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La conception sartrienne de la liberté absolue au sein de L'être et le néant

Thibodeau, Carolane 06 March 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 28 février 2024) / La liberté absolue de la conscience que Sartre défend dans *L'être et le néant* semble être une théorie dépassée, son invalidité ayant été établie selon la phénoménologie postérieure à l'œuvre de Sartre. Pourtant, les critiques de la conception sartrienne ne font généralement pas preuve d'une bonne compréhension de la liberté absolue. Contrairement à ce qu'en disent les critiques, la liberté absolue n'est pas celle d'une conscience capricieuse pouvant modeler le monde et soi-même selon ses volontés et à partir de rien. Or, que veut dire Sartre par « liberté absolue »? C'est à cette question que ce mémoire entend répondre dans une tentative d'offrir une compréhension plus juste de la liberté absolue. La liberté absolue est une liberté de choix compris en termes de possibilités. Par suite, ce choix est absolu, car il est effectué dans une autonomie radicale. Cette radicalité d'autonomie de choix ne signifie pas que le sujet est conçu en dehors de sa situation dans le monde. De ce fait, l'objectif est de concevoir la façon dont la liberté absolue se maintient à travers deux dimensions principales : la dimension subjective (les raisons d'agir, le passé et l'aspect psychologique) et la dimension sociale (l'intersubjectivité et les faits sociaux). Ces deux dimensions seront l'occasion de répondre à des objections, principalement celles que Merleau-Ponty adresse à Sartre et que les critiques postérieures de la phénoménologie critique reprennent, concernant les divers rapports du sujet dans le monde avec des êtres et des sens qu'il n'a pas lui-même constitués et une situation avec laquelle il doit composer et que Sartre ne semble pas avoir, selon eux, considérée au sein de sa conception. Les éléments précédents permettront de dénoncer les interprétations naïves de la liberté absolue qui ne distingue pas la liberté radicale de la liberté totale et de contester la motivation de Merleau-Ponty, conception reprise par la phénoménologie critique, en lui opposant une motivation en intériorité qui conserve la liberté absolue et évite le déterminisme dans lequel la conception merleau-pontienne menace de sombrer. La pertinence d'un tel projet réside dans le fait qu'il implique toute une éthique de la responsabilité individuelle.
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Le problème du volontaire chez Aristote

Mendoza Bustos, Sergio Antonio 06 May 2021 (has links)
Depuis une trentaine d'années, surtout en Angleterre et aux États-Unis, on assiste à des tentatives de réévaluer la pertinence des travaux éthiques d'Aristote dans le cadre de la recherche actuelle en éthique. Figure au premier plan le problème du volontaire et de l'involontaire: non seulement croit-on généralement que le Stagirite ait mal défini ces concepts, mais on va jusqu'à affirmer qu'il n'avait même pas une conception de ce qu'on nommerait plus tard le "libre arbitre", c'est à dire, la liberté de choix. Nous examinerons dialectiquement la position d'Aristote à partir de ces critiques récentes et les plus grands commentateurs du passé, afin de chercher réponse à la question: Trouve-t-on ou non chez Aristote une doctrine du libre arbitre? De cette façon, nous serons en mesure de répondre sous un éclairage nouveau à la question posée, et de montrer la pertinence de la démarche d'Aristote.
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La liberté sartrienne, un bien ou un mal pour l'homme?

Audet, Pierre 13 April 2021 (has links)
Pour en arriver à u ne idée adéquate du concept philosophique de liberté, nous procédons à un retour sur l’œuvre de Jean-Paul Sartre, particulièrement L’être et le néant Nous observons quelle conception celui-ci se fait de l’homme libre et quelles difficultés, pour peu qu’on y réfléchisse, laisse cette doctrine justem ent par rapport à la question de la liberté. Pour mener à terme notre projet, nous utilisons la méthode « socrato-aristotélicienne ». Nous aboutissons finalement à ce résultat que la vision sartrienne absolutiste de la liberté doit être disqualifiée au profit d’une conception plus humaine. Cette nouvelle formulation de la liberté, a dû, à son tour, être éprouvée, selon la même méthode, afin d’en découvrir la portée et d’en examiner le bien fondé. Certes, la vision sartrienne de la liberté de L’être et le néant, doit être remise en question. Une définition pleinement satisfaisante de la liberté demanderait à pousser encore plus loin nos recherches sur le sujet. Ce sera l’objet d’une autre recherche, de niveau doctoral, celle-là.
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Les fondements théologiques de la liberté de l'Église dans les sociétés pluralistes et sécularisées : une proposition de développement de l'ecclésiologie catholique

