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Les deux réalités de Linux : compétitif au marché spécialisé, marginalisé au marché de masse /Molinié, Luis, January 2005 (has links)
Thèse (D. en administration)--Université du Québec à Montréal, 2005. / En tête du titre: Université du Québec à Montréal. Bibliogr.: f. [267]-289. Publié aussi en version électronique.
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La coopération en réseau comme alternative pour la création de connaissances. Exemple du logiciel libre / Cooperation in network as an alternative for the knowledge creation. Example of Free and Open Source SoftwareLyubareva, Inna 15 January 2010 (has links)
La connaissance comme facteur de production a des caractéristiques spécifiques. Elle est attachée à des individus, à leurs interactions et au contexte social. Sa création nécessite d’une part, la circulation et l’ouverture sur l’extérieur, et d’autre part l’intégration (une gouvernance adéquate qui permet des comportements cohérents). Cela met en évidence un dilemme économique que les organisations conventionnelles (firme, marché) ne semblent pas à même de résoudre. C’est pourquoi il convient d’analyser la capacité d’une forme organisationnelle alternative – la coopération en Réseau. Cette question est abordée selon trois axes : (1) une mise en perspective théorique du Réseau et sa comparaison avec les formes marchandes et hiérarchiques conventionnelles, (2) l’analyse des modalités d’émergence et (3) de la performance du Réseau. L’exemple du Logiciel Libre comme alternative productive de type Réseau dans l’industrie logicielle est utilisé. Cette thèse met en lumière les avantages et les problèmes intrinsèques du modèle du Libre. Elle discute les perspectives de ce modèle dans d’autres domaines de production intensifs en connaissance. / Knowledge as a factor of production has some specific features. It does not exist independently from individuals, from their interactions and from the social context. It requires, on one hand, free circulation and openness and, on the other hand, integration (i.e. an adequate governance to ensure coherent actions). This constitutes an economic dilemma which the conventional organization forms (firm, market) often fail to solve. Therefore, the analysis of capabilities of an alternative organization – the cooperation in Network – becomes especially relevant. The analysis of this question is undertaken throughout three chapters: (1) a formal theoretical representation of the Network organization and its comparison with the market-like and hierarchical forms, (2) the empirical analysis of the patterns of its development and (3) of its performance. The example of Free and Open Source Software, representing the network-like alternative in the software industry, has been used. This work highlights the advantages and the inherent problems of the F/OSS model. It discusses the perspective of this model in other fields of the knowledge-intensive production.
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Mise au point du Système de cartographie dynamique multiéchelle (SCDM) pour la caractérisation des eaux souterraines de la zone Nicolet et de la partie basse de la zone Saint-FrançoisTran, Thi Kim Dung January 2016 (has links)
La zone de gestion intégrée de l’eau de la rivière Nicolet et la partie basse de la zone intégrée de l’eau de la rivière Saint-François dans le Centre-du-Québec se trouvent dans un secteur où les eaux souterraines ont fait l’objet récemment d’un projet de recherche dans le cadre du Programme d’acquisition de connaissance sur les eaux souterraines (PACES) du Ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MDDELCC, 2013).
