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Égalité femme-homme et liberté religieuse : deux droits fondamentaux qui s’opposent ?

Vézina, Guy January 2014 (has links)
Notre mémoire en étude du religieux contemporain pose une question eu égard à la hiérarchisation des droits dans un État laïque comme le Québec à savoir si deux droits fondamentaux comme l’égalité des sexes et la liberté religieuse s’opposent ou se complètent. Dans ce climat de peur d’une perte de droits acquis depuis cinquante ans par les femmes du Québec, climat entretenu par un certain groupe de femmes plus particulièrement et alimenté par les médias depuis la Commission Bouchard-Taylor, notre hypothèse est que l’égalité femme-homme et la liberté religieuse, loin de s’opposer, se complètent et sont protégées par nos chartes. Après avoir analysé les discours religieux féministes, réfléchi aux notions du phénomène d’affirmation identitaire à caractère religieux, regardé de près la signification de ce qu’est un accommodement raisonnable et circonscrit le concept de laïcité, nous croyons qu’il y a une manière d’établir chez-nous un encadrement favorisant le vivre-ensemble.
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L'identité face aux concepts de mauvaise foi et d'authenticité et ses répercussions morales

Verret, Charles January 2012 (has links)
Le point de départ de notre recherche était d'étudier la notion d'identité ouverte sur le terrain d'une philosophie anti-fondationnalisme, celle de Sartre, pour voir les conséquences d'une telle prise de position, surtout en lien avec la morale. Ce point de départ nous a amené [i.e. amenés] à nous interroger sur des questions telles que, comment agir si nous n'avons aucune base objective pour nous guider entre le bien et le mal? Qu'est-ce qui me fais [i.e. fait] choisir d'agir de telle façon? Comment atteindre l'authenticité s'il n'y a pas de base objective donné [i.e. donnée] d'avance pour guider notre conduite? Ne tombons-nous pas dans un relativisme où tout se vaut? Comment donner une valeur à quoi que ce soit si le point de départ est la subjectivité de la conscience? Dans la première partie de notre recherche nous avons posé les bases de la philosophie sartrienne afin de pouvoir dans la deuxième partie questionner l'aspect morale [i.e. moral] et voir la cohérence de celle-ci avec l'ontologie. Nous avons commencé par expliquer, qu'est-ce que le néant et montré que comme l'humain n'est pas un plein d'être, c'est-à-dire qu'il a la capacité de se renouveler, de changer de position, de rectifier une attitude, de se créer en sommes [i.e. somme]. Ceci nous amène à penser qu'il y a choix et donc liberté. La liberté sartrienne est cependant toujours située, c'est une liberté qui s'incarne dans le choix que je vais faire parmi les possibles qui s'offrent à moi dans telle situation. À partir de cette conception de la liberté, Sartre va développer le concept de mauvaise foi. Une personne de mauvaise foi serait par exemple une personne qui choisi [i.e. choisit] d'ignorer sa liberté pour se laisser guider par les préceptes de la bible ou par ce que lui aurait révélé son horoscope et ainsi ne pas avoir à choisir, ce qui lui permet de se décharger de la responsabilité de son action. Pourtant, ne pourrions-nous pas imaginer quelqu'un qui choisi [i.e. choisit] librement de suivre les préceptes de la bible? En ce cas, il n'ignorerait pas sa liberté, mais l'affirmerais [i.e. affirmerait]. Cependant pour Sartre, quelqu'un qui choisirais [i.e. choisirait] librement de se laisser guider par des principes immuables, choisirais [i.e. choisirait] en même temps l'inauthenticité, puisqu'il fuirait volontairement l'étoffe dont il est pétri. Sartre lui, reste convaincu qu'on doit toujours remettre en question nos choix à chaque instant, puisque comme nous le verrons un peu plus loin, ceux-ci sont producteurs de valeurs. Toutefois, si l'être est liberté et transcendance dans des situations contingentes, que devient l'égo? Quelle forme prend-t-il? L'égo pour Sartre n'est pas un objet fixe, c'est un objet transcendantal. L'ego n'est jamais inachevé et totale [i.e. total] sauf au moment de la mort. Dans le monde, l'égo se redéfinie [i.e. redéfinit] à chaque action en fonction des choix et des possibilités qui s'offrent à lui. C'est en choisissant que l'égo se crée. Il n'est pas donné d'avance comme un objet qui influencerait nos choix par une structure préprogrammé [i.e. préprogrammée]. Cependant, il reste difficile d'être toujours critique et ne jamais tomber dans un fanatisme ou dans le réflexe pour agir, mais Sartre a le mérite de nous demander l'impossible pour tirer le meilleur de nous. Il nous dessine un idéal critique vers lequel il croit que nous devons tendre.
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Les réformes démocratiques et la liberté de presse au Myanmar

Rousseau, Marie-Hélène January 2016 (has links)
Le Myanmar traverse présentement une période de changements sans précédent. Des réformes politiques et économiques significatives sont en cours et touchent plusieurs sphères de la société, dont l’univers médiatique. Ce mémoire vise à analyser l’état et l’évolution de liberté de presse dans ce pays en transition démocratique. De nombreuses entrevues semi-dirigées avec des professionnels des médias ont été réalisées en 2014. La collecte d'information sur le terrain et a permis de constater que bien que des avancées importantes aient été faites pour favoriser la liberté de presse, de nombreux défis demeurent. Ils sont ici exposés.
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La rationalité de la peine. Une approche sociocognitive des tribunaux correctionnels