Lapierre, Jean-François 03 August 2021 (has links)
Thèse en cotutelle entre l'Université Laval Québec, Canada et Facoltà teologica dell'Italia settentrionale Milano, Italie. / Dignitatis humanae (1965), la déclaration du concile Vatican II sur la liberté religieuse, stipule que « [l]a liberté de l'Église est un principe fondamental dans les relations de l'Église avec les pouvoirs publics et tout l'ordre civil. » (DH 13 § 1) Or, la marginalisation de l'Église dans les sociétés pluralistes et sécularisées révèle les limites de l'approche juridique adoptée par les Pères dans ce document. Aujourd'hui, la difficulté d'imaginer la place et le rôle de l'Église dans des contextes sociopolitiques et culturels profondément différents de celui des années 1960, pose un important problème à l'ecclésiologie catholique. Pour discerner les contours de ce problème et pour y répondre de manière fructueuse, nous parcourons, dans la première partie de cette thèse, l'histoire bimillénaire du christianisme afin de comprendre comment la liberté de l'Église a été vécue et théorisée dans divers contextes. Dans la deuxième partie, nous analysons avec précision le texte et le contexte de Dignitatis humanae, pour comprendre les raisons et la signification du changement de perspective voulu par les Pères en ce qui concerne les responsabilités du pouvoir civil en matière religieuse. Enfin, dans la troisième et dernière partie, nous analysons les défis que rencontre actuellement cet enseignement conciliaire. Au terme de ce parcours, nous en arrivons à la conclusion que la mise en lumière des fondements théologiques de la liberté de l'Église, à savoir, d'une part, l'enracinement de l'Église dans le mystère de Dieu et, d'autre part, le caractère constitutif de la perspective eschatologique, permettent de comprendre cette liberté comme une limite au pouvoir humain - dans le monde ou dans l'Église. Ainsi compris, le principe de la liberté de l'Église contribue à l'élaboration d'une ecclésiologie politique dont les circonstances actuelles montrent la nécessité. Ce parcours permet aussi de prendre conscience que non seulement ce principe traverse l'histoire, mais qu'il a une histoire, et que l'étude de celle-ci révèle des éléments de continuité permettant d'affronter les défis actuels et à venir. En somme, les découvertes effectuées en chemin nous conduisent à poser la question de la liberté de l'Église dans les sociétés, non pas comme celle d'un groupe d'individus, mais comme celle d'un corps social qui interroge et travaille les cultures et, en particulier, les conceptions de l'ordre social. / Dignitatis humanae (1965), the Second Vatican Council's Declaration on religious freedom, states that « [t]he freedom of the Church is the fundamental principal in what concerns the relations between the Church and governments and the whole civil order. » (DH 13 § 1) However, the marginalization of the Church in pluralistic and secularized societies exposes the limits of the juridical approach espoused by the Council Fathers in this document. Nowadays, the struggle to envision the place and role of the Church in sociopolitical and cultural contexts profoundly different from the one characterizing the 1960's points to a serious problem in Catholic ecclesiology. To fathom this problem properly and to address it in a productive manner, we go through, in the first part of this thesis, Christianity's two-thousand-year old history so as to understand how the freedom of the Church was implemented and theorized in various contexts. In the second part, we carefully analyze the text and context of Dignitatis humanae, to understand the reasons and the significance of the perspective shift expressed by the Fathers with regard to public powers' responsibilities in religious matters. Finally, in the third and last part, we examine the challenges currently facing this conciliar teaching. We then come to the conclusion that the highlighting of the theological foundations of the freedom of the Church, namely, the rooting of the Church in God's mystery, and the constitutive character of the eschatological perspective, allows for an understanding of this freedom as a limit to human power - be it in the world or in the Church. Thus understood, the principle of the freedom of the Church becomes a central element of the political ecclesiology called for by the current circumstances. This endeavor shows that this principle not only runs through history, but has a history, the study of which reveals elements of continuity of paramount importance to face the current challenges and those still to come. The discoveries made along the way lead us to view the question of the freedom of the Church, not as that of a group of individuals, but rather of a social body whose presence challenges cultures and, in particular, the conceptions of social order.
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Premier discours de Jean-Paul Sartre sur la liberté et la question du fondement de la réalité humaine

Morin, Serge 27 January 2022 (has links)
Ce mémoire porte sur la conception sartrienne de la liberté. Afin d'éviter de porter un jugement préconçu et moralisateur sur la liberté sartrienne, ce projet tente d'élaborer et de manier les principaux concepts d'une liberté dont la caractéristique fondamentale réside dans le fait qu'elle ne s'acquiert jamais définitivement. En se limitant principalement à L'être et le néant, ce projet vise par ailleurs à faire surgir l'essence paradoxale de la réalité humaine en tant qu'elle est un être à la fois libre et contingent.
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Les nouveaux instruments de gestion du processus contractuel

