and weighted to obtain the remaining mass (%) and decomposition rate, after that, the material was milled and weighted in subsamples for analyses of nutritional quality (N, C, P, lignin, cellulose and polyphenols). The decomposition rate was not different for the control and vertebrate exclusion plots, as a result, it was not possible to show the top-down effect in decomposition, possibly because of the high soil biodiversity in the area where the experiment was done. It would be very important to remake this experiment in a smaller and more disconnected area, in order to show how this cascade effect occur in Atlantic forest´s smaller fragments. Furthermore, the decomposition was faster at the forest plots than at the pastureland plots and the grass leaf litter presented the higher decomposition rate than the primary forest leaves and T. sellowiana and it was possibly caused by the interaction between nitrogen, lignin and C:N ratio.
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Macroinvertébrés benthiques et hyphomycètes aquatiques : diversité et implication dans le fonctionnement écosystémique des cours d'eau de Guinée / Benthic macroinvertebrates and aquatic hyphomycetes : diversity and implication in Guinean stream ecosystem functionningTenkiano, Nathalie Sia Doumbou 23 May 2017 (has links)
Macroinvertébrés benthiques et hyphomycètes aquatiques représentent une part importante de la biocénose des cours d'eau de tête de bassin. D'un point de vue écologique, ils participent au recyclage du carbone organique à travers leur implication dans certaines fonctions écosystémiques telles que la décomposition de la litière. Ce processus est vital pour les cours d'eau forestiers ou bordés de ripisylve. Si celui-ci est aujourd'hui bien étudié en milieu tempéré, la contribution des deux types de décomposeurs (champignons et invertébrés) reste mal comprise en milieu tropical du fait de la variabilité éco-géographique prononcée de ce biome. Cette thèse qui concernait deux régions de Guinée jusque-là inexplorées, la Guinée Forestière et la Haute-Guinée, avait un double objectif. D'une part, il s'agissait de documenter la diversité taxonomique et trophique des communautés de macroinvertébrés benthiques et la composition des assemblages d'hyphomycètes aquatiques. D'autre part, la thèse visait à caractériser le processus de décomposition de la litière et les communautés de décomposeurs associés, notamment dans une perspective de quantification de la contribution de chacun des deux groupes. Cette dernière étude répondait ainsi à l'hypothèse d'une plus grande importance des décomposeurs fongiques aux faibles latitudes en comparaison des latitudes élevées où l'activité des décomposeurs invertébrés est prépondérante. Une étude exploratoire menée sur 12 rivières a révélé une diversité de 45 taxons correspondant à la faune macrobenthique de l'Afrique de l'Ouest, et incluant un nouveau taxon de crustacé pour la Guinée. Les deux régions d'étude se différenciaient dans la composition des groupes trophiques : les déchiqueteurs, essentiellement représentés par les crevettes, étaient dominants dans les cours d'eau de Guinée Forestière, et les racleurs abondaient dans ceux de savane en Haute-Guinée, caractérisés par une faible densité de la végétation riveraine. Par ailleurs, les prélèvements d'eau et d'écume ont décelé la présence de 29 espèces d'hyphomycètes aquatiques. A ces espèces viennent s'ajouter 9 autres identifiées sur les litières lors des expériences de décomposition portant ainsi à 38 le nombre d'espèces identifiées pour la Guinée au cours de cette thèse, dont 12 sont nouvelles pour le continent africain. Les expériences menées dans les deux régions montrent une décomposition rapide, probablement en partie liée à la forte teneur en nutriments des litières, et une faible diversité des décomposeurs associés. Dans les deux cours d'eau temporaires de savane étudiés, les invertébrés associés aux litières étaient absents. Comme une compensation, l'activité des champignons était accrue, lesquels accumulaient une biomasse mycélienne très élevée. La présence de déchiqueteurs potentiels a été notée dans les deux cours d'eau étudiés de Guinée Forestière mais leurs densités étaient faibles. Dans les deux régions, la différence entre les taux de décomposition totale et microbienne était faible, soulignant une importance minime des invertébrés et un rôle majeur des champignons et confirmant notre hypothèse. Il a également été montré au cours de cette thèse que