La diffusion des résultats des projets issus du programme PACES présente des défis très particuliers. Il est nécessaire de synthétiser un grand nombre de données de manière efficace : modèle hydrostratigraphique, topographie, hydrographie, données géologiques sur les unités rocheuses et quaternaires, description des forages, propriétés hydrauliques des matériaux, contexte hydrogéologique, utilisation de l’eau souterraine, qualité de l’eau, activités humaines ayant un impact sur la qualité de l’eau (MDDELCC, 2013). Ce projet de maîtrise tente donc de répondre à la question de recherche suivante : « Comment synthétiser et visualiser clairement les connaissances sur les eaux souterraines ? »
Ce projet de maîtrise a donc été réalisé pour résoudre la problématique de la diffusion des résultats à l’aide du système de cartographie dynamique multiéchelle (SCDM). Il est appliqué tout particulièrement à la zone de gestion intégrée de l’eau de la rivière Nicolet et à la partie basse de la zone intégrée de l’eau de la rivière Saint-François dans le Centre-du-Québec (PACES-NSF). La méthodologie utilisée a été efficace pour développer un système qui permet d’intégrer des données à référence spatiale sur les eaux souterraines et de diffuser visuellement les résultats spécifiques pour ce projet PACES-NSF sur Internet. Le SCDM permet aux acteurs de l’eau et aux gestionnaires du territoire d’avoir une vision régionale sur les informations et les caractéristiques des eaux souterraines. Les logiciels libres et ouverts utilisés dans ce projet ont été des choix appropriés, efficaces et spécialement économiques.
Le SCDM peut être utilisé pour la diffusion des résultats des projets de caractérisation des eaux souterraines des bassins versants de toute la province. Il peut également être adapté à l’étude des eaux de surface.
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Le logiciel libre au Québec idéaux et motivations de la communauté d'acteurs-contributeursDulude, Marc-André January 2010 (has links)
Cette recherche exploratoire s'intéresse aux logiciels libres au Québec, plus particulièrement aux acteurs qui participent activement à leur développement. Elle a pour but de comprendre les motivations de dix d'entre eux, en mettant en perspective leurs situations actuelle[s], personnelle[s] et professionnelle[s].Cette problématique est fortement inspirée des travaux de recherche en économie qui suggèrent que le contexte social et culturel d'une région donnée influence les motivations des acteurs de cette région. Plusieurs études se sont attardées à des projets de logiciels libres spécifiques, mais aucune ne s'est intéressée aux logiciels libres en territoire québécois. C'est ce qui nous amène à vouloir définir la perception et la motivation d'acteurscontributeurs au Québec. Afin de bien mettre en contexte notre étude, nous nous appuyons sur les théories diffusionnistes de Rogers, Flichy et Von Hippel, ainsi que sur celle de la construction sociale de Pinch et Bijker. Nous nous sommes également inspirés des travaux de Weber sur le logiciel libre, de ceux de Ryan et Deci sur les motivations, et de ceux de Greier sur les chemins de vie. Une série d'entrevues a été réalisée avec des experts du domaine. Pour ce faire, un sondage a été mené auprès de plus de 200 acteurs québécois du logiciel libre. De ce sondage est ressorti l'identité des dix acteurs les plus reconnus au Québec. Nous les avons invités pour une entrevue en profondeur sur leurs motivations à travailler sur les logiciels libres. Grâce à l'analyse de ces entretiens, nous sommes en mesure de dire que le discours de chacun des acteurs présente des particularités communes, notamment quant à la définition du logiciel libre, à la licence utilisée dans les projets et à la langue de l'interface présentée aux utilisateurs finaux. Aussi, les motivations des acteurs évoluent dans le temps, passant de motivations à caractère personnel à motivations en lien avec leur cheminement professionnel. De plus, nous constatons qu'il existe un réseau de professionnels et d'amateurs québécois qui prennent part à des projets d'envergure internationale. Ces interactions participent à une construction sociale de l'objet qui forge les méthodes de développement, les valeurs et les idéaux véhiculés sur Internet.
