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Etude diachronique du système verbal persan (Xe-XVIe siècles) : d'un équilibre à l'autre ?

Lenepveu-Hotz, Agnès 24 November 2012 (has links) (PDF)
Ce travail établit les changements morphologiques et syntaxiques du système verbal persan entre les Xe et XVIe siècles. Dix textes en prose représentatifs (régions et dialectes, judéo-persan compris) ont pu faire apparaître les évolutions suivantes. Le nouveau passif analytique recourt à différents auxiliaires avant qu'un seul ne s'impose, šudan, " devenir " (XIIe). L'infinitif et le participe passé évoluent conjointement : les formes d'infinitif plein, en -an, disparaissent au profit de l'infinitif apocopé (kard), quand l'ancien participe passé kard est remplacé par le participe en karda (XIIIe-XIVe). L'adverbe moyen-perse hamē s'est grammaticalisé en préfixe mē et sa valeur principale de concomitance s'est progressivement affaiblie. Le suffixe ē, marqueur d'habitude dans le passé et d'irréel, a décliné au bénéfice de mē (XVe). Peu à peu, le parfait a aussi été utilisé pour l'expression du médiatif. Le futur périphrastique, formé avec xvāstan, " vouloir ", marque à l'origine un futur d'intention, puis exprime également un futur de prédiction (XIVe). Même si le système se délite à partir du XVe siècle, le préfixe bi est un indice de rhématicité tout au long de la période et l'opposition indicatif/subjonctif n'est pas encore recréée. buvad, " est ", a cédé la place à bāšad ; aux époques où ils coexistent (Xe-XIe), buvad marque l'inhérent et bāšad, le transitoire. Quant à la construction des modaux, elle est passée de la rection d'un infinitif à celle d'un verbe conjugué, à la morphologie plus riche (XIVe-XVIe). Il en résulte que, sans en cristalliser tous les changements, le XVe siècle constitue une date charnière dans l'évolution du système verbal persan.
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Étude contrastive des tournures concessives en français et en chinois / Contrastive studies on concessive markers in French and in Chinese

Huang, Ming 10 July 2019 (has links)
La concession est une relation logique « secondaire » complexe qui se nourrit de plusieurs notions de base : l’hypothèse, la temporalité, la causalité, la négation, l’intensité, la subjectivité, etc. En reliant toutes ces notions, nous traitons les quatre locutions concessives les plus utilisées ainsi que leurs homologues dérivés de la même série en chinois : ji shi « bien que » « même si », sui ran « bien que » « malgré » (et zong ran « bien que » « même si »), na pa « bien que » « même si », jiu shi « même si » (et jiu suan « bien que » « même si »). L’objectif de notre travail est d’explorer le mécanisme concessif dans ces deux langues typologiquement distantes et différentes. En nous inscrivant en principe dans la même ligne que A. Meillet (1912), R. Martin (1982 et 1987) et O. Soutet (1987, 1990 et 1992), etc., nos recherches démontrent non seulement l’évolution diachronique de ce marqueur concessif étudié, mais mettent également en évidence ses rapprochements avec certains connecteurs analogues français (tels que cependant, alors, si, ja, nonobstant, etc.) pendant leur processus de grammaticalisation d’une manière à la fois sémantico-logique et syntaxico-discursive. Notre étude comprend divers corpus allant du chinois archaïque au chinois moderne, ainsi que des méthodologies linguistiques pour classer et traduire les exemples choisis. Nous constatons une ressemblance frappante entre la combinaison des notions de base au cours de la formation du mécanisme concessif dans les deux langues étudiées. / The concession is a “secondary” or “composed” linguistic concept since it combines many fundamental linguistic notions: hypothesis, temporality, causality, negation, intensity, subjectivity, etc. By relating all these crucial notions, our research examines the four most used concessive markers as well as their homologues derived from the same series in Chinese: ji shi "although" "even if", sui ran "although" "despite" (and zong ran "although" "even if"), na pa "although" "even if", jiu shi "even if" (and jiu suan "although" "even if"), as well as their equivalents in French based on previous theories and analyses in the two languages. The aim of the work is to explore the concessive mechanism in these two languages that are typologically distant and different. In the same line as A. Meillet (1912), R. Martin (1982 and 1987) and O. Soutet (1987, 1990 and 1992), etc., our research not only demonstrates the historical evolution of the studied concessive markers, but also highlights its rapprochements with certain French concessive connectors (such as cependant, alors, bien, si, ja, nonobstant, etc.) during their grammaticalization processes from semantic-logical and syntactic-discursive points of view. Our study involves various corpuses from archaic to contemporary Chinese and French, as well as technical linguistic methodologies to categorize and translate the extracted examples. The results of our present research show surprising similarities in terms of the concessive evolution despite the enormous etymological and cultural divergences of the two studied languages.
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La négation simple et la négation composée en français préclassique / Simple negation and compound negation in pre-classical French

Lafond-Zine, Claire 22 November 2014 (has links)
La question du système des morphèmes de la négation simple ou composée en français suscite depuis toujours l’intérêt de la linguistique mais reste traitée de manière fluctuante par la linguistique diachronique qui l’étudie de façon inégale selon les périodes de l’histoire du français. En effet, concernant la période préclassique (1550-1630), si cette question est régulièrement abordée, aucune étude approfondie et détaillée du système de la négation n’existe à ce jour. Ainsi, ce travail s’inscrit au croisement d’une double visée de la recherche en linguistique : d’une part, celle d’un éclairage nouveau sur la question des marques grammaticales de la négation en français ; d’autre part, celle d’une réactualisation des questionnements sur la langue préclassique qui, longtemps négligée, jouit depuis une vingtaine d’années d’un regain d’intérêt croissant. La finalité de cette étude est de proposer une description précise de l’organisation et du fonctionnement du système des signes grammaticaux de la négation simple et de la négation composée (non, ne, ne…pas, ne…point, ne…jamais, etc.) à travers leurs divers emplois et leurs jeux de concurrence, tels qu’ils apparaissent dans un vaste corpus de textes de la période préclassique (1550-1630). Les méthodes de la morphosyntaxe et de la sémantique se sont avérées ici tout à fait adéquates, tout comme le cadre théorique de la psychomécanique du langage dont les postulats permettent de traiter en profondeur les enjeux et les subtilités impliqués par cette recherche. / The issue of simple and compound negation morphemes system in French language has always attracted a lot of interest. However, diachronic linguistics tackles this question in an uneven way according to different periods of French language’s history. Thus, although it is regularly mentioned, no detailed study about system of negation in pre-Classical French (1550-1630) exists so far.Therefore, this work has dual benefits for linguistics research: on the one hand it sheds a new light on the question of grammatical markers of negation in French; on the other hand it renews questions on the pre-Classical French language, which has been a topic of growing interest over the last two decades.The goal of this research is first to offer a detailed description of the organisation and operation of the system of simple and compound negation grammatical markers (non, ne, ne…pas, ne…point, ne…jamais, etc.) according to their different usages as they appear in a large text corpus of pre-Classical period (1550-1630). Their competition is also investigated. Morphosyntax and semantic methods turned out to be very efficient, as well as the theoretical framework of language psychomecanics whose postulates allow an in depth analysis of the issues and intricacies involved in this research.

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