Tabi Tabi, Ghislain 18 April 2018 (has links)
Le dogme de l'autonomie de la volonté est considéré comme le socle sur lequel les relations contractuelles reposent. La doctrine libérale, volontariste et individualiste, pense qu'en vertu du consentement que l'on exprime pour entrer dans un rapport d'obligations, les prestations obligationnelles doivent recevoir exécution. En dehors des situations qui sont légalement prévues, nul ne peut se plaindre du défaut ou du déficit d'intérêt une fois que le contrat est conclu. L'équilibre contractuel est alors réalisé par le simple fait de l'acceptation des deux parties de contracter. Et les mécanismes de bonne foi et d'abus de droit n'offrent qu'une protection déficitaire à cet équilibre. La philosophie libérale soutient la coexistence des intérêts qui est caractéristique de la responsabilisation des parties. Au demeurant critiqué, le principe de l'autonomie de la volonté sur lequel s'est construite la théorie générale du contrat ne peut plus être l'unique paradigme de gestion des relations obligationnelles. Leur configuration contemporaine est caractérisée par la prédominance de l'unilatéralisme et des pouvoirs contractuels. Cette double réalité contrarie la théorie du consentement. Phénomène déjà connu avec l'arrivée des contrats d'adhésion, la contractualisation de masse engendre aujourd'hui des contrats de dépendance encore appelés contrats de pouvoirs. L'objectif à atteindre est la maximisation des profits, c'est-à-dire l'efficience économique. Le besoin de réalisation des attentes légitimes de la partie qui est en état de faiblesse commande une nouvelle vision dont le solidarisme contractuel est le support. Définissant le contrat par rapport à sa finalité sociale, cette doctrine défend la collaboration des intérêts. Ceci a pour objectif de permettre à chaque partie d'accéder à la lisibilité ou encore à l'intelligibilité de la relation d'obligations, afin qu'elle décide en ayant une suffisante largeur de vues. II est important que de nouveaux marqueurs d'équilibre émergent. L'on parle alors des obligations de proportionnalité et de cohérence ainsi que de la nouvelle conception de la cause de l'obligation. II s'agit aussi de l'avènement de nouveaux instruments de gestion du processus contractuel que sont : les obligations systématiques de conseil et de motivation, et la présomption de vérité systématique du contractant en situation de vulnérabilité. L'ajustement épistémologique ainsi défini oeuvre à la reconnaissance d'un droit des relations contractuelles inégalitaires.
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Indifférence et impuissance : Axel Honneth et les pathologies de notre liberté

Trudel, Stéphane 24 April 2018 (has links)
Alors que dans ses précédents travaux, Axel Honneth se proposait de reconstruire la Théorie critique, dans le cadre d’une nouvelle philosophie sociale, soutenue par le concept hégélien de reconnaissance, une réorientation fut observée dans le contenu de son plus récent ouvrage : Le droit de la liberté : Esquisse d’une éthicité démocratique. En ayant auparavant pris appui sur la théorie de la reconnaissance, il tente désormais d’utiliser une méthode similaire, mais en dressant cette fois-ci un cadre descriptif qui s’articule autour du concept de liberté. Pour y parvenir, il met en lumière les limites des libertés morales et juridiques, pour proposer une liberté sociale comme thérapie, qu’il décline sous les trois formes du « « nous » des relations personnelles », du « « nous » de l’agir à l’oeuvre dans l’économie de marché », puis du « « nous » de la formation démocratique de la volonté ». L’objet de notre recherche est donc de dresser un bilan critique de cette oeuvre, puis de tenter de cerner, en mettant cette conception honnethienne de la liberté en dialogue avec d’autres auteurs, si Axel Honneth a pu laisser certaines zones d’ombre ou angles morts au passage. / As in his previous works, Axel Honneth suggested the reconstruction of the Critical Theory, as part of a new social philosophy supported by the Hegelian concept of recognition, a shift was observed in the content of his latest book: Freedom’s right: The Social Foundations of Democratic Life. Having previously worked on his own theory of recognition, he is now trying to use a similar method, but this time building a descriptive framework that revolves around the concept of freedom. To achieve this, Honneth highlights the limits of the moral and legal freedoms, in order to provide a social freedom as therapy. He describes his social freedom in three forms: the sphere of personal relations, the market sphere and the public political sphere. The purpose of our research is to make a critical assessment of his work, and then try to identify, by placing the Honneth’s freedom design in dialogue with different authors. This will allow us to conclude if Honneth’s left blind spots in the process.
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Les droits fondamentaux des personnes morales dans la convention européenne des droits de l'homme

