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L'aile Louis XII du Château de Blois , son décor sculpté à l'aube de la Renaissance / The Louis XII wing of the royal castle of Blois, his sculpted decoration at the beginning of the Renaissance

Doudeau-Cheutin, Claudie 20 October 2012 (has links)
Devenu soudainement roi de France en 1498, Louis XII entreprend de reconstruire le château familial de Blois. L'aile Louis XII du château royal présente un programme iconographique sculpté exceptionnel réalisé de 1498 à 1503 environ, qui comporte plus de deux cents culots, gargouilles, masques grotesques, rosaces, monogrammes et emblèmes, entourant la figure équestre du roi et le décor de l'escalier. Les sources manuscrites relatives à la réalisation du décor sculpté ayant disparu presque en totalité, le parti pris a été de considérer dans la première partie les événements qui, du cadre historique aux restaurations des XIXe et XXe siècles, ont forgé l’identité actuelle du château. L'étude iconographique est abordée en seconde partie, incluant le décor sculpté du château de Blois, les enjeux ignorés du décor du grand escalier et de la voûte en relation avec la figure équestre, l'emblématique royale de Louis XII. La troisième partie permet d’insérer le décor sculpté dans le contexte de création de la sculpture dans les chantiers et ateliers de 1450 à 1520. De la seconde moitié du XVe siècle à 1520 / As soon as he become king of France in 1498, Louis XII undertake to rebuild the family castle of Blois. The Louis XII wing of the royal castle of Blois shows an exceptional iconographic and carved program done from 1498 to about 1503, which consists of more than two hundred culots, gargoyles, grotesques, masks, medallions, monograms, and emblems, surrounding the equestrian statue of the king and the staircase. As the manuscript archives relating to the carvings have almost completely disappeared, the objective has been to consider firstly the historical events up until the restorations of the 19th and 20th century that have contribued to the current identity of the château. An iconographic study is approached in the second part, including the sculpted decoration of the château, the relationship between the decoration of the grand staircase and the vault with the equestrian statue. The third part relate to the role of the carved decoration within the artistic context of buiding sites and workshops between 1450 to 1520
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Le théâtre de Johannes Harmonius Marsus : étude dramaturgique et traduction

Grosselin-Harter, Marie-Odile 07 November 2009 (has links)
Johannes Harmonius Marsus (Giovanni Armonio Marso), poéte humaniste vénitien de la fin du Quatrrocento, a composé en latin, entre autres, deux pièces de théâtre : une comédie intitulée Stephanium, très proche de la fabula palliata romaine, et une tragédie historique, De Rebus Italicis deque Triumpho Ludovici XII Regis Francorum, pour célébrer l'entrée triomphale du roi français à Milan en 1499. Alors que la comédie a connu un succès retentissant dès sa première représentation et que, à l'inverse, la tragédie est restée complètement méconnue, il a paru important d'approfondir les caractéristiques dramaturgiques de ces deux pièces définies par la recherche constante de l'effet spectaculaire au service d'une intention édifiante. Notre traduction des deux pièces, la première en français, a ainsi été réalisée avec le souci de mettre en valeur le jeu scénique à travers lequel se dessine une nouvelle approche de la comédie et de la tragédie. L'étude du contexte d'écriture et la recherche des sources et modèles littéraires antiques (principalement Plaute et Térence d'une part, Sénèque et Claudien d'autre part) ont été réalisées dans le prolongement des travaux pionniers de Gilbert Tournoy (1978) pour la tragédie et de Ludwig Walther (1971) et Graziella Gentilini (1983) pour la comédie ; ainsi, par l'étude des similitudes et différences entre ces deux œuvres, nous avons essayé de définir l'originalité de l'esthétique dramatique de l'auteur ainsi que la place respective de chacune des deux pièces dans l'histoire de la réception des modèles poétiques de l'Antiquité et de l'élaboration, sans cesse renouvelée, du théâtre latin humaniste / Johannes Harmonius Marsus (Giovanni Armonio Marso), a Venetian humanist poet ofthe end of the Quattrocento, composed in Latin, among others, two plays : a comedy entitled Stephanium, very similar to the Roman fabula palliata, and a historical tragedy, De Rebus Italicis deque Triumpho Ludovici XII Regis Francorum, in order to celebrate the triumphant entrance of the French king in Milan in 1499. As the comedy had a resounding success from its first performance, and the tragedy, on the contrary, has remained completely neglected, it seemed important to deepen the dramaturgical characteristics of these two plays which are defined by the constant pursuit of the spectacular effect, thus serving the intention of edifying and praising. Then in our translation of both plays, the first time in French, we were careful to emphasize the stage acting through which a new approach of comedy and tragedy is taking shape. The study of the context of writing and the search for the ancient literary sources and models (mainly Plautus and Terence on the one hand, Seneca and Claudian on the other hand) have been carried out following the pioneer works of Gilbert Tournoy (1978) concerning the tragedy, of Ludwig Walther (1971) and Grazielle Gentilini (1983) concerning the comedy. Thus, by studying the similarities and the differences between these two works, we tried to define the originality of the author's dramatic aesthetic, as well as the respective places of each of both plays in the history of the reception of antiquity's poetic models, and of the constantly renewed development of the Latin humanist theatre.
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Le langage diplomatique : dire et écrire, convaincre et agir : Les lettres de Piero Soderini et Cosimo dei Pazzi en France (1498-1499) Édition critique et commentée / Diplomatic language in Piero Soderini and Cosimo dei Pazzi letters from France (1498-1499) : Words to say, convince and act