les asséchements des cours d'eau avaient peu d'influence sur le taux de décomposition de la litière. Par ailleurs, une faible diversité des organismes décomposeurs, invertébrés et hyphomycètes aquatiques, ne semble pas altérer le processus de décomposition. Ainsi les lois générales basées sur les facteurs déterminants de la décomposition des litières tels que la qualité du matériel végétal ou un rôle équilibré entre les deux types de décomposeur, ne sont pas nécessairement transposables aux milieux tropicaux. Enfin, les résultats de cette thèse suggèrent que les conséquences du changement climatique sur le recyclage du carbone organique dans les eaux d'Afrique de l'Ouest, région prédite comme très affectée, pourraient être tempérées par la prédominance d'organismes peu vulnérables. / Benthic macroinvertebrates and aquatic hyphomycetes are major components of the biocenosis of headwater ecosystems. Both of them contribute to essential ecosystem functions like leaf litter decomposition as part of the organic carbon cycling. Such a process is vital for woodland streams or riparian tree-lined rivers. While this process is very well documented for temperate regions, the contribution of both types of decomposers, i.e. fungi and invertebrates, remains poorly understood in the tropics partly due to the large ecogeographic variability prevailing in this biome. The present thesis dealt with two unexplored regions of Guinea (Forested Guinea and Upper Guinea) and was motivated by a double objective. First, it aimed at documenting the taxonomic and trophic diversity of benthic macroinvertebrate communities together with the composition of aquatic hyphomycete assemblages. The second objective was to characterize leaf litter decomposition and leaf-associated decomposers, particularly in the perspective of quantifying the relative contribution of both decomposer types. The latter study specifically addressed the hypothesis of a greater importance of fungal decomposers at low latitudes compared to higher latitudes where the activity of invertebrate decomposers prevails. An exploratory survey conducted in 12 streams revealed the occurrence of 45 taxa belonging to the macrobenthic fauna of West Africa and including a new genus, Asellus, which completes the list of known crustacean taxa of Guinea. Both regions differed in the importance of the Functional Feeding Groups: shredders, mainly consisting in shrimps, dominated in Forested Guinea whereas scrapers were abundant in the savannah streams of Upper Guinea, which were characterized by scarce riparian vegetation. In stream water and foam, a total of 29 species of aquatic hyphomycetes were identified. Moreover, 9 additional species were found as sporulating on leaves in litter decomposition experiments, which led to a total of 38 species for Guinea with 12 being new for Africa. This thesis thus substantially expanded the list of known species for Africa. The experiments carried out in both regions showed a fast leaf litter decomposition, likely partly due to the high nutrient contents in litter, and a low diversity of leaf-associated decomposers. In the two studied temporary savannah streams, no leaf-associated invertebrates occurred. The latter was apparently compensated by a strong fungal activity as illustrated by very high mycelial biomass accrual. In the two studied streams of Forested Guinea, the occurrence of Caridina africana (Atyidae crustacean) as potential shredder could explain the leaf mass loss due to invertebrates, even though their density remained low. In both regions, the discrepancies between total and microbial decomposition rates were weak, highlighting a minute contribution of invertebrates and a major role of fungi thus supporting our hypothesis. The present results suggest that droughts resulted in low effects on the rate of leaf decomposition. Furthermore, leaf decomposition did not seem to be affected by the poor diversity of decomposers, i.e. invertebrates and aquatic hyphomycetes. Overall, the principles of leaf decomposition control by factors like the quality of leaf litter and the balanced involvement of both decomposer types do not appear to be fully applicable to tropical environments. Finally, the findings of this thesis suggest that the consequences of climatic change on the cycling of organic carbon in the aquatic ecosystems of West Africa, i.e. a region predicted to be particularly affected, could be mitigated by the dominance of organisms exhibiting a low vulnerability.