Koki, Kouamé Hubert 13 December 2011 (has links) (PDF)
La réflexion autour des droits fondamentaux des personnes morales n'est guère si nouvelle comme pourrions nous être tentés d'y croire ; elle interpelle toutefois par son caractère antithétique. La personne humaine apparaissant comme l'unique destinataire de ces droits, elle avait capté toutes les attentions doctrinales. L'intimité du lien entre l'Homme et le concept des droits de l'homme, d'où découlent les droits fondamentaux, justifiait aisément l'exclusion des personnes morales. L'idée d'inclusion des groupes et des organisations qui semblait impensable va in fine être admise, voire se rendre indispensable à la démocratie, chère au système européen de défense des droits de l'homme et cadre de notre étude. La personne morale joue indiscutablement sa partition à la réalisation de la société démocratique à travers notamment la presse ou le jeu des partis politiques. Elle contribue énormément à l'économie des États par l'action des sociétés commerciales ou autres entreprises, et même à l'épanouissement des individus par le biais des associations dont les missions sont diverses et variées. On ne saurait valablement refuser à un tel sujet de droit la protection de la Convention. D'ailleurs c'est avec la force de l'évidence que ces personnes morales ont pu bénéficier de diverses dispositions de cette dernière. Le groupement à but politique ou syndical ne pourrait paisiblement accomplir sa mission sans la couverture de l'article 11 de la convention consacrant la liberté d'association et de manifestation pacifique. Aussi l'entreprise dépourvue de l'exercice et de la jouissance du droit au respect des biens, tel que défini à l'article premier du Protocole additionnel n° 1, ne pourrait-elle prospérer dans un domaine où intervient régulièrement la puissance publique. La sauvegarde de ces droits, avec bien d'autres, est conséquemment vitale pour les personnes morales. Le décryptage des droits et libertés qui leur sont garantis par le texte européen appelle à observer méthodiquement les différents mouvements de la jurisprudence européenne. Pour ce faire, notre réflexion préfère à une approche dogmatique, s'appuyant sur le particularisme des personnes morales pour dégager leurs droits et libertés garantis, une méthode plutôt pragmatique. Cette approche se fonde uniquement sur la protection effective que le juge européen consent à l'organisation non gouvernementale aux prises à l'arbitraire des pouvoirs publics. Il convient d'analyser chacun de ces droits et libertés garantis, et d'en dégager un relief d'avec la nature et l'activité de la personne morale. L'interprétation prétorienne du texte et des notions, telles que la personne ou le domicile, se présente délibérément extensive, dans le but assumé de permettre aux groupements de prendre part aux bénéfices de la Convention. L'accès à la juridiction européenne est par ailleurs largement ouvert aux groupements : tout pour faire en effet de la personne morale un sujet à part entière apte à exercer et à jouir de droits fondamentaux dans la Convention européenne des droits de l'homme.
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Liberdade e não-liberdade em o conceito de angústia de SØREN KIERKEGAARD / Liberté e Non-liberté dans le Concept d Angoisse de Søren Kierkegaard