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Le Marché des logiciels : une confrontation entre logiciels propriétaires, libres et piratés. / Foss and pirated software competition for proprietary softwareAttaya, Heger 05 February 2014 (has links)
Les analyses des marchés des logiciels ont longtemps été limitées à l'unique confrontation libre-propriétaire ou propriétaire-piratage. Cette thèse fournit à l'opposé une vision originale d'une confrontation articulée entre propriétaire-libre-piratage. L'analyse du marché des logiciels est réalisée premièrement à travers un descriptif économique et technique du produit "logiciel". Cette description est nécessaire pour saisir le comment et le pourquoi de la déclinaison du produit "logiciel" sous trois formes : propriétaire, libre et piraté. L'aspect technique est particulièrement substantiel puisqu'il permet de comprendre parfois l'impossibilité technique de délimiter le piratage informatique. Cette analyse est appuyée ensuite par un descriptif historique de la construction du marché et l'introduction des droits de propriété qui ont été un facteur déterminant pour la transformation des échanges. On identifie par la suite, les principaux acteurs (producteurs et diffuseurs) de ses trois déclinaisons du bien logiciel et leurs modes organisationnels. En parallèle aux entreprises éditrices de logiciel propriétaire et des communautés de logiciel libre (Hackers), une nouvelle catégorie d'acteurs développant du "matériel informatique libre" est identifiée (open hardware). L'accent est mis sur l'enchevêtrement des frontières entre les communautés libres et le groupe des pirates dont la distinction est complexe, puisque certaines pratiques de piratage sont de fait tolérées par le marché. Les pirates sont aussi considérés dans le cadre de cette thèse, selon leurs compétences techniques. Une typologie des pirates est donc proposée, distinguant les "utilisateurs" des "producteurs" de logiciels piratés (pirates passifs et pirates actifs). Notre analyse se poursuit ensuite avec des modélisations mathématiques et économétriques pour défendre la thèse que les trois déclinaisons du bien logiciel s'inter-influencent et que la concurrence sur le marché des logiciels est ternaire. Cette approche est originale en ce qui concerne les logiciels libres, car vu la récente nouveauté du phénomène, peu d'études de quantification ont été réalisé. Un théorème mathématique, largement utilisé en contrôle optimale, est sollicité pour analyser la façon dont les acteurs des logiciels propriétaires tiennent compte à la fois de la présence concurrentielle des logiciels piratés et celle des logiciels libres. Il est montré qu'une stratégie de tolérance du piratage peut servir favorablement le logiciel propriétaire sur le marché pour réduire "l'effet réseau" des logiciels libres et de renforcer l'effet de "lock-in" du propriétaire. Le modèle économétrique soutient également la thèse que la diffusion des logiciels libres impacte celle des logiciels piratés. La construction d'une base de données de pays à différents niveaux de développement, montre que les politiques gouvernementales en faveur des logiciels libres et l'intérêt de population locale pour linux, peuvent réduire les pratiques du piratage. Ce constat varie selon les catégories de pays étudiés (pays développés, émergents, en voie de développement et pauvres). Les résultats du modèle économétrique appuient ceux de la modélisation. / Publishers of proprietary software are confronted both by the onset of piracy practices and free/open software. So far, the obstacles faced by proprietary software have been presented in the literature by means of two distinct approaches :(i) the piracy/proprietary software (illicit competition), or (ii) the open source/proprietary software (licit competition) standpoints. In this thesis we propose an alternative approach of the software market, which focuses on the coexistence of competitive forces piracy practices and open software. The three forces are supported by di_erent actors, to which we add the new one of open hardware that consolidated the position of free software on the market. The new approach distinguishes also between sophisticated active pirates producers and casual passive pirate users. We emphasized that it is di_cult to distinguish between hackers and pirates, as piracy practices are sometimes tolerated by the market. Using an econometric and mathematics model we show the impacts that one in_icts over the other. The mathematical model investigates how changes in the _rm's anti-piracy policya_ect the number of pirates users, given that the free software network size increases if pirates become free software users. The proposed econometric model shows that government policies in favour of open source software and adoption of Linux by individuals tends to decrease software piracy. A majorempirical result concerns the emerging and developing countries where policies in favour of free software can in some speci_c cases reduce piracy.