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A influência da espécie exótica invasora Artocarpus heterophyllus (jaqueira) sobre a comunidade de anuros de serrapilheira em uma área de Mata Atlântica no Sudeste do Brasil / The influence of invasive alien species Artocarpus heterophyllus (Jackfruit) of litter frogs in an area of the Atlantic Rain Forest of southeastern BrazilMarlon Almeida dos Santos 21 February 2013 (has links)
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / O processo de introdução de espécies é reconhecido como a segunda causa mais importante de erosão da diversidade biológica em muitos ambientes no Brasil e no mundo. As espécies invasoras possuem não apenas o poder de sobrevivência e adaptação em outros ambientes, mas a capacidade de dominar a diversidade biológica nativa através da alteração das características básicas dos processos ecológicos naturais e das interações. A jaqueira, Artocarpus heterophyllus Lamarck (Moraceae), tem sua origem nas florestas tropicais da Índia, tendo sido introduzida no Brasil ainda no período Colonial e atualmente é invasora em áreas de Mata Atlântica. Este estudo fornece os primeiros dados sobre a influência da espécie exótica invasora Artocarpus heterophyllus sobre comunidades de anuros de folhiço. As amostragens foram realizadas em uma área de Mata Atlântica, no litoral sudoeste do estado do Rio de Janeiro, incluindo informações sobre riqueza de espécies, densidades específicas e parâmetros ambientais. Nosso estudo foi realizado no Parque Estadual da Ilha Grande entre janeiro de 2009 e março de 2011. Para amostrar a comunidade de anuros de folhiço usamos 154 parcelas de 5 x 5 m, sendo 77 delas em áreas com jaqueiras e 77 em áreas sem jaqueiras, totalizando 3.850 m de chão de floresta amostrados. Nós amostramos um total de 613 anuros habitando o chão da floresta, pertencentes a dez espécies: Brachycephalus didactylus; Chiasmocleis sp.; Haddadus binotatus; Ischnocnema guentheri; Ischnocnema octavioi; Ischnocnema parva; Leptodactylus marmoratus; Physalaemus signifer; Rhinnela ornata e Zachaenus parvulus. Seis das dez espécies foram comuns às áreas com e sem jaqueiras, sendo a similaridade entre as duas áreas de 60%. As áreas com jaqueiras tiveram o dobro (N = 18) de parcelas sem nenhum anfíbio. O número de anfíbios registrados nas parcelas com jaqueiras (38%) foi menor do que o encontrado nas áreas sem jaqueiras (62%). O anfíbio predominante no folhiço em ambas às condições foi Ischnocnema parva, tendo abundancia maior nas parcelas sem jaqueiras. A densidade total de anuros vivendo no chão da floresta nas áreas com jaqueiras (12,2 ind/100 m) foi menor que nas áreas sem jaqueiras (19,7 ind/100 m). Entre os parâmetros ambientais analisados os que possuíram maior influência sobre a abundância de anfíbios foram a profundidade do folhiço e o pH do solo. Os dados sugerem que a jaqueira, além de ocupar o habitat de espécies nativas, é capaz de promover alterações na estrutura desses habitats que irão intervir na fauna do local. / The process of species introduction is recognized as the second most important cause of biological diversity erosion in many environments in Brazil and worldwide. Invasive species have not only the power to survive and adapt in other environments, but also the ability to master the native biodiversity by altering the basic characteristics of natural ecological processes and interactions. The jackfruit tree, Artocarpus heterophyllus Lamarck (Moraceae), has its origin in the tropical forests of India, being introduced in Brazil during the Colonial period and is currently invading the Atlantic Forest. In this study we provide the first data about