Silva, Marcos érico de Araújo 11 June 2008 (has links)
Made available in DSpace on 2015-05-14T12:11:48Z (GMT). No. of bitstreams: 1 arquivototal.pdf: 913703 bytes, checksum: ecda216ec312651e74d7addf92d0ae67 (MD5) Previous issue date: 2008-06-11 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / L objectif de notre étude est de faire une analyse d interprétation de l oeuvre Le Concept d Angoisse (Begrebet Angest, 1844) de Kierkegaard, particulièrement des phénomènes de liberté et de non-liberté. Nous avons commencé la recherche par une tentative d explication de la méthode de communication indirecte, utilisée par le philosophe. En effet, nous interprétons que le sens philosophique du pseudonyme Vigilius Haufniensis (veilleur ou sentinelle de Copenhague) montre l originalité avec laquelle les questions, principalement de la constitution du « moi », sont abordées en relation avec la tradition. La thématique de l angoisse à partir de l oeuvre Le Concept d Angoisse, n est plus um thème parmi les autres dans la philosophie de Kierkegaard, devenant le thème-clé révélateur de ce que l être humain est en essence. Cette dissertation focalisera donc son analyse sur la question de la synthèse constitutive de l homme. Cette synthèse n est pas donnée d avance, mais doit être réalisée. Cela signifie précisément le devenir de l homme, c est à dire le parcours de la liberté. L angoisse révélatrice du devenir du moi implique une réflexion sur le temps, car nous ne sommes pas angoissés devant le présent, mais devant le futur. Ainsi l angoisse et l instant s équivalent en tant qu intersection du temporel et de l éternel dans l existence. Pour cette raison, l instant se revêt d une importance décisive pour mettre em marche le devenir de l homme. La liberté, ainsi entendue, s oppose totalement à la conception de libre arbitre, c est à dire, au choix arbitraire entre le bien et le mal, entre ceci et cela. Nous terminons notre travail en indiquant la structure formelle de non-liberté dans le mépris de l instant, c est à dire que le devenir de l homme établit la liberté comme perte de liberté. / O objetivo de nosso estudo é fazer uma análise interpretativa da obra O Conceito de Angústia (Begrebet Angest, 1844) de Kierkegaard, particularmente dos fenômenos da liberdade e da não-liberdade. Principiamos a pesquisa com uma tentativa de explicitar o método da comunicação indireta, utilizado pelo filósofo. Com efeito, interpretamos que o sentido filosófico do pseudônimo Vigilius Haufniensis (vigia ou vigilante de Copenhague) aponta para a originalidade com que as questões, principalmente da constituição do eu , são abordadas em relação à tradição. A temática da angústia, a partir da obra O Conceito de Angústia, deixa de ser um tema entre outros na filosofia de Kierkegaard, para ser o temachave desvelador do que o ser humano em essência é. A presente dissertação, portanto, focará sua análise na questão da síntese constituinte do homem. Esta síntese não está dada de antemão, mas necessita ser realizada. Isto significa precisamente o devir do homem, isto é, o percurso da liberdade. A angústia reveladora do devir do eu , implica numa reflexão sobre o tempo, pois não nos angustiamos ante o presente, mas pela possibilidade, pelo futuro. Daí que a angústia e o instante se equivalem, enquanto intersecção do temporal e do eterno na existência. Por esta razão, o instante reveste-se de uma importância decisiva para pôr em marcha o devir do homem. A liberdade, assim entendida, opõe-se frontalmente a concepção de livre arbítrio, isto é, a escolha arbitrária entre o bem ou o mal, entre isto ou aquilo. Finalizamos o nosso trabalho indicando a estrutura formal da não-liberdade no desprezo do instante, isto é, o devir do homem estabelece a liberdade como perda da liberdade.
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La liberté d’expression des personnes incarcérées / Freedom of expression of imprisoned persons

Hild, Barbara 21 September 2018 (has links)
C’est un adage bien connu, la peine privative de liberté n’est, théoriquement, que la privation de la liberté d’aller et venir. La France s’est ainsi dotée, le 24 novembre 2009, d’une loi pénitentiaire régissant les droits et les devoirs des personnes incarcérées. Son article 26 précise que : « les personnes détenues ont droit à la liberté d'opinion, de conscience et de religion ». Ce droit implique en substance celui de rechercher des informations, de construire son opinion, puis de l’extérioriser, soit, de pouvoir librement s’exprimer. Or, la réclusion physique d’un individu entraîne inévitablement des restrictions à l’usage de sa liberté deparole, entendue au sens large. S’il ne fait nul doute que les individus incarcérés sont titulaires de droits subjectifs, dans quelles conditions peuvent-ils être exercés ? Les droits des personnes détenues sont contraints par les limites inhérentes à la détention, la sécurité et le bon ordre. Cela implique une censure des autorités pénitentiaires, tant sur la parole que sur les écrits des personnes placées sous sa garde. A ces limitations générales, il faut aussi ajouter lescontraintes liées à la surpopulation carcérale et le poids du contexte sécuritaire actuel. Il entraîne un durcissement des politiques pénales qui peut fragiliser la liberté d’expression des personnes incarcérées. / It is a well-known saying, the sentence depriving of liberty is, in theory, only the deprivation of the freedom of movement. France has established, on November 24th, 2009, a prison law regulating the incarcerated persons rights and duties. Article 26 of said law indicates : “incarcerated persons have the right to freedom of opinion, conscience and religion”. This right implies the right to search information, build an opinion and carry it out, therefore to be able to speak freely. Yet, the physical imprisonment of an individual inevitably triggers restrictions to the use of his broader freedom of speech. If there is no doubt thatincarcerated persons have subjective rights, in what conditions can they be asserted? The inmate’s rights are compelled by the limits inherent in detention, security and order, which lead the prison administration to censor speech and writing of the individuals placed in custody. In addition to these general restrictions, be added all the constraints related to prison overcrowding but also the weight of the current security context. It leads to the strengthening of criminal policies which can weaken the prisoners’s freedom of expression.

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