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Etude formelle des distributions de logiciel libreBoender, Jaap 24 March 2011 (has links) (PDF)
Dans les deux dernières décennies, le logiciel libre a pris un essor considérable. Des distributions qui au début comptaient une centaine de paquets, en ont maintenant des dizaines de milliers, tous de provenance très différente. Ceci engendre des problèmes pour la gestion de qualité. Les outils et procédures ne sont plus adaptés à la taille et la complexité des distributions d'aujourd'hui. Dans cette thèse, nous commençons par présenter une modélisation mathématique des points communs entre les différents types de distribution (Debian et RPM); notamment le concept des paquets et des relations qui existent entre eux: les dépendances et les conflits. Cette modélisation est en partie formalisé avec l'assistant de preuves Coq. Cette modélisation sera ensuite utilisée pour proposer des relations 'sémantiques', qui sont plus adaptés que les relations existantes pour repérer et corriger des erreurs dans les distributions. Nous présentons aussi des algorithmes pour calculer ces relations d'une façon efficace, et nous utiliserons Coq pour prouver formellement les théorèmes les plus importantes utilisées par ces algorithmes. Finalement, nous avons validé les algorithmes sur des distributions existantes. Nous présenterons une analyse de la structure des distributions qui est le résultat de cette validation, ainsi qu'une discussion de la phénomène du "petit monde" en rapport avec les distributions.
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L'implication des entreprises aux logiciels libresEilhard, Jan 14 May 2010 (has links) (PDF)
La participation des entreprises aux logiciels libres touche des domaines différents aux sciences économiques et sciences sociales. Elle est parmi d'autres une expérience naturelle pour la production des biens publics, pour l'innovation collective, pour les technologies disruptives, pour l'externalisation des technologies ou pour les organisations décentralisées. Cette thèse se concentre sur la production des biens publics, l'innovation collective et l'externalisation des technologies. Dans notre analyse, nous utilisons une base de données de 10 000 logiciels libres trouvables sur SourceForge et lions l'information des développeurs aux profils académiques, salariés et bénévoles.
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Les régimes de l'open source : solidarité, innovation et modèles d'affairesBenkeltoum, Nordine 09 December 2009 (has links) (PDF)
L'open source a provoqué de profondes mutations industrielles. L'ampleur et l'intensité de ce phénomène exige une révision conceptuelle de bon nombre d'objets en sciences de gestion. Cette thèse aborde l'étude de l'impact des logiciels libres et synthétise les principaux enjeux de leur diffusion. Nous montrons tout d'abord que le modèle racine à l'origine du premier logiciel libre est issu de la combinaison inédite entre un système de solidarité et un processus de production distribué. Ensuite, nous décrivons les nouvelles interactions entre l'activité marchande et non-marchande donnant naissance à des formes organisationnelles originales et inédites. Puis, nous détaillons la manière dont ces logiciels sont utilisés comme composants génériques par des groupes industriels dans le but de générer de la valeur. Nous décrivons également d'autres stratégies consistant à utiliser divers mécanismes technologiques afin de contourner les règles des licences. Enfin, nous suggérons que les innovations créées par les organisations de l'open source visent principalement à combler les défaillances du système marchand.
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Création de connaissances dans le logiciel libre : une analyse de la communauté UbuntuBlum, Guillaume January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire présente les résultats et l'analyse d'une recherche effectuée dans la communauté Ubuntu, menée entre octobre 2005 et août 2006, dans le domaine de la gestion des connaissances, visant à comprendre comment se crée la connaissance dans la communauté, dans un contexte d'écosystème en mutation. Il ressort de cette recherche que la grande diversité des contributeurs est maintenue sous une forme communautaire par le lien des valeurs qu'ils partagent (humanisme, bidouille, liberté, partage, autodérision, démocratisation) engendrant une vision de l'informatique. Le fonctionnement interne s'effectue sur un mode mérito-démocratique, où tous ont droit à la parole, mais où ce sont les experts et les membres les plus engagés qui ont le plus grand rôle décisionnel. La communauté est composée de nombreuses équipes autogérées, disposant d'une grande autonomie et travaillant en interaction avec d'autres équipes de la communauté Ubuntu ou d'autres communautés du logiciel libre. Cela mène à des cycles et des métacycles de création de connaissances, permettant de choisir une trajectoire technologique puis de s'en écarter par la suite. Tout ceci permet de créer un modèle de création de connaissance, basé sur les modèles de Nonaka et Takeuchi (1995) et Nonaka et Toyama (2005). Nous avons aussi été amenés à valider les activateurs de connaissances de Nonaka (intention, variété, chaos créatif, redondance, autonomie), et à déterminer d'autres activateurs de création de connaissances propres au logiciel libre : liberté de parole, troll, outils d'extériorisation (type wiki, bugzilla, etc.), diversité des moyens de communication et des contributeurs et action même de coder. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gestion des connaissances, Création de connaissance, Ba, Activateurs de connaissance, Innovation, Logiciel libre, Logiciel à code source ouvert, Communauté, Communauté de pratique, Ubuntu.