Flesia, Magali 19 December 2013 (has links)
Les documents retranscrits dans ce travail sont inédits. Il s’agit de 128 lettres manuscrites conservées à l’Archivio di Stato de Florence dans les fonds Signori, Dieci di Balia, Otto di Pratica, Cart. Legazioni e commissarie, missive e responsive 31, Dieci di Balia, Cart. Responsive 57 et 59 et Signori, Cart. Responsive 10 à 14. Piero Soderini et Cosimo dei Pazzi, envoyés en ambassade en France auprès de Louis XII, écrivent à la République du Lys entre le 16 juillet 1498 et le 8 octobre 1499. Le contenu de leurs plis a été retranscrit d’après des critères de modernisation précis. L’apparat critique permet de souligner d’éventuelles erreurs et offre une comparaison des différentes versions retrouvées, lorsque cela est le cas. Les notes explicatives apportent des éclaircissements d’ordre linguistique et des précisions sur l’identité des personnages dont il est question, sur les lieux mentionnés ou les événements auxquels il est fait référence. L’étude de ce recueil nous permet d’affirmer que l’écriture d’ambassade, outil de la République, est représentative du langage politique qui naît et se développe dès la chute des Médicis, en 1494. Elle est un moyen de dire la politique, dans le principal but de convaincre pour agir. Le langage diplomatique est l’expression d’une langue commune aux historiographes ou historiens contemporains, aux écrits de chancellerie ou encore aux œuvres théoriques de Machiavel. / Documents transcribed in this work are unpublished. They are 128 handwritten letters preserved in the Archivio di Stato of Florence in the funds Signori, Dieci di Balia, Otto di Pratica, Cart. Legazioni e commissarie, missive e responsive 31, Dieci di Balia, Cart. Responsive 57 and 59 and Signori, Cart. Responsive 10 to 14. Piero Soderini and Cosimo dei Pazzi, sent in embassy in France to Louis XIIth king of France, write to the Republic of Florence between the July 16, 1498 and theOctober 8, 1499. The content of their letters has been transcribed thanks to specific criteria of modernization. The critical apparatus helps to point out prospective errors and offers a comparison of the different versions found, when such is the case. The explanatory notes provide a clarification of language and details concerning the identity of the characters cited or on the places and events mentioned. Thanks to this study we can say that the embassy writing, tool of the Republic, is representative of the political language that was born and developed after the overthrow of the Medici dynasty in 1494. It is a way of saying policy, whose main purpose is to convince in order to act. The diplomatic language is the expression of a language shared by contemporary historians, the writings of Chancery and the theoretical works of Machiavelli.
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L'oeuvre latine attribuée à Jacotin dans les sources des XVe et XVIe siècles : transcription critique et analyse

