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Portrait de W., suivi de, L'oeuvre du souvenir / L'oeuvre du souvenir

Soucy, Linda January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
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Hymen (roman) ; : suivi de l'Écriture de soi au temps de la postmémoire (essai)

Baltz, Cécile 18 April 2018 (has links)
Partie créative : Judith, en décidant d'entreprendre des études dans le Sud de la France, rejoint aussi un oncle, Ramozan, qui a effectué des recherches sur sa famille. Cependant, le lien filial peine à se mettre en place et le dialogue prend du temps à s'amorcer entre la nièce et l'oncle. Judith a grandi au milieu de secrets de famille : la déportation de ses grands-parents, et toutes les souffrances endurées pendant la guerre ont été tues par sa mère, qui n'est parvenue à surmonter une enfance difficile qu'en l'effaçant de sa mémoire. Au fur et à mesure qu'elle entre dans l'histoire familiale, grâce aux quelques éléments que lui livre son oncle, Judith effectue une plongée en elle-même, qui mettra au jour les traces d'une mémoire enfouie dans son propre corps, et qu'elle parviendra finalement à raconter. Ses échanges avec son amie Arama et son compagnon Ali lui ouvrent de nouveaux espaces culturels et symboliques qui forgeront son ipséité. La quête de Judith aboutit à une ouverture sur le monde. Partie théorique : L'essai part du passé de Judith et de l'évolution de sa relation au passé, qui débouche sur un nouveau rapport à soi par le biais de la mise en perspective de son histoire. La démarche du je passe par une configuration du récit comme marque d'une (re)fondation de soi. Cette partie de la thèse reprend chacune des étapes du processus de postmémoire tel que défini par Marianne Hirsch. Il débute par une présentation du récit familial sur trois générations, en analysant les difficultés de la transmission dans la filiation féminine. La deuxième partie étudie les mécanismes du travail de la mémoire sous toutes ses formes. L'essai tente ensuite de restituer le rapport au passé d'un sujet en manque de repères, en prenant appui sur des notions historiographiques développées par Michel de Certeau et Paul Ricoeur reliant l'écriture et l'Histoire. Il se termine par une étude des moyens utilisés pour écrire l'histoire d'une mémoire.
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L'œil de la libellule : fragments ; suivi de Contre la mort : mémoire et survivance dans Le cœur secret de l'horloge d'Elias Canetti

Desmeules, Anne-Marie 20 April 2018 (has links)
Ce mémoire est composé de trois parties distinctes. La première partie consiste en un recueil de fragments, L'Œil de la libellule. Constitué de réflexions, d'aphorismes, de poèmes, de micro-fictions et autres textes brefs, ce recueil explore par facettes des questionnements existentiels, en lien notamment avec la nature humaine, la mémoire, la perception du monde, les relations amoureuses et familiales, la solitude et l'écriture. La seconde partie est un essai critique portant sur les liens unissant écriture fragmentaire, mémoire, mort et survie dans Le Cœur secret de l'horloge d'Elias Canetti. Plus précisément, je discuterai de la stratégie employée par l'auteur pour, d'une part, s'assurer la postérité littéraire, et d'autre part, atteindre l'immortalité par la métamorphose. La troisième partie est un court essai portant sur la notion de doute sous-jacente à l'écriture fragmentaire. J'y effectuerai un retour sur ma propre démarche et y tracerai quelques liens avec l'œuvre de Canetti et d'autres auteurs de fragments.
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Le personnage aux prises avec la mémoire dans "La saison de l'ombre" de Léonora Miano

Metoukson Delangue, Anaïs 25 April 2018 (has links)
Ce mémoire analyse la mémoire à travers la notion de personnage dans le roman La saison de l’ombre de Léonora Miano. Écrit du point de vue de ceux qui virent des êtres chers arrachés par la Traite transatlantique, le roman met en scène un personnage qui tente de donner un sens aux affres de l’Histoire par une quête dont les enjeux sont la vérité, l’hommage et la renaissance de son fils disparu. Le personnage accomplit ainsi son devoir de mémoire. Dans cette perspective, ce mémoire démontre que voulant se réapproprier son histoire, le personnage principal parvient à se réapproprier l’Histoire. Pour ce faire, nous envisageons le personnage en tant que phénomène de signification et l’analysons dans sa dimension sémiotique et énonciative. Nous nous intéressons également aux acquis cognitifs et épistémologiques de son parcours de quête. À terme, l’œuvre témoigne de sa force par un « retournement de la mémoire en projet ».
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L'énonciation de l'exil et de la mémoire dans le roman féminin francophone : Anne Hébert, Aminata Sow Fall, Marguerite Duras