the influence of the invasive alien species Artocarpus heterophyllus on anuran communities. Samples were taken in an area of Atlantic Forest, on the Southwest coast of the State of Rio de Janeiro, and included information on species richness, density and environmental parameters. Our study was conducted at the Ilha Grande State Park, between January 2009 and March 2011. To sample the community of litter anurans we constructed 154 plots of 5 x 5 m, being 77 of them in areas with jackfruit and 77 in areas with no jackfruit, totaling 3.850m of forest floor sampled. We collected a total of 613 frogs inhabiting the forest floor, being distributed within ten species: Brachycephalus didactylus; Chiasmocleis sp.; Haddadus binotatus; Ischnocnema guentheri; Ischnocnema otavioi; Ischnocnema parva; Leptodactylus marmoratus; Physalaemus signifer; Rhinnela ornata and Zachaenus parvulus. Six of this species were common to areas with and without jackfruit, and the similarity between the two areas was 60%. Areas with jackfruit had the double (N = 18) of plots with no amphibian. The number of amphibians recorded in plots with jackfruit (38%) was lower than the number found in areas without jackfruit (62%). The predominant amphibian species in both conditions was Ischnocnema parva, which had greater abundance in plots without jackfruit. The total density of frogs living on the forest floor in areas with jackfruit (12.2 ind/100 m) was lower than in areas without jackfruit (19.7 ind/100 m). Among the environmental parameters analyzed those with greater influence on the abundance of amphibians were the depth of leaf litter and soil pH. The data suggested that the addition of jackfruit, besides occupying the habitat of native species, is able to promote changes in the structure of these habitats that may intervene in the local fauna.
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A influência da espécie exótica invasora Artocarpus heterophyllus (jaqueira) sobre a comunidade de anuros de serrapilheira em uma área de Mata Atlântica no Sudeste do Brasil / The influence of invasive alien species Artocarpus heterophyllus (Jackfruit) of litter frogs in an area of the Atlantic Rain Forest of southeastern BrazilMarlon Almeida dos Santos 21 February 2013 (has links)
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / O processo de introdução de espécies é reconhecido como a segunda causa mais importante de erosão da diversidade biológica em muitos ambientes no Brasil e no mundo. As espécies invasoras possuem não apenas o poder de sobrevivência e adaptação em outros ambientes, mas a capacidade de dominar a diversidade biológica nativa através da alteração das características básicas dos processos ecológicos naturais e das interações. A jaqueira, Artocarpus heterophyllus Lamarck (Moraceae), tem sua origem nas florestas tropicais da Índia, tendo sido introduzida no Brasil ainda no período Colonial e atualmente é invasora em áreas de Mata Atlântica. Este estudo fornece os primeiros dados sobre a influência da espécie exótica invasora Artocarpus heterophyllus sobre comunidades de anuros de folhiço. As amostragens foram realizadas em uma área de Mata Atlântica, no litoral sudoeste do estado do Rio de Janeiro, incluindo informações sobre riqueza de espécies, densidades específicas e parâmetros ambientais. Nosso estudo foi realizado no Parque Estadual da Ilha Grande entre janeiro de 2009 e março de 2011. Para amostrar a comunidade de anuros de folhiço usamos 154 parcelas de 5 x 5 m, sendo 77 delas em áreas com jaqueiras e 77 em áreas sem jaqueiras, totalizando 3.850 m de chão de floresta amostrados. Nós amostramos um total de 613 anuros habitando o chão