Nicolas, Patrice 05 1900 (has links)
La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (http://www.bib.umontreal.ca/MU). / Qui était "Jacotin"? Quels sont encore les mystères de sa biographie? Quelle a été sa contribution au panorama musical de la Renaissance? Et pourquoi le connaît-on si mal, lui dont l’oeuvre – dans son ensemble stylisée et élégante – semble avoir connu de son temps un succès considérable? À l’heure actuelle, l’oeuvre attribuée à "Jacotin" est pratiquement tombée dans l’oubli et l’identité du ou des compositeurs à qui nous la devons fait toujours l’objet de spéculations parmi les spécialistes. Ainsi, ces compositions n’ont jamais retenu toute l’attention qu’elles méritent. Les chansons n’ont été éditées en notation moderne qu’en 2004 ; l’oeuvre latine, elle, n’a pas encore fait l’objet d’une édition critique, ni d’une étude. Plus généralement, l’oeuvre attribuée à "Jacotin" n’a pas été étudiée intégralement. Pourtant, celle-ci aurait beaucoup à nous apprendre des différences et interactions stylistiques entre les Pays-Bas, la France et l’Italie aux XVe et XVIe siècles, puisque les candidats au titre de compositeur(s) potentiel(s) furent actifs tant à Paris et Anvers qu’à Naples, Ferrare, Rome et Milan. L’œuvre latine attribuée à "Jacotin" témoigne en outre des différentes activités et services de son ou ses auteurs, certains motets (notamment Beati omnes qui timent Dominum, Interveniat pro rege nostro et Michael archangele) s’inscrivant possiblement dans le cadre de cérémonies qui prirent place à la cour royale d’Angleterre sous le règne d’Henry VIII (1491-1547, reg. 1509-1547), ainsi qu’à celle de France sous ceux de Louis XII (1462-1515, reg. 1498-1515) et François Ier (1494-1547, reg. 1515-1547). Les motets de "Jacotin" constituent donc des maillons essentiels dans l’histoire du genre, tant en France que, plus généralement, en Europe. Cette thèse tente dans un premier temps d’élucider le problème identitaire qui affecte "Jacotin" depuis plus de deux siècles. Ainsi, la première partie est consacrée à la prosopographie des chantres de la Renaissance clairement identifiés sous ce diminutif. De concert avec l’examen des sources musicales et l’étude de leurs schémas de diffusion, l’analyse des oeuvres elles-mêmes permet ensuite leur attribution à quatre musiciens bien distincts, à savoir : Jacques de Nieuport (v. 1435-v. 1475), Jacques Frontin (v. 1450/55-?1519), Jacques Godebrye (v. 1460-1529), et Jacques Lebel (v. 1494-v. 1556). Dans un second temps, cette thèse propose pour la première fois une transcription critique de l’oeuvre latine de "Jacotin", transcription qui vient compléter l’édition critique de ses chansons publiée par Frank Dobbins en 2004. Ainsi, l’oeuvre complète attribuée à "Jacotin" est enfin disponible en notation moderne, pour les chercheurs comme pour les interprètes. / Who was "Jacotin"? What mysteries of his biography remain? What was his contribution to the musical panorama of the sixteenth century? And why do we know so little about a figure (or figures) whose work – for the most part stylish and elegant – seem to have encountered considerable success in his time? At present, the oeuvre attributed to "Jacotin" is almost completely forgotten and the identity of the composer(s) to whom we owe it is still the subject of speculations among scholars. Thus, these compositions have never received the attention they deserve. The chansons were not edited in modern notation until 2004 ; the Latin works have not yet been the subject of a critical edition, nor of a study. More generally, the compositions attributed to "Jacotin" have not been exhaustively studied. Yet, they have much to teach us about the stylistic differences and interactions between France, the Netherlands and Italy during the fifteenth and sixteenth centuries, as the potential candidates for the title of composer(s) were employed in Paris, Antwerp, Naples, Ferrara, Rome and Milan. The Latin works ascribed to "Jacotin" also reflect their author(s) numerous activities and services, as some motets (Beati omnes qui timent Dominum, Interveniat pro rege nostro and Michael Archangele, notably) were possibly part of ceremonies that took place at the royal court of England under the reign of Henry VIII (1491-1547, r. 1509-1547), as well as that of France under the reigns of Louis XII (1462-1515, r. 1498-1515) and François I (1494-1547, r. 1515-1547). The motets of "Jacotin" constitute therefore essential links in the history of the genre, both in France and, more generally, in Europe. This study attempts first to solve the identity problem that has been affecting "Jacotin" for over two centuries. Thus, the first part is devoted to the prosopography of Renaissance singers clearly identified under this nickname. In conjunction with the examination of the musical sources and the study of their patterns of diffusion, the analysis of the Latin works then allows their attribution to four different authors, namely: Jacques de Nieuport (c. 1435-c. 1475), Jacques Frontin (c. 1450/55-?1519), Jacques Godebrye (c. 1460-1529), and Jacques Lebel (c. 1494-c. 1556). In a second step, this study proposes for the first time a critical edition of the Latin works attributed to "Jacotin", which complete the critical edition of his chansons published by Frank Dobbins in 2004. As a result, the complete work preserved under this nickname is finally available in modern notation, for both performers and scholars.

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