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Historians' history, 1960-1969

Eringaard, Cornelius January 1972 (has links)
The purpose of this study was to ascertain what historians view as being the best and/or most significant American history books written in the Nineteen Sixties. An instrument was constructed which included questions about specific books, demographic data about the respondent, and questions relating to the respondent's ideas about the source of his own judgments about the writing of American history.
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The historian's two bodies : the reception of historical texts in France, 1701-1790

Uglow, Nathan January 1997 (has links)
No description available.
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The making of a Sino-Marxist world view, writing world history in the People's Republic of China

Martin, Dorothea A. L January 1985 (has links)
Typescript. / Thesis (Ph. D.)--University of Hawaii at Manoa, 1985. / Bibliography: leaves 158-175. / Photocopy. / Microfiche. / ix, 175 leaves, bound 29 cm
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Die Philosophie der Philosophiegeschichte im 19. Jahrhundert; zur Wissenschaftstheorie der Philosophiegeschichtsschreibung und -betrachtung.

Geldsetzer, Lutz. January 1968 (has links)
Habilitationsschrift--Düsseldorf. / Bibliography: p. 231-234.
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Die Philosophie der Philosophiegeschichte im 19. Jahrhundert; zur Wissenschaftstheorie der Philosophiegeschichtsschreibung und -betrachtung.

Geldsetzer, Lutz. January 1968 (has links)
Habilitationsschrift--Düsseldorf. / Bibliography: p. 231-234.
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The catacombs, martyrdom, and the reform of art in Post-Tridentine Rome: picturing continuity with the Christian past

Magill, Kelley Clark 10 August 2015 (has links)
The fortuitous discovery of early Christian images adorning the catacombs on Via Salaria in 1578 enabled scholars to address urgent, contemporary problems concerning the Catholic tradition of image veneration, which had been attacked by Protestant iconoclasts. Although the catacombs had been important devotional sites for the cult of martyrs and relics throughout the Middle Ages, the 1578 catacomb discovery was the first time that Romans connected the catacombs with the early Christian cult of images. Only after 1578 did scholars and antiquarians begin to collect and study early Christian frescoes and antiquities found in Rome’s numerous catacomb sites. Their research culminated in the publication of Antonio Bosio’s Roma sotterranea (1635), the first treatise on the Roman catacombs. After the Council of Trent (1545–1563), Catholic scholarship on the catacombs defended the early Christian origins of the cult of martyrs, relics, and images. I argue that the Tridentine Church’s claim of continuity motivated the study of early Christian art in the catacombs in the late sixteenth and early seventeenth centuries. By critically evaluating images and archeological sources to support an interpretation of the Church as semper eadem (ever the same), Bosio and his sixteenth-century predecessors contributed to the development of modern historical and archeological methods. This dissertation explores the juxtaposition of imaginative and analytical interpretations of the Roman catacombs in the late sixteenth and early seventeenth centuries. Early modern descriptions of the catacombs characterize these burial sites as emotive worship spaces for the early Church that evoked Christian suffering, martyrdom, and devotion to the cult of saints. I argue that the gruesome martyrdom imagery commissioned to decorate S. Stefano Rotondo and SS. Nereo e Achilleo in the last two decades of the sixteenth century imaginatively recreated what contemporaries thought early Christian worship would have been like in the catacombs. As the first in-depth study to consider the relationship between the exploration of the catacombs and the first large-scale martyrdom cycles in the late sixteenth century, this dissertation demonstrates how vivid pictorial imagination of the Christian past inspired the early Christian revival movement in post-Tridentine Rome. / text
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Obraz španělského krále Filipa II. v moderní španělské beletrii / Image of the Spanish king Philip II in the modern Spanish literature

ŘEZNÍČKOVÁ, Lenka January 2017 (has links)
This Master thesis is about the perception of Philip II, Spanish king of 16th century, in modern Spanish fiction. The work counts with brief historical introduction to the person of Philip II according to the newest historiographical research, particularly Geoffrey Parker's studies. It then continues with brief introspection into Spanish cultural, political and social ambience of the studied period. Some reasons and explications are given concerning the 20th and 21st century literary situation in Spain. The aim of this work is to discover the perception of the Spanish monarch through analysis of selected literature taking into consideration authors backgrounds and opinions. The study starts with the introduction and ends with the conclusion completed with a résumé in the Spanish language.
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Le rôle des désignants d'événements historico-médiatiques dans la construction de l'histoire immédiate: une analyse du discours de la pensée écrite