da floresta, pertencentes a dez espécies: Brachycephalus didactylus; Chiasmocleis sp.; Haddadus binotatus; Ischnocnema guentheri; Ischnocnema octavioi; Ischnocnema parva; Leptodactylus marmoratus; Physalaemus signifer; Rhinnela ornata e Zachaenus parvulus. Seis das dez espécies foram comuns às áreas com e sem jaqueiras, sendo a similaridade entre as duas áreas de 60%. As áreas com jaqueiras tiveram o dobro (N = 18) de parcelas sem nenhum anfíbio. O número de anfíbios registrados nas parcelas com jaqueiras (38%) foi menor do que o encontrado nas áreas sem jaqueiras (62%). O anfíbio predominante no folhiço em ambas às condições foi Ischnocnema parva, tendo abundancia maior nas parcelas sem jaqueiras. A densidade total de anuros vivendo no chão da floresta nas áreas com jaqueiras (12,2 ind/100 m) foi menor que nas áreas sem jaqueiras (19,7 ind/100 m). Entre os parâmetros ambientais analisados os que possuíram maior influência sobre a abundância de anfíbios foram a profundidade do folhiço e o pH do solo. Os dados sugerem que a jaqueira, além de ocupar o habitat de espécies nativas, é capaz de promover alterações na estrutura desses habitats que irão intervir na fauna do local. / The process of species introduction is recognized as the second most important cause of biological diversity erosion in many environments in Brazil and worldwide. Invasive species have not only the power to survive and adapt in other environments, but also the ability to master the native biodiversity by altering the basic characteristics of natural ecological processes and interactions. The jackfruit tree, Artocarpus heterophyllus Lamarck (Moraceae), has its origin in the tropical forests of India, being introduced in Brazil during the Colonial period and is currently invading the Atlantic Forest. In this study we provide the first data about the influence of the invasive alien species Artocarpus heterophyllus on anuran communities. Samples were taken in an area of Atlantic Forest, on the Southwest coast of the State of Rio de Janeiro, and included information on species richness, density and environmental parameters. Our study was conducted at the Ilha Grande State Park, between January 2009 and March 2011. To sample the community of litter anurans we constructed 154 plots of 5 x 5 m, being 77 of them in areas with jackfruit and 77 in areas with no jackfruit, totaling 3.850m of forest floor sampled. We collected a total of 613 frogs inhabiting the forest floor, being distributed within ten species: Brachycephalus didactylus; Chiasmocleis sp.; Haddadus binotatus; Ischnocnema guentheri; Ischnocnema otavioi; Ischnocnema parva; Leptodactylus marmoratus; Physalaemus signifer; Rhinnela ornata and Zachaenus parvulus. Six of this species were common to areas with and without jackfruit, and the similarity between the two areas was 60%. Areas with jackfruit had the double (N = 18) of plots with no amphibian. The number of amphibians recorded in plots with jackfruit (38%) was lower than the number found in areas without jackfruit (62%). The predominant amphibian species in both conditions was Ischnocnema parva, which had greater abundance in plots without jackfruit. The total density of frogs living on the forest floor in areas with jackfruit (12.2 ind/100 m) was lower than in areas without jackfruit (19.7 ind/100 m). Among the environmental parameters analyzed those with greater influence on the abundance of amphibians were the depth of leaf litter and soil pH. The data suggested that the addition of jackfruit, besides occupying the habitat of native species, is able to promote changes in the structure of these habitats that may intervene in the local fauna.