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Logiciel libre, activité technique et engagement politique : la construction du projet GNU en ArgentineCouture, Stéphane January 2007 (has links) (PDF)
Le mouvement du logiciel libre, qui propose que le code source des logiciels soit lisible, accessible et modifiable par tous, est un vaste mouvement de coopération internationale dans le développement de logiciels dont les plus matures constituent aujourd'hui des alternatives viables à certains produits commerciaux. Si beaucoup s'investissent dans cette forme de coopération par intérêt personnel ou professionnel, un nombre important d'acteurs définissent toutefois leur engagement comme étant clairement politique. Cette étude a pour objectif d'explorer la façon dont ces acteurs plus politisés définissent leur activité technique comme une forme d'engagement politique. Nous avons choisi de nous déplacer en Argentine afin d'étudier un réseau d'acteurs investis dans la promotion du logiciel libre et la construction du projet GNU d'un système informatique complètement libre qui a été initié par Richard Stallman, également à l'origine du terme logiciel libre. Nous nous attarderons à explorer la façon dont ces acteurs participent au développement du système Ututo, qui s'intègre au projet GNU, et à analyser les controverses qui traversent ce réseau d'acteurs. Ce mémoire est divisé en trois sections. La première section introduira le mouvement du logiciel libre ainsi que notre problématique (ch. 1), présentera notre approche théorique qui s'inspire de différents courants d'études sur les sciences et les technologies (ch. 2), et exposera finalement notre approche méthodologique (ch. 3). La seconde section présentera selon différentes perspectives la construction du projet GNU en Argentine. Nous décrirons la genèse du système Ututo et les formes de collaboration qui permettent son développement (ch. 4) et présenterons une controverse significative de l'ambivalence des acteurs à lier les enjeux du logiciel libre à d'autres enjeux sociaux (ch. 5). Dans la troisième section, qui constitue un retour théorique, nous tenterons de montrer la façon dont la politisation du logiciel prend racine dans une sensibilité aux schèmes techniques (ch. 6), et ferons en conclusion (ch. 7) un retour sur nos différentes questions de recherche. Pour saisir la dimension politique que certains acteurs donnent à leur engagement dans le développement ou l'usage des logiciels libres, il nous semble important d'explorer la relation qu'ils entretiennent avec ces logiciels. L'activité technique constitue pour les acteurs une forme d'expression plus que la simple manipulation d'un instrument. Le logiciel, par son code source, apparaît comme un produit culturel, l'expression de la vie d'une communauté. C'est dans cette mesure que la politique du libre cherche à garantir le libre accès à ce code source. Mais si le logiciel est culturel, il demeure toutefois technique et instrumentalisé à d'autres fins. Ce double mode d'appréhension du logiciel, entre produit culturel et objet technique, peut expliquer certaines ambivalences et controverses qui traversent le monde du logiciel libre. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Logiciel libre, Culture technique, Technologie de l'information, Sociologie de l'innovation technique, Argentine, Amérique Latine.
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