Calabrese, Laura 26 February 2010 (has links)
Ce travail est divisé en deux grandes parties. La première explore la notion d’événement dans une perspective multidisciplinaire, à partir de l’histoire, la sociologie, l’ethnologie, la philosophie, la communication et la linguistique. Le but de ce parcours notionnel est double :tout d’abord, illustrer comment les sciences humaines évoluent (depuis les années 1950) vers une approche langagière de l’événement, et en deuxième lieu, nous doter des outils conceptuels nécessaires pour montrer que l’événement médiatique est une construction sociale dans laquelle le langage joue un rôle central. Cette construction est régulée par des routines de rédaction journalistiques, des contraintes matérielles (i. e. l’espace disponible pour rédiger des titres), des représentations et des habitus de lecture. En amont de la nomination par le média, des protocoles sociaux implicites règlent ainsi la mise en mots de l’événement. Cela explique l’énorme consensus dans la nomination d’événements à l’intérieur d’un même espace historico-géographique. <p>La réflexion théorique sur l’événement a également permis d’observer le fonctionnement singulier du discours d’information, notamment en regard du discours historique, tout spécialement à partir de leur saisie particulière du temps, à savoir, les temps courts des médias et les temps long ou mi-longs de l’histoire. Cette forme d’appréhender le temps n’est pas sans conséquences sur les modes de nomination des médias, car ils ont besoin de nommer toute occurrence jugée événementielle, souvent sans le recul nécessaire pour les intégrer dans un récit global. La pratique conduit en effet le discours de l’information à produire une grande quantité de désignants qui pourront être mémorisés par les lecteurs sans pour autant produire de véritables connaissances. Malgré cette hypertrophie, l’événement médiatique constitue un repère collectif primordial pour organiser le vécu public. En ce sens, il est à distinguer du fait divers, qui n’organise pas le temps social mais produit, au contraire, des discours répétitifs, ancrés sur des archétypes et non sur l’actualité. Dans sa fonction cathartique, le fait divers présente une mise en récit du dysfonctionnement de la société et, dans sa répétitivité, n’a pas besoin d’être mémorisé par le discours social. Comme corollaire, il produit moins de dénominations et plus de séquences narrativisées. Ainsi, un fait divers peut accéder au statut d’événement en fonction de la place que le discours d’information −et la société− lui accorde, à la fois dans l’espace public et dans la matérialité du support écrit. <p>En tant que construction sociale, l’événement médiatique n’est pas un objet discret. Non seulement il n’est pas disponible tel quel avant l’acte de nomination, mais il n’est pas immédiatement disponible et perceptible. Comme d’autres réalités sociales ou institutionnelles, les événements ont une « ontologie subjective » mais sont perçus comme objectifs. Dans ce cadre, l’instance de médiatisation est fondamentale pour donner corps à l’événement et l’ériger en objet d’intérêt public. La question qui se pose est celle de la mise en forme de l’événement en consensus avec le corps social. Si nous considérons les événements comme des faits institutionnels, il devient évident que leur mode de donation est médiatisé par le biais d’une instance socialement légitimée à laquelle on accorde cette mission :les médias. Le mécanisme de médiation qui intervient ici est la déférence :nous déférons aux journalistes la tâche d’identifier, de décrire et de nommer les événements publics. <p>L’analyse des désignants d’événements dans une perspective linguistique (sémantique et syntaxique) s’avère ainsi fondamentale pour interroger les représentations mobilisées par le média. En effet, ces séquences linguistiques, largement partagées par le corps social, sont des prêts-à-dire capables de condenser une énorme quantité d’information sur l’événement, de ses données les plus objectives (où, quand, quoi) aux plus subjectives (images, représentations) mais partagées intersubjectivement. La deuxième partie de cette thèse aborde la description de ces séquences linguistiques, dans une démarche qui va de la sémantique lexicale à la sémantique discursive. Les désignants d’événements sont envisagés sous leur forme expansée, c’est-à-dire comme des expressions définies formées à partir d’un nom événementiel, nom qui dénote un événement en langue (attentat, catastrophe, crise, etc.). Cette base lexicale sert à catégoriser l’événement −en fonction de cadres cognitifs communs−, orientant le sens et affectant les représentations des lecteurs. <p>Parmi les différentes formes, nous distinguons des expressions définies complètes (la guerre en Irak, le massacre de la place Tiananmen, les attentats du 11 septembre, l’affaire du voile) et incomplètes (la crise, la canicule, le tsunami). Ces dernières se caractérisent par la présence d’un opérateur indexical qui fait référence au moment de l’énonciation et ont donc une capacité plus faible à stocker la mémoire de l’événement. Une fois le moment discursif passé, ces expressions ont tendance à être complétées par un complément (i. e. la canicule de 2003). Les expressions définies complètes présentent, elles, une tendance à la condensation. Elles produisent ainsi des mots-événements :des toponymes et des dates en fonction événementielle (que nous appelons héméronymes), ainsi que des désignants occasionnels (Tiananmen, le 11 septembre, le voile, respectivement). Malgré l’effacement du nom événementiel présent dans la dénomination originelle (massacre, attentat, affaire), celui-ci est pour ainsi dire enregistré par l’expression restante, et sert par là à orienter le sens de l’expression. La preuve qu’un sens notionnel a été enregistré par ces expressions est qu’elles peuvent être réutilisées dans des emplois métaphoriques, pour des événements de même nature (le 11 septembre de l’Europe, un Tiananmen à l’iranienne, tsunami financier). L’approche discursive permet également de distinguer des dénominations et des désignations, moins figées et à plus forte valeur axiologique, mais qui contribuent également à la construction de l’événement. Si Mai 68 peut être catégorisé comme une révolte, une révolution ou un mouvement par la presse et par les principaux acteurs sociaux, il peut également être qualifié de coup d’épée dans l’eau ou de rupture culturelle. Les premières constituent des séquences largement partagées dont le but est de catégoriser, mémoriser et retracer l’événement, tandis que les secondes expriment surtout le point de vue d’un énonciateur ou groupe, et ont par là un contenu axiologique plus évident. <p>Nous essayons de montrer que la description linguistique est une condition nécessaire pour décrire la capacité mémorielle de ces désignants, qui ont des degrés de stabilité et de figement différents. L’établissement des différentes catégories (expressions définies complètes et incomplètes, xénismes, mots-événements accidentels, toponymes événementiels et héméronymes) permet d’étudier leur capacité mémorielle en fonction de leur morphologie. En effet, moins le désignant a de contenu lexical, plus il a de facilité à circuler dans des contextes qui ne sont pas celui d’origine. Ainsi, les toponymes et les héméronymes ont une plus grande capacité d’évocation, en raison de leur proximité avec le nom propre. Dans le discours d’information, ils fonctionnent comme des outils cognitifs qui servent à mémoriser des événements, des images et des discours sur les événements.<p><p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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A proposta de psicologia de Edward B. Titchener um caso polêmico na história da psicologia: restabelecendo seu lugar na historiografia contemporânea