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Ecologia trÃfica de Rhinella hoogmoedi Caramaschi e Pombal, 2006 (Anura, Bufonidae) em uma floresta Ãmida do estado do CearÃ, Brasil / Trophic ecology of Rhinella hoogmoedi Caramaschi e Pombal, 2006 (Anura, Bufonidae) in a humid forest in the State of CearÃ, Brazil.Lucas Bezerra de Mattos Brito 09 May 2011 (has links)
FundaÃÃo de Amparo à Pesquisa do Estado do Cearà / O conhecimento sobre relaÃÃes trÃficas à essencial para a compreensÃo da ecologia evolutiva de espÃcies, assim como no entendimento de como as comunidades se estruturam. O uso de um mesmo alimento por duas ou mais espÃcies pode levar ao surgimento de mecanismos capazes de amenizar a competiÃÃo inter-especÃfica, como a diversificaÃÃo dos itens consumidos. Dentro de populaÃÃes, a competiÃÃo elevada pode resultar em variaÃÃes inter-individuais quanto ao consumo dos recursos trÃficos disponÃveis. Estudos sobre a ecologia trÃfica de anuros tÃm analisado: i) Itens alimentares que constam na dieta; ii) VariaÃÃo sazonal na dieta e estratÃgia alimentares; iii) VariaÃÃes ontogenÃticas na dieta; e iv) VariaÃÃes inter-individuais na dieta. No presente estudo, indivÃduos de uma populaÃÃo de Rhinella hoogmoedi em Guaramiranga (remanescente de floresta Ãmida no nordeste brasileiro), foram coletados mensalmente de julho de 2009 atà junho de 2010 para investigar os recursos trÃficos consumidos pela espÃcie, utilizando o mÃtodo de lavagem estomacal (âstomach-flushâ). Foi caracterizada a dieta e sua variaÃÃo em funÃÃo do tamanho, da sazonalidade e entre indivÃduos. Dentre os 130 indivÃduos analisados foi encontrado um total de 2078 itens alocados em 16 categorias de presa. Tamanho (comprimento e volume) das presas estive relacionado com tamanho (comprimento) do predador. Formicidae, Acari, Coleoptera e Isoptera foram os principais itens consumidos. Houve variaÃÃo ontogenÃtica nos padrÃes de alimentaÃÃo, com indivÃduos menores que 15 mm consumindo uma maior proporÃÃo de Acari e aqueles maiores que 15 mm consumindo uma maior proporÃÃo de Formicidae. Houve uma pequena variaÃÃo na dieta de R. hoogmoedi entre as estaÃÃes seca e chuvosa. Foi observada uma baixa tendÃncia de R. hoogmoedi em apresentar especializaÃÃo intra-especÃfica. à provÃvel que a especializaÃÃo em determinados itens alimentares (Formicidae e Acari) por parte da espÃcie, limite, por meio de mecanismos de trade-off, o espectro de possÃveis presas consumÃveis, reduzindo as possibilidades de variaÃÃes inter-individuais mais representativas. SÃo necessÃrios estudos que avaliem como o grau de especializaÃÃo intra-especÃfica varia em funÃÃo dos hÃbitos alimentares das demais espÃcies de anuros presentes na comunidade, contribuindo para o entendimento de como relaÃÃes alimentares podem atuar na ecologia evolutiva deste tÃxon. AlÃm disso, à recomendÃvel que estudos futuros busquem quantificar a disponibilidade de presas no ambiente, contribuindo para um melhor entendimento do fluxo de matÃria entre nÃveis trÃficos. O intenso desmatamento observado nas florestas Ãmidas de altitude do semi-Ãrido nordestino, atrelado aos constantes relatos de declÃnio em populaÃÃes de anuros e a escassez de dados sobre o elevado nÃmero de espÃcies evidenciam a urgÃncia de pesquisas desta natureza. / The understanding of trophic relations among species is essential for the comprehension of their ecological evolutionary history, as well as in the understanding of how communities are structured. The consumption of the same food resource by two or more species may result in the evolution of mechanisms capable of reducing this inter- specific competition, with the diversification of the items consumed. In populations, high levels of competition may result in inter-individual variations related to the consumption of available resources. Studies on anuran trophic ecology have analyzed: i) food items present in the diet; ii) seasonal variation in diet and feeding strategies; iii) ontogenetic variation in diet; and iv) inter-individual variation in diet. In the present study, individuals from a population of Rhinella hoogmoedi Caramaschi e Pombal, 2006 from Guaramiranga (reminiscent of humid forest in northeastern Brazil) were collected monthly from July 2009 to June 2010 in order to investigate the trophic resources consumed by the species, using the stomach-flush method. Food items were identified and their variation according to size, season and between individuals verified. A total of 2078 items in 16 prey categories were found among the 130 analyzed individuals. Prey size (length and volume) were related to predator size (snout-vent lenght). Formicidae, Acari, Coleoptera and Isoptera were the most consumed items. Ontogenetic variation in diet was observed, with individuals smaller than 15 mm consuming mainly Acari and those above 15 mm consuming mainly Formicidae. Diet varied slightly seasonally, and a low tendency in individual specialization was observed. It is possible that the specialization in certain food items (Formicidae and Acari) might limit, through mechanisms of trade-off, the amount of available prey, reducing the occurrence of individual specialization. Studies that evaluate how the degree of intra-specific variation changes according to feeding habits among other anurans in the community may contribute to the understanding of how trophic relations might act in the evolution of these taxa. Besides this, it is recommended that future studies try to quantify the amount of prey available in the environment, contributing to the understanding of energy flux between trophic levels. Intense forest removal observed in the humid forests of Brazilianâs northern semi-arid, associated with the constant reports on anuran declining and the lack of data on many species, points to the urgency for this type of study.