Diouf, Mbaye 16 April 2018 (has links)
Peut-on envisager une analyse des productions littéraires des femmes au lendemain des années 60 affranchie de la tutelle féministe? Quelles (ré)flexions des problématiques de l'exil et de la ·mémoire·dans le roman féminin francophone? Quels lieux de rencontre entre le texte africain et le texte occidental? Ces questions ont toute leur pertinence dans la perspective d'un travail qui associe dans une même étude des auteures aussi différentes de style, de parcours, d'objets et de cultures que Anne Hébert, Aminata Sow Fall et Marguerite Duras, et provenant de pays aussi éloignés et différents que le Québec, le Sénégal et la France. Questions pertinentes, mais édulcorées par des aspects communs aux trois auteures tels que la langue d'écriture, les liens coloniaux avec la France, une vague de changements sociaux à partir des années 60 et, surtout, une pratique littéraire inscrite dans un contexte de modernité historique et esthétique. S'appuyant sur une approche sociopragmatique, cette recherche démontre qu'un certain nombre de romans d'Anne Hébert, d'Aminata Sow Fall et de Marguerite Duras, publiés à partir des années 70, interrogent une condition humaine déterminée par l'exil intérieur de l'être, et réécrivent des discours sociaux dominants de l'époque et.encrés dans la mémoire commune. L'approche sociopragmatique, qui inspire les trois parties de la thèse, réunit la sociologie institutionnelle et des théories du discours, et établit une interrelation dynamique entre le texte et son contexte de production. La première partie retrace la trajectoire sociale des trois auteures en termes de dispositions, de positions et de prises de positions. Elle met à jour les éléments majeurs de leurs habitus, notamment la jouissance d'un capital social et symbolique élevé, un décentrement prudent vis-à-vis des pôles dominants et un investissement esthétique total. La Deuxième partie analyse le fonctionnement narratif et énonciatif de l'exil intérieur dans les romans. Les personnages sont d'abord des sujets clivés, intérieurement divisés et socialement décalés. Les indices de leur exil sont perceptibles dans les discours autoréférentiels (ou prodomiques), les incipits et les monologues intérieurs. Ils dévoilent une écriture auto graphique qui dégénère dans une polyphonie énonciative, obscurcie la fonction onomastique et défait les bases du roman. La Troisième Partie étudie les figurations du "discours social" tel que défini par Marc Angenot. Ayant partie liée avec les faits de mémoire, le discours social se spécifie par ses caractères "polysémique", "polémique" et "dialogique", et emploie des relais médiatiques et institutionnels réels à travers lequels il occupe la sphère sociale pendant un temps donné. Cependant, la mise en texte des discours de la charité musulmane et de l'immigration (Sow Fall), de la Shoa (Duras) et de l'aliénation identitaire (Hébert) s' effectue de "manière spécifique". Elle dévoile tour à tour une refiguration intertextuelle, une resémantisation ironique et une déstructuration narrativeé En conclusion, la recherche prouve qu'une analyse comparée des productions littéraires francophones est possible, à condition qu'elle transcende tout préjugé lié au genre ou à l'essence. Pour se faire, la romancière francophone et son roman appellent à être considérés pour ce qu'ils sont d'abord: une écrivaine et un texte littéraire.
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Un mouticide : suivi de Arvida: l'écriture de la mémoire chez Samuel Archibald