Fiscina, Luciano 21 May 2008 (has links)
Made available in DSpace on 2016-04-28T14:16:33Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Luciano Fiscina.pdf: 916731 bytes, checksum: 212daf4caedc6cc0154f9ce0a2a8dcfa (MD5) Previous issue date: 2008-05-21 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / This research is an investigation of pathway followed by Edward Bradford Titchener to the elaboration of a psychology purpose pointing out some agreements and disagreements between Titchener and his Germans and Americans contemporaneous. Through of analysis of his Text-Book and some of his papers, we objected to understand the titchenerian methodology to clear up his intellectual axial in the history of psychology. We realized a discussion between the English and German experimental physiologies about the space perception nature to show that the empirical and continental contexts link as the German experimental psychology as the titchenerian experimental psychology. We call in question the way how the author is treated by the modern historiography looking into the historical perspective that built up the titchenerian image in psychology memory. Therefore this research intends to contribute to a criticism historiography standing out other approach to the Edward B. Titchener role in the history of psychology / Esta pesquisa é uma investigação dos caminhos seguidos por Edward Bradford Titchener para a elaboração de uma proposta de psicologia, apontando acordos e desacordos entre Titchener e seus contemporâneos alemães e americanos. Por meio da análise do seu Text-Book e alguns dos seus artigos, objetivou-se entender a metodologia titcheneriana e legitimar seu eixo intelectual na história da psicologia. Realizou-se uma discussão entre a fisiologia experimental inglesa e alemã sobre a natureza perceptiva do espaço a fim de mostrar que o panorama contextual das tradições empíricas e continentais entrelaça tanto a formulação da psicologia experimental alemã, quanto da psicologia experimental titcheneriana. Questiona-se, então, o modo como o autor é tratado pela historiografia moderna, procurando localizar a perspectiva histórica que construiu a imagem titcheneriana na memória da psicologia. Esta pesquisa pretende contribuir, portanto, com uma historiografia crítica, estabelecendo outro enfoque para o papel de Edward B. Titchener na história da psicologia
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Voir et entendre la destruction des Juifs d'Europe: histoire parallèle des représentations documentaires à la télévision allemande et française, 1960-2000