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DIVERSIDADE DE FORMIGAS (HYMENOPTERA: FORMICIDAE) DE FRAGMENTOS FLORESTAIS EM SANTA MARIA, RIO GRANDE DO SUL, BRASIL / DIVERSITY OF ANTS (HYMENOPTERA: FORMICIDAE) OF FOREST FRAGMENTS IN SANTA MARIA, RIO GRANDE DO SUL STATE, BRAZILRibeiro, Taíse Colpo 14 March 2011 (has links)
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / Ants belong to a hyperdiverse social insect group with many species used as ecological indicators of
their habitat conditions. This study aims to analyze richness, species composition, diversity, evenness,
and environmental variables associated to leaf-litter ant fauna of eight forest fragments in the
municipality of Santa Maria, Central Depression region of Rio Grande do Sul State, Brazil. The
sampling followed standard protocol through a 200-m transect placement by fragment. In order to
proceed statistical analyses, the fragments were grouped in two categories, according to their
conservation status, preserved or on regeneration. Eighty ant species belonging to 24 genera and nine
subfamilies were registered. Myrmicinae, Formicinae and Ponerinae, and Camponotus, Hypoponera
and Pheidole were respectively the richest subfamilies and genera and Solenopsis sp. 1 and
Gnamptogenys striatula were the most frequent species. Shannon-Wiener and Margalef diversity
indexes had the same ordination among fragments, highest at FRJB 01, and lower at FRCE 05. The
dominance indexes had the same ordination among higher values but differed among lower ones.
FRJB 01 for Simpson and FPMC 06 for Berger-Parker. The fragments separation on two distinct
groups was showed by NMDS and confirmed by similarity analyses. The dissimilarity percentage
analysis showed that Gnamptogenys striatula and Wasmannia sp. 3 had the highest contribution for
conservation status differentiation. The preserved fragments had more similarity among each other
than the regeneration ones, highlighting Gnamptogenys striatula and Solenopsis sp. 1 at the first
group, and Solenopsis sp. 1 and Hypoponera sp. 4 at the other. Only edge effect showed relationship
with species richness among all environmental variables measured. Based on results, the studied ant
fauna communities showed noticeably richness and composition partially related to their habitat traits.
