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Les équivalents français des noms géographiques polonais : l’exonymisation en français des toponymes du territoire de la Pologne / French equivalents of Polish geographic names : exonymisation of toponyms from the Polish territory in the French language

Mandola, Malgorzata 06 July 2017 (has links)
Les études linguistiques les plus récentes admettent que les noms propres sont souvent traduits, ou adaptés, par opposition aux anciennes théories sur la non-traduisibilité des noms propres.Ce qui distingue les toponymes du reste de l’onomastique, ce sont les implications politiques, sociologiques et historiques qui concernent une bonne partie des noms géographiques. Dire « Breslau » pour la ville polonaise « Wrocław » peut avoir une connotation négative selon le contexte. Et pourtant, nous rencontrons très fréquemment cette forme surInternet. De plus, on observe avec la mondialisation la multiplication de nombreuses versions du même toponyme.Le travail présenté ici est composé de trois parties. La première partie présente de manière brève les théories concernant les noms propres, mais adaptées aux toponymes, et la deuxième décrit leurs fonctions, ainsi que leur statut linguistique par rapport à la normalisation internationale. Le concept de la toponymie synchronique-contrastive et les méthodes d’analyse des toponymes selon cette approche sont introduits dans la partie 2.La partie trois est une analyse du corpus qui a pour le but d’observer les structures et l’intégration des toponymes polonais dans la langue française ainsi que leur usage populaire dans les publications courantes (sur Internet, dans les brochures touristiques, dans les applications et réseaux sociaux, etc.), qui diffère de l’usage officiel, censé être politiquementcorrect. / The most recent linguistic studies show that proper names are often translated or adapted, in contrast to the traditional theories of untranslatability of proper names.What distinguishes toponyms from the rest of onomastics are political, sociological and historical implications that affect many geographical names. Using the name "Breslau" for the Polish city "Wrocław" may convey negative connotations depending on the context. Nevertheless, this form is often found on the Internet. Moreover, due to globalization we arewitnessing the multiplication of many versions of the same toponym. This work is composed of three parts. The first part presents theories of proper names,but adapted to toponyms, and the second describes their functions and their linguistic status according to the international standardization. The concept of synchronic-contrastive toponymy and methods of analysing toponyms according to this approach are introduced as well in the second part.The third part is an analysis of the corpus with the purpose of observing the structure and the integration of Polish toponyms into the French language, as well as their popular use in current publications (Internet, tourist brochures, in applications and social networks, etc.) different from the official use, which is supposed to be politically correct.
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Structure nominale et expression du temps, du mode et de l'aspect en saramaka : analyse synchronique et diachronique

Bally, Anne-Sophie 05 1900 (has links) (PDF)
La curiosité des linguistes à l'égard des langues créoles repose sur la façon dont celles-ci ont été créées, puisque ce sont des langues que l'on a vu émerger dans des intervalles de temps très brefs et souvent dans des conditions sociohistoriques très particulières, comme l'esclavage dans les Antilles au XVIIe siècle. Les langues créoles sont le fruit d'un contact de plusieurs langues et elles sont par conséquent dans leur structure le reflet des langues en présence lors de ce contact. Dans cette thèse, nous nous intéresserons particulièrement à une de ces langues créoles : le saramaka, une langue créole à base lexicale anglaise et portugaise parlée au Suriname et en Guyane française par environ 30 000 locuteurs. Cette langue sera traitée sous deux angles différents, mais complémentaires. Le premier angle est une description synchronique fine de la structure nominale et de la structure verbale et plus spécifiquement, les catégories dites « fonctionnelles » qui y apparaissent. Le second angle est une recherche approfondie de l'origine et de la création de ces deux structures, en comparaison avec les structures équivalentes dans les langues en présence au moment de sa création. Le cadre théorique dans lequel s'inscrit cette recherche est résolument saussurien, puisqu'il fait appel à la notion du signe linguistique tel que développé par Saussure (1916) comprenant un signifiant (une image acoustique) et un signifié (un concept). Les deux propriétés fondamentales du signe sont son caractère radicalement arbitraire et sa linéarité, imposée par la modalité orale. Nous reprenons les travaux de Bouchard (2002, 2005, à paraître) pour l'aspect combinatoire de ces signes linguistiques, c'est-à-dire pour l'aspect syntaxique de notre cadre théorique. Faire le choix d'un tel cadre théorique pour parler des langues créoles est en soi novateur, puisque beaucoup des recherches actuelles se déroulent au sein du cadre théorique de la grammaire générative. Dans le premier chapitre, nous verrons quels sont les problèmes liés aux hypothèses actuelles sur la genèse des langues créoles, en particulier quand celles-ci s'ancrent dans le cadre théorique de la grammaire générative. Il sera proposé plutôt de prendre comme point de départ à la genèse des langues créoles le fait que celles-ci sont des cas particuliers d'acquisition d'une langue seconde. Les agents de formation d'une langue créole ne recevant pas un enseignement explicite de la langue-cible, le système de signes linguistiques de la langue en cours d'acquisition est purement fondé sur les perceptions que ses apprenants en avaient. Ainsi, les signifiants de la langue-cible étant sonores, donc directement accessibles, ceux-ci ont été relativement bien acquis. Les signifiés de la langue-cible étant moins accessibles, puisqu'il n'y a pas eu d'enseignement explicite de la langue-cible, ceux-ci ont été moins bien acquis et souvent amalgamés avec les signifiés des signes équivalents dans la langue maternelle des apprenants. On a affaire à un mécanisme de transfert négatif dans ce cas, comme cela est abondamment documenté dans le domaine de l'acquisition des langues secondes. Dans le second chapitre, nous présentons dans les grandes lignes les caractéristiques de la langue saramaka, ainsi que la façon dont nous avons recueilli les données et quelle est la méthodologie employée pour les traiter. Les chapitres trois et quatre sont l'application directe du cadre théorique que nous développons dans le premier chapitre. Ils cherchent à comprendre et à expliquer l'origine de la structure nominale et de la structure verbale, des signes qui les composent et de l'ordre de ceux-ci. Nous voyons dans ces chapitres, au fil des démonstrations, que notre cadre théorique basé sur les perceptions des apprenants du système de signes linguistique des langues-cibles explique adéquatement la formation de ces structures. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : saramaccan, signe linguistique, Saussure, langues créoles, anglais, portugais, langues gbe, syntagme nominal, marqueurs de TMA.

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