Maeck, Julie 03 May 2007 (has links)
Voir et entendre la destruction des Juifs d’Europe analyse l’aporie sur laquelle butent les documentaires à la télévision française et allemande, de 1960 à 2000. De Nuit et Brouillard du Français Alain Resnais aux séries de l’Allemand Guido Knopp, en passant par le Mein Kampf de Erwin Leiser, par Les Dossiers de l’écran consacrés à la diffusion d’Holocaust à la télévision française, par Shoah de Claude Lanzmann et d’autres films majeurs, tous s’affrontent à l’impossibilité de représenter, via l’image d’archives et le témoignage, de donner à « voir » et à « entendre » l’extermination de plus de cinq millions de personnes. L’examen minutieux de l’usage du témoignage et de l’image d’archives permet de dégager les stratégies mises en place, au fil du temps, par les réalisateurs pour contourner cette aporie. Les métamorphoses du statut et de la fonction des traces sonores et visuelles au sein du récit documentaire jettent également un éclairage sur la définition fluctuante de l’événement historique, sur les déplacements de regards et de sens portés sur le matériel iconographique et les souvenirs des acteurs de l’époque qui bousculent immanquablement la perception de l’histoire des Juifs sous le nazisme.<p>Parallèlement à cette analyse interne, proposant un savoir non plus livresque du film, mais, au contraire un savoir qui intègre ses qualités propres, que sont l’audio et le visuel, la focale s’élargit au contexte mémoriel de la réalisation et de la diffusion du film afin d’évaluer le degré de singularité du discours élaboré par son auteur. Le documentaire est-il créateur de débats et d’événements, de sources de représentations et de croyances ?Donne-t-il, au contraire, au débat l’occasion de s’exprimer, limitant alors son rôle à un effet de miroir – fidèle ou non – des mémoires collectives ?Au regard de la connexité des sources (orales, visuelles et scripturales) entre l’historien et le réalisateur de documentaires, se superpose une interrogation relative à la nature du discours énoncé par le film :est-il d’ordre historique ou métahistorique ?Est-il du domaine de la connaissance ou, au contraire, s’inscrit-il dans la perspective d’un discours sur l’histoire utilisant les données historiques pour servir des enjeux du temps présent qui imposent ce dont il faut se souvenir ?<p>Cette approche, replaçant les représentations documentaires dans leur propre contexte mémoriel et historiographique s’enrichit d’une perspective comparatiste entre les représentations documentaires allemandes et françaises qui a l’avantage de sortir des débats et enjeux nationaux relatifs au film documentaire.<p>Voir et entendre la destruction des Juifs d’Europe présente ainsi une histoire culturelle et critique de la mémoire télévisuelle de l’événement juif de la Seconde guerre mondiale<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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