Vanhamme, Françoise L-Y 16 November 2005 (has links)
Cette recherche s’inscrit dans le domaine du sentencing. Sa question de départ porte sur la persistance, dans les jugements correctionnels, du modèle rétributif et des peines privatives de liberté, sur le manque d’essor des peines alternatives à l’emprisonnement et sur l’allongement des peines. La littérature portant sur le sentencing souligne l’importance, dans la décision de la peine, du pouvoir discrétionnaire du juge, qui fait partie intégrante du processus d’interprétation de la loi pénale. La décision est un processus humain (Hogarth), une pratique sociale complexe dans un environnement structuré et structurant (Beyens), le produit de collaborations et de contraintes institutionnelles (Gibson). Adoptant la perspective de la construction de la peine comme processus humain et interactionnel en contexte, la question empirique est : « Comment le juge pénal décide-t-il de la peine dans son contexte d’action ? ». Son cadre conceptuel est l’ethnométhodologie. Dans ce courant, la sociologie cognitive examine la chaîne processuelle du traitement de l’information, c’est-à-dire comment les membres d’un groupe social donnent une signification à une situation en sélectionnant et interprétant les informations, puis la catégorisent et décident, par induction, de la norme à appliquer et de la conduite à tenir. Pour répondre à la question empirique, le dispositif méthodologique comprend des observations durant huit mois en tant que stagiaire dans deux tribunaux ; des échanges informels avec les différents acteurs judiciaires et para-judiciaires ; et des entretiens formalisés avec les juges. Quatre procédures principales se dégagent du matériau empirique : évaluer le dossier répressif ; évaluer la personne du prévenu ; évaluer la réprobation adéquate ; évaluer une peine acceptable. Ces procédures permettent de mettre en lumière les savoirs, raisons, motivations, valeurs et mécanismes qui entrent dans le processus décisionnel de la peine. Cette analyse permet de construire progressivement un modèle de la prise de décision en contexte et, partant, de répondre aux questionnements de départ.
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Le festin de Babette : une métaphore de l'eucharistie : lecture théologique

Labelle, Michelle January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Figures de l'écrivain à Liberté (1959-1980)

Rondeau, Frédéric January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Liberté d'expression et convivialité en Haïti

Antoine, Paul January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Théorie et pratique : une lecture de L'archéologie du savoir

Mongrain, Jean-François January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Étude sur la relation entre les recommandations des agents de libération conditionnelle et les décisions des commissaires de la CNLC

Piché, Joëlle January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le statut constitutionnel des partis politiques / The constitutional statute of the political parties

Francisci, Patricia 21 January 2011 (has links)
Les partis politiques sont devenus les piliers de la démocratie moderne. De simples groupes inorganisés, ils sont devenus des structures hiérarchisées dont l’objectif est la conquête puis l’exercice du pouvoir. Les contingences historiques ont montré la nécessité pour les démocraties de se doter d’un appareil juridique pour se protéger des partis, mais également pour garantir leurs droits et libertés. Les partis ont donc été consacrés dans les Constitutions d’après-guerre. Cette constitutionnalisation s’est accompagnée de l’adjonction de Lois des partis ainsi que de dispositions législatives règlementant le droit des partis. La question du statut constitutionnel des partis se posait, alimentée par les décisions du juge constitutionnel, amené à se prononcer sur les droits, libertés et exigences des partis, dans le cadre du contrôle de constitutionnalité.Dès lors, il était intéressant d’aborder une approche comparatiste des partis politiques, sous l'angle du droit constitutionnel comparé, en l’occurrence du contentieux constitutionnel. La constitutionnalisation structurelle opposée à la consécration fonctionnelle permet de mettre en relief les grands principes directeurs du droit des partis. Ont ainsi été dégagés les principes de liberté, d’égalité, ainsi que celui de la transparence. Les partis sont confrontés aux exigences et aux interdictions, issues aussi bien des textes constitutionnels que législatifs. Les Cours constitutionnelles allemande, espagnole, italienne, française et portugaise apportent leurs appréciations, dont les travaux proposent une analyse détaillée. Le juge constitutionnel a certes remplit sa mission de protecteur de la Constitution en assurant la protection des principes démocratiques, mais dans le même temps, il s’est révélé le protecteur des droits et libertés des partis / Les partis politiques sont devenus les piliers de la démocratie moderne. De simples groupes inorganisés, ils sont devenus des structures hiérarchisées dont l’objectif est la conquête puis l’exercice du pouvoir. Les contingences historiques ont montré la nécessité pour les démocraties de se doter d’un appareil juridique pour se protéger des partis, mais également pour garantir leurs droits et libertés. Les partis ont donc été consacrés dans les Constitutions d’après-guerre. Cette constitutionnalisation s’est accompagnée de l’adjonction de Lois des partis ainsi que de dispositions législatives règlementant le droit des partis. La question du statut constitutionnel des partis se posait, alimentée par les décisions du juge constitutionnel, amené à se prononcer sur les droits, libertés et exigences des partis, dans le cadre du contrôle de constitutionnalité.Dès lors, il était intéressant d’aborder une approche comparatiste des partis politiques, sous l'angle du droit constitutionnel comparé, en l’occurrence du contentieux constitutionnel. La constitutionnalisation structurelle opposée à la consécration fonctionnelle permet de mettre en relief les grands principes directeurs du droit des partis. Ont ainsi été dégagés les principes de liberté, d’égalité, ainsi que celui de la transparence. Les partis sont confrontés aux exigences et aux interdictions, issues aussi bien des textes constitutionnels que législatifs. Les Cours constitutionnelles allemande, espagnole, italienne, française et portugaise apportent leurs appréciations, dont les travaux proposent une analyse détaillée. Le juge constitutionnel a certes remplit sa mission de protecteur de la Constitution en assurant la protection des principes démocratiques, mais dans le même temps, il s’est révélé le protecteur des droits et libertés des partis

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