Turcotte, Anaël 29 May 2019 (has links)
Ce mémoire en recherche-création se déploie en deux parties, soit une création littéraire et un essai réflexif. En première partie se trouve Un mouticide, un roman d’anticipation rétrofuturiste. Dans l’esprit d’un conte philosophique tourné au burlesque, le récit est articulé autour de trois personnages, soit une jeune fille révoltée, un professeur d’histoire aigri et un agriculteur nostalgique, qui vivent une crise identitaire et une désillusion par rapport à leur place dans leur communauté. Dans un monde réinventé à la limite de l’utopie communiste, parodiant des aspects à la fois du roman du terroir, de fictions dystopiques et de La République de Platon, une narration moqueuse oppose un univers déterministe aux personnages et à leur quête de sens. L’essai réflexif consiste en une analyse des thèmes de la mémoire, de l’écriture et du mythe dans Arvida de Samuel Archibald, recueil de nouvelles paru en 2011.L’objectif de la réflexion est de dégager un portrait général de l’oeuvre en tant que construction partagée entre la mémoire, l’histoire et la fiction, sachant qu’Archibald se met en scène dans sa fiction en tant qu’auteur d’Arvida, et que la plupart des histoires se déroulent avant sa naissance. Les trois histoires au centre de la réflexion sont celles sous-titrées « Arvida », soit « Mon père et Proust », « Foyer des loisirs et de l’oubli » et « Madeleines ». Dans ce parcours d’idées seront abordées les questions de l’imaginaire nordique, de l’héritage, du narrateur-auteur et de la littérature fantastique pour montrer comment Archibald réussit à dépeindre une mythologie américaine nordique propre à la région du Saguenay. / This master’s thesis in research and creation is divided into two parts, a novel and an essay. First is Un mouticide, a retro-futuristic prospective novel with a humorous twist. The narrative, in the likeness of a philosophical tale, branches into three characters’ storylines: a young outraged girl, a bitter old history teacher, and a nostalgic farmer who go through an identity crisis and become disillusioned about their community. In a reimagined world at the limits of being a communist utopia, and parodying aspects of the roman du terroir and Plato’s Republic, a mocking narrator opposes a deterministic universe with the characters’ quests for meaning. The essay consists of an analysis of the themes of memory, writing and myth in Arvida, a book of short stories by Samuel Archibald published in 2011. The objective of the research is to depict the writer’s work as a construction between memory, history and fiction, knowing that Archibald stages his appearance in the stories as the author, and that most stories take place before his birth. The main three stories around which the reflection is articulated are subtitled “Arvida”: “Mon père et Proust”, “Foyer des loisirs et de l’oubli” and “Madeleines”. Throughout this journey, Nordic imaginary, heritage, fantastic literature and the author-narrator are discussed, to show how Archibald depicts a unique American and Nordic mythology specific to the Saguenay region in the province of Quebec.
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Poétique de l’indicible dans Un dimanche au cachot de Patrick Chamoiseau

Liljesthröm, Valeria 20 April 2018 (has links)
Ce mémoire vise à examiner les stratégies grâce auxquelles Patrick Chamoiseau exprime l’indicible dans son roman Un dimanche au cachot. En effet, restituant l’univers esclavagiste aux Antilles, en mettant en scène son processus de déshumanisation, Chamoiseau associe l’écrivain et le lecteur à une difficile activité de figuration de l’Histoire, renouvelant ainsi le pacte entre eux. Le mémoire s’efforce de montrer que le roman témoigne de l’horreur par la construction d’une « poétique de l’indicible » qui opère par la figure de la compensation. Elle parvient à donner voix à une « mémoire silencieuse » en contrebalançant le tragique par le comique, le réel par l’imaginaire, la transparence par l’opacité, le dit par le non-dit, le texte par le métatexte et la laideur par la beauté.
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Par-delà l'histoire : regards sur l'identité et la mémoire dans l'œuvre d'Andreï Makine