Although, other factors as adjacent vegetational areas isolation, regeneration time and history and
intensity of disturbances could be interfering on these communities structure and their associated
biodiversity. / Formigas pertencem a um grupo de insetos sociais hiper-diversos que possuem espécies usadas como
indicadores ecológicos das condições dos habitats em que ocorrem. O presente estudo visa analisar
riqueza, composição de espécies, diversidade, similaridade e variáveis ambientais associadas à
mirmecofauna de serapilheira de oito fragmentos florestais no município de Santa Maria, localizado na
região da Depressão Central do Rio Grande do Sul, Brasil. As amostragens seguiram um protocolo
padronizado, através do estabelecimento de um transecto de 200 m em cada fragmento. Para fins de
análise estatística, os fragmentos foram agrupados em duas categorias, de acordo com seu estado de
conservação, preservados ou em regeneração. Foi registrado um total de 80 espécies de formigas,
pertencentes a 24 gêneros e nove subfamílias. Myrmicinae, Formicinae e Ponerinae foram as
subfamílias mais ricas e Camponotus, Hypoponera e Pheidole, os gêneros com o maior número de
espécies. As espécies mais freqüentes foram Solenopsis sp. 1 e Gnamptogenys striatula. Os índices de
diversidade de Shannon-Wiener e Margalef tiveram a mesma ordenação entre os fragmentos, sendo
maiores em FRJB 01, e menores para FRCE 05. Os índices de dominância apresentaram a mesma
ordenação em relação aos valores maiores, mas diferiram em relação aos mínimos, com FRJB 01
menor para Simpson e FPMC 06 para Berger-Parker. O NMDS evidenciou a separação dos
fragmentos nos dois grupos distintos, confirmado pela análise de similaridade. A análise de
porcentagem de dissimilaridade mostrou que Gnamptogenys striatula e Wasmannia sp. 3 tiveram
maior contribuição para a diferenciação dos estados de conservação. Os fragmentos preservados
apresentaram maior similaridade entre si do que os em regeneração, destacando-se Gnamptogenys
striatula e Solenopsis sp. 1 nos primeiros, e Solenopsis sp. 1 e Hypoponera sp. 4 nos outros. De todas
variáveis ambientais mensuradas, apenas tamanho da borda apresentou relação com a riqueza de
espécies. Baseado nos resultados encontrados, as comunidades de mirmecofauna estudadas
apresentaram riqueza e composição expressivas parcialmente relacionadas com as condições de seus
habitats. No entanto, outros fatores como isolamento de áreas de vegetação contíguas, tempo de
regeneração e histórico e intensidade das perturbações sofridas podem estar interferindo na
estruturação dessas comunidades e sua biodiversidade associada.
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The effects of Amur honeysuckle (Lonicera maackii) and white-tailed deer (Odocoileus virginianus) on spider communities in a deciduous forestCunningham, Connor James 22 November 2021 (has links)
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Soil litter and soil-dwelling invertebrate response to experimental removal of white-tailed deer (<i>Odocoileus virginianus</i>) and Amur honeysuckle (<i>Lonicera maackii</i>)Mahon, Michael B. 17 July 2019 (has links)
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Forest Responses to Emerald Ash Borer-Induced Ash MortalityKlooster, Wendy S. 08 August 2012 (has links)
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Vliv diversity mikrobiálního společenstva na dekomposici organické hmoty / Influence of microbial community diversity on the decomposition of organic matterVicena, Jakub January 2016 (has links)
Microbial diversity plays an important role in the decomposition of soil organic matter. However, the drivers of this dependence still remain unclear. The work is based on long-term monitoring of soils of different successional stages of different diversity. Soil sampling was conducted on two dumps after brown coal mining in the Sokolov. Soils were X ray sterilized and inoculated by inoculum from both soils in two inoculation density which create gradient of microbial diversity. Then microbial respiration was measured in either supplied or not supplied by litter of Calamagrostis epigejos. Results showed a strong positive correlation between the microbial diversity and decomposition of organic matter if the microbial community is limited by available carbon. If there isn't carbon limit available, the decomposition rate is controlled by the amount of microbial biomass. Results demonstrated positive correlation between the rate of decomposition and the amount of fungal biomass. The soils with the addition of leaf litter showed priming effect in the initial stage of decomposition. In the control samples without addition of litter priming effect wasn't observed. Increasing humidity led to increase of decomposition rate. We can conclude with a clear conscience that similarly conclusive results associated...
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