Bellemare-Page, Stéphanie 16 April 2018 (has links)
Cette thèse, intitulée "Par-delà l'Histoire : regards sur l'identité et la mémoire dans l'œuvre d'Andreï Makine" propose une analyse originale des rapports entre Histoire, mémoire et littérature dans l'œuvre de cet écrivain français d'origine russe. La thèse dans l'ensemble tend à démontrer que l'univers makinien est marqué à la fois par une emprise et une mise à distance de l'Histoire : aux migrations géographiques et identitaires forcées par l'Histoire se juxtaposent d'autres formes de déterritorialisation, ontologique et poétique, qui projettent les personnages dans un monde différent. L'œuvre, tout en étant ancrée dans l'Histoire, défend une vision idéalisée de l'Art, de l'amour et de la nature, comme territoires du sacré. La première partie, intitulée "Du mythe au mirage : perspectives identitaires", débute par un survol des mythes fondateurs de l'imaginaire franco-russe, explorés sous l'angle de l'histoire de ses dynamiques interculturelles. Les stratégies d'appropriation de cet héritage par Makine sont ensuite analysées à travers des personnages et des symboles "limitrophes", c'est-à-dire à la croisée des mondes français et russe. L'argumentaire de la thèse tend à défendre l'idée que la richesse de l'œuvre réside non seulement dans son biculturalisme mais aussi et surtout dans le rapport à l'identitaire qu'il dévoile, exploré à travers tout un réseau de métaphores optiques ; le regard posé sur l'autre est constamment brouillé par les mirages, les effets-trompeurs, dans un style déroutant pour le lecteur qui peut, à son tour, difficilement échapper aux pièges des illusions que lui tend le narrateur. En résulte une écriture du doute qui marque de façon indélébile, dans toute l'œuvre de Makine, la rencontre de l'altérité. La deuxième partie, "De l'indicible à l'innommable : les voix de la beauté et de la violence", propose une lecture diachronique de l'œuvre et s'attarde à la notion de "surconscience linguistique" (Gauvin), qui s'exprime chez Makine par une focalisation sur la voix et renonciation. Cette analyse met en lumière les rapports de domination entre les différentes formes de discours (idéologique, individuel, collectif, etc.). L'objectif est de montrer comment, chez Makine, l'Histoire, le collectif, s'interpose dans les rapports humains et forme une entrave à l'expression des personnages, confondue avec une voix persécutrice intériorisée ou un discours hégémonique dominant. Ces voix sont des obstacles à la constitution de l'ethos discursif des personnages, qui tend à se renforcer au fil de l'œuvre jusqu'à devenir une parole forte, signifiante, résistante. Contre une pensée obstruée par les mécanismes qui la gouvernent, l'intertextualité joue le rôle de réfèrent qui occupe une large part de l'espace symbolique des premiers romans. Or, cette fonction de l'intertextualité est remise en question dans les dernières œuvres de l'écrivain, où l'on observe une confrontation entre une figure d'écrivain de plus en plus assumée et diverses formes d'autorité telles que l'institution, la loi ou l'éditeur. La troisième partie, "Histoire, mémoire, filiations" porte sur la philosophie de l'Histoire chez Makine, sur l'exercice de la mémoire et les configurations temporelles du roman. L'analyse de la représentation de l'Histoire dans le roman makinien tend à démontrer que celle-ci est tributaire d'une mémoire directe ou indirecte de la dictature et la guerre, et a comme fonction dans le roman de bouleverser les destinées humaines. Ce constat conduit à la compréhension du projet poétique de l'écrivain, qui vise à combattre l'instrumentalisation de l'Homme par les idéologies pour mettre en lumière la singularité de chaque vie humaine. On en conclut que la mémoire mythifiée constitue une narration alternative à un discours hégémonique omnipotent, et vient panser les blessures du passé et du présent. Contre une représentation de l'Histoire dont la marche semble inexorable, le personnage makinien survivra grâce à la reterritorialisation dans un espace poétique et atemporel, voire sacré. En bout de ligne, c'est l'Histoire qui est instrumentalisée par le roman, où elle est à la fois omniprésente et rejetée, et devient une véritable métaphore de la condition humaine.
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Oublier ou se souvenir? : culpabilité et mémoire dans Le rapport de Brodeck de Philippe Claudel

Hogue, Sébastien 23 April 2018 (has links)
Le rapport de Brodeck de Philippe Claudel, paru en 2007 et dont l’histoire se déroule à une époque semblable à celle de la Seconde Guerre mondiale et de l’après-guerre en Europe, soulève le problème de la conciliation de la mémoire et de la culpabilité. Ce mémoire, centré sur le narrateur et personnage principal du roman, s’intéresse d’une part à sa représentation comme victime caractérisée à la fois par une marginalisation sociale, par une assimilation à la figure de rescapé de la littérature concentrationnaire ainsi que par une difficulté manifeste à raconter qui régit la mise en ordre du récit. D’autre part sera traitée la question de la culpabilité qui prend de plus en plus de place à mesure que progresse le roman et que se fait sentir, sur l’ensemble des personnages, la pression d’un passé considéré encombrant par plusieurs d’entre eux. Cette étude vise en somme à démontrer que la représentation ambiguë du narrateur et personnage principal du Rapport de Brodeck, entre victime et coupable, et plus précisément son évolution au cours du roman, refuse la simplification et met de l’avant des préoccupations importantes, en cette ère de « l’après-témoignage », quant à la nécessité et au rôle de la mémoire dans toute société : vaut-il mieux se souvenir d’un passé déchirant ou bien l’oublier ? Et à quel prix ?
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Le théâtre dans Le premier jardin d'Anne Hébert : étude d'une odyssée mémorielle portée par la convocation et l'emprise

Hébert Doyon, Marie-Pier 23 April 2018 (has links)
Ce mémoire vise à mettre en lumière l’influence qu’exerce le théâtre dans le roman Le premier jardin d’Anne Hébert. Il s’efforce de démontrer que l’intrigue s’articule autour d’une dichotomie fondamentale entre la remémoration d’un passé collectif, où la protagoniste participe en tant que comédienne, et la résurgence de souvenirs où elle devient spectatrice de son propre passé qui envahit et détracte le présent. Ainsi, cette étude révèle comment les thèmes de la convocation et de l’emprise investissent l’odyssée mémorielle de Flora Fontanges et parvient également à dégager la vision de l’Art et de la création qui anime le roman tout comme le parcours de l’auteure.

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